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Halle

Variantes Singulier Pluriel
Féminin halle halles

Définitions de « halle »

Trésor de la Langue Française informatisé

HALLE, subst. fém.

A. − Au sing.
1. Vaste emplacement couvert où se tient un marché. Les gens de la halle; le quartier de la halle.
En partic. [Avec un compl. subst.] Grand bâtiment où se tient un commerce de gros. Halle au blé, aux draps, aux huîtres, aux poissons. Le trajet prenait vingt minutes au moins, par le quartier de l'École Polytechnique et la Halle aux Vins (Malègue, Augustin, t. 1, 1933, p. 299) :
1. Lazare, robuste gaillard, taillé en hercule, s'était fait déchargeur à la halle au beurre, afin de gagner quelque argent... Murger, Scènes vie jeun.,1851, p. 203.
Rem. Cet emploi au sing. est vieilli, sauf comme toponyme pour désigner des bâtiments anciens; le mot prend, dans ce cas, gén. une majuscule. Place de la Halle.
2. P. ext. Grande salle vide ou meublée de façon rudimentaire. Synon. hall.Le concert avait lieu dans une vaste halle, occupée par dix ou douze rangées de tables de café (Rolland, J.-Chr., Révolte, 1907, p. 386) :
2. Quant à ma chambre en elle-même, c'est une grande halle meublée de quatre vastes lits, avec une immense cheminée en menuiserie... Hugo, Rhin,1842, p. 36.
Région. (Suisse)
Salle dans laquelle se pratique un sport. Halle de tennis, de sport. Les travaux du Centre sportif (...) débuteront au printemps par la construction des abris de la protection civile, de la piscine couverte et des halles de gymnastique (Le Pays, Porrentruy, 8 oct. 1976, p. 13).
Halle de(s) fête(s). Synon. de salle des fêtes.En construisant une halle des fêtes, Yverdon va faire d'une pierre deux coups : elle réalisera une salle polyvalente, très attendue par de nombreux milieux, et se dotera par la même occasion d'une nouvelle attraction (24 heures, Lausanne, 15-16 janv. 1977, p. 21).
B. − Au plur. Vaste emplacement couvert où se tient le principal marché des denrées alimentaires d'une ville. Les halles, c'est-à-dire un toit de tuiles supporté par une vingtaine de poteaux, occupent à elles seules la moitié environ de la grande place d'Yonville (Flaub., MmeBovary, t. 1, 1857, p. 82).
[Le plus souvent avec une majuscule et en emploi abs.] Halles (centrales). Vaste marché de Paris dont les bâtiments occupaient un quartier du 1erarrondissement de la capitale (et aujourd'hui transféré à Rungis). Carreau, fort* des Halles; mandataire aux Halles. Il a conçu le diable en habit noir, montrant au saint homme notre Paris nocturne et le transportant dans les Halles, qui regorgent de volailles (A. France, Vie littér., t. 2, 1890, p. 216).Il n'est ni tour Eiffel, ni Halles Centrales, ni Sacré-Cœur, à lui [le Palais de Justice] comparable comme grandiose (Verlaine, Œuvres posth., t. 2, Souv. et prom., 1896, p. 155) :
3. Tout ce vieux quartier des halles, qui est comme une ville dans la ville, que traversent les rues Saint-Denis et Saint-Martin, où se croisent mille ruelles. Hugo, Misér., t. 2, 1862, p. 352.
P. méton. Quartier des Halles. Manger une soupe à l'oignon aux Halles. Elle accepta d'abord de venir souper aux Halles quand son service serait fini (Maupass., Contes et nouv., t. 2, Ermite, 1886, p. 1056).
C. − Loc. à valeur adj., vx. [Souvent avec une majuscule] De la halle, des halles.
1. Dame de la halle, des halles. Marchande des Halles centrales de Paris. Une vieille femme mise, comme je vous le disais, en marchande de marée qui a des rentes, avec des pendeloques aux oreilles, et sous le costume d'une riche dame de la halle (Balzac, Splend. et mis.,1847, p. 647).Les dames de la Halle nourrissaient des sentiments royalistes (A. France, Dieux ont soif,1912, p. 66).
2. Péjoratif
a) Femme de la halle, des halles. Femme du peuple au parler souvent cru. Synon. harengère, poissarde.On eût dit une sibylle sous la palatine d'une femme de la halle (E. de Goncourt, Elisa,1877, p. 819).V. harengère ex.
b) Langage de la halle, des halles. Langage cru et grossier. Je n'aime pas à entendre sur la scène le langage des halles (Jouy, Hermite, t. 1, 1811, p. 327).
REM.
Hallier, subst. masc.,vx. Gardien d'une halle; marchand qui vend aux halles. (Dict. xixes., Rob., Lar. Lang. fr.).
Prononc. et Orth. : [al] init. asp. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. a) 1213 hale « vaste emplacement couvert où se tient le marché » (Faits des Romains, éd. L. F. Flutre et K. Sneyders de Vogel, p. 734, 31); b) ca 1260 hales plur. (E. Boileau, Métiers, éd. G. B. Depping, XVII, p. 321); 2. a) 1595 (Montaigne, Essais, éd. A. Thibaudet, p. 208 : mots ... qui servent aux hales à Paris); b) 1669-74 langage des halles (Boileau, Art poétique, chant I, vers 84). De l'a. b. frq. *hala « vaste emplacement couvert »; cf. a. h. all. de même sens; m. h. all. halle; all. Halle « id. ». Fréq. abs. littér. : 837. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 867, b) 3 088; xxes. : a) 869, b) 642.
DÉR.
Hallage, subst. masc.Droit payé par les commerçants pour vendre aux halles ou sur les marchés. (Ac.; dict. xixeet xxes.). [ala:ʒ] init. asp. Att. ds Ac. dep. 1762. 1resattest. a) Ca 1260 halage « droit perçu sur les marchandises mises en vente à la halle » (E. Boileau, Métiers, éd. G.-B. Depping, 273); b) 1723 « droit payé par les commerçants aux communes pour pouvoir vendre leurs marchandises sous la halle » (Savary); de halle, suff. -age*.

