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Aimé
Sommaire
- Définitions de « aimé »
- Étymologie de « aimé »
- Phonétique de « aimé »
- Fréquence d'apparition du mot « aimé » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « aimé »
- Citations contenant le mot « aimé »
- Images d'illustration du mot « aimé »
- Vidéos relatives au mot « aimé »
- Traductions du mot « aimé »
- Antonymes de « aimé »
- Combien de points fait le mot aimé au Scrabble ?
Définitions de « aimé »
Trésor de la Langue Française informatisé
AIMÉ, ÉE, part. passé et adj. verbal.
Wiktionnaire
Adjectif - français
aimé \ɛ.me\
-
Chéri.
- Quand Lucien eut engagé la lutte par une de ces fortes bouderies dont se rient les femmes encore libres d’elles-mêmes et qui n’attriste que les femmes aimées, Louise prit un air digne et commença l’un de ces longs discours bardés de mots pompeux. — (Honoré de Balzac, Nouvelles Scènes de la vie de province, Meline Cans et Compagnie, 1837, page 124)
- Nous nous souvenons du premier dîner avec l’être aimé (nous pouvions à peine manger, tant le désir de l’autre nous emplissait). Nous nous souvenons du goût de son corps sur notre langue. — (Françoise Vergès, À vos mangues !, traduction de Dominique Malaquais, dans Politique africaine, 2005/4, n° 100, page 319)
-
Apprécié.
- Évitez l’erreur fréquente qui consiste à obliger l’enfant à finir le plat qu'il n’aime pas en lui promettant un dessert aimé après. — (Jacqueline Rossant-Lumbruso, Lyonel Rossant, Bien nourrir son bébé : De 0 à 3 ans, Odile Jacob, 2007, page 180)
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Avoir un sentiment d'affection, un vif attachement pour quelqu'un ou pour quelque chose. Aimer Dieu par-dessus toutes choses. Aimer son prochain comme soi-même. Aimer son père et sa mère. Aimer ses enfants, sa famille. Aimer une femme. Aimer d'un amour honnête. Aimer tendrement. Aimer quelqu'un plus que ses yeux, l'aimer plus que sa vie, plus que le jour, plus qu'on ne peut dire, l'aimer à la folie, jusqu'à la folie. Aimer éperdument. Aimer de tout son cur. Aimer quelqu'un d'amitié, de bonne amitié. Aimer son chien, son cheval. Cette femme aime beaucoup son perroquet. On le dit également en parlant des Choses physiques ou morales. Aimer son pays, sa patrie. Aimer sa maison de campagne, ses livres, etc. Aimer l'étude, le travail. Aimer son devoir. Aimer la vertu. Aimer la gloire. Il devrait suffire de s'aimer soi-même pour éviter tout excès. Cet homme s'aime trop pour aimer les autres. Deux personnes qui s'aiment tendrement. Ils s'aiment comme frères. Aimez-vous les uns les autres.
S'AIMER signifie quelquefois Se plaire, trouver plaisir. Il s'aime à la campagne. Je m'aimerais infiniment chez vous, dans votre société. Les pigeons s'aiment où il y a de l'eau. Les oliviers s'aiment dans les lieux sablonneux.
AIMER s'emploie absolument. L'homme est fait pour connaître et pour aimer. Le temps d'aimer. Dans cet emploi, il se dit particulièrement de la Passion de l'amour. Prov., Qui aime bien, châtie bien. Prov. et fig., Qui m'aime, aime mon chien, Quand on aime une personne, on aime tout ce qui lui appartient.
AIMER signifie aussi Avoir un goût plus ou moins vif pour certaines personnes, pour certains animaux, pour certaines choses. Aimer les enfants. Aimer la musique. Aimer la société des femmes. Aimez-vous l'odeur de cette plante? J'aime beaucoup ce tableau. J'aime ce procédé. J'aime ce ton de franchise. Aimer le lait. Cet homme n'est pas difficile à nourrir, il aime tout.
AIMER À, suivi d'un infinitif, signifie Prendre plaisir à quelque chose. Aimer à jouer, à chasser, à se promener. Aimer à lire, à travailler. J'aime à voir comme vous vous conduisez avec lui. Il aime à être flatté, caressé. On dit de même Cet animal aime à courir. Cet arbuste aime à être arrosé, etc.
AIMER, suivi du subjonctif, signifie Trouver bon, avoir pour agréable. Aimez qu'on vous conseille. Il aime qu'on le prévienne. Il n'aime pas qu'on le flatte.
