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Profession
Sommaire
- Définitions de « profession »
- Étymologie de « profession »
- Phonétique de « profession »
- Fréquence d'apparition du mot « profession » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « profession »
- Citations contenant le mot « profession »
- Images d'illustration du mot « profession »
- Traductions du mot « profession »
- Synonymes de « profession »
- Combien de points fait le mot profession au Scrabble ?
Variantes | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Féminin | profession | professions |
Définitions de « profession »
Trésor de la Langue Française informatisé
PROFESSION, subst. fém.
Wiktionnaire
Nom commun - français
profession \pʁɔ.fɛ.sjɔ̃\ féminin
-
Déclaration publique d’un sentiment habituel.
- Les sentiments dont il fait profession.
- Il fait profession de principes fort sévères, fort relâchés.
- Faire profession d’une doctrine.
- (Ironique) Elle s'était assise dans un de ces fauteuils au dos raide qui font profession de droiture. — (Romain Gary, Au-delà de cette limite votre ticket n'est plus valable, Folio, 1975, p. 223)
- Déclaration de principes philosophiques, sociaux, littéraires, artistiques.
- (Par extension) Écrit dans lequel un candidat à la députation ou à quelque siège électif expose ses opinions politiques et sociales.
-
(Religion) Acte par lequel un religieux ou une religieuse fait les vœux de religion, après que le temps de son noviciat est expiré.
- Assister à la profession d’un religieux, d’une religieuse.
- Il a fait profession dans tel ordre.
- Un religieux, une religieuse ne peuvent faire profession qu’à un certain âge.
-
Carrière, état ou emploi dans la vie civile ou militaire.
- La corporation étant un organisme chrétien, les juifs en étaient ipso facto écartés; l'exercice des professions étant interdit en dehors des corporations légalement reconnues, ils furent contraints, à leur corps défendant, de renoncer au travail manuel. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
- [...] la musique était son état, et trouvez un homme qui aime l’état dont il vit ? À la longue, il en est d’une profession comme du mariage, on n’en sent plus que les inconvénients. — (Honoré de Balzac, Le Cousin Pons, 1847, chapitre IV, page 19 de l'édition Garnier)
- De quelle profession est-il ?
- Quelle est sa profession ?
-
(Familier) Ensemble des professionnels d'un même métier.
- Depuis le mois de mai, les bulbiculteurs néerlandais participent à un sondage qui a pour objectif de mettre à la disposition de l'ensemble de la profession la connaissance qu'ils ont de la sensibilité aux maladies des cultivars de bulbes de tulipes, narcisses, glaïeuls, crocus, hyacinthes, iris et lis. — (P.H.M.-Revue Horticole, 1992, n°324 à 333, p. CLXIV)
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Déclaration publique d'un sentiment habituel. Je fais profession d'être votre obligé, j'en fais une profession publique, une profession solennelle. Les sentiments dont il fait profession. Il fait profession de principes fort sévères, fort relâchés. Il fait profession publique d'athéisme. Il fait hautement profession de vous être attaché. Faire profession d'une chose, Y mettre de la prétention, s'en piquer particulièrement. Il fait profession d'être sincère, de tenir sa parole. Il fait profession de haine et de mépris pour le genre humain. Il fait profession de bel esprit. Faire profession d'une religion, L'exercer, la pratiquer ouvertement. On dit aussi Faire profession d'une doctrine. Profession de foi, Formule qui contient les principes de religion auxquels on déclare publiquement adhérer. Par extension, il se dit d'un Écrit où un candidat à la députation ou à quelque siège électif expose ses opinions politiques et sociales. Il signifie encore, d'une façon générale, Déclaration de principes philosophiques, sociaux, littéraires, artistiques.
PROFESSION désigne encore, en termes ecclésiastiques, l'Acte par lequel un religieux ou une religieuse fait les vux de religion, après que le temps de son noviciat est expiré. Assister à la profession d'un religieux, d'une religieuse. Il a fait profession dans tel ordre. Un religieux, une religieuse ne peuvent faire profession qu'à un certain âge. Depuis sa profession. Il a trente années de profession.
PROFESSION se dit aussi des Différents états et emplois de la vie civile ou militaire. De quelle profession est-il? Quelle est sa profession? Embrasser une profession. Choisir une profession. Vivre selon sa profession. La profession d'avocat, de médecin. La profession des armes. Exercer une profession. Il a une profession fort honorable. Il est habile dans sa profession. Il s'y trouva des gens de toutes sortes de professions. Il est ingénieur de profession. Un savant de profession, un érudit de profession, Un homme qui se consacre à l'étude des sciences, à l'érudition. Un dévot de profession, Un homme qui affecte de passer pour dévot. Un athée de profession, Un homme qui affiche l'athéisme. Un joueur, un ivrogne, un libertin de profession, Un homme qui est dans l'habitude de se livrer au jeu, à l'ivrognerie, au libertinage.
