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Farce

Variantes Singulier Pluriel
Féminin farce farces

Définitions de « farce »

Trésor de la Langue Française informatisé

FARCE1, subst. fém.

ART CULIN. Mélange de viandes diverses et/ou d'autres ingrédients (tels que herbes, champignons, marrons hachés) épicé et généralement lié par une sauce, des œufs, de la panade, dont on garnit une viande, une volaille, un pâté, un poisson, un légume avant de le faire cuire. Farce au gras, au maigre; lit de farce. Ce fond de pâté enduit de farce (Gautier, Fracasse,1863, p. 157).Des farces de chair à saucisse (Bourges, Crépusc. dieux,1884, p. 113):
Vous prenez la chair et vous en faites une farce en la hachant avec de la moelle de bœuf cuite à la vapeur, un peu de lard râpé, poivre, sel, fines herbes, et la quantité de bonnes truffes suffisante pour remplir la capacité intérieure du faisan. Brillat-Sav., Physiol. goût,1825, p. 347.
Prononc. et Orth. : [faʀs]. Ds Ac. 1694-1932. Étymol. et Hist. Début xives. (Bataille de Karesme et de Charnage, éd. G. Lozinski, Bibl. Éc. des Htes Études, fasc. 262, p. 19, var. ms. E, vers 448-453). Du b. lat. farsus, part. passé de farcire (farcir*; cf. TLL s.v., 279, 81), pour farsitus, d'où est issu l'a. fr. fars « farci » (dep. ca 1200, Aliscans, éd. E. Wienbeck, W. Hartnacke et P. Rasch, 4621) et dont farce représente le fém. substantivé (FEW t. 13, p. 415a).

FARCE2, subst. fém.

