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Comte

Variantes Singulier Pluriel
Masculin comte comtes

Définitions de « comte »

Trésor de la Langue Française informatisé

COMTE, COMTESSE, subst.

I.− Subst. masc.
A.− Empire romain et Haut Moy. Âge
1. Empire romain. Haut personnage de l'entourage de l'empereur :
1. Il [Dioclétien] occupa, sous Carin et Numérien, la place importante de comte des Domestici, et il fut lui-même successeur de Numérien dont il avoit vengé la mort. Chateaubriand, Les Martyrs,t. 1, 1810, p. 223.
2. Bas-Empire et Haut Moy. Âge. Dignitaire accomplissant une fonction près de l'empereur ou au Palais, ou exerçant un commandement militaire ou un pouvoir délégué par le roi. Comte du Palais (Thierry, Récits des temps mérovingiens,t. 2, 1840, p. 126).Comte de l'écurie (Thierry, Récits des temps mérovingiens,t. 2, 1840p. 198).L'empereur Charlemagne et ses douze pairs... firent un pèlerinage... Il fit asseoir l'empereur de France et les douze comtes autour de sa table (A. France, Les Contes de Jacques Tournebroche,1908, p. 4):
2. Les rois mérovingiens établirent dans chaque ville importante, sur tout le territoire conquis par eux, des hommes auxquels ils déléguèrent leur autorité, et qui, sous le titre de comtes, exercèrent les hautes fonctions de juges et d'administrateurs civils et militaires. A. Thierry, Essai sur l'hist. de la formation et des progrès du Tiers-état,1853, p. 375.
B.− Moy. Âge et hist. mod.
1. Haut Moy. Âge et féod. Celui qui avait, à l'origine, le commandement militaire d'un territoire :
3. Le royaume de Jérusalem, la principauté d'Antioche et le comté d'Edesse se trouvaient simultanément privés de leurs chefs. Un seul des quatre princes francs, le comte Pons de Tripoli, était encore à la tête de ses états. Grousset, L'Épopée des croisades,1939, p. 120.
2. Féod. et hist. mod. Grand féodal gouvernant de manière indépendante et héréditaire une seigneurie ou un fief; gentilhomme (ou celui) qui possédait une terre titrée comté* (cf. baron ex. 1, 2, 3, 6) :
4. ... la première [branche], dite barons de Chateaubriand, souche des deux autres (...) commença l'an 1000 dans la personne de Thiern, fils de Brien, petit-fils d'Alain III, comte ou chef de Bretagne; ... Chateaubriand, Mémoires d'Outre-Tombe,t. 1, 1848, p. 18.
5. Comme chef féodal et duc de France, le roi avait pour vassaux directs les comtes de Blois, d'Anjou et du Maine et les comtes bretons du Mans et de Rennes pour arrière-vassaux. Bainville, Histoire de France,t. 1, 1924, p. 54.
C.− De la féod. à nos jours, cour. Noble dont le titre, conféré par le souverain ou reçu en héritage, se situe entre ceux de marquis et de baron (cf. baron1ex. 7). Lettres de noblesse conférant à perpétuité le titre de comte à... (A. Dumas Père, Richard Darlington,1832, II, 5, p. 100).M. Louis Greffulhe, que sa majesté honora plus tard du titre de comte, vint me voir un matin (Brillat-Savarin, Physiol. du goût,1825, p. 228):
6. ... toutes ces dénominations de comtes et de marquis, qui, lorsqu'elles ne s'attachent ni à des souvenirs ni à des fonctions politiques, ressemblent plutôt à des sobriquets qu'à des titres. Mmede Staël, Considérations sur les princ. événements de la Révolution fr.,t. 1, 1817, p. 289.
II.− Subst. fém.
A.− Moy. Âge. Femme noble possédant de son chef un comté :