Littré (1872-1877)
-
1Déclaration publique d'un sentiment habituel, d'une manière d'être habituelle.
Ils reconnurent le Dieu véritable qu'ils faisaient profession de ne pas connaître
, Sacy, Bible, Sagesse, XII, 27.Eux qui faisaient profession d'une sagesse si austère
, Molière, Tart. Préface.Moi, votre ami ! rayez cela de vos papiers ; J'ai fait jusques ici profession de l'être ; Mais…
, Molière, Mis. I, 1.L'Église ne peut subsister sans la profession de la vérité
, Bossuet, 3e avert. 19.La profession du christianisme suffit pour faire partie du corps de l'Église, ce qu'il [Jurieu] avance contre M. Claude, qui ne compose le corps de l'Église que de véritables fidèles
, Bossuet, 3e avert. 2.Vivre comme des impies sans aucune profession de culte
, Massillon, Avent, Noël.Ils [les sociniens] sont encore en grand nombre en Pologne, quoiqu'ils aient perdu la liberté de faire une profession ouverte de leurs sentiments
, Voltaire, Mœurs, 189.Faire profession d'une religion, l'exercer ouvertement.
On dit de même : faire profession d'une doctrine.
Familièrement. Faire profession d'une chose, s'en piquer particulièrement.
Que s'il [celui qui ne s'inquiète pas d'une autre vie] est avec cela tranquille, qu'il en fasse profession, qu'il en fasse vanité
, Pascal, Pens. IX, 1, édit. HAVET.La Providence, dont je devrais adorer tous les arrangements, faisant profession, comme je fais, d'être sa très humble servante
, Sévigné, 27 janv. 1692.Il faut finir avec le même honneur et la même probité dont on a fait profession toute sa vie
, Sévigné, 15 nov. 1684.On avait déclaré les épicuriens incapables d'être initiés aux mystères, parce que c'étaient des gens qui faisaient profession de s'en moquer
, Fontenelle, Oracles, I, 3.Profession de foi, formule qui contient les principes de religion auxquels on est attaché.
Il [M. de Voltaire] donna à cet abbé Gaultier, qui la lui demanda, une profession de foi écrite tout entière de sa propre main, et par laquelle il déclare qu'il veut mourir dans la religion catholique où il est né
, D'Alembert, Lett. au roi de Pr. 1er juill. 1778.Profession de foi du vicaire savoyard, profession de déisme que fait Rousseau dans son Emile, et qu'il met dans la bouche d'un vicaire savoyard.
Par extension, profession de foi, écrit qui renferme les opinions politiques et sociales d'un candidat à la députation ou de tout autre. Profession de foi, ou, simplement, profession monarchique, républicaine, etc.
-
2État, emploi, condition. La profession d'avocat, de médecin.
Un père et un frère qui ont fait profession des mathématiques
, Descartes, Dioptr. 1.Le voilà reçu dans la profession qu'il doit faire
, Sévigné, 470.Je ne suis ni lettré ni un homme de finances, et j'aurais mauvaise grâce de chercher de la gloire et des avantages par des choses qui ne sont pas de ma profession
, Vauban, Dîme, p. 2.Son père eut sur lui les vues communes des pères : il le fit étudier pour le mettre dans sa profession
, Fontenelle, Hartsoeker.L'Europe serait aujourd'hui aussi ignorante, ou même elle serait à peine sortie de la barbarie, si les professions avaient continué d'être héréditaires et exclusives
, Condillac, Hist. anc. III, 97.Tout homme a plus ou moins les vices de sa profession ; La Mettrie, dont vous me parlez, n'avait point ceux de la sienne ; car en vérité il n'était pas du tout médecin ; il cherchait seulement à être athée : c'était un fou, et sa profession était d'être fou ; mais ceux qui vous ont dit qu'il était mort repentant, sont de la profession des menteurs
, Voltaire, Lett. Bertrand, 4 sept. 1759.Il n'y a point de profession qui n'exige un homme tout entier
, Duclos, Consid. mœurs, 12.De profession, par la profession qu'on exerce. Tailleur de profession. Érudit de profession.
Les poëtes romains faisaient mettre les monologues en musique par des musiciens de profession
, Condillac, Conn. hum. II, I, 5.Fig. De profession, qui a l'habitude invétérée de.
Et de profession je ne suis point galant
, Molière, Éc. des mar. I, 6.Rien n'est trop hardi pour des calomniateurs de profession
, Pascal, Prov. XVI.Je ne comprends pas bien l'amour de profession
, Sévigné, 202.Des chrétiens de profession, mais qui, n'en ayant que le nom et que l'apparence, raisonnent sur l'autre vie comme des épicuriens
, Bourdaloue, 15 Dim. après la Pentecôte, Dominic. t. III, p. 449.Il était Suisse de nation, empoisonneur de profession
, Hamilton, Gramm. 3. -
3Acte qui consiste à faire solennellement les trois vœux de religion, qui sont pauvreté, obéissance et chasteté ; il suit le noviciat, et alors on est profès.
