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Secouer
Sommaire
- Définitions de « secouer »
- Étymologie de « secouer »
- Phonétique de « secouer »
- Fréquence d'apparition du mot « secouer » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « secouer »
- Citations contenant le mot « secouer »
- Images d'illustration du mot « secouer »
- Traductions du mot « secouer »
- Synonymes de « secouer »
- Antonymes de « secouer »
- Combien de points fait le mot secouer au Scrabble ?
Définitions de « secouer »
Trésor de la Langue Française informatisé
SECOUER, verbe trans.
Wiktionnaire
Verbe - français
secouer \sə.kwe\ ou \skwe\ transitif 1er groupe (voir la conjugaison) (pronominal : se secouer)
-
Remuer quelque chose fortement et à plusieurs reprises.
- Les antennes de l’appareil étaient toutes secouées, dans la nuit, d’une vibration puissante, […]. — (Charles Le Goffic, Bourguignottes et pompons rouges, 1916, page 112)
- Il empoigna Bert par l’épaule, et le secoua vigoureusement, accompagnant ses gourmades d’objurgations irritées et le repoussant avec violence en arrière. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 349 de l’édition de 1921)
- Ce cheval a un trot qui secoue rudement son homme. — (Absolument) — Cette voiture secoue beaucoup.
- Se défaire de quelque chose par un mouvement violent.
- Ce taureau a secoué le joug.
-
(Figuré) S’affranchir de ce qui pèse ; se débarrasser de.
- Pour qu’on réponde à nos questions, il faut que l’indifférence asiatique soit tout d’abord un peu secouée par de chaudes recommandations officielles. — (Étienne Lunet de Lajonquière (1861-1933), Le Siam et les Siamois, 1906)
- Secouer les préjugés.
- Secouer sa torpeur, sa paresse.
-
(Figuré) (Familier) Causer une commotion physique ou morale.
- La France est régulièrement secouée et divisée par des affaires de violences commises par les forces de l’ordre, parfois mortelles, comme dans les cas de Cédric Chouviat, livreur mort étouffé après son interpellation en janvier 2020, ou d’Adama Traoré, mort en 2016 dans des circonstances controversées après son interpellation par des gendarmes et érigé en symbole des violences policières. — (Le Monde avec AFP, « Sans les vidéos, il se serait passé quoi pour Michel ? » : des sportifs français prennent position après l’accumulation de violences policières, Le Monde. Mis en ligne le 26 novembre 2020)
- Cette maladie, cette fièvre l’a bien secoué.
-
(Figuré) Réprimander.
- Allez magnez-vous ! Magnez-vous ! Nous secouait Michelle. Faites gaffe, le gros Schneider peut se pointer à chaque instant … — (Mina Benmimoun, Miniss, L’Harmattan, 2009, page 23)
- Son père l’a secoué d’importance.
-
Arthur : Alors bon j’les ai un p’tit peu…
Tavernier : Un p’tit peu s’coués !
Arthur : Moui, j’les ai pourris, exactement, j’les ai traités d’tous les noms. — (Alexandre Astier, Kaamelott, Livre II, épisode 26, Un roi à la taverne II, 2005)
-
(Figuré) (Populaire) Posséder charnellement.
- On n’a pas vu Stéphane cet après-midi, comme prévu. Bah, il a dû encore en secouer une dans les prés...
-
(Pronominal) Se remuer fortement pour faire tomber quelque chose qui incommode.
- Il se secoue furieusement comme un taureau piqué de banderilles. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 243)
- Les chiens se secouent quand ils sont mouillés. — Un oiseau qui se secoue. — Les chevaux se secouent pour se défaire des mouches.
- « Et le petit garçon sort du seau et il se secoue comme un chien baigné, en envoyant des gouttes tout autour. » — (Léon Frapié, La maternelle, Librairie Universelle, 1908)
-
(Pronominal) (Figuré) (Familier) Sortir de l’inaction, ne pas s’abandonner au découragement, faire effort.
- Il faut vous secouer et ne pas rester au lit à groumer.
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Remuer quelque chose fortement et à plusieurs reprises. Secouer un arbre pour en faire tomber les fruits. Secouer un manteau, un tapis pour en ôter la poussière. Ce cheval a un trot qui secoue rudement son homme. Absolument, Cette voiture secoue beaucoup. Secouer la tête, Faire un mouvement de la tête, pour refuser quelque chose, ou pour se moquer de quelqu'un. Secouer la poussière d'un vêtement, Secouer un vêtement pour faire tomber la poussière qui le couvre. On dit de même Secouer la poussière de ses pieds, de ses souliers. Cette dernière expression signifie figurément S'éloigner d'un lieu avec colère, avec ressentiment, et pour n'y plus revenir. Fig. et pop., Secouer les puces à quelqu'un, Le gourmander, le réprimander rudement.
