Affection : définition de affection
Affection : définition du Trésor de la Langue Française informatisé
AFFECTION1, subst. fém.
Vx. Action (ou fait) d'étaler une attitude ostentatoire (cf. affecter1). Synon. affectation :AFFECTION2, subst. fém.
Affection : définition du Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Sentiment qui fait qu'on aime quelque personne avec attachement, qu'on se plaît à quelque chose, qu'on s'y porte avec ardeur. Tendre affection. Affection paternelle. Affection maternelle. Sentiment d'affection. Témoignage d'affection. Faire une chose par affection pour quelqu'un. Avoir de l'affection pour quelqu'un. Porter de l'affection à quelqu'un. C'est le cadet qui est l'objet des affections de sa mère. Il n'a d'affection pour rien. Il n'a d'affection à rien. Il a pris la peinture en affection. La personne en qui il avait mis ses affections. Il a son art en affection. Il se porte à cette étude par affection. Il s'y livre avec affection. Il en parle d'affection. Chaque jour on se détache de quelqu'une de ses affections. Il se dit, dans une acception générale, pour désigner Divers mouvements de l'âme. Les affections de l'âme. Affections humaines, naturelles. Toutes ses affections sont douces. Affections déréglées.
AFFECTION, en termes de Médecine, est synonyme de MALADIE. Affection nerveuse. Affection hystérique. Affection aiguë, chronique.
Affection : définition du Littré (1872-1877)
- 1Ce que le corps éprouve, surtout en fait de maladie. Les affections causées par l'impression d'un air froid et humide. Dans ces sortes d'affections l'exercice est nécessaire. Il a une affection rhumatismale. Les affections de poitrine.
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2Manière d'être de l'âme considérée comme touchée de quelque objet. Les affections de l'âme. Les affections de nos âmes sont dans un flux continuel.
Ah ! j'en conviens, et telle est notre misère : il y a de ces temps orageux où l'on n'est proprement maître ni de son esprit par rapport à l'attention que demande la prière, ni de son cœur par rapport à une certaine affection
, Bourdaloue, Pensées, t. II, p. 28.Cet ordre d'idées, cette suite de pensées qui existe au dedans de nous-mêmes, quoique fort différente des objets qui les causent, ne laisse pas que d'être l'affection la plus réelle de notre individu
, Buffon, Comp. des anim. et des végét. - 3En un sens philosophique plus restreint, toute situation passive de l'âme.
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4Sentiment d'amitié, d'amour, d'attachement pour une personne ou une chose. Les affections de la famille. Les anciens disaient que l'amour de la famille renferme toutes les affections. Avoir de l'affection pour quelqu'un. L'affection que je vous ai toujours portée. La malveillance essayait de lui faire perdre votre affection. C'est par des services que se gagne l'affection. Les affections aveugles. Chacun se rappelait les objets de ses affections. Cette ville, vos plus chères affections.
Car enfin n'attends pas de mon affection Un lâche repentir d'une bonne action
, Corneille, Cid, III, 4.Je donnai par devoir à son affection Tout ce que l'autre avait par inclination
, Corneille, Pol. I, 3.Une affection parfaite vaut mieux que toutes choses ; celle que j'ai à vous servir est à un si haut point…
, Voiture, Lett. 30.Vous avez mis votre affection à une créature mortelle
, Fléchier, Serm. II, 216.Affection d'un père pour ses enfants
, Fléchier, I, 139.Il s'appliqua à gagner l'affection des vieux capitaines
, Fénelon, Tél. X.Quiconque met ses affections ici-bas n'a plus de droit à la patrie
, Massillon, Mart.Ressouviens-toi qu'une action Ne peut avoir peu de mérite, Ayant beaucoup d'affection
, Malherbe, IV, 5.L'âme, afin de suppléer la présence de l'objet qu'elle aime, fait effort pour rendre sa douleur immortelle : son affection envers la mémoire de son ami et le désir de le faire revivre lui fait prendre tous les moyens qui peuvent réparer sa perte
, Bossuet, Pensées chrét. 38. -
5D'affection, loc. adverb. Avec intérêt, de cœur.
Il est impossible de se la représenter parlant d'affection de quelque chose
, Sévigné, 115. -
6Affection à, désir de.
Pour des choses où il a plus d'affection
, Pascal, P. div. 75.M. de Noailles savait par le roi même l'affection qu'il avait à ce projet [siége de Barcelonne]
, Saint-Simon, 25, 16.En se dépouillant du péché et des affections au péché
, Fléchier, Serm. II, p. 126.N'est-il resté aucun péché, aucune affection au péché dans votre cœur ?
