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Client

Variantes Singulier Pluriel
Masculin client clients

Définitions de « client »

Trésor de la Langue Française informatisé

CLIENT, ENTE, subst.

I.− [Les rapports mettent en jeu des intérêts princ. matériels, l'accent étant mis sur l'échange]
A.− Le plus souvent au masc., domaine des rapports de dépendance quasi-féodale.
1. HIST. ROMAINE. Citoyen pauvre se dévouant durablement corps et biens à un patron*, celui-ci lui assurant en retour, protection et subsistance :
1. ... le patron lui doit la subsistance, à lui [au client] et à ses enfants; mais en retour il doit son travail au patron. On ne peut pas dire qu'il soit précisément esclave; mais il a un maître auquel il appartient et à la volonté duquel il est soumis en toute chose. Toute sa vie il est client, et ses fils le sont après lui. Fustel de Coulanges, La Cité antique,1864, p. 333.
2. P. anal.
a) Dans d'autres types de civilisation.« Ce sont des clients du sultan, qui vivent près de lui, venant souvent de très loin dès qu'ils sont assurés de trouver à sa cour abri, nourriture et le reste » (Gide, Le Retour du Tchad,1928, p. 931).Il lui fallait maintenant [à Byron] une flotille pour transporter de Lerici à Gênes sa famille illégitime, ses clients et ses serviteurs (Maurois, Byron,t. 2, 1930, p. 230)
b) Dans le domaine spirituel :
2. ... elle [l'Université] se reconnaissait à jamais sa cliente obligée et fidèle, tant envers lui [Antoine Arnauld] qu'envers sa postérité. Sainte-Beuve, Port-Royal,t. 1, 1840, p. 72.
3. Emploi (postposé) adj., au fig. :
3. Il [Léopold] prie pour ses anciennes paroisses, pour les religieuses de Flavigny et de Mattaincourt, pour les frères et les sœurs de Saxon, (...). Ces ombres fidèles l'entourent, (...). À ces âmes clientes, il promet la meilleure part des prospérités qu'il attend, ... Barrès, La Colline inspirée,1913, p. 278.
B.− Au masc. et au fém., domaine des rapports commerciaux.
1. Personne qui achète régulièrement des services ou des choses dans un établissement commercial. Elle [Édith] (...) préférait de beaucoup la boutique maternelle, les bavardages avec fournisseurs et clients (Van der Meersch, Invasion 14,1935, p. 75).Le meilleur client de café du monde est encore le Français (Fargue, Le Piéton de Paris,1939, p. 41):
4. Là, vers midi, il [Crainquebille] aperçut Madame Laure, sa bonne et fidèle cliente, penchée sur la voiture du petit Martin. Elle tâtait un gros chou. A. France, Crainquebille,1904, p. 43.
5. Il [l'avare d'argent] est l'acheteur détesté des vendeurs, le « marchandeur » inlassable, craignant toujours d'être volé, client-type des prisunic qui ne laissent nulle place à la surprise ni à la folie. Mounier, Traité du caractère,1946, p. 325.
SYNT. Client d'une banque, d'un hôtel; la publicité attire le client; il ne faut pas tromper le client sur la marchandise; client de passage; client fidèle, facile, difficile.
[Désigne une collectivité] L'industrie est de beaucoup la principale cliente des caoutchoutiers (L'Industr. fr. du caoutchouc,1965, p. 12).Les principaux clients du marché restent européens (Grande-Bretagne, (...); République Fédérale Allemande, ...) (M. Wolkowitsch, L'Élev. dans le monde,1966, p. 208).
Emploi adj. L'essor des industries clientes de la houille (J. Brunhes, La Géogr. hum.,1942, p. 219).
2. P. ext., péj. [En parlant de pers. fréquentant des courtisanes] :
6. Il [Hartman] plaçait beaucoup à Paris dans les établissements de nuit qui subventionnent les courtisanes racoleuses du client capable d'étancher leur soif de grand cru. Hamp, Vin de Champagne,1909, p. 182.
II.− [Les rapports sont à la fois matériels et moraux, l'accent étant mis sur le fait qu'une pers. confie pendant un certain temps ses intérêts à un spécialiste qui les étudie]
