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Seigneur
Sommaire
- Définitions de « seigneur »
- Étymologie de « seigneur »
- Phonétique de « seigneur »
- Fréquence d'apparition du mot « seigneur » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « seigneur »
- Citations contenant le mot « seigneur »
- Images d'illustration du mot « seigneur »
- Traductions du mot « seigneur »
- Synonymes de « seigneur »
- Antonymes de « seigneur »
- Combien de points fait le mot seigneur au Scrabble ?
Variantes | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Masculin | seigneur | seigneurs |
Définitions de « seigneur »
Trésor de la Langue Française informatisé
SEIGNEUR, subst. masc.
Wiktionnaire
Interjection - français
seigneur \sɛ.ɲœʁ\
- (Québec) Terme servant d’euphémisme à la majorité des sacres et jurons.
Nom commun - français
seigneur \sɛ.ɲœʁ\ ou \se.ɲœʁ\ masculin
-
(Histoire) Maître, possesseur d’un pays, d’un État, d’une terre.
- N’est-il pas nécessaire de faire en sorte que les seigneurs s’occupent avec plus de vigilance dans leurs terres de l’administration de la justice civile, criminelle, et des règlements de police ? — (Comte de Sanois, Questions proposées à toutes les assemblées, par un membre de la noblesse de celle de Meaux, 13 mars 1789)
- Écoutez bien, je dis pour changer : O bon peuple de Paris ! vous êtes un tas de niais, et vos seigneurs, vos nobles de robe et d’épée, ne sont que d’hypocrites fraudeurs et de fieffés escogriffes ! — (Clémence Robert, Les Voleurs du Pont-Neuf, Paris : chez C. Lévy, 1883, chap. 27)
- D’une unité et d’une simplicité plus larges que celles de l’Empire romain, le monde passa, d’un seul coup, à une fragmentation aussi complète que celle du moyen–âge, à la période des seigneurs féodaux, brigands et pillards. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 416 de l’édition de 1921)
- Il était difficile aux juifs d’échapper à leur sort, car, étant serfs de leurs seigneurs, ils n’avaient pas le droit de se déplacer comme ils l’auraient voulu. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
-
(Noblesse) Titre que l’on donne à quelques personnes distinguées par leur dignité ou par leur rang, pour leur faire plus d’honneur.
- Haut et puissant seigneur.
- Un grand seigneur.
- Il fait le grand seigneur.
- Se donner des airs de grand seigneur.
- Le Grand seigneur : se disait du Sultan.
- Vivre en grand seigneur : vivre sans rien faire et magnifiquement.
- Vêtu, logé comme un grand seigneur : très bien vêtu, très bien logé.
- (Familier) C’est un petit seigneur, se dit d’un homme qui affecte de l’importance et qui n’en a pas.
- Par plaisanterie, une femme dit de son mari :
- Mon seigneur et maître.
-
(Religion) Dieu.
- […] ; et les grand-mères au tricot ou au rouet d’ajouter de ferventes oraisons à leurs prières habituelles : « Seigneur, seigneur, mon Dieu ne nous enlève pas nos tenderies, par J.-C. notre Sauveur. » — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, Librairie Arthème Fayard, Paris, 1958)
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Maître, possesseur d'un pays, d'un État, d'une terre. Il est principalement d'usage en termes de Féodalité. Seigneur souverain. Seigneur d'une ville, d'un bourg, d'un village. Il était seigneur de plusieurs grandes terres. Rendre foi et hommage à son seigneur. Il est aussi le Titre qu'on donnait à quelques personnes distinguées par leur dignité ou par leur rang, pour leur faire plus d'honneur. Haut et puissant seigneur. Un grand seigneur. Il fait le grand seigneur. Se donner des airs de grand seigneur. Voyez aussi MONSEIGNEUR. Par excellence, Le Seigneur, Dieu. Notre-Seigneur, JÉSUS-CHRIST. Le Grand Seigneur se disait du Sultan. Vivre en grand seigneur, Vivre sans rien faire et magnifiquement. Vêtu, logé comme un grand seigneur, Très bien vêtu, très bien logé. Fam., C'est un petit seigneur se dit d'un Homme qui affecte de l'importance et qui n'en a pas. Par plaisanterie, une femme dit de son mari : Mon seigneur et maître. Prov., À tous seigneurs tous honneurs, à tout seigneur tout honneur, Il faut rendre à chacun ce qui lui est dû d'après son rang, sa dignité.
Littré (1872-1877)
-
1Celui qui a l'autorité féodale sur certaines personnes ou sur certaines propriétés. Rendre foi et hommage à son seigneur.