Marie-Angélique Arnauld, par un usage qui n'était que trop commun en ces temps-là, en fut faite abbesse, n'ayant pas encore onze ans accomplis ; elle n'en avait que huit lorsqu'elle prit l'habit, et elle fit profession à neuf ans
, Racine, Hist. Port-Royal, dans POUGENS. -
4 Anciennement. Action de professer, professorat.
M. Grevius a reçu ses patentes d'historiographe du roi d'Angleterre, et, ayant demandé une diminution de travail académique… on lui a donné un adjoint dans la profession des belles-lettres, qui fera la moitié des leçons de M. Grevius
, Bayle, Lett. à M. ***, 7 mars 1697.
HISTORIQUE
XIIe s. Sovenir vos devreit de la professiun Qu'offristes sur l'autel à vostre enunctiun
, Th. le mart. 80.
XIIIe s. Une dame prist robe de religion, ne n'i entra pas, ne ne fist profession, et puis geta l'abist et se maria
, Liv. de jost. 193.
XVIe s. Il renonce en ses œuvres le Seigneur, lequel il confesse de bouche, et par ainsi n'est chrestien que de titre et profession
, Calvin, Instit. 603. Un homme de ma profession [condition]
, Montaigne, I, 17. Cesar parle des offices de sa pr ofession, de la vaillance et conduicte de sa milice
, Montaigne, I, 57. La religion de quoy vous faictes profession
, Montaigne, I, 128.
Encyclopédie, 1re édition (1751)
PROFESSION, s. f. (Gouvernement.) état, condition, métier qu’on embrasse, dont on fait son apprentissage, son étude, & son exercice ordinaire.
L’industrie humaine se porte ou à l’acquisition des choses nécessaires à la vie, ou aux fonctions des emplois de la société qui sont très-variées. Il faut donc que chacun embrasse de bonne heure une profession utile & proportionnée à sa capacité ; c’est à quoi l’on est généralement déterminé par une inclination particuliere, par une disposition naturelle de corps ou d’esprit, par la naissance, par les biens de la fortune, par l’autorité des parens, quelquefois par l’ordre du souverain, par les occasions, par la coutume, par le besoin, &c. car on ne peut se soustraire sans nécessité à prendre quelque emploi de la vie commune.
Il y a des professions glorieuses, des professions honnêtes, & des professions basses ou deshonnêtes.
Les professions glorieuses qui produisent plus ou moins l’estime de distinction, & qui toutes tendent à procurer le bien public, sont la religion, les armes, la justice, la politique, l’administration des revenus de l’état, le commerce, les Lettres, & les beaux-Arts. Les professions honnêtes sont celles de la culture des terres, & des métiers qui sont plus ou moins utiles. Il y a en tous pays des professions basses ou deshonnêtes, mais nécessaires dans la société ; telles sont celles des bourreaux, des huissiers à verge, des Bouchers, de ceux qui nettoient les retraits, les égouts, & autres gens de néant ; mais comme le souverain est obligé de les souffrir, il est nécessaire qu’ils jouissent des droits communs aux autres hommes. Térence fait dire dans une de ses pieces à un homme qui exerçoit une profession basse & souvent criminelle :
Leno sum, fateor, pernicies communis adolescentium,
Perjurus, pestis ; tamen tibi à me nulla est orta injuria
Je l’avoue, je suis marchand d’esclaves, la ruine commune des jeunes gens, une peste publique ; cependant avec tous ces titres je ne vous ai fait aucun tort.
Enfin chaque profession a son lot. « Le lot de ceux qui levent les tributs est l’acquisition des richesses, dit l’auteur de l’esprit des lois. La gloire & l’honneur sont pour cette noblesse qui ne connoît, qui ne voit, qui ne sent de vrai bien que l’honneur & la gloire. Le respect & la considération sont pour ces ministres, & ces magistrats qui ne trouvant que le travail après le travail, veillent nuit & jour pour le bonheur de l’empire ».
Dans le choix d’une profession & d’un genre de vie, les enfans font très-bien de suivre le conseil de leur pere tendre, sage & éclairé, qui n’exige d’eux rien qui soit déraisonnable, & qui leur fournit les dépenses nécessaires pour l’emploi auquel il les destine. Mais il seroit également injuste & ridicule de les forcer à prendre un parti contraire à leur inclination, à leur caractere, à leur santé, & à leur génie. Ce seroit à plus forte raison une tyrannie odieuse de vouloir les engager à embrasser une profession deshonnête.