A.− Dans le domaine de la pratique juridique.Client d'un avocat, d'un notaire :
7. Il y a plus de vingt ans qu'ils [les amis d'André] sont les clients de l'étude... R. Martin du Gard, Devenir,1909, p. 162.
8. Les avocats plaident pour leurs clients, non pour le juge. Alain, Propos,1929, p. 861.
B.− Domaine de la médecine de soin.Client d'un médecin :
9. ... mon cher docteur, (...) vous ne devez pas manquer de clientes moins agréables à ausculter... R. Martin du Gard, Les Thibault,La Consultation, 1928, p. 1097.
C.− Autres domaines :
10. L'estime et l'amitié forment ainsi entre guides et clients des cordées dont la cohésion et les exploits sont demeurés légendaires : ... Jeux et sp.,1968, p. 1650.
III.− P. ext., fam., souvent péj.
A.− Surtout au plur. Personne avec laquelle on est régulièrement en rapport en vue de la défense d'intérêts collectifs, partisan. Clients d'un parti politique :
11. Ils [les partis de gauche] ont oublié que leurs clients étaient des révolutionnaires, mais passionnés d'ordre et d'apparat. A. Arnoux, Contacts allemands,1950, p. 81.
B.− Pop., surtout au sing. Personne dont on parle, à qui on a affaire :
12. Il [Joseph Mesnil] est parti en ram'nant : « Non, mais tu l'as vu, qu'i' a dit à Montreuil qui était là, tu parles d'un gourdé! » Tu sais qu'i' n'est pas patient le p'tit client, et j'[Paradis] avais beau grogner : « ça va, ça va », i' ram'nait; ... Barbusse, Le Feu,1916, p. 260.
Rem. gén. De même que les puristes distinguent encore diverses dénominations du salaire selon les professions, au xixes. ils n'admettent le mot client que pour le client de l'avocat, de l'avoué, du notaire, etc. (cf. Ac. 1878). Littré précise ,,Ce néologisme n'est pas bon : un médecin a des malades; un marchand a des pratiques et non des clients. C'est à tort que de clientèle on a conclu à client.``
Prononc. et Orth. : [klijɑ ̃], fém. [-ɑ ̃:t]. Yod de passage n'est pas noté ds Fér. 1768, Fér. Crit. t. 1 1787, Land. 1834, Gattel 1841, Nod. 1844, Littré, Passy 1914 et Warn. 1968; il est noté ds DG, Dub., Pt Rob., Pt Lar. 1968 et Lar. Lang. fr. Admis ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. A. 1. [1345 clienton (Ch. Bémont, Coutumier de l'Ile d'Oléron, XLVI, 82 ds Bulletin philologique et historique du Comité des Travaux historiques et scientifiques, Paris, 1917, p. 308)]; 1437 « personne qui confie ses intérêts à un homme de loi » (Cout. d'Anjou et du Maine, II, 94, B-B ds R. Hist. litt. Fr., t. 6, p. 458), qualifié de ,,un peu vieux`` par Rich. 1680; 1845 client (d'un médecin) (Besch.); 2. 1826 « personne qui achète » (Journal du maréchal de Castellane, Paris, Plon, 1895, pp. 126-127); spéc. 1832 « personne qui achète au même endroit régulièrement » (Raymond). B. 1. 1538 « personne qui se met sous la protection d'un seigneur qu'il doit aider dans certaines circonstances » (Est.); 2. 1543 antiq. rom. « citoyen pauvre qui se met sous la protection d'un patricien » (G. de Selve, Huict Vies ds Plutarque, Coriolan, 83 rods Hug.), répertoriés comme termes hist. dep. Fur. 1690. Empr. au lat. class. cliens, -entis « protégé d'un patronus », « individu ou peuple vassal chez les peuples celtes » en lat. médiév. « vassal » et « ministerialis, serviteur de la domesticité du maître » xies. ds Nierm.; dans son acception commerciale, client a remplacé pratique* et chaland*. Fréq. abs. littér. : 2 113. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 1 430, b) 2 468; xxes. : a) 3 795, b) 4 160. Bbg. Goug. Mots. t. 2, 1966, pp. 52-55 − Gougenheim (G.). Lexicol. du xixesiècle. Fr. mod. 1946, t. 14, p. 251. − Grandpré (J. P. de). Qq. termes d'assurance sur la vie. Meta. 1971, t. 16, no3, p. 172. − Guéret (J.). La Constr. aéron. Banque Mots. 1972, no4, p. 179. − Mat. Louis-Philippe. 1951, p. 31.