7. Quand il [Philippe duc de Touraine, 4efils du roi Jean] n'était encore que duc de Touraine, en 1362, l'empereur Charles IV, de la maison de Luxembourg, grand ami et allié des rois de France, l'avait investi de la comté de Bourgogne. C'était un fief de l'Empire, et l'empereur alléguait qu'il devenait vacant à défaut d'héritier mâle. La chose était fort contestable, puisque Jeanne, comtesse de Bourgogne, avait porté cette comté à Philippe-le-Long, roi de France, et que c'était de Jeanne de France, leur fille, que le duc Eudes IV, et par suite le duc Philippe de Rouvre, la tenaient. Barante, Hist. des ducs de Bourgogne,t. 1, 1824, p. 107.
B.− Cour. Épouse ou veuve d'un comte (cf. baron1ex. 13) :
8. On verra tour à tour briller sur votre tête le tortil des baronnes, la couronne des comtesses et le diadème emperlé des marquises; ... Murger, Scènes de la vie de bohème,1851, p. 249.
Prononc. et Orth. : [kɔ ̃t], fém. [-εs]. Ds Ac. 1694-1932. Homon. compte, conte. Étymol. et Hist. I. Comte A. 1. a) 2emoitié xes. compte cas régime, pendant le haut Moy. Âge désigne un haut dignitaire du royaume qui a souvent reçu du roi un commandement civil ou militaire [désigne ici le maire du Palais, Ébroïn] (St Léger, éd. J. Linskill, 55); b) spéc. ca 1050 cons cas sujet, conpta cas régime désigne sous le Bas-Empire romain, un haut dignitaire proche de l'empereur (Alexis, éd. Chr. Storey, 17, 42); 2. début xiies. dr. féod. queons « celui qui possède un comté » (Lois G. le Conquérant, v. baron1); 1165-70 cante cas sujet (B. de Ste-Maure, Troie, éd. L. Constans, 176); début xiiies. contes cas sujet (Ami et Amile, éd. P. F. Dembowski, 497); 1407 comte (Choix de Pièces inédites relatives au Règne de Charles VI, éd. L. Douët d'Arcq, t. 1, p. 302 ds IGLF). B. 1. 1630 arg. comte de la Carruche « geôlier » (Responce et Complainte au grand Coesre, p. 12); 2. 1872 « niais » (Larch., p. 100); 3. [1878 « compère d'un jeu truqué » (Rig. d'apr. Esn.)]; 1886 (Hogier-Grison, Les Hommes de proie. Le Monde où l'on triche, p. 205). II. Comtesse ca 1100 cuntesse « femme d'un comte, ou qui possède un comté » (Roland, éd. J. Bédier, 3729). I du lat. class. comes, -itis « compagnon », « qui est lié à, au service de quelqu'un » spéc. « personne attachée à la suite d'un magistrat, d'un empereur romain » puis « représentant de ces hauts personnages, chargé de certaines fonctions publiques » (TLL s.v., 1776 et 1777) parfois militaires (ca 390 Ammien Marcellin, ibid., 1779, 75); sous les Mérovingiens et les Carolingiens ce terme désigne le titre donné à de hauts dignitaires, notamment les comites palatii; avec l'affaiblissement du pouvoir royal à partir du ixes., le mot s'applique à celui qui possède un comté (Nierm.; v. aussi Hollyman, pp. 109-114). II dér. de comte avec le suff. de abbesse*; cf. lat. médiév. comitissa « femme ou veuve d'un comte » vies. d'apr. Latham, « femme qui a la charge d'un comté » (1028 ds Mittellat. W. s.v., 930, 13). Fréq. abs. littér. Comte : 11 165. Comtesse : 3 921. Fréq. rel. littér. Comte : xixes. : a) 30 278, b) 21 497; xxes. : a) 9 513, b) 4 403. Comtesse : xixes. : a) 8 048, b) 8 367; xxes. : a) 5 103, b) 2 254. Bbg. Hollyman (K. J.). Le Développement du vocab. féod. en France pendant le haut Moy. Âge. Paris, 1957, 202 p. − Rog. 1965, p. 117. − Sain. Arg. 1972 [1907], p. 51, 190.