Wiktionnaire

Nom commun - français

halle (h aspiré)\al\ féminin

  1. Emplacement ordinairement fermé et couvert, destiné à l’emmagasinement et à la vente d’objets d’une utilité première, qui s’y vendent en forte partie, presque toujours pour l’approvisionnement des magasins.
  2. Place publique, ordinairement couverte, où se tiennent les marchés ou les foires
  3. Magasin public où les personnes qui font un même commerce enferment leurs marchandises.
  4. (Technique) Atelier où l’on fond du verre, où l’on coule des glaces.
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Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

HALLE. (H est aspirée.) n. f.
Place publique, ordinairement couverte, où se tiennent les marchés ou les foires; Magasin public où les personnes qui font un même commerce enferment leurs marchandises. Les Halles centrales. Halle aux blés. La halle aux vins. Halle aux draps, aux cuirs, etc. Aller à la halle. Le carreau des Halles à Paris. Les forts de la Halle, Les porteurs. Facteur aux Halles. Commissionnaire aux Halles. Les dames de la Halle, Les marchandes. Langage des halles, Langage grossier, tel que celui qu'on parle communément dans les marchés de Paris.

Littré (1872-1877)

HALLE (ha-l') s. f.
  • 1Place publique ordinairement couverte, où se tient le marché. Halle aux blés, aux cuirs, aux huîtres. M. de Nevers allait très souvent acheter lui-même à la halle et ailleurs ce qu'il voulait manger, Saint-Simon, 173, 58.

    Les dames de la halle, les femmes qui vendent à la halle.

    À Paris, absolument, les Halles, celles où l'on vend les denrées alimentaires.

    Langage des halles, langage bas et grossier. Le Parnasse parla le langage des halles, Boileau, Art p. I. Ma mère, finissez vos proverbes des halles, Legrand, Famille extravag. sc. 2.