Wiktionnaire

Adjectif - français

client \kli.jɑ̃\ masculin

  1. Relatif à la clientèle.
    • Quatorze solutions d’automatisation du service client.
    • La communauté des utilisateurs et fournisseurs de solutions informatiques de gestion de la relation client.
  2. (Informatique) Relatif à l’architecture client/serveur.
    • Une machine cliente accède à un service sur une machine distante.
    • Il nous faut un ou plusieurs postes clients.
    • Un logiciel client.

Nom commun - français

client \kli.jɑ̃\ masculin (pour une femme, on dit : cliente)

  1. (Histoire) Romain qui se plaçait sous le patronage d’un citoyen noble ou puissant.
    • Les clients venaient saluer leurs patrons, les accompagnaient, etc.
    • La classe dirigeante arabe n’était donc pas favorable à la conversion en masse des populations des territoires conquis et les nouveaux musulmans, qui étaient tenus de se rattacher en tant que clients à une kabila (tribu) arabe, étaient assujettis à l'impôt. — (Bernard Lugan & André Fournel, Histoire de l'Afrique: des origines à nos jours, Ellipses, 2009, page 181)
  2. Celui, celle qui use habituellement des soins d’un médecin, d’un chirurgien, d’un dentiste, avocat ou autre membre d’une profession libérale.
    • Dans le cas d'une profession médicale, on utilise plutôt le mot "patient" que le mot client.
    • (Par analogie)[…] François se dévoyait auprès des filles publiques, […]. On dit que ces professionnelles ont des charmes secrets, des recettes magiques pour exaspérer la volupté de leurs clients et leur procurer des extases sans pareilles […]. — (Jean Rogissart, Hurtebise aux griottes, L’Amitié par le livre, Blainville-sur-Mer, 1954)
    • Le salon d’attente de ce médecin est toujours rempli de clients.
  3. (Commerce) Celui, celle qui achète habituellement chez un marchand, qui emploie habituellement un artisan, etc.
    • En 1971, peu ou prou quand Jeanne Cordelier a été rue Saint-Denis, la pastiquette se concluait aux alentours de 130, 150 francs – entre 19,82 et 22,87 euros. Le proxénétisme hôtelier n'était pas encore un délit : le client devait aussi acquitter le prix de la chambre, 25 francs – 3,81 euros – , et le service, la serviette, 2 francs - 0 ,30 euros. — (Claude Dubois, Je me souviens de Paris: visages, façons, histoire et historiettes du Paris populaire, Editions Parigramme, 2007, page 418)
  4. (Ironique) (Familier) Personne avec laquelle l'on se trouve en relation.
    • Je peux comprendre que certains collègues pètent une durite. Dans la rue, certains de nos “clients” sont des spécialistes de la provocation. — (Brendan Kemmet, S.O.S. Police, Éditions du Cherche-Midi, 2011)
  5. (Réseaux informatiques) Logiciel transmettant, par réseau, des requêtes à un serveur auquel il est connecté. Le client est l’une des deux composantes d’une application client-serveur.
    • Nous avons un client pour accéder à notre base de données.
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Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

CLIENT, ENTE. n.
Celui, celle qui charge de la défense ou de la conservation de ses droits un avocat, un avoué, un notaire, etc. Bon client. C'est mon client. Je suis sa cliente. Cet avocat, cet avoué, ce notaire a beaucoup de clients. Recevoir ses clients. Il se dit aussi de Celui, celle qui use habituellement des soins d'un médecin, d'un chirurgien, d'un dentiste, etc. Le salon d'attente de ce médecin est toujours rempli de clients. Il se dit encore de Celui, de celle qui achète habituellement chez un marchand, qui emploie habituellement un artisan, etc. C'est un client de la maison. Il se disait, chez les Romains, de Ceux qui se plaçaient sous le patronage des citoyens nobles ou puissants. Les clients venaient saluer leurs patrons, les accompagnaient, etc.

Littré (1872-1877)

CLIENT (kli-an) s. m.
  • 1À Rome, plébéien qui était sous le patronage d'un patricien. Que veulent les consuls avec la suite immense D'affranchis, de clients vendus à leur puissance ? Chénier M. J. Gracques, I, 2.
  • 2En général, toute personne qui se met sous une protection. Mon char est salué d'un peuple de clients, Hugo, Odes, IV, 8. Non loin de ce palais où je rends mes oracles, Est un vaste séjour des mortels révéré Et de clients soumis à toute heure entouré, Boileau, Lutrin, VI.

    Fig. Moi, je me plus toujours, client de la nature, à voir son opulence et bienfaisante et pure, Chénier, 225.

  • 3Client, cliente, s. m. et f. Toute personne qui confie ses intérêts à un homme d'affaires. Cet avocat a beaucoup de clients. Le nom d'un pareil avocat fera bien de l'honneur à son client, Voltaire, Lett. d'Argental, 15 juin 1765. Nul ange n'a jamais eu, depuis le démon de Socrate, un si importun client : tantôt tragédies, tantôt farces, Voltaire, Lett. d'Argental, 14 août 1763.

    Il se dit aussi des parties à l'égard de leurs juges.

    Celui, celle qui use habituellement des soins d'un médecin ; celui, celle qui fréquente une boutique ou un établissement ouvert au public. Mais ce néologisme n'est pas bon : un médecin a des malades ; un marchand a des pratiques et non des clients. C'est à tort que de clientèle on a conclu à client.