Fléchier, ib. 132. - 7État maladif. Affection nerveuse, aiguë, chronique.
-
8En géométrie, cette courbe a telle affection, elle a telle propriété.
En ce sens il est vieux.
HISTORIQUE
XIIe s. Je sai bien ke li orguillous engele sunt trespasseit en affection de malice et de felonie, et k'il par non sachance et par enfermeteit ne pecharent mie
, Saint Bernard, 524.
XIVe s. Il ne reçoit ou accepte les paroles des autres ou ne les contre dit pas par amisté ne par affettion d'amour ou de haine
, Oresme, Eth. 131. Il se esjoissent de tel honneur comme d'un signe de la bonne affettion des segneurs à eulz
, Oresme, ib. 243.
XVe s. Aux œuvres non aux paroles se demonstrent les affections du vaillant preux
, Bouciq. I, 16. [Les bourgeois tenoient le capitaine de la ville prisonnier pour le forcer de consentir à capituler avec les Anglois] Le chevalier perçut bien l'affection qu'ils avoient aux Anglois et comment ils le tenoient en danger
, Froissart, I, I, 234. Monseigneur Charles de France et Monseigneur de Charolois estoient à une fenestre et parloient eulx deux de très grant affection
, Commines, I, 5.
XVIe s. … de lui porter affection de nuisance
, Calvin, Instit. 1205. Son affection [goût] mesme y contredisant
, Montaigne, I, 44. Quelle affection [émotion] peult estre plus aspre et plus juste, que celle des amis de Pompeius [le voyant massacrer] ?
Montaigne, I, 63. J'ay en particuliere affection cette matiere
, Montaigne, I, 81. La resolution à la guerre et affection à leurs femmes
, Montaigne, I, 238. Antigonus ayant prins en affection un de ses soldats pour sa vertu
, Montaigne, II, 5. Je m'en remets à vostre jugement, vous priant sans moquerie luy en vouloir conseiller ce qu'il en doit faire, sans regarder affection particuliere
, Marguerite de Navarre, Lett. 79. Je vous prie de prendre ceste maison en telle affection que j'ay tousjours eue et ay la vostre
, Marguerite de Navarre, ib. 83. La jeunesse qui est si ardante en ses affections…
, Lanoue, 120. Ce prince ayant parlé à ces mots, comme il faisoit ordinairement quand il parloit d'affection [avec animation], lui repliqua…
, D'Aubigné, Vie, ch. 10. Jà de vostre costé vous avez apperceuë La moindre affection que pour vous j'ay receuë
, Ronsard, 787.
Affection : définition du Encyclopédie, 1re édition (1751)
AFFECTION, s. f pris dans sa signification naturelle & littérale, signifie simplement un attribut particulier à quelque sujet, & qui naît de l’idée que nous avons de son essence. Voyez Attribut.
Ce mot vient du verbe Latin afficere, affecter, l’attribut étant supposé affecter en quelque sorte le sujet par la modification qu’il y apporte.
Affection en ce sens est synonyme à propriété, ou à ce qu’on appelle dans les écoles proprium quarto modo. Voyez Propriété, &c.
Les Philosophes ne sont pas d’accord sur le nombre de classes des différentes affections qu’on doit reconnoître.
Selon Aristote, elles sont, ou subordonnantes, ou subordonnées. Dans la premiere classe est le mode tout seul ; & dans la seconde, le lieu, le tems, & les bornes du sujet.
Le plus grand nombre des Péripatéticiens partagent les affections en internes, telles que le mouvement & les bornes ; & externes, telles que la place & le tems. Selon Sperlingius, il est mieux de diviser les affections en simples ou unies, & en séparées ou désunies. Dans la premiere classe, il range la quantité, la qualité, la place, & le tems ; & dans l’autre, le mouvement & le repos.
Sperlingius paroît rejetter les bornes du nombre des affections, & Aristote & les Péripatéticiens, la quantité & qualité : mais il n’est pas impossible de concilier cette différence, puisque Sperlingius ne nie pas que le corps ne soit fini ou borné ; ni Aristote & ses sectateurs, qu’il n’ait le quantum & le quale. Ils ne different donc qu’en ce que l’un n’a pas donné de rang propre & spécial à quelques affections à qui l’autre en a donné.
On distingue aussi les affections en affections du corps & affections de l’ame.
Les affections du corps sont certaines modifications qui sont occasionnées ou causées par le mouvement en vertu duquel un corps est disposé de telle ou telle maniere. Voyez Corps, Matiere, Mouvement, Modification, &c.
On subdivise quelquefois les affections du corps en premieres & secondaires.
