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Soupe
Sommaire
- Définitions de « soupe »
- Étymologie de « soupe »
- Phonétique de « soupe »
- Fréquence d'apparition du mot « soupe » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « soupe »
- Citations contenant le mot « soupe »
- Images d'illustration du mot « soupe »
- Traductions du mot « soupe »
- Synonymes de « soupe »
- Combien de points fait le mot soupe au Scrabble ?
Variantes | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Féminin | soupe | soupes |
Définitions de « soupe »
Trésor de la Langue Française informatisé
SOUPE, subst. fém.
Wiktionnaire
Nom commun - français
soupe \sup\ féminin
- (Désuet) Pain que l’on trempe dans le potage.
-
(Cuisine) Potage dans lequel on trempe du pain et qu’on sert au commencement du repas.
- Il trempait son pain dans sa soupe et il en mordait d’énormes bouchées, […]. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs, 1908, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, Mercure de France, Paris, 1910, page 246 de l’édition de 1921)
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On peut dire que ce fut le lendemain matin seulement, lorsque, au réveil, il se trouva seul chez lui, que le père Turpin s’aperçut que sa femme était morte.
Ce ne fut pas, comme on pourrait le croire, parce qu'il dut préparer sa soupe lui-même. Non. Il la mit au feu, elle bouillit, il la trempa : cela ne faisait pas un gros travail. — (Charles-Louis Philippe, Dans la petite ville, 1910, réédition Plein Chant, page 80) - Le dîner se composait d’une soupe copieuse, d’un bon bouilli et d’une entrée suffisante pour huit personnes. — (Gustave Fraipont, Les Vosges, 1923)
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Le repas de midi se prenait dans une ancienne grange dont la fraîcheur paraissait délicieuse. On nous apporta de la soupe, et je tâchai de cacher ma surprise, mais Lucie, ma voisine, dut la deviner et me lança :
– C’est la coutume ici, même en plein été. Tu verras, ça aide à mieux supporter la chaleur. — (Philippe Delerm, Quiproquo, nouvelle, supplément au magazine « Elle », 1999, page 28.)
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(Par extension) Tout type de potage.
- […] et les libations en l'honneur du brave Coignet furent multipliées pendant toute l'après-midi. Le soir, on mangea la soupe à la jacobine; puis on vagua toute la nuit dans les promenades d'Auxerre. — (Anonyme, Notice, sur Les Cahiers de Capitaine Coignet, dans Les Veillées populaires, n° 2, le 23 novembre 1899, p. 2, Paris : Librairie Hachette)
- Rappelons seulement que la harira, soupe marocaine très spécifique est, quand elle est réussie, un chef-d’œuvre de l'ingéniosité des femmes de cette contrée. — (ʻĀʼishah Bilʻarabī, Corps au féminin, Éditions le Fennec, 1991, page 7)
- Je vis de bonne soupe et non de beau langage. Vaugelas n’apprend point à bien faire un potage […] — (Molière, Les Femmes savantes (1672) → lire en ligne)
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(Familier) (Par extension) Repas.
- À la soupe !
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(Sports d’hiver) (Figuré) Neige gorgée d’eau.
- En bas des pistes, c’était plutôt de la soupe, mais on avait beau temps.
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(Péjoratif) Ensemble de mots dits ou écrits de façon incompréhensible.
- [L’étude] peut certes être interprétée de façon intéressée, permettant à d’aucuns conseils, en permanence connectés à Wall Street, de servir une soupe technophile et délicieusement dérégulée à leurs multinationales clientes.— (Ariel, Kyrou, Le numérique creuse-t-il vraiment la tombe de l’emploi ?, Uzbek & Rica le 31 mars 2017)
- (Péjoratif) (Musique) Morceau de musique trop commercial et simpliste.
- (Par extension) (Péjoratif) (Télévision) Programmation télévisuelle (feuilleton, téléfilm, journal, jeux, etc.) bas de gamme à visée commerciale explicite qui tente de s’aligner sur le plus large public possible.
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(Péjoratif) Production intellectuelle, considérée comme une marchandise.
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Il écrivait aussi, et répétait désormais à qui voulait l’entendre qu’un livre vendu à plus de trois mille exemplaires était une infamie.
Tout cela oui, mais autre chose. Le principe même de la promotion. Comme une salissure. Aller vendre sa soupe. Finalement, ce n’était pas autre chose. Ne plus écrire, mais devenir une espèce de commis voyageur de son écriture. — (Philippe Delerm, La bulle de Tiepolo, Gallimard, 2005, collection Folio, pages 66-67.)
-
Il écrivait aussi, et répétait désormais à qui voulait l’entendre qu’un livre vendu à plus de trois mille exemplaires était une infamie.
