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Irriter

Définitions de « irriter »

Trésor de la Langue Française informatisé

IRRITER, verbe trans.

A. − BIOL., PHYSIOL. Irriter qqc.
1. [Le compl. d'obj. désigne un tissu ou un organe vivant]
a) Provoquer une inflammation légère, accompagnée ou non d'une sensation douloureuse. La piqûre des orties irrite la peau. La fumée résineuse et refoulée brûlait ses yeux, irritait sa gorge déjà malade à cause du tabac (Mauriac, Th. Desqueyroux,1927, p. 258).Ils avaient navigué en silence dans une sorte de nuit blanche, essuyant parfois leurs lèvres et leurs yeux irrités par le sable qui s'infiltrait dans la voiture (Camus, Exil et Royaume,1957, p. 1558):
1. Neuf ou dix heures par jour, elles besognent à coudre des sacs de toile rugueuse (...). Travail ingrat, qui leur ensanglante les doigts et leur irrite les bronches, pour un salaire de famine... Martin du G., Vieille Fr.,1933, p. 1077.
b) Exciter l'activité de. La glycérine irrite les nerfs et détermine des convulsions dans les muscles, mais elle n'irrite pas directement les muscles (Cl. Bernard, Notes,1860, p. 161).La tête se déplace si l'on irrite la muqueuse nasale ou si l'on tire un cil (J. Rostand, La Vie et ses probl.,1939, p. 62).
2. Au fig., littér.
a) Rendre plus vif, stimuler. Irriter le désir, la curiosité de qqn. Quand reviendrez-vous irriter avec l'exquise finesse de votre goût la verve de nos réunions? (M. de Guérin, Corresp.,1836, p. 252).Des thèses ou des théories, qui, sans doute, peuvent nous occuper encore, nous irriter un peu l'intellect (Valéry, Variété III,1936, p. 41):
2. Le collège. − Il donnait (...) sur une rue obscure, (...) le bout de cette rue était bruyant, il y avait des cabarets, « des bouchons » (...). Il sortait de ces bouchons un bruit de querelles, un goût de vin qui (...) m'irritait les sens et me faisait plus joyeux et plus fort. Vallès, J. Vingtras, Enf., 1879, p. 27.
[Le compl. d'obj. désigne une réaction d'ordre physiol.] Les sauces irritent l'appétit (Ac.1798-1878).Il attendit avec impatience que le lambeau de jument donné à son soldat fût rôti. L'odeur de cette chair charbonnée irritait sa faim (Balzac, Adieu,1830, p. 26):
3. ... les deux officiers trouvèrent leurs convives déjà réunis, buvant à petits coups de l'eau-de-vie de grains, et mangeant du caviar et du poisson sec, dans le but d'irriter leur appétit. Gobineau, Nouv. asiat.,1876, p. 14.
b) Aggraver, exacerber, exaspérer. Mon caractère impétueux me faisait prendre parti pour l'un et pour l'autre et j'irritais encore la dispute (Michelet, Mémor.,1822, p. 184).Il se retira, afin d'irriter mieux l'impatience du peuple (Flaub., Salammbô, t. 1, 1863, p. 119).
B. − Cour. Irriter qqn
1. Mettre dans un état d'énervement pouvant aller jusqu'à la colère. Synon. agacer, énerver, fâcher.Cette insulte irrita le Chouan au point de le faire pâlir, et un sourd grognement sortit de sa poitrine (Balzac, Chouans,1829, p. 49).Je savais que mon silence l'irritait mais elle m'agace quand elle repousse d'un ton coupant les explications qu'elle souhaite (Beauvoir, Mandarins,1954, p. 60):
4. ... un grand jeune homme aux cheveux noirs, longs et plaqués en mèches derrière les oreilles, un peu myope, un peu bizarre, silencieux et on ne peut plus intimidant. Ma mère l'irritait beaucoup par les constants efforts qu'elle faisait pour le dégeler... Gide, Si le grain,1924, p. 372.
Absol. La tristesse n'est pas l'amertume; celle-là vient de Dieu et celle-ci de l'homme. L'une resserre, irrite et crispe; l'autre dilate à sa manière, et calme et apaise (Lamennais, Lettres Cottu,1835, p. 279).
Emploi pronom. Une sorte de grognement apprit au public que « la bête », agacée, commençait à s'irriter un brin (Cladel, Ompdrailles,1879, p. 13).La mère ne pouvait comprendre ces vacarmes subits, bouleversée de voir le père s'irriter à son chevalet, se fâchant elle-même, courant vite rasseoir le petit dans son coin (Zola, Œuvre,1886, p. 229).
S'irriter contre qqn ou qqc.Elle s'irritait (...) contre la discipline, qui était quelque chose d'antipathique à sa constitution (Flaub., MmeBovary, t. 1, 1857, p. 44):
5. ... la plus redoutable colère vient de l'impatience de ne pouvoir maîtriser la colère. Un homme qui s'irrite contre la serrure, ne pensez pas qu'il s'irrite contre la serrure; mais pensez qu'il s'irrite contre lui-même irrité. Alain, Propos,1924, p. 586.
S'irriter de qqc.Je m'irrite de tout et je suis en colère contre le genre humain (Stendhal, Lamiel,1842, p. 133).Oui, nous nous irritons de beaucoup de médiocrités, d'insuffisances, d'absurdités, qui compliquent notre tâche à tous (De Gaulle, Mém. guerre,1959, p. 596).
2. P. ext. Irriter contre.Exciter contre. Dans l'intention de dégoûter les Français, l'Anglais n'a cessé d'irriter contre nous ces peuples barbares (Baudry des Loz., Voy. Louisiane,1802, p. 9).Ce ferment qui n'était destiné qu'à irriter le Français contre l'Allemand pourrait bien irriter des Français contre des Français (Barrès, Cahiers, t. 1, 1898, p. 255).
Prononc. et Orth. : [iʀite], (il) irrite [iʀit]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 1352-56 trans. « mettre en colère » (Bersuire, Tit. Liv., BN 20312 ter, fol. 11 vods Gdf. Compl. : Si furent irritez); 1640 pronom. (Corneille, Horace, III, I); 2. a) début xvies. irriter a « exciter, pousser (quelqu'un) à » (Fossetier, Cron. Marg., ms. Bruxelles 10512, VIII, IV, 9 ds Gdf. Compl.); 1580 « rendre plus vif (un sentiment) » ici, pronom. (Montaigne, Essais, II, XV, éd. A. Thibaudet et M. Rat, p. 596 : la volupté... cerche à s'irriter par la douleur); b) 1559 « donner plus de force à, déchaîner un élément (feu, mer) » (Amyot, Hommes illustres, Marcus Brutus XXXIX éd. G. Walter, t. 2, p. 1074); 1686 flots irrités ici, empl. par image (Bossuet, Oraison funèbre de M. Le Tellier, éd. B. Velat et Y. Champailler, p. 174); 3. a) 1536 « produire une légère inflammation (dans un organe) » (G. Chrestian, Philalethes sur les erreurs anat., fol. 2 rod'apr. FEW t. 4, p. 816b); 1595 (Montaigne, Essais, I, XXI, éd. citée, p. 95); b) 1755 nerfs irrités avec le scalpel (Tissot [trad. de A. de Haller, Diss. sur les parties sensibles et irritables des animaux] ds Trév. 1771). Empr. au lat.irritare « exciter, stimuler, provoquer », terme gén. et d'emploi physiol. (Celse). Fréq. abs. littér. : 3 352. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 4 399, b) 5 715; xxes. : a) 4 968, b) 4 449. Bbg. Gir. t. 2 Nouv. Rem. 1834, pp. 57-58.