AIMER MIEUX signifie Préférer, aimer une chose par préférence à une autre. Elle a mieux aimé rester fille que de faire le mariage qu'on lui proposait. J'aimerais mieux mourir que de faire une si mauvaise action. J'aime mieux qu'il vienne. Aimer mieux l'étude que le jeu.
Littré (1872-1877)
-
1Aimé parce qu'il était bienfaisant. Aimé de ses concitoyens. Aimé de Dieu.
Ô rives du Jourdain, ô champs aimés des cieux !
Racine, Esth. I, 2. -
2 Substantivement.
[Elle]… verrait en l'aimé ce qu'il y faut blâmer, Si ce même devoir lui commandait d'aimer
, Corneille, Perthar. I, 2.
REMARQUE
Aimé de, aimé par. Il n'y a point de règle précise pour l'emploi de l'une ou de l'autre préposition ; il n'y a que des nuances quelquefois sensibles, et qui d'autres fois se confondent. On se sert généralement de de, à l'exclusion de par, quand le nom n'a point d'article : Aimé de tous ceux qui le connaissent ; aimé de chacun ; cependant il n'y aurait pas de faute à dire aimé par chacun, par tous ceux qui le connaissent. Quand aimé n'est plus simplement participe, mais verbe passif, il faut par de préférence : Cette femme a été aimée par son cousin ; Louis XII fut aimé par ses sujets ; mais on dirait aussi sans faute : Fut aimé de ses sujets. Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'aimé de porte plutôt l'idée sur aimé considéré comme adjectif et exprimant un état ; et aimé par, sur aimé considéré comme participe passif et exprimant une action reçue.
Étymologie de « aimé »
- Participe passé adjectivé de aimer.
Phonétique du mot « aimé »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
aimé | ɛme |
Fréquence d'apparition du mot « aimé » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « aimé »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « aimé »
-
Voilà. Ces personnages vont vous jouer l’histoire d’Antigone. Antigone, c’est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille et se dresser seule en face du monde, seule en face de Créon, son oncle, qui est le roi. Elle pense qu’elle va mourir, qu’elle est jeune et qu’elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n’y a rien à faire. Elle s’appelle Antigone et il va falloir qu’elle joue son rôle jusqu’au bout… Et, depuis que ce rideau s’est levé, elle sent qu’elle s’éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous, qui sommes là bien tranquilles à la regarder, de nous qui n’avons pas à mourir ce soir.Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l’heureuse Ismène, c’est Hémon, le fils de Créon. Il est le fiancé d’Antigone. Tout le portait vers Ismène : son goût de la danse et des jeux, son goût du bonheur et de la réussite, sa sensualité aussi, car Ismène est bien plus belle qu’Antigone ; et puis un soir, un soir de bal où il n’avait dansé qu’avec Ismène, un soir où Ismène avait été éblouissante dans sa nouvelle robe, il a été trouver Antigone qui rêvait dans un coin, comme en ce moment, ses bras entourant ses genoux, et il lui a demandé d’être sa femme. Personne n’a jamais compris pourquoi. Antigone a levé sans étonnement ses yeux graves sur lui et elle lui a dit « oui » avec un petit sourire triste… L’orchestre attaquait une nouvelle danse, Ismène riait aux éclats, là-bas, au milieu des autres garçons, et voilà, maintenant, lui, il allait être le mari d’Antigone. Il ne savait pas qu’il ne devait jamais exister de mari d’Antigone sur cette terre et que ce titre princier lui donnait seulement le droit de mourir.Cet homme robuste, aux cheveux blancs, qui médite là, près de son page, c’est Créon. C’est le roi. Il a des rides, il est fatigué. Il joue au jeu difficile de conduire les hommes. Avant, du temps d’Œdipe, quand il n’était que le premier personnage