Il est seigneur de cinq ou six paroisses
, Sévigné, 161.Sans commettre l'autorité du roi son seigneur, la reine d'Angleterre employait son crédit à procurer un peu de repos aux catholiques
, Bossuet, Reine d'Anglet.Le peuple a peu gagné à l'abaissement des seigneurs ; ceux-ci ont encore plus perdu ; mais il est plus avantageux à l'État qu'ils aient tout perdu, que s'ils avaient tout conservé
, Duclos, Consid. mœurs, 6.Fig.
Les grands apôtres eux-mêmes, pleins de cet esprit qui est le seigneur des sciences et la source des lumières
, Massillon, Carême, Vérit. culte. -
2 Par extension. Maître, possesseur d'un pays, d'un État.
Ne connaissant que vous de maître et de seigneur
, Mairet, Solim. II, 6.Oser arrogamment se vanter à mes yeux D'être juste seigneur du bien de nos aïeux
, Corneille, Héracl. I, 2.Seigneur et maître, voy. MAÎTRE 1.
-
3Titre qu'on donne à quelques personnes distinguées par leur dignité ou par leur rang pour leur faire plus d'honneur. Haut et puissant seigneur. Un seigneur de la cour.
Je m'imagine que celui qui s'est le premier appelé haut et puissant seigneur, se regardait comme élevé sur la tête de ses vassaux, et que c'est ce qu'il a voulu dire par cette épithète de haut, si peu convenable à la bassesse des hommes
, Nicole, Ess. de mor. 1er traité, ch. 1.Scipion, qui était le plus grand seigneur de Rome
, Rollin, Hist. anc. Œuvr. t. IX, p. 347, dans POUGENS.C'était un de ces vieux seigneurs qui, par leurs manières galantes et polies, font oublier leur âge et savent encore plaire aux femmes
, Lesage, Gil Bl. I, 11.Je conviens qu'il y a de fort plats seigneurs qui ne méritent guère qu'on ait de la considération pour eux ; mais ils peuvent nuire, il faut les craindre
, Lesage, ib. VII, 5.N'ai-je pas l'air un peu trop seigneur ?
Marivaux, l'Épreuve, sc. 1.Tous ces demi-seigneurs sans talents et sans âmes, Qui bornent leurs exploits à tromper quelques femmes
, Dorat, Feinte par amour, II, 2.Marceline : Sémillant, généreux, généreux… - Bartholo : Comme un voleur. - Marceline : Comme un seigneur
, Beaumarchais, Mar. de Fig. I, 4.C'est un vieux seigneur qui a toute la galanterie et toute la politesse de l'ancienne cour
, Genlis, Théâtre d'éd. Méchant par air, I, 7.Vêtu, logé comme un seigneur, très bien vêtu, très bien logé.
Vivre en seigneur, en grand seigneur, vivre sans rien faire et magnifiquement.
En plaisantant et par ironie, homme qui est loin d'être un seigneur.
Vous voyez un seigneur [Strabon, suivant de Démocrite] fort satisfait de soi, Un convive échappé de la table du roi ; Il tient bon ordinaire et je l'en félicite
, Regnard, Démocrite, IV, 7.Ce discours me surprend de la part d'un seigneur [un financier] de qui je ne croyais pas avoir l'honneur d'être connu
, Alain, l'épreuve réciproque, sc. 15.Fig. C'est un petit seigneur, se dit d'un homme qui affecte une importance ridicule.
-
4Un grand seigneur, un seigneur d'un très haut rang.
En use en grand seigneur, S'épuise en dons
, La Fontaine, Belph.Qu'est-ce à votre avis, que d'être grand seigneur ? c'est être maître de plusieurs objets de la concupiscence des hommes, et ainsi pouvoir satisfaire aux besoins et aux désirs de plusieurs
, Pascal, Condit. des grands, III.C'est ainsi qu'il tâche de lui donner son esprit de règle et d'économie, et de lui ôter un air de grand seigneur, de qu'importe ? d'ignorance et d'indifférence, qui conduit fort droit à toutes sortes d'injustices, et enfin à l'hôpital
, Sévigné, 10 déc. 1688.Les grands seigneurs sont pleins d'égards pour les princes, c'est leur affaire : ils ont des inférieurs
, La Bruyère, VIII.Un grand seigneur est un homme qui voit le roi, qui parle aux ministres, qui a des ancêtres, des dettes et des pensions
, Montesquieu, Lett. pers. 88.On vit d'abord paraître Deux courtisans par l'intérêt unis… Vint un courrier, qui dit qu'auprès du maître Vaquait alors un beau poste d'honneur, Un noble emploi de valet grand seigneur
, Voltaire, Temple de l'amitié.M. le duc de Choiseul m'a écrit une fort jolie lettre ; mais il est si grand seigneur que je n'ose l'aimer
, Voltaire, Lett. d'Argental, 4 mai 1761.Grand seigneur est un mot dont la réalité n'est plus que dans l'histoire
, Duclos, Consid. mœurs, 6.Mon fils, c'est l'étoile rapide D'un très grand seigneur nouveau-né ; Le berceau qu'il a laissé vide, D'or et de pourpre était orné
, Béranger, Étoiles qui filent.Fig.