Wiktionnaire

Verbe - français

irriter \i.ʁi.te\ transitif ou pronominal 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : s’irriter)

  1. Mettre en colère, provoquer l'agacement, la contrariété, l'impatience de quelqu'un.
    • Rien ne m’irrite plus que de pareils discours.
    • C’est un homme qui s’irrite facilement.
    • Pourquoi vous irriter ainsi ?
    • Un rien suffit pour l’irriter.
    • On vous a irrité contre moi.
    • Irriter les esprits par des mesures imprudentes.
  2. (Transitif) Agacer, importuner.
    • Vos provocations commencent à m’irriter.
  3. (Figuré) Augmenter, exciter, rendre plus fort, plus violent.
    • Vous irritez sa colère, son courroux, au lieu de chercher à l’apaiser.
    • Les obstacles irritaient son courage.
    • Cela ne fit qu’irriter sa passion, ses désirs, sa douleur.
  4. (Médecine) Causer de la douleur, de la chaleur et de la tension dans un organe, dans un tissu quelconque.
    • La piqûre des orties irrite la peau.
    • Avoir les muqueuses irritées.
  5. (Moins courant) Causer une simple excitation des membranes, nerfs, etc.
    • Cette musique discordante m’irrite les nerfs.
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Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

IRRITER. v. tr.
Mettre en colère. Rien ne m'irrite plus que de pareils discours. C'est un homme qui s'irrite facilement. Pourquoi vous irriter ainsi? Un rien suffit pour l'irriter. On vous a irrité contre moi. Irriter les esprits par des mesures imprudentes. Il signifie aussi, figurément, Augmenter, exciter, rendre plus fort, plus violent. Vous irritez sa colère, son courroux, au lieu de chercher à l'apaiser. Les obstacles irritaient son courage. Cela ne fit qu'irriter sa passion, ses désirs, sa douleur. Il signifie, en termes de Médecine, Qui détermine de la douleur, de la chaleur et de la tension dans un organe, dans un tissu quelconque. La piqûre des orties irrite la peau. Avoir les muqueuses irritées. Il se dit, quelquefois, en parlant d'une Simple excitation des membranes, des nerfs, etc. Cette musique discordante m'irrite les nerfs.