  • 2Magasin public où les gens d'un même commerce tiennent leurs produits. La halle aux draps de Paris. La halle aux vins. Faire construire et édifier halle, bancs, étaux et autres choses nécessaires pour loger les marchands et leurs marchandises, Lett. patentes, juillet 1610.
  • 3 Fig. Bâtiment ouvert à tous les vents. Ce salon est une halle, une grande halle.
  • 4Dans un arsenal, certains ateliers ou locaux spéciaux.
  • 5Atelier dont le four de cuisson occupe le centre, dans une fabrique de glaces.

HISTORIQUE

XIIIe s. Se il sont demorant es terres devant dites, et il aportent leur pain es hales, Liv. des mét. 9. Tele ale [foule] avoit en ma meson…, la Rose, 12979. Le roy tint cele feste es hales de Saumur, Joinville, 205.

XIVe s. Nostre dit habitans seront tenus de maintenir les aules du dit lieu, Du Cange, aula.

XVe s. Jean Lyon et aulcuns capitaines de ses gens monterent haut en la halle, Froissart, II, II, 56. Sans tenir ici halle de neant [disputer pour rien], je vous conseille que me baillez ma part, Louis XI, Nouv. XCII.

XVIe s. À chasque fort y avoit une hale pour voir la compagnie entiere et à couvert, D'Aubigné, Hist. II, 148. La recherche des phrases nouvelles et des mots peu cogneus vient d'une ambition puerile et pedantesque ; peusse je ne me servir que de ceulx qui servent aux hales à Paris ! Montaigne, I, 192. Par la coustume l'on tient siege sous la halle d'icelle ville trois jours en chacune sepmaine et à l'heure accoustumée, si comme les lundy, les jeudy et samedy, où sont deux eschevins de la dite ville, Coust. génér. t. II, p. 927.

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Encyclopédie, 1re édition (1751)

HALLE, s. f. (Commerce.) place publique destinée dans les villes & bourgs un peu considérables, à tenir les marchés de toutes sortes de marchandises & denrées, particulierement de celles qui servent à la vie, comme grains, farines, légumes, &c.

On confond quelquefois le mot de halle avec celui de marché, en les prenant l’un & l’autre pour la place dans laquelle les marchands forains viennent à certains jours marqués, qu’on nomme jours de marché, étaler & vendre leur marchandise. Il y a cependant quelque différence ; le nom de marché appartenant à toute la place en général où se font ces assemblées de vendeurs & d’acheteurs, & celui de halle ne signifiant que cette portion particuliere de la place qui est couverte d’un appenti, & quelquefois enfermée de murs pour la sûreté des marchandises, & pour les garantir de la pluie & autres intempéries de l’air.

Halle se disoit aussi autrefois de ces grands édifices de charpente couverts de tuiles, entourés de murs & fermés de portes, où se tiennent plusieurs des principales foires de France.

C’est ainsi entre autres que la foire Saint-Germain qui se tient à Paris, & la franche de Caën, si célebre en basse Normandie, sont appellées dans les titres de leur établissement ; & c’est pareillement de deux de ces sortes de bâtimens destinés aux anciennes foires de Paris, que les principaux marchés de cette ville ont pris le nom de halles.

C’est à Philippes Auguste que cette capitale doit l’établissement de ses halles dans le lieu où elles sont présentement. Ce prince y transféra les foires qui se tenoient dans les fauxbourgs Saint-Martin & Saint-Denis ; elles furent ensuite converties en marchés par la suppression des foires ; & en 1550 Henri II. ordonna qu’elles seroient rebâties. Il n’est point arrivé depuis de changement considérable aux halles de Paris ; & elles se trouvent présentement à-peu-près de même qu’elles furent rebâties dans le milieu du seizieme siecle.

Toutes les halles de Paris, à l’exception de la halle aux vins, sont renfermées dans celui des vingt quartiers de cette capitale, que l’on appelle le quartier des halles, qui est borné à l’orient par la rue Saint-Denis, au nord par la rue Mauconseil, à l’occident par les rues Comtesse d’Artois & de la Tonnellerie, & au midi par celles de la Ferronnerie, de Saint-Honoré, & de la Chausseterie.