de la cour, il aimait la musique, les belles reliures, les longues flâneries chez les petits antiquaires de Thèbes. Mais Œdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches, et il a pris leur place.Quelquefois, le soir, il est fatigué, et il se demande s’il n’est pas vain de conduire les hommes. Si cela n’est pas un office sordide qu’on doit laisser à d’autres, plus frustes… Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu’il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée.La vieille dame qui tricote, à côté de la nourrice qui a élevé les deux petites, c’est Eurydice, la femme de Créon. Elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu’à ce que son tour vienne de se lever et de mourir. Elle est bonne, digne, aimante. Elle ne lui est d’aucun secours. Créon est seul. Seul avec son petit page qui est trop petit et qui ne peut rien non plus pour lui.Ce garçon pâle, là-bas, au fond, qui rêve adossé au mur, solitaire, c’est le Messager. C’est lui qui viendra annoncer la mort d’Hémon tout à l’heure. C’est pour cela qu’il n’a pas envie de bavarder ni de se mêler aux autres. Il sait déjà…Enfin les trois hommes rougeauds qui jouent aux cartes, leurs chapeaux sur la nuque, ce sont les gardes. Ce ne sont pas de mauvais bougres, ils ont des femmes, des enfants, et des petits ennuis comme tout le monde, mais ils vous empoigneront les accusés le plus tranquillement du monde tout à l’heure. Ils sentent l’ail, le cuir et le vin rouge et ils sont dépourvus de toute imagination. Ce sont les auxiliaires toujours innocents et toujours satisfaits d’eux-mêmes, de la justice. Pour le moment, jusqu’à ce qu’un nouveau chef de Thèbes dûment mandaté leur ordonne de l’arrêter à son tour, ce sont les auxiliaires de la justice de Créon.Et maintenant que vous les connaissez tous, ils vont pouvoir vous jouer leur histoire. Elle commence au moment où les deux fils d’Œdipe, Étéocle et Polynice, qui devaient régner sur Thèbes un an chacun à tour de rôle, se sont battus et entre-tués sous les murs de la ville, Étéocle l’aîné, au terme de la première année de pouvoir, ayant refusé de céder la place à son frère. Sept grands princes étrangers que Polynice avait gagnés à sa cause ont été défaits devant les sept portes de Thèbes. Maintenant la ville est sauvée, les deux frères ennemis sont morts et Créon, le roi, a ordonné qu’à Étéocle, le bon frère, il serait fait d’imposantes funérailles, mais que Polynice, le vaurien, le révolté, le voyou, serait laissé sans pleurs et sans sépulture, la proie des corbeaux et des chacals… Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort.Pendant que le Prologue parlait, les personnages sont sortis un à un. Le Prologue disparaît aussi. L’éclairage s’est modifié sur la scène. C’est maintenant une aube grise et livide dans une maison qui dort. Antigone entr’ouvre la porte et rentre de l’extérieur sur la pointe de ses pieds nus, ses souliers à la main. Elle reste un instant immobile à écouter. La nourrice surgit.
Jean Anouilh — Antigone -
Ils auraient aimé être riches. Ils croyaient qu’ils auraient su l’être. Ils auraient su s’habiller, regarder, sourire comme des gens riches. Ils auraient eu le tact, la discrétion nécessaires. Ils auraient oublié leurs richesses, auraient su ne pas l’étaler. Ils ne s’en seraient pas glorifiés. Ils l’auraient respirée. Leurs plaisirs auraient été intenses. Ils auraient aimé marcher, flâner, choisir, apprécier. Ils auraient aimé vivre. Leur vie aurait été un art de vivre.
Georges Perec — Les Choses -
Je me dis seulement : » À cette heure, en ce lieu,Un jour, je fus aimé, j’aimais, elle était belle. »J’enfouis ce trésor dans mon âme immortelle,Et je l’emporte à Dieu !