Littré (1872-1877)

IRRITER (i-rri-té) v. a.
  • 1Mettre en colère, en parlant des personnes qui irritent. Irriter un taureau, un lion. Ne dites pas à ce zélé magistrat qu'il travaille plus que son grand âge ne le peut souffrir ; vous irritez le plus patient de tous les hommes, Bossuet, le Tellier. A-t-il craint d'irriter les puissants, quand il a pu secourir les faibles ? Fléchier, Duc de Mont. On n'avait qu'à l'irriter : alors, fougueux et hors de lui-même, il éclatait par des menaces, Fénelon, Tél. XVI. Eurymaque n'avait qu'à le contredire ; en l'irritant, il découvrait tout, Fénelon, ib.

    Fig. Tout à coup une noire tempête enveloppa le ciel, et irrita toutes les ondes de la mer, Fénelon, Tél. VI.

    Absolument. Je veux me faire craindre, et ne fais qu'irriter, Corneille, Cinna, IV, 3.

    Mettre en colère, en parlant des choses qui irritent. Ta fortune est bien haut, tu peux ce que tu veux : Mais tu ferais pitié même à ceux qu'elle irrite…, Corneille, Cinna, V, 1. Ici tous les objets vous blessent, vous irritent, Racine, Athal. II, 3. Les moindres retardements irritaient son naturel ardent, Fénelon, Tél. XVI. La honte irrite enfin le plus faible courage, Voltaire, Henr. III.

  • 2Rendre plus vif, plus ardent, en parlant des personnes. Quel démon vous irrite et vous porte à médire ? Boileau, Sat. IX. Mais de faire fléchir un courage inflexible, … D'enchaîner un captif de ses fers étonné, …C'est là ce que je veux, c'est là ce qui m'irrite, Racine, Phèdre, II, 1.
  • 3Rendre plus vif, plus violent, en parlant des choses. Irriter le mal. Irriter la fièvre. Enfin épargnez-moi ces tristes entretiens Qui ne font qu'irriter vos tourments et les miens, Corneille, Poly. II, 2. Sévère craint ma vue, elle irrite sa flamme, Corneille, ib. II, 5. Que n'a pas fait ce Sauveur miséricordieux [Jésus] pour prévenir les malheurs de ses citoyens ? fidèle au prince comme à son pays, il n'a pas craint d'irriter l'envie des pharisiens en défendant les droits de César, Bossuet, le Tellier. Pour ne pas irriter la haine publique déclarée contre le ministère, Bossuet, ib. Pourquoi veux-tu, cruelle, irriter mes ennuis ? Racine, Androm. II, 1. Et c'est cette vertu si nouvelle à la cour Dont la persévérance irrite mon amour, Racine, Brit. II, 2. Je vois que mon silence irrite vos dédains, Racine, ib. III, 3. La possession des richesses ne fait qu'en irriter la soif, Fénelon, t. XVIII, p. 54. Les sciences irritent sa curiosité au lieu de la satisfaire, Massillon, Car. Avenir. La mollesse De leur goût dédaigneux irritait la paresse, Voltaire, Henr. X. Comment irriter, par degrés, la curiosité du spectateur ? Voltaire, Lett. d'Argental, 16 mai 1767. Et tous ses ennemis irritent ma colère, Voltaire, Tancr. II, 1. Me voir rappeler incessamment tant de doux souvenirs, c'était irriter le sentiment de mes pertes, Rousseau, Conf. VI. Il faudrait s'attacher principalement à irriter l'appétit, Diderot, Interprét. de la nat. n° 39.
  • 4Causer une excitation sur les membranes et sui les nerfs. Irriter la membrane pituitaire par des sternutatoires. Cela m'irrite les nerfs.
  • 5 Terme de médecine. Exciter dans une partie une activité excessive, accompagnée d'ordinaire d'une sensation plus ou moins douloureuse. La fumée irrite l'œil.
  • 6S'irriter, v. réfl. Devenir irrité, se mettre en colère. Quels foudres [ô Dieux] lancez-vous quand vous vous irritez, Si même vos faveurs ont tant de cruautés ? Corneille, Hor. III, 1. Mais ce n'est pas assez, amis, de s'irriter, Il faut voir quels moyens on a d'exécuter, Corneille, Pomp. IV, 1. Faible, et qui s'irritait contre un trépas si lent, Racine, Mithr. V, 4. Qu'un jeune homme ne s'irrite jamais contre un vieillard, qu'il ne le menace jamais, Diderot, Opin. des anc. phil. (Pythagorisme).