Les halles sont ou couvertes ou découvertes : les halles couvertes sont la halle aux draps, la halle aux toiles, la halle aux cuirs, la halle à la saline, autrement le fief d’Alby, la halle à la marée fraîche, le parquet à la marée, & la halle au vin, dont nous dirons un mot ci-dessous.

Les halles découvertes sont la grande halle qui contient la halle ou marche au blé & autres grains qui s’y vendent tous les mercredis & samedis ; la halle à la farine qui ouvre tous les jours ; la halle au beurre qui se tient tous les jeudis après diner ; la halle à la chandelle, où les Chandeliers privilégiés apportent celle qu’ils fabriquent ; elle ne tient que tous les samedis ; la halle aux chanvres, filasses, & cordes à puits, où cette marchandise se débite tous les jours ; la halle aux pots de grais & à la boisseterie, ouverte également tous les jours : enfin la halle à la chair de porc-frais & salé, qui se tient les mercredis & samedis.

Au milieu de la grande halle est établi le poids-le-roi, pour toutes les diverses sortes de marchandises qui se vendent dans ces différentes halles, & dont les pesées sont trop fortes pour être faites dans des balances communes. On voit aussi au milieu du quartier des halles, le pilori, espece de tour où l’on expose plusieurs sortes de malfaiteurs, & entre autres les banqueroutiers frauduleux. Voyez Pilori & Poids-le-roi.

Outre toutes les halles comprises dans l’enceinte de la grande halle, il y a encore la halle du poisson d’eau-douce le long de la rue de la Cossonnerie ; la vente de cette marchandise commence à trois heures du matin, & finit à sept. La halle du pilori où se trouvent la halle au beurre en petites mottes, & la halle aux œufs que les coquetiers y apportent de Normandie & de Brie. Enfin on met au nombre des halles découvertes la halle aux poirées & la rue aux fers, où les Jardiniers & les marchandes Bouquetieres, les Herbieres & les Herboristes, exposent leurs denrées.

Des sept halles couvertes de Paris, les deux plus considérables sont la halle aux draps & la halle aux toiles. La halle aux draps est un grand bâtiment destiné à recevoir tous les draps & autres étoffes de la Mercerie qui sont apportés à Paris, pour y être visités, aunés & marqués par les maîtres & gardes des deux corps de la Draperie & de la Mercerie & par les auneurs par eux commis à cet effet. La halle aux toiles se tient dans le même bâtiment ; avec cette différence, que tous les appartemens hauts & une partie de ceux d’en-bas, sont destinés pour la Draperie, & qu’il n’y a que quelques travées du bas reservées pour la Toilerie.

La halle au vin est établie hors de la ville, assez proche de la porte Saint-Bernard. Elle consiste en de grands celliers & en plusieurs caves qui servent d’étape aux vins venans à Paris par la riviere. Au-dessus des celliers sont de vastes greniers où l’on peut conserver une grande quantité de grains pour servir en cas de nécessité publique. Il s’observe dans toutes ces halles & pour les différentes marchandises, une police très-réguliere conforme à divers reglemens, dont on peut voir le détail dans le Dictionnaire de Commerce de M. Savary, aussi-bien que ce qui regarde les halles de la ville d’Amiens, sous le mot Halle. Voyez le Dictionnaire du Commerce.

Halle, Hala Magdeburgica, (Géog.) ville d’Allemagne dans la haute-Saxe, au duché de Magdebourg, avec une fameuse université fondée en 1694. Son nom lui vient des salines que les Hermandures y trouverent, & qui subsistent toûjours ; elle appartient par le traité de Westphalie à l’électeur de Brandebourg ; elle est dans une grande plaine agréable sur la Saale, à 5 milles N. O. de Leipsick, 8 S. O. de Wirtemberg, 11 S. E. de Magdebourg. Long. 30. 8. latit. 51. 36.