SECOUER signifie aussi Se défaire de quelque chose par un mouvement violent. Ce taureau a secoué le joug. Fig., Secouer le joug, S'affranchir de la domination, se mettre en liberté. Secouer le joug de la tyrannie. Quand les Romains secouèrent le joug des Tarquins. Fig., Secouer le joug des passions, S'affranchir de la tyrannie des passions, dompter ses passions. On dit dans un sens analogue : Secouer les préjugés. Fig., Secouer sa torpeur, sa paresse, S'en débarrasser.
SECOUER signifie, figurément et familièrement, Causer une commotion physique ou morale. Cette maladie, cette fièvre l'a bien secoué. Cette nouvelle l'a fortement secoué. Il signifie encore, figurément et familièrement, Réprimander. Son père l'a secoué d'importance.
SE SECOUER signifie Se remuer fortement pour faire tomber quelque chose qui incommode. Les chiens se secouent quand ils sont mouillés. Un oiseau qui se secoue. Les chevaux se secouent pour se défaire des mouches. Fig. et fam., Il faut se secouer se dit à une personne à qui l'exercice, le mouvement est nécessaire, ou encore que l'on invite à sortir de l'inaction, à ne pas s'abandonner au découragement, à faire effort.
Littré (1872-1877)
-
1Remuer fortement et à plusieurs reprises. Secouer une porte. Son cheval l'a un peu secoué. Le vent secoue les arbres. Secouer un tapis, une robe.
La maladie se joue de nos corps : là elle étend, là elle retire, là elle relâche, là elle engourdit ; là elle cloue un corps perclus et immobile, là elle le secoue tout entier par des tremblements
, Bossuet, Sermons, Résur. dern. 2.L'Amour, qui vit changer son triomphe en une honteuse défaite, s'éleva au milieu des airs en secouant ses ailes
, Fénelon, Tél. VII.Minerve-Papillon, le hibou à qui vous avez fait l'honneur d'écrire a été enchanté de votre souvenir ; il en a secoué ses vieilles ailes de joie
, Voltaire, Lett. à Mme de Saint-Julien, 3 mars 1769.Fig.
Ouvrons, comme lui [le Romain], les portes de nos temples [pour une déclaration de guerre] ; qu'un ambassadeur se transporte sur la frontière ennemie, et qu'il y secoue la guerre du pan de sa robe, au son de la trompette du héraut qui l'accompagnera
, Raynal, Hist. phil. X, 14.Absolument. Cette voiture secoue beaucoup.
Il ne l'a guère tenu, mais il l'a bien secoué, se dit de ceux qui maltraitent quelqu'un.
-
2Secouer la tête, faire un mouvement de tête par refus, par improbation, par doute.
[L'âne] Content de ses chardons, et secouant la tête : Ma foi, non plus que nous, l'homme n'est qu'une bête
, Boileau, Sat. VIII.Son billet que je lus, en secouant la tête, à l'endroit où il me recommandait le silence
, Marivaux, Marianne, 6e part.À ce discours, tous les philosophes secouèrent la tête
, Voltaire, Micr. 7.Fig. Secouer les oreilles, ne tenir compte de quelque chose, s'en moquer.
Se dit aussi d'un homme qui ne veut point accorder ce qu'on lui demande. À cette proposition il secoua l'oreille, les oreilles.
Fig. et familièrement. Il ne fait qu'en secouer les oreilles, se dit d'un homme qui, éprouvant quelque accident fâcheux ou recevant quelque affront, témoigne n'y être pas sensible.
Fig. Il n'y a qu'à secouer un peu l'oreille et cela est passé, se dit en parlant d'une petite peine qu'on oublie bientôt.
-
3Secouer la poussière, faire tomber la poussière de dessus quelque chose. Secouer la poussière d'un habit.
[Le hibou] De ses ailes dans l'air secouant la poussière
, Boileau, Lutr. III.Oui, je secouerai la poussière Qui ternit ses nobles couleurs [du drapeau tricolore]
, Béranger, Drapeau.Secouer la poussière de ses souliers, ôter la poussière qui les couvre, et fig. s'en aller avec indignation, douleur, affliction.
Secouez, en sortant de cette maison ou de cette ville, la poussière de vos pieds
, Sacy, Bible, Evang. St Matthieu X, 14.Eloignez-vous de celles-ci [les sœurs qui ne sont pas suffisamment fidèles à leurs obligations] ; secouez même contre elles la poussière de vos pieds, comme parle l'Évangile
, Bossuet, Lett. Corn. 149.Comme lui [le voyageur], de nos pieds secouons la poussière ; L'homme par ce chemin [la vie] ne repasse jamais
, Lamartine, Médit. VI. -
4Se défaire, s'affranchir de quelque chose par un mouvement violent. Ce taureau a secoué le joug.