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
Potage, aliment liquide dans lequel trempe ordinairement du pain et qu'on sert au commencement du repas. Soupe grasse. Soupe maigre. Soupe à la tortue. Soupe aux herbes. Soupe à l'oignon. Soupe aux choux. Soupe au lait. Une bonne soupe. Faire mitonner la soupe. Servir la soupe. Une assiette de soupe. Tailler la soupe, Couper du pain par tranches pour les mettre dans le potage. Tremper la soupe, Verser le bouillon sur les tranches de pain, un moment avant de servir le potage. Fig. et fam., Trempé comme une soupe, Très mouillé. Fig. et fam., S'emporter comme une soupe au lait, Se mettre facilement, promptement en colère. Au moindre mot, il s'emporte comme une soupe au lait. C'est une soupe au lait. Un cheval soupe de lait, un pigeon soupe de lait ou de plumage soupe de lait, Un cheval qui est d'un blanc tirant sur l'isabelle, un pigeon de la même couleur. Fig. et fam., Cela vient comme des cheveux sur la soupe. Voyez CHEVEU. Prov., La soupe fait le soldat, On ne peut rien tirer d'un soldat qui est mal nourri.
Littré (1872-1877)
-
1Sorte d'aliment fait de potage et de tranches de pain, ou même de pâtes, de riz, etc. et qui se sert avant tout autre mets. Une soupe au vermicelle. Une soupe à la semoule. Soupe grasse. Soupe maigre. Soupe aux herbes. Soupe à la purée. Soupe au lait.
Et lui qui pour la soupe avait l'esprit subtil
, Régnier, Sat. VIII.Ils s'ennuyaient particulièrement de ne point manger la soupe
, Pellisson, Lett. hist. t. III, p. 202.Quoi ! je mettrais, dit-il, un tel chanteur [un cygne] en soupe !
La Fontaine, Fabl. III, 12.Une soupe à bouillon perlé, soutenue d'un jeune gros dindon, cantonnée de pigeonneaux, et couronnée d'oignons blancs mariés avec la chicorée
, Molière, Bourg. gent. IV, 1.Je vis de bonne soupe et non de beau langage ; Vaugelas n'apprend point à bien faire un potage
, Molière, Femmes sav. II, 7.L'Allemagne s'est illustrée par sa soupe à la bière, qui, soit dit entre nous, ne vaut pas le diable
, Scribe Et Mazères, Vatel, sc. 4.Dès qu'on a mangé la soupe, dès le matin, à cause de l'habitude, très répandue, de manger le matin de la soupe.
Pour les avertir que demain Leurs envoyés soient en chemin, Dès qu'ils auront mangé la soupe,
Courrier burlesque, p. 22.Dès la soupe, dès le commencement du repas.
Par dénigrement, marchand de soupe, maître de pension.
Soupe économique, sorte de soupe faite non avec de la viande, mais avec des os.
Il a poussé si loin l'ardeur philanthropique, Qu'il nourrit tous ses gens de soupe économique
, Étienne, les Deux gendres, I, 1.Soupe jacobine, voy. JACOBIN.
Fig. S'emporter comme une soupe au lait [le lait chauffé se gonfle et déborde], s'irriter facilement et promptement.
Ce mot-là fit élever le mari comme une soupe au lait
, Comte de Caylus, Hist. de M. Guill. Œuvr. t. x, p. 30, dans POUGENS.Fig. La soupe à l'oignon, se dit, dans l'argot des artistes, de tous ceux qui ont passé par l'École des beaux-arts et qui sont arrivés, de façon ou d'autre, par la filière administrative.
Soupe au lait, soupe de lait, se dit adjectivement des chevaux qui sont d'un blanc tirant sur l'isabelle, et des pigeons de la même couleur. Chevaux soupe de lait. Jument soupe au lait. Pigeons soupe de lait.
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2 Par extension, dîner en général.
Allons, venez manger ma soupe, vous me donnerez à souper ce soir
, Marivaux, Pays. parv. 3e part.Bonjour, ma nièce ; venez-vous manger la soupe avec nous ?
Genlis, Théât. d'éduc. la Lingère, I, 6.Venez manger ma soupe, locution blâmée par Mme de Genlis, Mém. t. v, p. 92, dans POUGENS, mais sans fondement.
Soupe des rentiers, s'est dit jadis pour un ordinaire peu succulent.
Mais surtout évitons la soupe des rentiers, Et tendons nos filets chez de gros financiers
, Colnet, l'Art de dîner en ville, I. -
3 Par antonomase, tranche de pain coupée mince, qu'on met dans la soupe. Mettez deux ou trois soupes dans ce bouillon. Une soupe de pain.