Les affections premieres sont celles qui naissent de l’idée de la matiere, comme la quantité & la figure ; ou de celle de la forme, comme la qualité & la puissance ; ou de l’une & l’autre, comme le mouvement, le lieu, & le tems. Voyez Quantité, Figure, Qualité, Puissance, Mouvement, Lieu, Tems.
Les secondaires ou dérivatives sont celles qui naissent de quelqu’une des premieres, comme la divisibilité, la continuité, la contiguité, les bornes, l’impénétrabilité, qui naissent de la quantité, la régularité & l’irrégularité qui naissent de la figure, la force & la santé qui naissent de la qualité, &c. Voyez Divisibilite, &c.
Les affections de l’ame sont ce qu’on appelle plus ordinairement passion. Voyez Passion.
Les affections méchaniques. (Cet article se trouvera traduit au mot Mechaniques Affections qu’il faudra rapporter ici).
AFFECTION, terme qu’on employoit autrefois en Géométrie, pour désigner une propriété de quelque courbe. Cette courbe a telle affection, est la même chose que cette courbe a telle propriété. V. Courbe. (O)
* Affection, (Physiol.) se peut prendre en général pour l’impression que les êtres qui sont ou au-dedans de nous, ou hors de nous, exercent sur notre ame. Mais l’affection se prend plus communément pour ce sentiment vif de plaisir ou d’aversion que les objets, quels qu’ils soient, occasionnent en nous ; on dit d’un tableau qui représente des êtres qui dans la nature offensent les sens, qu’on en est affecté desagréablement. On dit d’une action héroïque, ou plûtôt de son récit, qu’on en est affecté délicieusement.
Telle est notre construction qu’à l’occasion de cet état de l’ame, dans lequel elle ressent de l’amour ou de la haine, ou du goût ou de l’aversion, il se fait dans le corps des mouvemens musculaires, d’où, selon toute apparence, dépend l’intensité, ou la rémission de ces sentimens. La joie n’est jamais sans une grande dilatation du cœur, le pouls s’éleve, le cœur palpite, jusqu’à se faire sentir ; la transpiration est si forte qu’elle peut être suivie de la défaillance & même de la mort. La colere suspend ou augmente tous les mouvemens, surtout la circulation du sang ; ce qui rend le corps chaud, rouge, tremblant, &c… or il est évident que ces symptomes seront plus ou moins violens, selon la disposition des parties & le méchanisme du corps. Le méchanisme est rarement tel que la liberté de l’ame en soit suspendue à l’occasion des impressions. Mais on ne peut douter que cela n’arrive quelquefois : c’est dans le méchanisme du corps qu’il faut chercher la cause de la différence de sensibilité dans différens hommes, à l’occasion du même objet. Nous ressemblons en cela à des instrumens de musique dont les cordes sont diversement tendues ; les objets extérieurs font la fonction d’archets sur ces cordes, & nous rendons tous des sons plus ou moins aigus. Une piquûre d’épingle fait jetter des cris à une femme mollement élevée ; un coup de bâton rompt la jambe à Epictete sans presque l’émouvoir. Notre constitution, notre éducation, nos principes, nos systèmes, nos préjugés, tout modifie nos affections, & les mouvemens du corps qui en sont les suites. Le commencement de l’affection peut être si vif, que la Loi qui le qualifie de premier mouvement, en traite les effets comme des actes non libres. Mais il est évident par ce qui précede, que le premier mouvement est plus ou moins durable, selon la différence des constitutions, & d’une infinité d’autres circonstances. Soyons donc bien réservés à juger les actions occasionnées par les passions violentes. Il vaut mieux être trop indulgent que trop sévere ; supposer de la foiblesse dans les hommes que de la méchanceté, & pouvoir rapporter sa circonspection au premier de ces sentimens plûtôt qu’au second ; on a pitié des foibles ; on déteste les méchans, & il me semble que l’état de la commisération est préférable à celui de la haine.
Affection, en Medecine, signifie la même chose que maladie. Dans ce sens, on appelle une maladie hystérique une affection hystérique, une maladie mélancholique ou hypochondriaque, une affection mélancholique ou hypochondriaque. Voyez Hystérique, Melancholique, &c. (N)
Wikisource - licence Creative Commons attribution partage dans les mêmes conditions 3.0Étymologie de « affection »
Étymologie de affection - Littré
Affectio, de afficere, de ad (voy. À) et facere (voy. FAIRE) ; provenç. affectio ; espagn. afeccion ; ital. affezione.