Fig. Secouer le joug, s'affranchir violemment d'une autorité qui pèse.
Ils [les Machabées] secouèrent le joug des rois de Syrie, qui les persécutaient pour leur religion
, Bossuet, 5e avert. 24.Quand on veut secouer le joug de l'autorité divine, et ne régler ses sentiments, non plus que ses mœurs, que par sa raison égarée
, Bossuet, Hist. II, 13.Personne n'ignore comme, au seizième siècle, la moitié de l'Europe, lassée des crimes d'Alexandre VI, de l'ambition de Jules II, des extorsions de Léon X… secoua enfin le joug appesanti depuis longtemps
, Voltaire, Fragm. sur l'hist. XX.On dit de même : secouer les chaînes.
Il se fait une très grande révolution dans les esprits en Italie et en Espagne ; le Nord entier secoue les chaînes du fanatisme
, Voltaire, Lett. Le Riche, 1er mars 1768.Secouer le joug des passions, les refréner, les dompter.
Il se dit aussi de tout ce qui est regardé comme pesant, gênant, et qu'on écarte.
Le moine secoua le cilice et la haire
, Boileau, Lutr. VI.Mon cœur, enivré d'une folle passion, secouait presque toute pudeur
, Fénelon, Tél. IV.Tandis qu'il se croit plus libre en secouant l'obéissance qu'il doit à Dieu seul … il multiplie ses maîtres
, Massillon, Carême, Lazare.Je vous aime tendrement, surtout quand vous secouez avec moi votre paresse
, Voltaire, Lett. Thibouville, 26 nov. 1777.Il signifie aussi écarter par un effort de l'âme.
Secouons, s'il se peut, de mon âme l'impression que cet enfant y a faite
, Diderot, Père de famille, II, 5.Le poëte… cherche… S'il pourra de sa tête apaiser les orages, Et secouer le dieu qui fatigue son sein
, Chénier, l'Invention, V. 345. -
5 Fig. Donner une commotion morale.
Mes événements sont incroyables ; vous en savez une partie, et assurément vous avez cru qu'il ne pouvait plus m'arriver rien qui secouât davantage mon âme
, Galiani, Lett. à Mme d'Épinay, 25 juill. 1778. -
6 Fig. et familièrement. Réprimander, gronder. Son père l'a secoué d'importance.
Il [le jeune Grignan] n'est que trop sage et trop posé ; il faut le secouer par des plaintes injustes
, Sévigné, 9 juin 1680.Populairement. Secouer les puces à quelqu'un, le battre.
-
7Il se dit des maladies qui remuent tout le corps et tourmentent beaucoup. Cette maladie l'a bien secoué.
Être bien secoué, passer par une maladie qui tourmente beaucoup.
Si mon état continue, adieu les tragédies ; j'ai été vivement secoué, et j'ai la mine d'aller trouver Sophocle, avant de faire comme lui des tragédies à quatre-vingts ans
, Voltaire, Lett. d'Argental, 22 oct. 1766. -
8Se secouer, v. réfl. Se remuer fortement pour faire tomber quelque chose qui incommode.
Fig. et familièrement. Il faut se secouer, il faut prendre de l'exercice, se donner du mouvement.
Amusez-vous, secouez-vous, occupez-vous
, Voltaire, Lett. d'Argental, 30 déc. 1774.Il faut se secouer, signifie aussi : il faut agir dans cette affaire, il ne faut pas rester oisif.
- 9 Familièrement. Se secouer, ne pas se laisser aller à son malaise, ne pas s'écouter.
HISTORIQUE
XIVe s. En eux ainsi sequeuant et joant cortoisement
, Du Cange, succusatio.
XVe s. Il fut percé au bras tant que la lance se tint dedans son bracelet ; mais il la secout [secoua] tantost sur le sablon
, Monstrelet, t. II, p. 110, dans LACURNE. Lors commencerent à secourre la neige et le gresil jus de leurs haulbertz
, Perceforest, t. IV, f° 33. Quant l'esperit veit ce, il print à secourre l'arbre comme pour le hocher jus ; et lors fust le chevalier tumbé sur la roche, s'il ne se fust tenu à une branche
, ib. f° 127.
XVIe s. De mauvais garsons… lesquels ne cessoient faire mille insolences… si que, ung soir, les compaignons de la ville les rencontrarent qui leur secouirent bien leur pellisson
, Bonivard, Chr. de Genève, II, 32. Pour eux tombe en abondance Le glan des chesnes secous
, Ronsard, 921. Adonc commencerent les bœufs à se debattre, et à secouer leurs testes, et, en ce faisant, se couvrirent de feu les uns les autres de plus en plus
, Amyot, Fab. 17. Il luy osta la dague qu'elle portoit, et secoua ses habillemens, de peur qu'elle n'eust dedans quelque poison caché
, Amyot, Anton. 102. Ce que je considere, je l'usurpe, une sotte contenance… une forme de parler ridicule ; les vices plus ; d'autant qu'ils me poignent, ils s'accrochent à moy, et ne s'en vont pas sans secouer
, Montaigne, III, 356. Comme les pals s'enfoncent plus avant et s'affermissent en les branslant et secouant
, Montaigne, I, 275.
