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Défier
Sommaire
- Définitions de « défier »
- Étymologie de « défier »
- Phonétique de « défier »
- Fréquence d'apparition du mot « défier » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « défier »
- Citations contenant le mot « défier »
- Images d'illustration du mot « défier »
- Traductions du mot « défier »
- Synonymes de « défier »
- Antonymes de « défier »
- Combien de points fait le mot défier au Scrabble ?
Définitions de « défier »
Trésor de la Langue Française informatisé
DÉFIER1, verbe trans.
Wiktionnaire
Verbe - français
défier \de.fje\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : se défier)
-
Provoquer à une lutte, au duel.
- Le comte de Ravenstein, sans indiquer les motifs de sa déclaration, défiait le prince Adolphe partout où il pourrait le rencontrer, soit seul à seul, soit vingt contre vingt, soit armée contre armée […]. — (Alexandre Dumas, Othon l’archer, 1839)
-
Vadius — Je te défie en vers, prose, grec, et latin.
Trissotin — Hé bien, nous nous verrons seul à seul chez Barbin.
— (Molière, Les Femmes savantes, acte III, scène 3)
-
(Figuré) Braver quelque chose de dangereux, s’y exposer hardiment, courageusement, lutter contre.
- […] on voyait qu’elle ne défiait pas l’attaque mais qu’une fois commencée, elle était sérieusement résolue à la repousser. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Quiconque mange bien peut défier le ciel. Ce sont les ascètes et les meurt-de-faim aux estomacs débilités qui ont inventé les dieux. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 191)
- Je semble défier la mort et pourtant je ne peux protéger les corps meurtris. Les soldats vont encore être obligés de faire des sacrifices pour un résultat plus qu'incertain, probablement un échec. — (Jean-Louis Riguet, Aristide, la butte meurtrie (Vauquois 1914-1918), Éditions Dédicaces, 2014)
- (Par extension) Un monument qui semble défier les siècles.
- Sans compter qu'on chercherait à m'assassiner. Heureusement, je porte une cotte de mailles qui eût défié jusqu'au couteau de Jacques Clément et de Ravaillac. — (Michel Zévaco, Le Capitan, 1906, Arthème Fayard, collection « Le Livre populaire » no 31, 1907)
-
Mettre en demeure quelqu’un de faire quelque chose en laissant entendre qu’on le croit incapable de réussir.
- Les sabbats ont alors la forme grandiose et terrible de la Messe noire, de l’office à l’envers, où Jésus est défié, prié de foudroyer, s’il peut. — (Jules Michelet, La Sorcière, Hetzel - E. Dentu, 1862, page 143)
- Vous me menacez de me faire un procès, je vous en défie.
- Je le défie bien de se tirer de là.
- Je vous défie de deviner.
-
(Pronominal) Se mettre en garde contre quelqu’un ou quelque chose.
- Il est aisé de me tromper ; je ne sais pas me défier d’une action que je ne voudrais pas faire moi-même. — (Alfred de Musset, Les Caprices de Marianne, 1833, acte I, scène 4)
- Il se levait de bonne heure, descendait dans la cour, jetait un coup d’œil aux étables, aux écuries. Non qu’il se défiât – il ne se défiait jamais ! – du service de ses domestiques, […], mais ce lui était plaisir que de ne point manquer la sortie de l’étable fumante, […]. — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines, chap.1, 1910)
- Cela semblait évident à Tchen, mais il se défiait de telles évidences, aujourd’hui. — (André Malraux, La condition humaine, 1946, réédition Folio Plus Classiques, 2019, page 63)
-
(Pronominal) Prévoir ou soupçonner quelque chose de fâcheux.
- Ceux qui se défiaient de l’empire, pressentant qu’il serait la guerre, avaient-ils tort ? — (Émile de Girardin, en préface de Le dossier de la Guerre de 1870, 23 septembre 1877)
-
(Pronominal) Avoir peu de confiance.
- Et c'est là un autre paradoxe de Max Jacob : il n'aimait pas Montmartre. Il se défiait de ses « petits maquereautins pâlots que les romances poétisent stupidement », de ses « petits faussaires » et de ses « petits brigands ». Il préférait l'humanité du Paris ouvrier et bourgeois. — (Dan Franck, Le temps des Bohèmes, éd. Gtasset, 2015)
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Provoquer à une lutte. Défier quelqu'un à la paume, aux échecs, à la course, à qui boira le plus, à qui arrivera le premier au but. Il signifie au figuré Braver quelque chose de dangereux, s'y exposer hardiment, courageusement, lutter contre. Défier un danger. Défier les tempêtes. Défier la mort. Défier le sort, la mauvaise fortune. Par extension, Un monument qui semble défier les siècles. Il signifie encore Mettre quelqu'un en demeure de faire quelque chose en laissant entendre qu'on le croit incapable de réussir. Vous me menacez de me faire un procès, je vous en défie. Je le défie bien de se tirer de là. Je vous défie de deviner. Prov., Il ne faut jamais défier un fou, se dit ironiquement lorsque quelqu'un propose de faire quelque chose d'extravagant et qu'il demande si on l'en défie.