Phonétique du mot « affection »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
affection | afɛksjɔ̃ |
Évolution historique de l’usage du mot « affection »
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Citations contenant le mot « affection »
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S'il n'est pas trop indécent de dégager quelques conséquences positives de la crise sanitaire en cours, on peut citer sans hésitation la disparition quasi totale de la bise ou de la poignée de main. Reste que dans certaines familles ou certains cercles amicaux, on semble ressentir une certaine frustration devant l'impossibilité de trouver une façon satisfaisante de se saluer ou de marquer physiquement son affection. D'après une étude relayée par NewScientist, c'est le cas d'environ 60% des Américan·es interrogé·es. Slate.fr, S'étreindre en limitant les risques, c'est possible | Slate.fr
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Si vous souffrez d’une maladie rénale ou d’une autre affection qui augmente votre risque d’insuffisance rénale aiguë, comme le diabète ou l’hypertension artérielle, ne perdez pas de vue les objectifs du traitement et suivez les recommandations de votre médecin pour gérer votre affection. Presse santé, Insuffisance rénale aigüe : prévenir et détecter le blocage des reins
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Peut-être comme un symbole. Un dernier clin d’œil. Les obsèques de Josette Tanassichiou, enlevée à l’affection des siens et de ses amis, se dérouleront, ce mercredi 12 août, à partir de 15 heures, à la chapelle des Petites sœurs des Pauvres. petitbleu.fr, Le dernier hommage aux Petites sœurs des Pauvres - petitbleu.fr
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Dans la torpeur de l’après-midi, Gribouille, le chat, fait sa sieste à l’ombre des volets clos. Charly, le lapin nain, cohabite avec une magnifique colombe blanche immaculée qui occupe la cage supérieure. Il y a eu un chien, il est aujourd’hui mort. Il reste de lui un portrait, des photos, et une affection intacte pour le compagnon fidèle qu’il était. , Economie | Aurélie Guéry lance sa micro-entreprise de pet-sitting
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Le gouvernement réfléchirait enfin à lister l’endométriose comme affection de longue durée Numerama, Le gouvernement réfléchirait enfin à lister l'endométriose comme affection de longue durée
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L'affection est un sentiment fade, c'est l'amour des gens tièdes. De Paul Léautaud / Journal Littéraire
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La clémence des princes n’est souvent qu’une politique pour gagner l’affection des peuples. De François de La Rochefoucauld / Maximes
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Dans le mariage, on peut tenir sans amour, mais jamais sans affection. De Delia Ephron / Appelle-moi
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L'absence est le cuir à repasser de l'affection. De Louis Auguste Commerson
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Si vous êtes digne de son affection, un chat deviendra votre ami mais jamais votre esclave. De Théophile Gautier
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L'affection se déclenche tel l'éclair. Spontané, rapide, innatendue. De Anonyme
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En affection, il n'y a que des commencements. De Madame de Staël
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Le malheur a habituellement deux effets : souvent il éteint toute affection envers les malheureux, et non moins souvent, il éteint chez les malheureux toute affection envers les autres. De Antonio Gramsci / Lettres de prison
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La religion est une affection subjective ; et c’est pourquoi elle tient, objectivement aussi l’affection pour divine. De Ludwig Feuerbach / Manifestes philosophiques
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Rien ne pèse autant que l’affection d’autrui. De Fernando Pessoa / Le livre de l’intranquillité
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Toujours, quand l'affection commence, le drame commence. De Henry de Montherlant / Demain il fera jour
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On peut changer d’affection ! Le coeur ça se déplace. De Georges Feydeau
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L’amour est aussi une affection de la peau. De Paul Morand
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L'affection aveugle la raison. De Proverbe français
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Une affection est une conviction. De Victor Hugo / Les Misérables
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Mieux vaut une portion de légumes avec l'affection qu'un bœuf gras avec la haine. , Ancien Testament, Livre des Proverbes XV, 17
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L'affection ou la haine changent la justice de face. Blaise Pascal, Pensées, 82 Pensées
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Le mélange de l'admiration et de la pitié est une des plus sûres recettes de l'affection. André Maurois, Ariel ou la Vie de Shelley, Grasset
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Les affections profondes ressemblent aux honnêtes femmes ; elles ont peur d'être découvertes, et passent dans la vie les yeux baissés. Gustave Flaubert, L'Éducation sentimentale
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Où est le droit il n'y a plus d'affection. Paul Claudel, L'Otage, I, 2, Coûfontaine , Gallimard
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Traductions du mot « affection »
Langue | Traduction |
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Portugais | afecto |
Allemand | zuneigung |
Italien | affetto |
Espagnol | afecto |
Anglais | affection |
Synonymes de « affection »
- tendresse
- pathologie
- amitié
- estime
- penchant
- dysfonctionnement
- inclination
- béguin
- amour
- condition
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- morbidité
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- amicale
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