Encyclopédie, 1re édition (1751)
SECOUER, v. act. (Gram.) émouvoir à plusieurs reprises ; secouer la poussiere de ses souliers ; secouer la bride à un cheval ; secouer un arbre pour en faire tomber les insectes, les fruits. Il se prend aussi au figuré ; il a secoué le joug de ses maîtres ; les habitans du Paraguai, mal conseillés, ont secoué le joug de leur souverain, &c.
Étymologie de « secouer »
Wallon, heûre ; namur. cheûre ; norm. escouer ; provenç. secodre, socodre ; catal. espagn. et portug. sacudir ; du lat. succutere, de sub, sous, et un radical cutere, frapper. L'infinitif secorre est régulier, du latin succutere ; le participe secous l'est aussi, de succussus. Quant à secouer, il ne l'est pas ; il est probablement une altération pour secouir (comme puer pour puir), qui serait la forme correspondante aux autres langues romanes.
- Ancien français secourre, du latin sŭccŭtĕre, forme refaite en français pré-classique (Rabelais, 1532).
Phonétique du mot « secouer »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
secouer | sœkwe |
Fréquence d'apparition du mot « secouer » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « secouer »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « secouer »
-
Ne me secouez pas. Je suis plein de larmes.
Henri Calet — Peau d'ours, Gallimard -
Etre jeune, c'est être spontané, rester proche des sources de la vie, pouvoir se dresser et secouer les chaînes d'une civilisation périmée, oser ce que d'autres n'ont pas eu le courage d'entreprendre ; en somme, se replonger dans l'élémentaire.
Thomas Mann — Le docteur Faustus -
Quand on veut écrire sur les femmes, il faut tremper sa plume dans l'arc-en-ciel et secouer sur sa ligne la poussière des ailes du papillon.
Denis Diderot -
Le pire, quand on fait un discours, ce n'est pas de prendre conscience que vos auditeurs regardent leur montre, c'est le moment où ils se mettent à la secouer pour voir si elle n’est pas arrêtée.
Lord Birkett -
L’acteur est comme ces boules de verre avec de la neige à l’intérieur : il passe son temps à secouer ses émotions.
Gary Oldman -
Il faut secouer la vie ; autrement elle nous ronge.
Stendhal — Lettres -
Le résultat est... violent. Très violent même, au point où il risque de secouer les estomacs plus fragiles, certes, mais également certains des cinéphiles plus aguerris. Le sang coule à flots, et les meurtres sont détaillés avec une insistance troublante par moments. Sur ce plan, on ne peut qu’admirer le jusqu’au-boutisme de Jay Baruchel, qui livre ici une œuvre sans compromis, dont la brutalité n’est pas sans rappeler les classiques à la The Texas Chainsaw Massacre.
Le Journal de Montréal — Âmes sensibles s’abstenir | Le Journal de Montréal -
Si on veut des pommes, il faut secouer le pommier.
Proverbe bulgare -
Je ne veux surtout pas être raisonnable. Je vois des enfants sages partout. Si on fait ce métier de chanteur, c’est pour secouer le bocal.
Christophe Miossec — Télérama, 4 février 2015 -
La littérature, et même le roman qui est d'expression plus libre, finissent par être soumis à des règles, à des conventions qu'il faut de temps en temps secouer pour y réintroduire la vie.
Erica Jong — Entretien avec Sophie Lannes - Juillet-Août 1978
Images d'illustration du mot « secouer »
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Traductions du mot « secouer »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | shake up |
Espagnol | sacudir |
Italien | shake |
Allemand | shake |
Chinois | 摇 |
Arabe | هزة |
Portugais | mexe |
Russe | сотрясения |
Japonais | 振る |
Basque | shake |
Corse | agita |
Synonymes de « secouer »
- se secouer
- s'affranchir
- remuer
- mouvoir
- balancer
- agiter
- ballotter
- cahoter
- ébranler
- hocher
- trémousser
- battre
- brimbaler
- traumatiser
- commotionner
- bousculer
- réprimander
- gronder
- houspiller
- morigéner
- rudoyer
- tancer
- rembarrer
- molester
- tarabuster
- branler
- presser
- réagir
- répondre
- s'ébranler
- se remuer
- sursauter
- se libérer
- se débarrasser
Antonymes de « secouer »
Combien de points fait le mot secouer au Scrabble ?
Nombre de points du mot secouer au scrabble : 9 points