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Assouvir

Définitions de « assouvir »

Trésor de la Langue Française informatisé

ASSOUVIR, verbe trans.

I.− Emplois trans.
A.− [Le compl. désigne une sensation, un sentiment, une passion] Assouvir qqc.
1. Vieilli. [En parlant de la faim et de la soif] Apaiser une faim vorace, une soif intense. Le besoin d'assouvir la faim; assouvir sa faim ou sa soif (P. Leroux, De l'Humanité,t. 1, 1840, p. 36):
1. « C'est une faim canine qu'on assouvira difficilement. » Que faut-il faire pour assouvir cette voracité? Ac.1798-1932.
2. [L'obj. désigne un organe des sens, un désir sensuel] (Le) contenter pleinement. Assouvir sa sensualité; assouvir ses yeux, ses regards d'une chose :
2. N'aurais-je pas pu m'asseoir parmi leurs femmes, respecter les lois et les usages qu'elles feignent de respecter, jouer comme elles la pudeur, la fidélité et toutes leurs vertus hypocrites? N'aurais-je pas pu satisfaire tous mes caprices, assouvir toutes mes passions, en consentant à porter un masque et à me placer sous la protection d'une dupe? G. Sand, Lélia,1839, p. 386.
3. ... c'est après avoir excité ses désirs sur moi, que monsieur est allé les assouvir, salement, sur cette triste créature... Mirbeau, Le Journal d'une femme de chambre,1900, p. 283.
3. P. métaph. [L'obj. désigne un sentiment, une passion violente] Leur donner libre cours, les satisfaire. Assouvir un besoin de vengeance; assouvir sur quelqu'un sa rage grandissante (Proust, Du côté de chez Swann, 1913, p. 301); assouvir sa rancune :
4. Le jour de ma colère, ô Rois, flamboie enfin : Voici le fer, le feu, le poison et la corde! J'étancherai ma soif, j'assouvirai ma faim. Le torrent de ma rage est déchaîné, le vin De ma fureur déborde! Leconte de Lisle, Poèmes tragiques,Le Talion, 1886, p. 45.
5. ... pour en finir avec les duchesses qui fréquentaient maintenant chez MmeVerdurin, elles venaient y chercher, (...) un plaisir mondain composé de telles manière que sa dégustation assouvît les curiosités politiques et rassasiât le besoin de commenter entre soi les incidents lus dans les journaux. Proust, Le Temps retrouvé,1922, p. 730.
6. À défaut de ce terrible besoin de tendresse et de plaisir, qui consume les êtres qui y ont une fois goûté, il fallait quelque autre passion, fût-ce la passion contraire : la passion du mépris, de l'orgueilleuse pureté, de la foi dans la vertu. − Elles ne suffisaient pas, elles ne suffisaient plus à assouvir sa faim : à peine pouvaient-elles la tromper un instant. R. Rolland, Jean-Christophe,L'Adolescent, 1905, p. 363.
7. Je retrouve dans les traits d'Athalie ceux mêmes de Phèdre − D'une Phèdre que l'âge aurait guérie des égarements de l'amour et qui assouvirait ses autres passions : l'avarice, l'orgueil, la cruauté, la vengeance, non plus seulement comme Phèdre, en soutenant la vue du soleil sacré, mais en lui tenant tête d'un cœur plein de haine et de défi. Mauriac, Journal 3,1940, p. 298.
Rem. Assouvir peut se dire en bonne part, mais rarement : ,,Il a un désir de gloire qu'il ne peut assouvir`` (Ac. 1798-1932), assouvir son amour passionné de l'étude (Courteline, Un Client sérieux, 1897, p. 65). La nuance apportée est plus forte que dans satisfaire.
B.− Rare. [Le compl. désigne une pers.] Assouvir qqn.Le combler dans ses sensations, ses désirs.
1. [En parlant de la faim ou de la soif] Rassasier :
8. On ne peut assouvir cet enfant, on ne peut l'assouvir de pain, l'assouvir de viande. Ac.1798-1932.
2. Au fig., p. méton. Assouvir son cœur malade, sa chair lassée (Zola, La Curée,1872, p. 326).
II.− Emploi pronom.
A.− Emploi réfl. [Le suj. désigne une pers. ou un animal] Se rassasier de nourriture. S'assouvir d'un pain grossier (Sainte-Beuve, Volupté,t. 2, 1834, p. 130):
9. C'est un poisson mystérieux. Participant d'une double nature puisqu'il vit également hors de l'onde et dans l'onde, nage et rampe, est d'eau douce et d'eau salée, s'assouvit gloutonnement et se rationne jusqu'au jeûne complet et prolongé, ... Pesquidoux, Chez nous,1923, p. 61.
B.− Au fig., emploi réfl. passif
1. [Le suj. désigne une sensation, un sentiment, une passion] Être satisfait :
10. ... c'était une tendresse si confiante et si fraîche, que les mêmes baisers, les mêmes étreintes, avec elle, étaient autre chose; et, chaque nuit, leurs deux ivresses d'amour allaient s'augmentant l'une par l'autre, sans jamais s'assouvir quand le matin venait. Loti, Pêcheur d'Islande,1886, p. 270.
11. Ni Homère ni les autres ne voient que la haine est douce quand elle peut s'assouvir, et douloureuse quand elle ne le peut pas. Votre haine ne peut s'assouvir. Ergo douleur. Montherlant, Malatesta,1946, p. 516.
2. [Le suj. désigne une pers.] Être assouvi, rassasié. S'assouvir de carnage, de sang (Ac. 1835) :
12. Enfin, après m'être assouvi de Rome, je voulus voir Naples. C'est le tombeau de Virgile et le berceau du Tasse qui m'y attiraient surtout. Lamartine, Les Confidences,Graziella, 1849, p. 146.
13. Naturellement, d'après la version de l'accusation, il avait intérêt à cacher le désir furieux où il était de cette malheureuse, qu'il devait égorger pour s'assouvir. Zola, La Bête humaine,1890, p. 267.
PRONONC. ET ORTH. − [asuvi:ʀ], j'assouvis [ʒasuvi]. Fér. 1768 souligne que le verbe ,,et ses dérivés, s'écrivent avec deux ss, mais [qu'] on n'en prononce qu'une``.
ÉTYMOL. ET HIST. − 1. Fin xiies. (?) « satisfaire entièrement » (Chansons du Châtelain de Coucy, V ds Littré : Jamais mes ieuz [je] ne verrai aseuvis De regarder sa bele face tendre) cette chanson ne figure pas dans l'éd. A. Lerond, Chansons attribuées au Chastelain de Couci, Paris, 1964, mais on trouve un emploi semblable du verbe asouveÿr (ibid., XXXIII, 5) dans une chanson qui est prob. de Jakemes (fin xiiies.); 2. fin xiie− début xiiies. acevir « rassasier » (Loherains, Ars. 3143, fo2eds Gdf. Compl. : Trestoz les a fait au souper asseir, Molt les a fait richement acevir); 1268-71 assouvir (E. Boileau, Métiers, 1repart., I, 53 ds Gdf. Compl.); 3. début xviies. pronom. « se contenter, se satisfaire » (Saint-Amant, Elégie à Damon ds Dict. hist. Ac. fr. : pour moy, comme je puis, par tout je m'en acquitte, Sçachant que la Raison, qui connoist son mérite, Requiert que le devoir ne se puisse assouvir En moy de la louer, en toy de la servir). Du gallo-rom. *assopire « calmer » (FEW t. 1, p. 161b; EWFS2, 56; Dauzat 1969) du lat. sopire « endormir » (v. aussi assoupir), le croisement avec l'a. fr. assevir « achever » du lat. pop. *assequīre, lat. class. assequī « atteindre » (Varron, Ling. 1, 68 ds TLL s.v., 860, 49) explique la forme acevir au sens 2 et les emplois de assouvir au sens de « achever » attestés en a. fr. dep. ca 1200 (Aye d'Avignon, 125, éd. F. Guessard et P. Meyer ds T.-L. : si tost que j'avroie ma bataille asouvie).
STAT. − Fréq. abs. littér. : 271. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 263, b) 356; xxes. : a) 431, b) 476.
BBG. − Gir. t. 2 Nouv. Rem. 1834, pp. 13-14. − Noter-Léc. 1912.