C’est la patrie de Balthasar Brunner, & de Paul Herman : le premier voyagea beaucoup, cultiva la Medecine & la Chimie, & mourut en 1604 âgé de 71 ans ; le dernier est un des célebres botanistes du dix-septieme siecle. Il fut reçû professeur dans cette science à Leyde, après avoir exercé la Medecine à Ceylan, & mourut en 1695. On a publié la vie de plusieurs autres savans nés à Halle, ou qui en ont été professeurs ; j’y renvoye les curieux en Biographie. (D. J.)

Halle, (Géog.) ville libre & impériale d’Allemagne dans la Suabe, avec des salines sur la riviere de Koher, entre des rochers & des montagnes. Elle est située aux confins du Palatinat, de la Franconie, & du Duché de Wirtemberg, à neuf de nos lieues, E. d’Heilbron, quinze N. E. de Stutgard. Elle doit sa fondation aux sources sallées. Long. 27. 30. latit. 49. 6. (D. J.)

Halle, (Géog.) petite ville démantelée des Pays-Bas Autrichiens dans le Hainaut, & sur les confins du Brabant. Ce lieu prend son nom de l’église de Notre-Dame, qui en est la tutélaire, & qu’on appelle vulgairement Notre-Dame-de-Halle, ou de-Hau. Juste Lipse qui a écrit l’histoire des présens que l’ancienne dévotion a valu à cette église, pendit pour son offrande une plume d’argent devant l’autel. Halle fut pillée par les François en 1691 ; elle est sur la Zinne, à dix lieues N. E. de Mons, trois S. O. de Bruxelles. Long. 21. 50. lat. 50. 44. (D. J.)

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Étymologie de « halle »

Ital. alla, de l'anc. haut-allem. halla, temple ; all. mod. Halle, sale ; angl. hall. Il paraît y avoir eu dans l'ancien français confusion entre halle, et le latin aula, cour.

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De l’allemand Halle.
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Phonétique du mot « halle »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
halle al

Citations contenant le mot « halle »

  • La grande dégustation annuelle de grands vins de Cahors et de Côtes du Lot se déroulera ce lundi 10 août sous la halle de Castelfranc en soirée à partir de 18 heures. ladepeche.fr, Castelfranc. Dix vins sous la halle - ladepeche.fr
  • Connaissez-vous ce fantôme qui hante (encore) la halle du Marché provençal à Antibes? Nice-Matin, Connaissez-vous ce fantôme qui hante (encore) la halle du Marché provençal à Antibes? - Nice-Matin
  • Cette halle, dès sa construction, avait pour rôle principal d'attirer les marchands en leur offrant un abris. Elle a également été utilisée comme salle de spectacle, d'église temporaire et d'entrepôt entre 1940 et 1944. Aujourd'hui encore, les habitants de la commune s'en servent pour les cérémonies telles que les cocktails du 14 juillet. www.larep.fr, La halle et l'Eglise d'Aschères-le-Marché, deux lieux chargés d'histoire à découvrir - Aschères-le-Marché (45170)
  • La grande dégustation annuelle de grands vins de Cahors et de Côtes du Lot se déroulera ce lundi 10 août sous la halle de Castelfranc en soirée à partir de 18 heures. ladepeche.fr, Castelfranc. Dix vins sous la halle - ladepeche.fr
  • Connaissez-vous ce fantôme qui hante (encore) la halle du Marché provençal à Antibes? Nice-Matin, Connaissez-vous ce fantôme qui hante (encore) la halle du Marché provençal à Antibes? - Nice-Matin
  • Cette halle, dès sa construction, avait pour rôle principal d'attirer les marchands en leur offrant un abris. www.larep.fr, La halle et l'Eglise d'Aschères-le-Marché, deux lieux chargés d'histoire à découvrir - Aschères-le-Marché (45170)

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Traductions du mot « halle »

Langue Traduction
Anglais hall
Espagnol salón
Italien sala
Allemand halle
Chinois 大厅
Arabe صالة
Portugais corredor
Russe зал
Japonais ホール
Basque aretoa
Corse sala
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Synonymes de « halle »

Source : synonymes de halle sur lebonsynonyme.fr

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Nombre de points du mot halle au scrabble : 8 points

Halle

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