La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se connaît misérable… toutes ces misères mêmes prouvent sa grandeur ; ce sont misères de grand seigneur, misères d'un roi dépossédé
, Pascal, Pens. I, 3, éd. HAVET.Ne pas sortir du grand seigneur, avoir incessamment à la bouche le nom de grands seigneurs.
Ô l'ennuyeux conteur ! Jamais on ne le voit sortir du grand seigneur
, Molière, le Mis. II, 5.N'être pas grand seigneur, être un petit personnage, n'avoir guère de fortune.
Comme Janot n'est pas fort grand seigneur, Pour cent écus vous lui ferez tout dire
, La Fontaine, Rich. -
5Gros seigneur se dit quelquefois pour grand seigneur, mais avec une nuance qui indique surtout la richesse.
Le comte est trop gros seigneur pour se laisser gouverner par l'intérêt
, Dancourt, la Folle enchère, sc. 20. -
6Il s'est dit comme terme de civilité à peu près comme on dit aujourd'hui monsieur.
La jeune Dorimène fille du seigneur Alcantor avec le seigneur Sganarelle qui n'a que cinquante-trois ans ! ô le beau mariage !
Molière, Mar. forcé, 2. -
7Terme de convention dont les poëtes tragiques usent pour le dialogue de leurs personnages.
Achille à Agamemnon : Un bruit assez étrange est venu jusqu'à moi ; Seigneur, je l'ai jugé trop peu digne de foi…
, Racine, Iph. IV, 6.La mauvaise habitude où nous avons toujours été d'appeler nos personnages de tragédies seigneurs ; c'est un nom que les Romains ne se donnèrent jamais
, Voltaire, Comm. Corn. Rem. Sertor. I, 1.Les étrangers crèvent de rire quand ils voient dans nos tragédies le seigneur Agamemnon et le seigneur Achille qui lui demande raison aux yeux de tous les Grecs, et le seigneur Oreste brûlant de tant de feux pour madame sa cousine
, Courier, Trad. d'Hérodote, préface. - 8Titre que l'on donnait collectivement aux membres des états généraux et des cours souveraines. Au roi et à nos seigneurs de son conseil.
-
9 Absolument. Le Seigneur, Dieu (on met une S majuscule).
Le Seigneur notre Dieu est lui-même le Dieu des dieux et le Seigneur des seigneurs, le Dieu grand, puissant et terrible
, Sacy, Bible, Deutéron. X, 17.Vous servirez le Seigneur votre Dieu, afin que je bénisse le pain que vous mangerez et les eaux que vous boirez, et que je bannisse toutes les maladies du milieu de vous
, Sacy, ib. Exode, XXIII., 25.Mais, à vous dire tout, ce Seigneur des seigneurs Veut le premier amour et les premiers honneurs
, Corneille, Pol. I, 10.Le jour du Seigneur, le samedi chez les Juifs, le dimanche chez les chrétiens.
Seigneur Dieu ! ou, simplement, Seigneur ! sorte d'exclamation. Ah ! Seigneur ! quelle nouvelle est-ce là !
Le Seigneur, se dit aussi de Jésus-Christ.
-
10Notre-Seigneur, Jésus-Christ (avec une N et une S majuscules).
Recevoir Notre-Seigneur, recevoir l'eucharistie.
Je crains bien que nous ne perdions cette fois M. de la Rochefoucauld ; sa fièvre a continué ; il reçut hier Notre-Seigneur
, Sévigné, 412. -
11Le Grand Seigneur, l'empereur des Turcs, le sultan (avec un G et une S majuscules).
Il faudrait avoir une raison bien épurée pour regarder comme un autre homme le Grand Seigneur, environné, dans son superbe sérail, de quarante mille janissaires
, Pascal, Pens. II, 3, édit. HAVET.Si l'on demande pourquoi le Grand Seigneur a fait depuis peu périr cent mille hommes devant Candie, on peut répondre sûrement que ce n'est que pour attacher encore à cette image intérieure qu'il a de lui-même le titre de conquérant
, Nicole, Ess. de mor. 1er traité, ch. I.Au milieu de ces grands embarras (1745), on reçut l'offre inouïe d'une médiation à laquelle on ne s'attendait pas ; c'était celle du Grand Seigneur ; son premier vizir écrivit à toutes les cours chrétiennes…
, Voltaire, Louis XV, 17. - 12 Terme d'astrologie. Seigneur d'une maison céleste, la planète qui domine dans une maison.