Tailler la soupe, couper du pain par tranches pour le mettre dans le potage.
Tremper la soupe, mettre les tranches de pain dans le potage quelque temps avant de le servir, afin qu'elles s'humectent.
Les bedeaux, distributeurs discrets de ces fragments consacrés [pain bénit offert par un riche personnage], auront de quoi tremper leurs soupes pendant huit jours, et pourront manger leurs potages au pain bénit
, Mercier, Tabl. de Par. ch. 133.Populairement et fig. Tremper une soupe, rosser. Je vais te tremper une soupe.
Trempé, mouillé comme une soupe, très mouillé.
-
4Soupe au vin, soupe au perroquet, soupe à perroquet, tranches de pain dans du vin.
Ivre comme une soupe, se dit d'un homme qui a beaucoup bu et s'est enivré.
Tantale est ivre comme une soupe
, Boileau, Héros de rom.Soupe en vin, sorte de couleur rouge.
Les draps et autres étoffes qu'ils teindront et feront teindre en grandes et hautes couleurs, comme écarlate, cramoisi, soupe en vin, et autres couleurs parfaites,
Règl. des manuf. 22 oct. 1697.On y compte quatre variétés, qui sont les gris de fer, les chamois, les soupes en vin et les gris doux
, Buffon, Ois. t. IV, p. 338. - 5Préparation alimentaire consistant en fourrages verts ou secs que l'on a fait infuser dans l'eau chaude (thé de foin), ou que l'on fait cuire. Les soupes se donnent à tous les animaux, mais principalement au bétail à l'engrais, aux élèves et aux femelles laitières ; on y fait entrer du foin, du regain, des racines et tubercules, des feuilles, des débris de jardin.
- 6Soupe crottée, ancien potage ou ragoût.
- 7Tabac frisé roulé dans une demi-feuille de choix.
PROVERBES
La soupe fait le soldat, une nourriture simple rend propre aux fatigues de la guerre. Elle me ferait de mauvaise soupe, et, comme dit l'autre, c'est la soupe qui nourrit le soldat
, Carmontelle, Proverbes, le Grand chemin, sc. 8.
Quelqu'un lui a mangé le dessus de sa soupe, se dit d'une personne qui est de mauvaise humeur.
Sa soupe est maigre, se dit d'un homme qui fait mauvaise chère.
REMARQUE
1. On dit soupe aux choux, soupe aux herbes, soupe au lait, etc. et non soupe de choux, d'herbes, de lait, etc.
2. De Caillières, en 1600, observe que soupe pour potage est un mot bourgeois.
HISTORIQUE
XIIIe s. Brouet de gelines et soupes en vin bien trempé
, Alebrand, f° 19. Et quant la messe fu faite, si fist li rois aporter pain et vin, et fist tailler des soupes et en manga une
, Chron. de Rains, 147. C'est une taverne planiere Dont Fortune la taverniere Trait aluine et piment en coupes Por faire à tout le monde soupes
, la Rose, 6848. Puisque vous m'avés faite coupe [faute], Je vous ferai d'autel pain soupe
, ib. 14420.
XIVe s. Souvent il mengeoit des naviaux… D'un harenc, d'une soupe à l'oile, Par deffaut de bonne viande
, Machaut, p. 104. Là ont nos bons François prins les meilleurs hostelz ; Prindrent la soupe en vin nos signeurs naturelz
, Guesclin. 20774. Il dit à Thomas qu'il n'estoit mie en sa puissance ne d'un tel fagoteur mengeur de soupes…
, Du Cange, sopa.
XVe s. Quand le jour fut tout venu… et que les chrestiens eurent bu un coup et mangé une soupe en vin grec, malvoisie ou grenache
, Froissart, III, IV, 15. Et il lui dist que son pere et ses freres vouloient lui donner ses soupes dorées, comme il est accoustumé faire ou païs en tel temps [carêmeprenant]
, Du Cange, sopa. On luy [à Jeanne d'Arc] avoit faict appareiller à souper bien et honorablement ; mais elle fist seulement mettre du vin dans une tasse d'argent, où elle mist la moitié d'eau et cinq ou six soupes dedans, qu'elle mangea, et ne print autre chose
, Viriville, Chron. de la Pucelle, ch. 44. Plusieurs qui ne se sont pas feins d'y faire leurs souppes [d'y faire des profits, leurs orges]
, Monstrelet, t. I, ch. 99, p. 161, dans LACURNE. Tu es plus yvre que une soupe
, Mir. de Ste Geneviève. Item aux freres mendiants, Aux devotes et aux béguines… De grasses soupes jacobines
, Villon, Testam.