SE DÉFIER signifie Être, se mettre en garde contre quelqu'un ou quelque chose. C'est un homme dont il faut se défier. Je me défie de ses caresses. Je me défie de tous ces bruits. Elle se défiait de son propre cur. Se défier de soi-même, de ses forces, se défier de sa capacité, Avoir peu de confiance en soi-même, en ses propres forces, en sa capacité. Il signifie aussi Prévoir, soupçonner quelque chose de fâcheux. Défie-toi que le mauvais temps ne te surprenne en route. L'orage menace, défiez-vous.
Littré (1872-1877)
-
1Provoquer à un combat, à une lutte.
Défiant leurs nombreuses cohortes
, Racine, Mithr. V, 4.Toi, superbe Orbassan, c'est toi que je défie
, Voltaire, Tancr. III, 6.Par extension. Défier quelqu'un à la course, à la paume, aux échecs. Défier quelqu'un à boire.
Défier aux chansons les oiseaux dans les bois
, Boileau, Sat. VIII.Fig. Son teint peut défier la rose.
-
2Déclarer à quelqu'un qu'on ne le croit pas en état de faire une chose. Vous me menacez de me battre, je vous en défie. Je vous défie de deviner cette énigme.
J'ose le défier de me pouvoir surprendre
, Molière, Éc. des maris, II, 2.Je défie la calomnie, et je la mets à pis faire
, D'Alembert, Lett. à Voltaire, 26 oct. 1762.Familièrement. Je le défie d'être plus votre serviteur que moi.
Je n'aime point, ma fille, que vous disiez que vos lettres sont insipides et sottes ; voilà deux mots qui n'ont jamais été faits pour vous ; vous n'avez qu'à penser et à dire ; je vous défie de ne pas bien faire
, Sévigné, 442.Poétiquement.
Je défiais ses yeux de me troubler jamais
, Racine, Androm. I, 1.PROVERBE
Il ne faut jamais défier un fou, se dit quand un homme se propose de faire quelque folie ou quelque extravagance, et qu'il demande si on l'en défie. -
3Affronter, braver.
Je m'en vais défier les vents au milieu de l'Océan
, Voiture, Lett. 42.Sa bonne conduite défie la fortune
, Sévigné, 299.Ce qui devait tenir contre les vents et défier la durée même des siècles
, Massillon, Car. Inconst.Instruite à défier le péril et la mort
, Voltaire, Scythes, I, 1.Le brave la défie [la mort] et marche au-devant d'elle
, Voltaire, Orphel. I, 5.Vous croyez à l'abri de votre caractère Pouvoir impunément défier ma colère
, Voltaire, Catil. II, 1. -
4 Terme de marine.
On défie une embarcation d'un choc, en en modérant la vitesse, ou en l'éloignant au moyen d'une gaffe ; on défie le navire de la lame, en manœuvrant de façon à empêcher le choc violent que la lame peut lui donner ; on le défie du vent en gouvernant de manière à empêcher qu'il ne vienne trop au vent
, Jal †Défie de l'arrière ! commandement adressé au timonier, lorsqu'un bâtiment navigue au plus près.
Défie du vent ! commandement de mettre la barre au vent.
Défie tout ! ordre de faire agir vivement le gouvernail sous le plus grand angle possible, pour éviter que le vent ne masque les voiles.
Dans ces termes de marine, défier a le sens de se défier (ne pas se fier), en changeant le pronom réfléchi en un nom ou pronom direct. Défier un navire de la lame, c'est se défier de la lame (le navire au lieu de se), ne pas le fier à la lame.
- 5Se défier, v. réfl. Se provoquer. Ces deux ennemis se défiaient l'un l'autre.
-
6Avoir de la défiance, être en garde contre. Il est plus honteux de se défier de ses amis que d'en être trompé.