Wiktionnaire

Verbe - français

assouvir \a.su.viʁ\ transitif 2e groupe (voir la conjugaison)

  1. Rassasier pleinement, délivrer d’une faim vorace, contenter.
    • Dès ce temps, la lecture était devenue chez Louis une espèce de faim que rien ne pouvait assouvir: il dévorait des livres de tout genre, et se repaissait indistinctement d'œuvres religieuses, d'histoire, de philosophie et de physique. — (Honoré de Balzac, « Louis Lambert » in « La Comédie humaine »)
  2. (Par extension) Satisfaire un besoin, une envie.
  3. (Figuré) Satisfaire une passion violente.
    • Il ne fait que punir, traitant des peccadilles avec une sévérité démesurée, poursuivant des enfants innocents pour les fautes de leurs parents, châtiant des populations blanches comme neige pour les torts de leurs dirigeants, s'abaissant même, pour assouvir Sa soif de vengeance, à verser le sang d'inoffensifs agneaux, veaux, moutons et bœufs, en punition d'affronts insignifiants commis par leurs propriétaires. — (Mark Twain, De la religion: Dieu est-il immoral ?, 1906)
    • Châteaubedeau défendait sa vie, mais Cornebille assouvissait sa haine, ce qui le rendait fort. — (René Boylesve, La leçon d’amour dans un parc, Calmann-Lévy, 1920, collection Le Livre de Poche, page 173)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Littré (1872-1877)