HISTORIQUE

XVIe s. [Avocats] Assez vous aurez d'autre temps Pour d'avarice Faire exercice Sur les clients, J. le Houx, VII. Les procureurs et gens de langue en fournissant quelques procès seront tenus de fournir en mesme temps une procuration en forme de leurs maistres ou cliens, Nouv. coustum. génér. t. I, p. 942.

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Encyclopédie, 1re édition (1751)

CLIENT, s. m. (Hist. anc.) parmi les Romains c’étoit un citoyen qui se mettoit sous la protection de quelqu’autre citoyen de marque, lequel par cette relation s’appelloit son patron, patronus. Voyez Patron.

Le patron assistoit le client dans ses besoins, & le client donnoit son suffrage au patron, quand il briguoit quelque magistrature ou pour lui-même, ou pour ses amis. Les cliens devoient respecter leur patron, & le patron de son côté devoit à ses cliens sa protection & son secours. Ce droit de patronage fut institué par Romulus, dans le dessein de réunir les riches & les pauvres : de façon que les uns fussent exempts de mépris, & les autres de l’envie. Mais la condition des cliens devint peu-à-peu une espece d’esclavage adouci.

Cette coûtume s’étendit ensuite plus loin ; non seulement les familles, mais les villes & les provinces entieres, même hors de l’Italie, la suivirent : la Sicile, par exemple, se mit sous la protection des Marcellus.

Lazius & Budée rapportent l’origine des fiefs aux patrons & cliens de l’ancienne Rome : mais il y a une grande différence entre la relation du vassal à son seigneur, & celle du client à son patron. Voy. Vassal, Seigneur, &c. Car les cliens, outre le respect qu’ils devoient rendre, & les suffrages qu’ils devoient donner aux patrons, étoient obligés de les aider dans toutes leurs affaires, & même de payer leur rançon s’ils étoient faits prisonniers à la guerre, en cas qu’ils n’eussent pas assez de bien pour la payer eux-mêmes. Voyez Fief & Mouvance. Diction : de Trév. & Chambers. (G)

Cliens, (Jurispr.) on donnoit autrefois ce nom aux vassaux, par rapport à leurs seigneurs dominans sous la protection desquels ils étoient.

En termes de pratique, client se dit de celui qui a chargé un avocat ou un procureur de la défense d’une affaire, ou qui va solliciter son juge.

Il est défendu aux avocats & procureurs de faire avec leurs cliens aucune paction, pour avoir une portion du bénéfice qui pourra revenir du gain d’un procès. Voyez Pacte de quota litis.

Ils ne peuvent aussi recevoir de leurs cliens aucune donation entrevifs, pendant le cours des causes & procès dont ils sont chargés pour eux. Voyez Ricard, part. I. ch. iij. sect. 9. n. 504. & le Maître sur Paris, titre des donations, ch. j. sect. 1. (A)

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Étymologie de « client »

Lat. cliens. On le rattache au latin cluere, entendre; goth. kliuth, ouïe ; kymri, clyw, et bas-bret. kléô, ouïe ; sanscr. sçru, entendre.

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Du latin cliens (« client » (sens 1), « vassal », « protégé »), du verbe cliere (« obéir »).
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Phonétique du mot « client »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
client klijɑ̃

Fréquence d'apparition du mot « client » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « client »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « client »

  • Lorsqu’un commerçant affirme que le client est roi, méfions-nous de la guillotine.
    Robert Sabatier
  • Ce serait beau, l’honnêteté d'un avocat qui demanderait la condamnation de son client.
    Jules Renard
  • On ne peut pas faire les hot-dogs et servir le client.
    Proverbe québécois
  • Le pape est l'avocat de dieu. Dommage que son client soit mort.
    Francis Picabia
  • Pour comprendre le client il faut avant tout se réunir entre spécialistes du marketing et discuter de ce qu’on ferait si on était suffisamment bête pour être client.
    Scott Adams — Le Principe de Dilbert
  • Ce n'est pas l'employeur qui paie les salaires, mais le client.
    Henry Ford
  • La publicité reste l'art de vendre quelque chose au client de la maison de publicité.
    Jean Anouilh
  • Le client a toujours raison aussi longtemps qu'il paie et donne des pourboires.
    Gérard Bessette — L'incubation
  • Le client n’est pas la source de l’innovation.
    Joseph Schumpeter
  • La vente commence quand le client dit : Non.
    Elmer G. Leterman
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Images d'illustration du mot « client »

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Traductions du mot « client »

Langue Traduction
Anglais customer
Espagnol cliente
Italien cliente
Allemand kunde
Chinois 顾客
Arabe العميل
Portugais cliente
Russe клиент
Japonais お客様
Basque bezero
Corse cliente
Source : Google Translate API

Synonymes de « client »

Source : synonymes de client sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « client »

Combien de points fait le mot client au Scrabble ?

Nombre de points du mot client au scrabble : 8 points

Client

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