Alfred de Musset — Souvenir -
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emporté sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âgesJeter l’ancre un seul jour ?Ô lac ! l’année à peine a fini sa carrière,Et près des flots chéris qu’elle devait revoir,Regarde ! je viens seul m’asseoir sur cette pierreOù tu la vis s’asseoir !Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ;Ainsi tu te brisais sur leurs flancs déchirés ;Ainsi le vent jetait l’écume de tes ondesSur ses pieds adorés.Un soir, t’en souvient-il ? nous voguions en silence ;On n’entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux,Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadenceTes flots harmonieux.Tout à coup des accents inconnus à la terreDu rivage charmé frappèrent les échos :Le flot plus attentif, et la voix qui m’est chèreLaissa tomber ces mots :« Ô temps, suspends ton vol ! et vous, heures propices,Suspendez votre cours !Laissez-nous savourer les rapides délicesDes plus beaux de nos jours !Assez de malheureux ici-bas vous implorent,Coulez, coulez pour eux ;Prenez avec leurs jours les soins qui les dévorent ;Oubliez les heureux.Mais je demande en vain quelques moments encore,Le temps m’échappe et fuit ;Je dis à cette nuit : Sois plus lente ; et l’auroreVa dissiper la nuit.Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive,Hâtons-nous, jouissons !L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive ;Il coule, et nous passons ! »Temps jaloux, se peut-il que ces moments d’ivresse,Où l’amour à longs flots nous verse le bonheur,S’envolent loin de nous de la même vitesseQue les jours de malheur ?Hé quoi ! n’en pourrons-nous fixer au moins la trace ?Quoi ! passés pour jamais ? quoi ! tout entiers perdus ?Ce temps qui les donna, ce temps qui les efface,Ne nous les rendra plus ?Éternité, néant, passé, sombres abîmes,Que faites-vous des jours que vous engloutissez ?Parlez : nous rendrez-vous ces extases sublimesQue vous nous ravissez ?Ô lacs ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure !Vous que le temps épargne ou qu’il peut rajeunir,Gardez de cette nuit, gardez, belle nature,Au moins le souvenir !Qu’il soit dans ton repos, qu’il soit dans tes orages,Beau lac, et dans l’aspect de tes riants coteaux,Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvagesQui pendent sur tes eaux !Qu’il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe,Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés,Dans l’astre au front d’argent qui blanchit ta surfaceDe ses molles clartés !Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire,Que les parfums légers de ton air embaumé,Que tout ce qu’on entend, l’on voit ou l’on respire,Tout dise : Ils ont aimé !
Alphonse de Lamartine — Méditations poétiques -
– Je sais bien que c’est ta mère, mais c’est tout de même beau, un amour comme ça. Ça finit par vous faire envie… Y aura jamais une autre femme pour t’aimer comme elle, dans la vie. Ça, c’est sûr. C’était sûr. Mais je ne le savais pas. Ce fut seulement aux abords de la quarantaine que je commençai à comprendre. Il n’est pas bon d’être tellement aimé, si jeune, si tôt. Ça vous donne de mauvaises habitudes. On croit que c’est arrivé. On croit que ça existe ailleurs, que ça peut se retrouver. On compte là-dessus. On regarde, on espère, on attend. Avec l’amour maternel, la vie vous fait à l’aube une promesse qu’elle ne tient jamais. On est obligé ensuite de manger froid jusqu’à la fin de ses jours.
Romain Gary — La Promesse de l’aube -
Âme énigmatique et cœur fermé, il passait pour avoir aimé violemment, autrefois, une femme qui l'avait fait souffrir, et pour s'être ensuite vengé sur les autres.
Guy de Maupassant — Notre cœur -
Mais parce que je n'avais rien compris à ce qu'il disait il était à moitié dans le coaltar, l'estropié, s'est énervée Suzie, en se rencognant contre la vitre. Tu me déçois, Aimé, tu me déçois tellement.
François Chrétien — L'infortune des Lavertue -
Sa mère tire le diable par la queue, pour offrir à son fils des études coûteuses. Paul Cézanne se prend de sympathie pour ce garçon mal aimé, son cadet d'un an.
Bernard Fauconnier — Cézanne -
Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses et dépravées ; le monde n'est qu'un égout sans fond où les phoques les plus informes rampent et se tordent sur des montagnes de fange ; mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c'est l'union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux. On est souvent trompés en amour, souvent blessé et souvent malheureux ; mais on aime, et quand on est sur le bord de sa tombe, on se retourne pour regarder en arrière et on se dit : j'ai souffert souvent, je me suis trompé quelquefois ; mais j'ai aimé. C'est moi qui ai vécu, et non pas un être factice créé par mon orgueil et mon ennui.
Alfred de Musset — On ne badine pas avec l’amour -
Vous, dit Gabriel, je vous emmerde. Non, mes amis, ajouta-t-il à l’intention des autres, non, c’est pas seulement ça (soupir) (silence), mais j’aurais tellement aimé que Marceline puisse m’admirer, elle aussi.
Raymond Queneau — Zazie dans le métro
Traductions du mot « aimé »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | like |
Espagnol | como |
Italien | piace |
Allemand | wie |
Chinois | 喜欢 |
Arabe | يحب |
Portugais | como |
Russe | нравиться |
Japonais | 好き |
Basque | atsegin |
Corse | cum'è |
Antonymes de « aimé »
Combien de points fait le mot aimé au Scrabble ?
Nombre de points du mot aimé au scrabble : 5 points