PROVERBES
Tandis que le vassal dort, le seigneur veille, le seigneur peut saisir et faire les fruits siens, tant que le vassal néglige de lui porter foi et hommage.
Seigneur de parchemin, homme de robe anobli.
Un grand seigneur, un grand clocher et une grande rivière sont trois mauvais voisins.
À tout seigneur tout honneur, ou à tous seigneurs tous honneurs, il faut rendre à chacun ce qui est dû à sa dignité.
Tant vaut le seigneur, tant vaut sa terre.
REMARQUE
On peut dire : de grands seigneurs, ou des grands seigneurs, suivant que l'on considère grands seigneurs comme formant deux mots ou formant une locution. Des princes un peu subalternes, Des grands seigneurs un peu modernes Ont aujourd'hui les vieux châteaux
, Chénier M. J. Épît. à Delille.
Étymologie de « seigneur »
Comme, dans l'ancienne langue, sire et seigneur sont un même mot, dont l'un est le nominatif et l'autre le régime, tout l'historique est renvoyé à sire.
- (1050) De l’ancien français seignor, cas régime de sire (déjà dans les Serments de Strasbourg), et qui remonte au latin seniorem, accusatif de senior « aîné, plus âgé ».
Phonétique du mot « seigneur »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
seigneur | sɛɲœr |
Fréquence d'apparition du mot « seigneur » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « seigneur »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « seigneur »
-
Vous êtes empereur, seigneur, et vous pleurez !
Jean Racine — Bérénice -
Le seigneur m'a promis un manteau de fourrure, et voici déjà que je transpire.
Proverbe polonais -
A tout seigneur, tout honneur.
Proverbe français -
Pied de paysan et chaussure de seigneur ne vont de compagnie.
Proverbe scandinave -
Le Jour du seigneur
Le Jour du Seigneur — Textes et chants de la messe du 26 juillet 2020 à Paris - Le Jour du Seigneur -
Quel bon vassal il ferait, s'il avait un bon seigneur !
Anonyme — Poema de Mío Cid, cantar I -
Un grand seigneur méchant homme est une terrible chose.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière — Dom Juan, I, 1, Sganarelle -
Ainsi parle-t-il, triomphant, tandis que l’ombre couvre les yeux d’Iphition et que les chars des Achéens le déchirent sous les jantes de leurs roues, aux premiers rangs de la bataille. Aprèslui, Achille s’en prend à Démoléon, vaillant défenseur des siens au combat, fils d’Anténor. Il le pique à la tempe, en traversant son casque aux couvre-joues de bronze. Le casque de bronze n’arrête pas la pointe qui le perce, furieuse, et brise l’os ; la cervelle au dedans est toute fracassée : l’homme est dompté en plein élan. C’est ensuite Hippodamas –qui vient de sauter de son char et qui s’enfuit devant lui –qu’il frappe au dos de sa pique. L’homme exhale sa vie en un mugissement ; tel mugit le taureau que les jeunes gens traînent en l’honneur du seigneur d’Hélice et qui réjouit l’Ébranleur du sol ; c’est avec un mugissement pareil que sa noble vie abandonne ses os.
Homère — L’Iliade -
Agé d'un demi-siècle, je soussigné, Alain Bosquet, pseudonyme du vent, bouffi de corps et ventru d'âme, contradictoire et pur comme un lac endormi qui soudain se réveille pour un accouplement de vieux crapauds, ayant lu trop de livres et rédigé quelques volumes pour nourrir mon orgueil, je t'adresse une lettre, Seigneur, car je n'ai plus d'amis et de ma solitude je fais chaque matin un enfer surpeuplé.
Alain Bosquet — Le livre du doute et de la grâce -
Sous l’orbe du pied-destail on a trouvé une boète quarrée de plomb, incrustée vers le milieu du triple angle, et dans cette boète étoit le cœur d’un seigneur dont on ignore le nom ainsi que l’année.
Archives départementales d’Eure-et-Loir — Inventaire-sommaire des archives départementales antérieures à 1790 : Archives civiles
Traductions du mot « seigneur »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | lord |
Espagnol | señor |
Italien | signore |
Allemand | herr |
Chinois | 主 |
Arabe | سيد |
Portugais | senhor |
Russe | повелитель |
Japonais | 主 |
Basque | lord |
Corse | signore |
Synonymes de « seigneur »
- personne
- gentilhomme
- noble
- chevalier
- fonction
- suzerain
- sire
- hobereau
- châtelain
- qualité
- maître
- prince
- religion
- aristocrate
- despote
- dieu
- sieur
- souverain
Antonymes de « seigneur »
Combien de points fait le mot seigneur au Scrabble ?
Nombre de points du mot seigneur au scrabble : 9 points