A.− LITT. (THÉÂTRE)
1. HIST. LITTÉR. [Moy. Âge] Petit intermède comique joué sur le parvis des églises au cours de la représentation d'un mystère. Le peuple pieux du Moyen Âge, sur le parvis même de l'église, jouait les farces et les soties (Proust, Prisonn.,1922, p. 127):
1. ... les jours de spectacle, on avançait dans les églises l'heure des vêpres pour permettre aux fidèles, et sans doute aussi au clergé, de se rendre à temps au théâtre. (...). Les confrères, pour accroître encore la vogue dont ils jouissaient, ne tardèrent pas à joindre aux tragédies d'église quelques farces plus capables d'égayer l'assemblée. Sainte-Beuve, Tabl. poésie fr.,1828, p. 176.
2. Pièce de théâtre d'inspiration bouffonne mettant en scène des personnages souvent grotesques et présentant généralement un comique de mots, de gestes ou de situation(s). Jouer une farce; farce italienne. Un théâtre où l'on jouait des parodies, des farces classiques et des comédies de Gozzi (Sand, Hist. vie,t. 4, 1855, p. 198):
2. Le Bourgeois Gentilhomme est une des seules grosses farces de Molière qui se hausse jusqu'au type, où la victime, à distance, échappe au rire cruel de la cour et nous montre un brave homme, soucieux de quitter l'ombre dédaignée par le soleil de Versailles. Cocteau, Foyer artistes,1947, p. 181.
En partic., MUS. Opéra bouffe en un acte qui connut une certaine vogue en Italie (cf. Rougnon 1935).
P. méton. [Avec l'art. déf.] Genre théâtral dont relève une pièce de ce type. Je veux ne rien omettre de la résurrection annuelle de Paris par le drame, la comédie, la farce et la féerie (Mallarmé, Dern. mode,1874, p. 752).
3. Loc. fig.
a) Tirez le rideau, la farce est jouée. C'est une affaire réglée, il est inutile de s'y attarder. Nous allons fermer l'appartement, la farce est jouée, et vous remettrez la clef à M. le maire (Balzac, Cous. Bette,1846, p. 268).
b) Être le dindon de la farce (fam.). Cf. dindon I B 1 a.Tu n'entends pas être le dindon de la farce, peut-être? Reste donc chez toi, grande bête (Zola, Ventre Paris,1873, p. 759).
c) En voir la farce (pop. et rare). Être satisfait, comblé par un vœu, par un désir qui se réalise. Vous ne savez pas ce que c'est que le grand jeu? dit solennellement MmeFontaine. − Non, je ne suis pas n'assez riche pour n'en avoir jamais vu la farce (Balzac, Cous. Pons,1847, p. 126).
Rem. Encore ds Rob. Suppl. 1970 avec un ex. de M. Pagnol.
B.− P. ext., lang. cour.
1. Plaisanterie bouffonne, voire grossière, que l'on dit ou fait pour divertir les autres mais, plus souvent, pour s'amuser à leurs dépens.
a) [L'accent est spéc. mis sur les paroles] Dire, conter, débiter des farces. Synon. blagues.Maître Nicole (...) était un excellent homme, qui débitait d'assez bonnes farces au dessert (Flaub., 1erÉduc. sent.,1845, p. 176).
b) [L'accent est spéc. mis sur un acte] Bonne (souvent par antiphrase), mauvaise farce; faire, jouer une (des) farce(s); une farce d'écolier, d'étudiant. Synon. bon (mauvais) tour, niche (fam.), canular (fam.).Gustave évoquait des farces d'écolier, des tours joués au père Gros (Estaunié, Ascension M. Baslèvre,1919, p. 117).Le cancre végétatif (...) machinateur de chahuts et de farces (Arnoux, Solde,1958, p. 64):
3. On ne fait plus chez nous la vraie farce, la bonne farce, la farce joyeuse, saine et simple de nos pères. Et, pourtant, quoi de plus amusant et de plus drôle que la farce? Quoi de plus amusant que de mystifier des âmes crédules, que de bafouer des niais, de duper les plus malins, de faire tomber les plus retors en des pièges inoffensifs et comiques? Maupass., Contes et nouv.,t. 2, Farce, 1883, p. 1278.
En partic.
Goût, disposition naturelle à plaisanter, à jouer des tours. Le goût du merveilleux n'a d'égal que le goût de la farce (Barrès, Colline insp.,1913, p. 143).[Avec ell. de l'art.] Un certain esprit de farce et de taquinerie (Claudel, Pain dur,1918, I, 1, p. 419).
Souvent au plur. Petit objet truqué que l'on offre à quelqu'un pour le duper et s'amuser de sa méprise. Boutiques de farces et attrapes. Synon. attrape (cf. ce mot ex. 3).Boîte contenant 15 farces amusantes (Catal. jouets [Louvre], 1936) :
4. Lorsqu'on avait eu un enfant ensemble, inutile, n'est-ce pas? d'y mettre des façons, pour se fourrer sous la couverture. C'était comme les farces, le poil à gratter, le lit déboulonné, les joujoux qui aboient quand on les presse, tout ça, avec eux, n'aurait guère été que de la moutarde après dîner. Zola, Terre,1887, p. 194.
c) Loc. (vieilli). Faire ses farces. S'amuser, mener une vie libre et dissolue. Ah! Ah! petit... tu fais déjà tes farces, libertin! (Adam, Enf. Aust.,1902, p. 332):
5. − Oui, la maman s'est saignée, dit Vautrin. Vous pourrez maintenant faire vos farces, aller dans le monde, y pêcher des dots, et danser avec des comtesses qui ont des fleurs de pêcher sur la tête. Balzac, Goriot,1835, p. 113.
P. euphém. Faire des infidélités à son conjoint. Cela veut dire que votre femme fait ses farces tout comme les autres (Kock, Cocu,1831, p. 214).
2. Emploi adj., fam. vieilli
a) Emploi apposé. Qui a le goût de la farce; qui exprime ou contient de la drôlerie, du comique. Synon. drôle, cocasse, farceur.Ouvrage profondément farce (Flaub., Corresp.,1853, p. 259).Mère Plutarque! (...) autre nom farce (Hugo, Misér.,t. 2, 1862, p. 115).Auteur farce et rigolo de syntaxe et de dictionnaire (L. Daudet, Temps Judas,1920, p. 150).
Rem. Peut parfois rester inv. après un nom au plur., lorsque le subst. empl. adj. est encore senti comme expr. ell. Confusément disait l'Elster, l'Estramadoure, (...) Devant quatre ou cinq gars attentifs et narquois S'exclamant et riant très fort aux endroits farce (Verlaine, Œuvres compl., t. 1, Jadis, 1884, p. 339).
b) Emploi attribut. Letondu apparaissait prodigieusement farce et cocasse (Courteline, Ronds-de-cuir,1893, 3etabl., II, p. 106):
6. C'était un grand gaillard, à cou énorme. Il riait, il jouissait des morceaux de peau que les deux femmes montraient. La petite blonde était grasse comme une caille. Ça serait farce, si sa chemise se fendait. Zola, Assommoir,1877, p. 399.
C'est rien farce. Je t'avoue que si je ne t'avais pas connu je serais peut-être encore en train de traîner sur les routes, « marcher la route » comme ils disent, nos gens, non, c'est rien farce, tu me vois, caporal, marchant derrière une roulotte, avec les femmes, les mômes, les chevaux maquignonnés (Cendrars, Homme foudr.,1945, p. 367).
Rem. 1. On rencontre ds la docum. un emploi adj. substantivé. − Hein! les sacrés pochards! ils sont d'un farce! (Id., ibid., p. 506). 2. Rheims 1969 atteste avec un ex. de Renée Massip l'adj. farcesque. Qui tient de la farce : Le rire prohibé que suscitait l'esprit farcesque (La Main paternelle, Paris, Gallimard, 1961, p. 84). Flaubert (Corresp., 1878, p. 112) reprend à son compte la célèbre phrase de Montaigne : Nos vacations sont farcesques.
Prononc. et Orth. Cf. farce1. Étymol. et Hist. 1. [xiiies. lat. médiév. farsa « paraphrase, commentaire ou représentation en langue vulgaire illustrant les écritures au cours des cérémonies religieuses » (Reg. visitat. Ordon. archiep. Rotomag. ab. ann. 1248 ad 1269 ex Cod. reg. 1245 fol. 216 vods Du Cange, s.v.)]; ca 1370 « conte plaisant, petite histoire illustrant un propos » (J. Lefèvre, Lamentations Matheolus, éd. Van Hamel, II, 574); 1448 « petite pièce de théâtre comique » (Archives du Nord, B 19445, fol. 80 ds IGLF); 2. 1330 « mauvais tour, plaisanterie » (St Alexis, ms. B. N. fr. 244, éd. Ch. E. Stebbins, vers 634); 3. 1801 adj. (A. Prévost, Cadet Roussel d'apr. Dagneaud ds Quem. DDL t. 3). Emploi partic. de farce1pour désigner les intermèdes introduits dans la liturgie comme de la farce dans un mets, dans une viande, et qui, émancipés de la liturgie, seront à l'origine du théâtre médiéval; puis le terme aurait désigné un intermède comique dans un spectacle, notamment au cours des mystères (Dauzat 1973; Bl.-W.5; FEW t. 3, p. 415b; cf. aussi farcir étymol. 2). Pour le sens 2, cf. aussi l'a. fr. farser « plaisanter, se moquer (de) » attesté dès le xiiies. (Chevalier aux deux épées, 11190 ds T.-L.).
STAT. − Farce1 et 2. Fréq. abs. littér. : 995. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 777, b) 2 302; xxes. : a) 2 339, b) 927.
BBG. − Cannings (B.). Towards a definition of farce as a literary « genre ». Mod. Lang. R. 1961, t. 56, pp. 558-560. − Quem. DDL t. 3, 5.