    S'irriter que, s'irriter de ce que. Sa bonté [de Dieu] s'irrite que vous lui fassiez demander des grâces pour autrui, tandis que vous vous réservez le privilége de pouvoir l'outrager encore vous-même, Massillon, Carême, Véritable culte.

    Par extension, devenir impatient. Plus l'obstacle qu'on trouve à ses grandeurs paraît faible, plus l'ambition s'irrite de ne pas le vaincre, Bossuet, Polit. X, III, 5.

    Fig. La mer s'irrite, commence à s'irriter, la mer s'agite, commence à s'agiter.

  • 7Devenir plus vif, en parlant des choses. Les haines s'irritaient en secret. Ta fureur s'irritant soi-même dans son cours, Racine, Brit. V, 6. Ce feu, longtemps caché, qui vient de nous surprendre, Dans Vérone allumé, s'irritait sous la cendre, Ducis, Othello, I, 1.
  • 8 Terme de médecine. Contracter une irritation. Sa gorge s'irrite à force de parler.

    On a dit en un sens analogue : le sang s'irrite. Je pense à votre belle jeunesse, à votre santé… comme vous en avez abusé, comme votre sang s'est irrité, Sévigné, 11 mai 1680.

HISTORIQUE

XVIe s. Si furent irritez et provoquez contre les Romains, Bercheure, f° 11, verso.

XVe s. Je suis beaucoup irrité Contre toi, vin desloyal, Basselin, XX.

XVIe s. Ilz attisoient le feu le plus qu'ilz pouvoient au dedans de la ville, en l'irritant par toute maniere qu'il leur estoit possible, Amyot, Brut. 39. Un tousseur continuel irrite mon poulmon, Montaigne, I, 91. La volupté mesme cherche à s'irriter par la douleur, Montaigne, III, 2. Irriter les frelons, Cotgrave Le zele est une ardante affection de l'ame qui tend à l'honneur de Dieu et au salut du prochain, dont s'ensuit aussi qu'elle s'irrite quand on le deshonore, Lanoue, 68. L'eau qu'on arreste en est plus irritée, Et bruit plus fort plus elle est arrestée, Desportes, Diverses amours, XV, dialogue.

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Étymologie de « irriter »

Lat. irritare, que les étymologistes latins regardent comme un fréquentatif de irrire, inrire, gronder, grogner, en parlant d'un chien. Du supin irritum vient le causatif irrītare, faire gronder comme un chien, irriter. In-rire est formé de in, en, et rire, qui est le radical sanscrit rāi, rāgati, il aboie (dans le véda).

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(XIVe siècle)[1] Du latin irritare (« irriter, aigrir, mettre en colère »)[2].
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Phonétique du mot « irriter »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
irriter irite

Fréquence d'apparition du mot « irriter » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « irriter »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « irriter »

  • Corrige-nous Yahvé, mais dans une juste mesure, sans t'irriter, pour ne pas trop nous réduire.
    Jérémie — Ancien Testament
  • S'irriter d'un reproche, c'est reconnaître qu'on l'a mérité.
    Tacite — Annales
  • Il ne faut pas s'irriter contre le cours des choses.
    Euripide
  • Si ton ennemi te semble colérique, cherche à l'irriter encore davantage.
    Sun Tzu — L'art de la guerre
  • Il y a comme cela des hommes de caractère si fâcheux et si faciles à irriter, qu'il vaudrait mieux les ignorer complètement que de les avoir pour amis.
    Érasme — Eloge de la folie
  • Dans ces conditions, L’Equipe indique que le technicien portugais a de très fortes chances de se trouver toujours en poste pour le stage de pré-saison qui débutera lundi à Dinard. Cette situation bancale commence sérieusement à irriter les joueurs.
    Bordeaux : le stage avec Sousa, le groupe agacé - Football MAXIFOOT
  • Les théories servent à irriter les philistins, à séduire les esthètes et à faire rire les autres.
    Amélie Nothomb — Le Sabotage amoureux
  • Avant de mettre le gel, assurez-vous d’avoir la peau propre. Pour les peaux sèches, ce traitement peut irriter la peau et provoquer des picotements.
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    billie — Voici comment éviter les boutons et l’irritation du bikini lors du rasage | billie

Traductions du mot « irriter »

Langue Traduction
Anglais irritate
Espagnol irritar
Italien irritare
Allemand reizen
Chinois 刺激
Arabe يزعج
Portugais irritar
Russe раздражают
Japonais 苛立ち
Basque narritagarriak
Corse irrità
Source : Google Translate API

Synonymes de « irriter »

Source : synonymes de irriter sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « irriter »

Combien de points fait le mot irriter au Scrabble ?

Nombre de points du mot irriter au scrabble : 7 points

Irriter

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