Si c'est te faire tort que de m'en défier…
, Corneille, Cinna, IV, 6.De tous ses mouvements mon esprit se défie
, Corneille, Héracl. V, 2.Et je me défierais d'un trop prompt changement
, Corneille, Théod. III, 5.Quand on tue celui qui ne s'en défie en aucune manière
, Pascal, Prov. 7.Je me défie des allures des gens
, Sévigné, 302.Roxane, qui depuis, loin de s'en défier, à ses desseins secrets voulut m'associer
, Racine, Baj. I, 4.Et quand de toi peut-être un père se défie…
, Racine, Mithr. IV, 1.Ils commençaient à se défier de tous les Grecs
, Fénelon, Tél. X.Tous les animaux se défient de l'homme et n'ont pas tort ; mais sont-ils sûrs une fois qu'il ne leur veut pas nuire, leur confiance devient si grande qu'il faudrait être plus que barbare pour en abuser
, Rousseau, Conf. VI.Absolument.
Non, mais il fut surpris et Créon se défie
, Corneille, Médée, I, 5.Défiez-vous, soyez sur vos gardes, se dit souvent entre ouvriers qui soulèvent un lourd fardeau ou font toute autre manœuvre qui peut avoir du danger si on se néglige.
-
7Avoir peu de confiance dans.
De mes faibles efforts ma vertu se défie
, Racine, Mithr. II, 6.Vous, favori ! vous, grand ! défiez-vous des rois ; Leur faveur est glissante, on s'y trompe, et le pire C'est qu'il en coûte cher…
, La Fontaine, Fabl. X, 10.Celui qui sollicite son juge ne lui fait pas honneur ; car il se défie de ses lumières et même de sa probité
, La Bruyère, XIV.Se défier de soi-même, de ses forces, etc. avoir peu de confiance en soi, en ses forces. Le silence est le parti le plus sûr pour celui qui se défie de soi-même.
Si, avant que d'agir et de décider sur des choses essentielles, vous vous étiez défié de vous-mêmes,
Bourdaloue, Sur la fausse consc. 1er Avent.En ce sens il se construit aussi avec que.
Quelque ardeur qu'un chrétien fasse paraître pour la cause de son Dieu, je me défierai toujours, ou plutôt je désespérerai toujours, que de la délicatesse des repas, des habits, de l'équipage et du train, il accepte de passer à la rigueur des prisons, des roues et des chevalets
, Bourdaloue, Car. t. I, p. 232.Se douter, soupçonner, prévoir.
Une chose vous manque, à vous et à vos semblables, vous ne vous en défiez pas : et je vais vous jeter dans l'étonnement ; une chose vous manque, c'est l'esprit
, La Bruyère, V.Ils commencent à se défier du contraire
, Pascal, Prov. 1.En ce sens il se construit aussi avec que.
Et, ma foi, je m'étais toujours bien défié Que ce jeune galant cajolait Isabelle
, Scarron, Jodelet ou le Maître valet, IV, 7.Qu'il est difficile, quand on peut tout, de se défier qu'on peut aussi trop entreprendre !
Massillon, Louis le Grand.Il ne s'était même jamais avisé de se défier que la voie où il marchait… pût le conduire à la perdition
, Massillon, Car. Mauv. riche.Qui se serait jamais défié que Manassès, qui avait introduit l'abomination dans le lieu saint… dût devenir un jour le restaurateur du temple et des sacrifices ?
Massillon, Carême, Mélange.Il [l'impie] se défie seulement qu'il n'y a rien après cette vie, et là-dessus il le croit
, Massillon, Carême, Vér. d'un avenir.Vous n'en avez pas usé de même, et c'est sur quoi je commençai à me défier que vous agissiez avec passion
, Pascal, Prov. 17.
REMARQUE
Défier, dans le sens de provoquer, faire un un défi, veut à : défier quelqu'un à boire. Dans le sens de mettre à pis faire, de déclarer impossible, il veut de : je le défie d'y aller.
HISTORIQUE
XIe s. [Je] Desfi les en, sire, vostre veiant
, Ch. de Rol. XXIV. Par nule guise ne m'aviez desfiet
, ib. CXLVII. Je desfiai Rolant le poigneor
, ib. CCLXXIV.
XIIe s. Et dist à Pinabel : Je vous desfi, vassal
, Ronc. p. 193. Et Gilemers l'Escot dit outrage et folie, Quant de ceste besogne devant tous vous desfie
, Sax. X. Ils vous ont desfié de [à] guerre moult prochaine
, ib. XX. Richarz li respundi par ire e par buffei : " Quant ne volez venir ensemble od mei al rei, Or vus desfi-ge dunc e des miens et de mei "
, Th. le mart. 51. Coment, fait saint Thomas, avez me desfié ? Nenal, fait Jocelins, mais ço vus ad mandé Li reis …
, ib. 130.