Wiktionnaire

Nom commun - français

comte \kɔ̃t\ masculin (pour une femme, on dit : comtesse)

  1. (Antiquité) Dignitaire des derniers temps de l’empire romain et du bas-empire.
    • Comte du sacré palais.
  2. (Spécialement) Commandant militaire.
  3. Fonctionnaire gouvernant une division du territoire sous l’autorité du roi ; en échange de ce service, les comtes reçoivent le droit de percevoir les revenus de propriétés publiques ou des droits régaliens, le bénéfice.
    • Un comte francien. — Charlemagne convoquait aux assemblées les évêques et les comtes.
    • Les rois […] s’endormaient sur le trône, et, me servant sans honte, laissaient le sceptre aux mains ou d’un maire ou d’un comte. — (Nicolas Boileau-Despréaux, Lutr. II. — cité par Littré)
  4. Souverain d’une seigneurie du premier degré, dans le régime féodal.
    • Des comtes et des palatins embrassent la vie cénobitique. Or, cette vie exige une austérité décourageante. — (Abbé Paul Buysse, Vers la Foi catholique : L'Église de Jésus, 1926, page 148)
    • Le relâchement du lien vassalitique est une des causes de la défaite finale du Midi et de son suzerain, le comte de Toulouse. — (Paul Gachon, Histoire du Languedoc, Boivin & Cie, 1941, p.89)
    • Comme tous les édifices de cette époque, le château des comtes de Montgommery ne présentait aucune régularité. — (Alexandre Dumas, Les Deux Diane, 1847, chap.1)
  5. (Noblesse) Titre de noblesse, qui désigne le dignitaire d’un rang au-dessus des vicomtes et un au-dessous de celui de marquis.
    • Son mari est de l’extrême droite. Être comte de Blancmauger et n'être pas de l’extrême droite, cela n'aurait ni queue ni tête, et les Blancmanger se piquent d'avoir tête et queue, bec et ongles, de père en fils, depuis le déluge... et même avant. — (Quatrelles, « In extremis », dans La Vie parisienne du 7 juin 1873, p. 358)
    • Des impôts considérables accablaient les vilains, écrasait les pauvres gens, épargnant les princes et les ducs, les comtes et les marquis. — (Alfred Barbou, Les Trois Républiques françaises, A. Duquesne, 1879)
    • La société enrichie la veille par des spéculations, honnêtes ou non, joignait à ses richesses des titres nobiliaires ; chacun s'improvisait comte, marquis ou baron. — (Général Ambert, Récits militaires : L'invasion (1870), page 240, Bloud & Barral, 1883)
    • (Héraldique) Couronne de comte.

Nom commun - français

comtesse \kɔ̃.tɛs\ féminin

  1. (Noblesse) Épouse ou veuve d’un comte.
    • Quoique la comtesse aspirât à régner sur Paris et qu’elle essayât de marcher de pair avec mesdames les duchesses de Maufrigneuse, de Chaulieu, les marquises d’Espard et d’Aiglemont, les comtesses Féraud, de Montcornet, de Restaud, madame de Camps et mademoiselle Des Touches, elle ne céda point à l’amour du jeune vicomte de Portenduère qui fit d’elle son idole. — (Honoré de Balzac, Le Bal de Sceaux, 1830)
    • Je connais des époux assortis :
      Quand « Monsieur » court le guilledou
      « Madame » court la prétantaine
      Et Madame gagne toujours d'une longueur.
      Voilà, comtesse, des steeples-chases autrement divertissants, avouez-le, que ceux de la Marche ou de Vincennes.
      — (Émile Villars, Les oeufs de Pâques de M. le Baron, dans Le roman de la Parisienne, Paris : librairie centrale, 1866, page 48)
  2. (Noblesse) Femme possédant un comté.
    • En 1214, il fit hommage du sénéchalat de Champagne à la comtesse Blanche et à son fils Thibaut, mineur, qu'il jura de défendre, comme étant son homme lige, contre les fils du comte Henri et contre toute créature morte ou vivante. — (Paulin Paris, « Essai sur la généalogie des sires de Joinville », chap. 10 de la Notice sur les manuscrits du sire de Joinville, dans Histoire de Saint Louis, par Jehan Sire de Joinville, Paris : chez Firmin Didot frères, fils & Cie, 1859, p. cxxxiii)
    • L’abbaye, dit-on, doit son origine à une comtesse Cuniga, une sorte de Barbe-Bleue en jupons, qui avait empoisonné ses sept maris et terrifiait toute la contrée par ses crimes. — (Maurice Grandjean, À travers les Alpes autrichiennes, page 147, A. Mame, 1893)
    • […], la comtesse fit incarcérer le meurtrier et, après jugement, celui-ci fut pendu. L’exécution eut lieu le jour de Pourim. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours, 1937)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

COMTE. n. m.
Titre de noblesse qui vient au-dessous de celui de Marquis. Couronne de comte. Il prend la qualité de comte. Monsieur le comte de... Il désignait autrefois le Possesseur d'une terre seigneuriale dite Comté. Comte de Toulouse, d'Artois, etc.

Étymologie de « comte »

Du latin cŏmĭtem, accusatif de cŏmes (« compagnon », « qui est de la suite », « personne de l’escorte », « comte », « dignitaire dans le Bas Empire romain »).
L’ancien français avait comme cas sujet cons (forme atone en emploi proclitique) et sa variante tonique quens (ou cuens), qui dérivent du nominatif cŏmes.
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Fréquence d'apparition du mot « comte » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « comte »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « comte »