Wiktionnaire

Nom commun 2 - français

farce \faʁs\ féminin

  1. Pièce de théâtre bouffonne.
    • PHILISTION , de Magnésie, poëte mimique , ou composeur de farces , vivoit à Rome peu après Horace. — (Louis Moréri, Le grand dictionnaire historique, ou le mélange curieux de l'Histoire sacrée & profane, édition revue et refondue par ‎Étienne François Drouet &‎ Claude Pierre Goujet, Paris : Les Libraires associés, 1759, vol.8, page 291)
    • Le drame bouffon, la farce, appartiennent plus en propre au Moyen Âge, mais encore ici il y a un certain rapport de filiation entre les acteurs des tréteaux du moyen âge et les derniers histrions de l’Antiquité. — (Jean-Jacques Ampère, Vue générale de la littérature française au moyen âge, Revue des Deux Mondes, vol. 7, Adolphe Wahlen et Cie, Bruxelles, 1839)
    • Ces conflits-ci, les sujets préférés de la farce, se posent en général d’un point de vue entièrement masculin, où la femme n’entre que comme élément gêneur. — (Konrad Schoell, La farce du quinzième siècle, 1992)
    • « L’Histoire se répète toujours deux fois, disait Marx. La première fois en tragédie, la deuxième fois en farce. » — (Richard Martineau, L’Occident a fermé les yeux face à Poutine, Le Journal de Québec, 28 février 2022)
  2. Comique bas et grossier qui est propre aux farces.
    • Entre la poire et le fromage Bianchon arriva, par d’habiles préparations, à parler de la messe, en la qualifiant de momerie et de farce. — (Honoré de Balzac, La Messe de l’athée,)
    • Cet auteur comique tombe souvent dans la farce.
  3. Blague, action qui a quelque chose de plaisant, de bouffon ou de ridicule.
    • Le Pacha ne put retenir son sourire devant ces farces enfantines. Il reprit son expression la plus sévère pour admonester les deux femmes. — (Out-el-Kouloub, Zaheira, dans « Trois contes de l’Amour et de la Mort », 1940)
  4. (Par extension) Tour plaisant joué à quelqu’un.
    • Il aime à faire des farces aux gens.