XIIIe s. Et distrent que bon seroit que il envoiassent à lui bons messages pour demander leur covenances, et si il le vouloit faire, il le preissent, et se ce non, si le defiassent de par els
, Villehardouin, XCIII. Et manda li quens Ferrans au roi Phelippe qu'il li rendist les chastiaus et les cités que vous avez oï, ou se çou non, il le deffioit et bien seüst qu'il enterroit en sa terre en brief tans
, Chron. de Rains, 144. L'en demain par matin quant l'aube fu crevée, Bauduin de Rohais [les Turcs] ont parole mandée, Par un lor latinier qui lui a bien contée, Que il deviegne turc, s'ait sa loi defiée, Trois cos [queues] se face faire à l'us de lor contrée
, Ch. d'Ant. VI, 9. Se l'amiral eust esté refusé, il eust presenté au roy ces trois coutiaus pour le deffier
, Joinville, 259.
XVIe s. Tu me sembles aulcunement doubter, voyre deffier de ma paternité
, Rabelais, Pant. III, 27. Cesar se print à desfier le Dieu Neptunus
, Montaigne, I, 22. Il desfia le roy de le combattre en chemise avec l'espée
, Montaigne, I, 59. Il estoit garni des biens et des thresors qui desfient la fortune
, Montaigne, IV, 316. Il cassa la compagnie de trois cents satellites de Romulus, disant qu'il ne se vouloit point desfier de ceulx qui se fioient en luy
, Amyot, Numa, 12. Il deffia au combat d'homme à homme le plus vaillant des Gaulois
, Amyot, ib. 22. Il se partit pour aller au devant de luy, ne se deffiant pas que Caesar ne fust pour luy pardonner, ains…
, Amyot, Cicéron, 49.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
DÉFIER. - REM. Ajoutez :2. Corneille a supprimé le pronom personnel dans cette phrase : Annibal, qu'elle vient de lui sacrifier, L'engage en sa querelle et m'en fait défier, Nicom. I, 1. J. J. Rousseau aussi : Malgré ma prévention pour le talent des autres, qui m'a toujours fait défier des miens, Confess. VII. Cette tournure est correcte, mais peu usitée ; on dit plutôt : m'a fait me défier.
3. Le même a dit : Tous les plaisirs ont beau être pour les méchants, en voilà pourtant un que je leur défie de goûter, Lettre à Milord Maréchal, 31 mars 1764. C'est une faute ; il faut : je les défie.
Étymologie de « défier »
Dé… préfixe, et fier, v. a. ; provenç. desfiar, desfizar ; ital. disfidare, diffidare. La série des sens est : démentir la foi de quelqu'un (dé-fier, dé-fiance), puis, de là, provoquer, et, avec le pronom réfléchi, n'avoir pas foi, confiance.
- De dé- et fier avec l’influence du latin diffidere (« ne pas se fier à »).
Phonétique du mot « défier »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
défier | defie |
Fréquence d'apparition du mot « défier » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « défier »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « défier »
-
Il est plus honteux de se défier de ses amis que d'en être trompé.
François de La Rochefoucauld — Maximes -
Il est noble de défier un pouvoir arbitraire, utilisé de façon cruelle et inique, et cela, pour défendre les plus faibles.
Elizabeth Gaskell — Nord et Sud -
On fait toujours semblant de confondre les juges avec la justice, comme les prêtres avec Dieu. C'est ainsi qu'on habitue les hommes à se défier de la justice et de Dieu.
Alphonse Karr -
En philosophie, il faut se défier de ce qu'on croit entendre trop aisément, aussi bien des choses qu'on n'entend pas.
Voltaire — Lettres philosophiques -
Il ne faut pas tant se méfier des autres que se défier de soi-même.
Proverbe iranien -
L'erreur est aussi grande de se fier à tous que de se défier de tous.
Sénèque -
Il faut se défier des poètes, ils ont la réputation de deviner juste !
Jean Pellerin — Un soir d'hiver -
Il faut se défier de ceux qui ont de trop bonnes intentions : il leur arrive de changer étrangement d'idée.
André Duval — Le mercenaire -
Permettre à son regard de s'attarder sur le visage de quelqu'un est déjà une façon ouverte de le défier.
Roberto Saviano — Gomorra, 2007 -
Il en est des femmes comme des fous : il ne faut pas les défier.
Georges Courteline — La Philosophie de Georges Courteline
Traductions du mot « défier »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | challenge |
Espagnol | desafío |
Italien | sfida |
Allemand | herausforderung |
Chinois | 挑战 |
Arabe | التحدي |
Portugais | desafio |
Russe | вызов |
Japonais | チャレンジ |
Basque | erronka |
Corse | sfida |
Synonymes de « défier »
- braver
- narguer
- affronter
- se frotter
- s'attaquer
- risquer
- menacer
- tutoyer
- challenger
- rivaliser
- désarmer
Antonymes de « défier »
Combien de points fait le mot défier au Scrabble ?
Nombre de points du mot défier au scrabble : 9 points