Mais on demande quelquefois, s’il est bon, s’il est avantageux dans un état, d’obliger les enfans à suivre la profession de leur pere ? je réponds que c’est une chose contraire à la liberté, à l’industrie, aux talens, au bien public. Les lois qui ordonneroient que chacun restât dans sa profession, & la fît passer à ses enfans, ne sauroient être rétablies que dans les états despotiques où personne ne peut ni ne doit avoir d’émulation. Qu’on ne nous objecte pas que chacun fera mieux sa profession, lorsqu’on ne pourra pas la quitter pour une autre ; c’est une idée fausse que l’expérience détruit tous les jours. Je dis tout au contraire que chacun sera mieux sa profession, lorsque ceux qui y auront excellé espéreront avec raison de parvenir à une autre profession plus glorieuse. (D. J.)
Profession en religion, (Jurisprud.) qu’on appelle aussi profession simplement, est l’acte par lequel un novice s’engage à observer la regle que l’on suit dans quelque ordre religieux.
La profession se fait par l’émission des vœux.
Suivant les capitulaires de Charlemagne, il étoit défendu de faire profession sans le consentement du prince : présentement cela n’est plus nécessaire ; mais il y a encore dans quelques coutumes, des serfs qui ne peuvent entrer en religion, ni en général dans la cléricature, sans le consentement de leur seigneur.
Pour que la profession soit valable, il faut qu’elle ait été précédée du noviciat pendant le tems prescrit.
Suivant l’ordonnance d’Orléans, les mâles ne pouvoient faire profession qu’à 25 ans & les filles à 20 ; mais l’âge fixé par les dernieres ordonnances pour faire profession, est celui de 16 ans accomplis. Telle est la disposition de l’ordonnance de Blois, conforme en ce point au concile de Trente.
Il y a plusieurs causes qui peuvent rendre la profession nulle : les plus ordinaires sont lorsque le profès n’a point fait son noviciat pendant le tems prescrit ; lorsqu’il a prononcé ses vœux avant l’âge, ou qu’il les a prononcés par crainte ou par violence, ou dans un tems où il n’avoit pas son bon sens ; de même si la profession n’a pas été reçue par un supérieur légitime, ou qu’elle n’ait pas été faite dans un ordre approuvé par l’Eglise.
La profession religieuse fait vaquer tous les bénéfices séculiers dont le profès étoit pourvu ; cap. beneficium de regular. in-6°. Voyez les decrétales, liv. III. tit. 31. (A)
Étymologie de « profession »
Prov. professio ; espag. profession ; ital. professione ; du lat. professionem, qui vient de professus, qui a exposé, déclaré (voy. PROFÈS).
- Du latin professio (« déclaration, déclaration publique, action de se donner comme ») d'où « état, condition, métier ».
Phonétique du mot « profession »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
profession | prɔfɛsjɔ̃ |
Fréquence d'apparition du mot « profession » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « profession »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « profession »
-
Homéopathe. L'humoriste de la profession médicale.
Ambrose Bierce — Le dictionnaire du Diable -
La littérature, quand elle n’est pas un art, est au moins une profession libérale.
Aurélien Scholl -
De profession à profession, on se devine, et de vice à vice aussi.
Marcel Proust — A la recherche du temps perdu -
Si les journalistes étaient des funambules, il y aurait une forte mortalité dans la profession.
Coluche — Pensées et anecdotes -
L'homme épouse une dot et la femme une profession.
Claude Tillier — Mon oncle Benjamin -
Tout critique de profession, homme médiocre par nature.
Joseph Joubert — Carnets -
Les gens trop heureux sont comme les voleurs de profession. Ils finissent toujours par être pincés.
Alfred Capus -
Ce n'est pas la profession qui honore l'homme mais c'est l'homme qui honore la profession.
Louis Pasteur -
Chaque profession a un vice et un danger qui lui sont attachés.
Voltaire — L'ingénu -
Un acteur qui n’ose pas se faire d’ennemis devrait quitter la profession.
Bette Davis — The Lonely Life
Images d'illustration du mot « profession »
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Traductions du mot « profession »
Langue | Traduction |
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Anglais | profession |
Espagnol | profesión |
Italien | professione |
Allemand | beruf |
Chinois | 职业 |
Arabe | مهنة |
Portugais | profissão |
Russe | профессия |
Japonais | 職業 |
Basque | lanbidea |
Corse | professione |
Synonymes de « profession »
- fonction
- situation
- travail
- poste
- qualité
- occupation
- place
- métier
- gagne-pain
- état
- carrière
- ministère
- condition
- art
- charge
- aveu
- confession
- déclaration
- proclamation
- manifeste
- credo
- office
- langue
Combien de points fait le mot profession au Scrabble ?
Nombre de points du mot profession au scrabble : 15 points