  • Nos comtes, quand on les compte, ressemblent à des contes.
    Joseph de Maistre
  • La maison n’est pas comme son nom l’indique une parfumerie, mais une distillerie méditerranéenne experte dans la nouvelle technologie des arômes. Depuis sa création en 2017, Comte de grasse enregistre une augmentation de ses ventes et une forte croissance de ses marchés, grâce à des investissements privés et des levées de fonds.
    Forbes France — Comte de Grasse redéfinit la distillation - Forbes France
  • « Si monsieur le comte, avait dit Mme de Reybert en terminant, m'a jugée défavorablement sur la démarche que je me suis permise à l'insu de M. de Reybert, il doit être maintenant convaincu que nous avons obtenu ces renseignements sur son régisseur de la manière la plus naturelle… »
    Honoré de Balzac — Un Début dans la vie
  • « Parmi les personnes considérables de l'un et de l'autre sexe mortes depuis peu de temps, nous nommerons dame Marguerite de la Vergne. Elle était veuve de M. le comte de la Fayette, et tellement distinguée par son esprit et son mérite qu'elle s'était acquis l'estime et la considération de tout ce qu'il y avait de plus grand en France. Lorsque sa santé ne lui a plus permis d'aller à la Cour, on peut dire que toute la Cour a été chez elle, de sorte que, sans sortir de sa chambre, elle avait partout un grand crédit dont elle ne faisait usage que pour rendre service à tout le monde. On tient qu'elle a eu part à quelques ouvrages qui ont été lus du public avec plaisir et avec admiration. »
    Mercure Galant — juin 1693
  • « Alea jacta est ! » se dit René le Comte, qui avait dû lire César. Il venait d’arracher doucement la petite aiguille et le tuyau plastique qui le rendait tributaire d’un bock. Désormais, il était libre !
    Jean Amila — La bonne tisane
  • LE COMTE, à part. Au moins je suis vengé, cela soulage.FIGARO, à part. Et ce Basile qui devait s'opposer au mariage de Marceline, voyez comme il revient ! — (Au comte qui sort.) Monseigneur, vous nous quittez ?LE COMTE. Tout est jugé.FIGARO, à Brid'oison. C'est ce gros enflé de conseiller.
    Beaumarchais — Le Mariage de Figaro
  • Le Comte. — (À part.) Quel homme ! (Haut.) Un mal subit qui le force à garder le lit…Bartholo. — Garder le lit ! Basile ! Il a bien fait d’envoyer : je vais le voir à l’instant.Le Comte. — (À part.) Oh ! diable ! (Haut.) Quand je dis le lit, monsieur, c’est… la chambre que j’entends.
    Beaumarchais — Le Barbier de Séville
  • Brid’oison, à Figaro. — Qu’oppo… qu’oppo-osez-vous à cette lecture ?Figaro — Qu’il y a, messieurs, malice, erreur ou distraction dans la manière dont on a lu la pièce, car il n’est pas dit dans l’écrit : laquelle somme je lui rendrai, ET je l’épouserai, mais : laquelle somme je lui rendrai, OU je l’épouserai ; ce qui est bien différent.Le Comte — Y a-t-il et dans l’acte ; ou bien ou ?Bartholo — Il y a et.Figaro — Il y a ou.Brid’oison — Dou-ouble-Main, lisez vous-même.Double-Main  (prenant le papier) —Et c’est le plus sûr, car souvent les parties déguisent en lisant. (Il lit.) E. e. e. e. Damoiselle e. e. e. de Verte-Allure e. e. e. Ha ! laquelle somme je lui rendrai à sa réquisition, dans ce château… ET… OU… ET… OU… Le mot est si mal écrit… il y a un pâté.
    Beaumarchais — Le Mariage de Figaro
  • LE COMTE - Ce que je méritais, vous l'avez emporté.DON DIÈGUE - Qui l'a gagné sur vous l'avait mieux mérité.LE COMTE - Qui peut mieux l'exercer en est bien le plus digne.DON DIÈGUE - En être refusé n'en est pas un bon signe.LE COMTE - Vous l'avez eu par brigue, étant vieux courtisan.DON DIÈGUE - L'éclat de mes hauts faits fut mon seul partisan.LE COMTE - Parlons-en mieux, le roi fait honneur à votre âge.DON DIÈGUE - Le roi, quand il en fait, le mesure au courage.LE COMTE - Et par là cet honneur n'était dû qu'à mon bras.DON DIÈGUE - Qui n'a pu l'obtenir ne le méritait pas.LE COMTE - Ne le méritait pas ! Moi ?LE COMTE - (Il lui donne un soufflet.)Ton impudence,Téméraire vieillard, aura sa récompense.
    Le Cid — Acte I
  • La comtesse Sabine, comme on avait pris l'habitude de nommer Mme Muffat de Beuville, pour la distinguer de la mère du comte, morte l'année précédente, recevait tous les mardis, dans son hôtel de la rue de Miromesnil, au coin de la rue de Penthièvre.
    Émile Zola — Nana
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Synonymes de « comte »

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Comte

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