Adjectif - français

farce \faʁs\ masculin et féminin identiques

  1. Qui est drôle, comique, qui inspire le rire, la moquerie.
    • C’étaient de grosses dames aux toilettes farces, de ces bourgeoises de banlieue qui remplacent la distinction dont elles manquent par une dignité intempestive. — (Guy de Maupassant , En famille, dans La maison Tellier, 1891, réédition Le Livre de Poche, pages 125-126)
    • Le père Noël se moquait bien de son foie et des clins d’œil complices qu’ils échangeaient tous, d’un air farce. — (Hervé Bazin, Chapeau bas, Seuil, 1963, Le Livre de Poche, page 142)

Nom commun 1 - français

farce \faʁs\ féminin

  1. (Cuisine) Hachis d’ingrédients épicés que l’on introduit dans le ventre vidé de ses entrailles de l’animal destiné à être cuit entier, ou dans un organe creux d’un animal, dans les pâtés, etc.
    • Bourrer une dinde de farce et de marrons.
    • En effet, beaucoup d'entre nous l'avons remarqué, le meilleur dans l'escargot à la bourguignonne, c'est sa merveilleuse farce aillée. — (site francevegetalienne.fr)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

FARCE. n. f.
T. de Cuisine. Hachis de viandes assaisonnées d'épices et de fines herbes, qu'on met dans le corps de quelque animal, dans quelque autre viande, dans des œufs, ou dans de la pâte. Bourrer une dinde de farce et de marrons. Farce de poisson.

Littré (1872-1877)

FARCE (far-s') s. f.
  • 1 Terme de cuisine. Viandes hachées et épicées, qu'on introduit dans les volailles ou dans le gibier mis à la broche, dans les pâtés, etc.
  • 2Hachis fait d'herbes cuites. Farce d'épinards.

    Par extension. Farce d'oseille, bien que l'oseille ne se hache pas.

HISTORIQUE

XIIIe s. Si que la crouste en est faussée, Et la farce s'en est volée, Barbazan, Fabliaux, t. IV, p. 95.

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Étymologie de « farce »

Lat. farsus, farci, part. passé de farcire, farcir.

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(Nom 1) (XIIIe siècle)[1] Du latin farsa, participe passé féminin substantivé de farcire qui donne farcir, farci ; ce participe passé faisait fars au masculin en ancien français.
(Nom 2) Sens particulier de farce, « parce que c'était, ou, comme la farce de la cuisine, quelque chose de mélangé et d'agréable, c'est-à-dire une espèce de revue de sujets divers, ou une pièce farcie[2]. »
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Phonétique du mot « farce »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
farce fars

Fréquence d'apparition du mot « farce » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « farce »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « farce »

  • L’anniversaire de naissance n’est, en somme, que la commémoration de la farce sinistre que nous ont faite nos parents en nous mettant au monde.
    Alexandra David-Néel
  • La vie est la farce à mener par tous.
    Arthur Rimbaud — Une saison en enfer
  • Une farce doit finir au moment où elle réussit le mieux.
    Charles Cahier — Proverbes et aphorismes
  • L'homme... un être libre ? Libre de quoi ? D'obtempérer aux caprices d'un morne destin ? Quelle farce !
    Jean Pellerin — Un soir d'hiver
  • Le talent est comme un robinet. Quand il est ouvert, on peut écrire. L'inspiration est une farce que les poètes ont inventée pour se donner de l'importance.
    Jean Anouilh
  • [Auguste] fit venir ses amis et leur demanda s'il leur paraissait avoir bien joué jusqu'au bout la farce de la vie.
    Suétone en latin Caius Suetonius Tranquillus — Vies des douze Césars, Auguste, XCIX
  • La tragédie est plus vulgaire que la farce.
    Louis Scutenaire
  • je n’avais pas d’à priori sur la formule e car une course reste une course, même en caisse à savon. Mais honnêtement, c’était déjà une farce avec leur histoire de fan boost et les premières saisonS avec leur changement de voiture en plein grand prix.
    Leblogauto.com — La saison de Formule E tourne à la farce ! - Leblogauto.com
  • La vie est une farce, apprends à rire...
    Marie-Claire Blais — Un joualonais, sa joualonie
  • Car la coûteuse farce du Remdesivir continue : le prix du traitement de 5 jours a été fixé à 2.340$ “prix public” (mais il pourrait dépasser 3.000$ pour les particuliers disposant d’une assurance santé aux Etats-Unis).
    La Bourse au Quotidien — Wall Street toujours dopé par la farce à répétition des remèdes miracles
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Traductions du mot « farce »

Langue Traduction
Anglais prank call
Espagnol llamada de broma
Italien chiamata scherzo
Allemand scherzanruf
Chinois 恶作剧电话
Arabe اتصال مزعج
Portugais trote
Russe розыгрыш
Japonais いたずら電話
Basque broma deia
Corse chjama
Source : Google Translate API

Synonymes de « farce »

Source : synonymes de farce sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « farce »

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Nombre de points du mot farce au scrabble : 10 points

Farce

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