ASSOUVIR (a-sou-vir), j'assouvis, j'assouvissais, j'assouvis, j'assouvirai, assouvissant v. a.
  • 1Rassasier, quand la faim est pressante.
  • 2 Fig. Satisfaire. Pour assouvir son avarice, Bossuet, Hist. II, 5. Le dragon qu'annonçait sa prophétique voix Vint sur la race humaine assouvir sa vengeance, Delille, Parad. perdu, ch. IV. Enfin les destins désormais Ont assouvi leur haine, ont épuisé leurs traits, Voltaire, Tancr. V, 5. La foi de ses aïeux, ton amour et ta crainte D'actes de piété ne pourront l'assouvir, Malherbe, II, 1.
  • 3S'assouvir, v. réfl. Se rassasier. Un loup s'assouvissant dans une bergerie.
  • 4 Fig. Adraste nage dans le sang ; il ne peut s'assouvir de carnage, Fénelon, Tél. XVI. Ses ennemis s'assouvissent de son sang, Bossuet, Hist. II, 4. La rigueur de la mort se voulut assouvir, Malherbe, VI, 20. J'ai de quoi m'assouvir de cette ambition, Corneille, Médée, II, 6. Laissez-moi m'assouvir dans mon courroux extrême, Molière, Amph. III, 5. Ils ne peuvent s'assouvir de l'hyperbole, La Bruyère, 1.

REMARQUE

On ne peut dire étancher sa faim, étancher emportant l'idée d'un liquide ; mais bien que assouvir se dise plus particulièrement de la faim et des choses solides, cependant, comme il signifie essentiellement rassasier, il peut se dire aussi des choses liquides ; voy. l'exemple de Bossuet.

HISTORIQUE

XIIe s. Jamais mes ieuz [je] ne verrai aseuvis De regarder sa bele face tendre, Couci, v. Il est venus à l'aire [place] où cele [la dame] est qui ses bons Est preste d'asevir [assouvir ses bons, faire sa volonté], Audefroi le Bastard, Romancero, p. 34.

XIIIe s. Les grands gelées et les grands iaues, par l'empeschement desquelles li talemelier [boulanger] de Paris ne puissent asouvir la ville de Paris, Liv. des mét. 16. Du roi [ils] durent avoir lor vie ; Li rois ne l'a pas assouvie : Or guerroient sa nascion, Rutebeuf, 104. [Tu] N'asouviras pas ton desir, ib. II, 138. Quant le roy ot assouvie la forteresse du bourc de Jaffe, Joinville, 275. Et à l'aide de Dieu le livre est assouvi [achevé] en deux parties, Joinville, 191.

XIVe s. Le beau soleil, pere de vie, Sa circonference assouvie En passant par un chascun signe, Nat. à l'alch. err.

XVe s. Et se peut et doit-on esmerveiller où pourveances pouvoient estre prises pour assouvir un tel ost, Froissart, II, II, 211. Et tout payoient pauvres gens parmi le royaume de France, car les tailles y estoient si grandes pour assouvir ce voyage que les plus riches s'en doloient, Froissart, II, III, 36. Et on ne les pouvoit assouffir, Froissart, II, III, 99. Fors et appers, convoiteux de vouloir Tout assovir et plus que mon povoir, Deschamps, Erreurs de la jeunesse. Il delibera faire à Dieu sacrifice du corps qu'il lui avoit presté bel et puissant, assouvi [accompli] de taille, autant et plus que personne de sa contrée, excepté que perdu avoit un œil en un assaut, Louis XI, Nouv. XVI. Beaux compagnons, bien assouvis et adressés de tout ce qu'on doit louer en gentilhomme vertueux, Louis XI, ib. LVIII.

XVIe s. Cesar, Hector, de vaillance assouvis, Malgré la mort par bon regnom [renom] sont vifz, Marot, J. V, 288. Je fuz nagueres amoureux De dame en beaulté assouvie, Marot, J. V, 332. Une heureuse rencontre, qui puisse assouvir nos longs desirs, Despériers, Contes, CXXVIII.

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Étymologie de « assouvir »

Picard, assoufi, assufi, qu'on trouve aussi dans l'ancien français. Diez le tire du gothique ga-sôthian, rassasier, par substitution du v au t, comme dans pouvoir du bas-latin potere ; mais, si cela était, on trouverait, dans l'ancien français, assoïr, comme on trouve pooir. Or, la persistance du v dans assouvir, et même la transformation en f montrent qu'il n'est pas assimilable au v de pouvoir. Littéralement, assouvir représenterait le latin assopire, si le sens le permettait. Remarquons les diverses significations de assouvir dans l'ancien français, rassasier, approvisionner, achever, accomplir, parfaire, et les deux formes assouvir et assufir ou assoufir. On peut croire qu'il y a eu confusion en un seul, de deux verbes, as-sopire, assoupir, d'où rassasier (satisfaire la faim, l'assoupir), et assuficere, suffire, satisfaire, achever, accomplir : cela rendrait compte de tout, sens et forme.

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(Siècle à préciser) Du latin sopire (« endormir ») via un bas-latin *assopire (« faire s'endormir », « calmer ») qui donne aussi, proprement, assoupir, le mot est, en ancien français, devenu homonyme de assovir, assevir, assuir (« terminer, achever, accomplir ») qui dérive du latin assequor (« suivre jusqu'à, achever ») et explique le sens de « mener à bien, mener à terme [une vengeance, une passion] ».
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Phonétique du mot « assouvir »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
assouvir asuvir

Fréquence d'apparition du mot « assouvir » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « assouvir »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « assouvir »

  • Je bouffe de temps en temps des asticots pour assouvir un sentiment de vengeance par anticipation.
    Philippe Geluck — Et vous, chat va ?
  • Il est dangereux d'être trop empressé auprès des femmes et de les assouvir. Il faut de l'indifférence pour les enflammer ; et elles s'accoutument autant de caresses excessives qu'elles s'en dégoûtent à la fin.
    Antoine de Rivarol
  • Il y a assez de tout dans le monde pour satisfaire aux besoins de l'homme, mais pas assez pour assouvir son avidité.
    Gandhi
  • La joie de satisfaire un instinct resté sauvage est incomparablement plus intense que celle d'assouvir un instinct dompté.
    Sigmund Freud — Malaise dans la civilisation
  • Il est moins doux d'assouvir son amour que de satisfaire à sa vengeance.
    Paul-Jean Toulet — Les Trois Impostures
  • Un Australien qui, armé d'une machette, avait été engagé pour entrer par effraction dans la maison d'un client, l'attacher et le caresser avec un balai a été déclaré non coupable, après s'être trompé d'adresse. Terrence Leroy, originaire de Sydney, et un associé, s'étaient présentés un dimanche matin de juillet à Goolgowi, une localité rurale de Nouvelle-Galles du Sud, armés et prêts à assouvir les fantasmes sexuels d'un client qui les avait contactés sur Facebook, selon des documents rendus publics par le tribunal de district de Nouvelle-Galles du Sud, comme le raconte le site australien News.com.au (lien en a,anglais)
    ladepeche.fr — Australie : engagés pour assouvir un fantasme, ils se trompent de maison  - ladepeche.fr
  • Venez assouvir vos désirs d’ailleurs au musée de la Castre à Cannes
    Nice-Matin — Venez assouvir vos désirs d’ailleurs au musée de la Castre à Cannes - Nice-Matin
  • "Amis pêcheurs, vous pouvez retrouver les truites de la vallée du Tarn" : C’est Claude Desplats, le président de l’AAPPMA qui nous annonce la bonne nouvelle, reprenant ainsi le message de Jean Boyer, président de la Fédération départementale. Les pêcheurs retrouvent enfin la possibilité d’assouvir leur passion.
    ladepeche.fr — Saint-Juéry. La pêche reprend - ladepeche.fr
  • Le bonheur, c'est d'être célèbre pour ta réussite financière et d'assouvir tes caprices.
    Bill Watterson — Calvin et Hobbes - Adieu, monde cruel !
  • Quitter un métier passionnant mais anxiogène, voire déprimant, pour assouvir une volonté de faire plaisir aux autres et à soi-même, en se formant à la restauration (pour se faire reconnaître par des pairs masculins souvent ironiques). Et aussi parce que depuis tout temps, dans la famille, on a cuisiné, tenu des cafés… D’où le vrai feeling avec la famille Mancina-Parent dont on parle encore ici et ce, depuis presque un siècle. On vérifie tout ça avec les cartes postales anciennes accrochées sur les murs où on se reconnaît dans le ventre de sa maman sur le balcon de l’hôtel.
    midilibre.fr — La cheffe, Sabine Planard, reprend Le Commerce - midilibre.fr
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Traductions du mot « assouvir »

Langue Traduction
Anglais satiate
Espagnol saciar
Italien saziare
Allemand sättigen
Chinois 饱足
Arabe اشبع
Portugais saciar
Russe насыщать
Japonais 飽く
Basque satiate
Corse satiate
Source : Google Translate API

Synonymes de « assouvir »

Source : synonymes de assouvir sur lebonsynonyme.fr

Combien de points fait le mot assouvir au Scrabble ?

Nombre de points du mot assouvir au scrabble : 11 points

Assouvir

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