XVIe s. L'evesque [de Genève] Jehan Louis, lequel, jà soit qu'il fust de la maison de Savoye, si ne vouloit il toutesfois que le duc ny ses aultres freres missent le museau dedans sa soupe
, Bonivard, Chron. de Genève, III, 1. Perrin se y opposoit [à ce que les étrangers fussent reçus bourgeois de Genève]… disant que les François chasseroient encore les anciens de la ville dehors, et, comme dist le commun proverbe, que la derniere soupe [tranche de pain] gecteroit la premiere hors de l'escuelle
, Bonivard, Anc. et nouv. polit. de Genève, p. 129. Beaulx jambons, et force souppes de prime [tranches de pain et de fromage trempées dans du bouillon, qu'on mangeait le matin dans les monastères]
, Rabelais, Garg. I, 21. Le plus entendu de touts [les Romains, festoyés par les empereurs] n'eust pas quité son escuelle de soupe, pour recouvrer la liberté de la republique de Platon
, La Boétie, Servit. volont. De la main à la bouche se perd souvent la soupe
, Leroux de Lincy, Prov. t. II, p. 217. Cervelles chaudes les unes avec les autres ne font jamais bonne soupe
, ib. Soupe dorée [pain dans des œufs battus et frits]
, Oudin, Dict.
Encyclopédie, 1re édition (1751)
SOUPE, s. f. (Cuisine.) est une espece de potage composé de pain & de bouillon, ou jus de viande, & autres matieres, que l’on sert ordinairement au commencement d’un repas.
Ce mot est françois, & formé de l’italien zuppa ou suppa, qui vient du latin sapa, qui signifie du vin réduit au tiers : d’autres le dérivent du mot celtique sauben, qui a la même signification.
En France, la soupe est regardée comme une partie essentielle d’un dîner. On en rehausse quelquefois le goût avec des oignons ou des choux, des navets, des porreaux, des coulis, &c.
Soupe de lait, (Manege.) ce terme de manege & de commerce de chevaux, se dit du poil qui tire sur le blanc. Trévoux. (D. J.)
Étymologie de « soupe »
Bourguig. sôpe ; wallon, sop ; provenç. espagn. et ital. sopa ; du germanique : allem. Suppe ; isl. sup ; suéd. soppa ; holl. sop, mots qui signifient bouillon, potage, ragoût. L'étymologie montre que le sens primitif de soupe est potage ; mais l'antonomase qui a donné à ce mot le sens de tranche de pain est très ancienne.
- Du latin tardif suppa, tranche de pain trempée dans le bouillon, sens que le mot avait jusqu’au XVIe siècle et que l’on retrouve dans des expressions archaïques comme « tailler la soupe », « tremper la soupe » ou « trempé comme une soupe ») vers le XIVe siècle, par métonymie, le sens dérive vers « potage avec des tranches de pain ou des morceaux solides », puis, par extension « tout type de potage » et devenir synonyme de repas. Le latin a été emprunté à l'ancien bas vieux-francique *soppa « bouillon » → voir sop, « bouillon, sauce », zuipen, « boire » en néerlandais, saufen, « boire » en allemand, to sup, to sip en anglais.
Phonétique du mot « soupe »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
soupe | sup |
Fréquence d'apparition du mot « soupe » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « soupe »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « soupe »
-
Mieux vaut pas de cuillère que pas de soupe.
Proverbe allemand -
Les paroles ne salent pas la soupe.
Proverbe brésilien -
C’est un “petit” film que cette soupe aux choux. C’est la nostalgie d’une France, d’une époque et d’une enfance révolue. Un film Français, dans toute sa tradition littéraire, artistique et culturelle. Parce qu’on y bouffe. Des ragoûts mijotés, des soupes épaisses, de la charcuterie parfumée. Parce qu’on y boit. Des litres et des litres du bon sang de la vigne, de ce vin qui éclaire les esprits et les nez. Parce qu’on y pète comme un défi au bon goût et un pied de nez aux cons. Parce qu’on y rit. Car c’est la vie. Parce qu’on y pleure. Car c’est la vie.
Benzine Magazine — [ciné-classique] La Soupe aux choux : Un Louis de Finesse - Benzine Magazine -
Je vis de bonne soupe, et non de beau langage.
Jean-Baptiste Poquelin, dit Molière — Les Femmes savantes, II, 7, Chrysale -
Avec l'été et les fortes chaleurs annoncées cette semaine, on a envie de manger du frais, du léger... Alors pour varier des salades, voici 15 idées de gaspachos et soupes froides à réaliser facilement chez vous !
Topsante.com — 15 recettes de gaspachos et soupes froides - Top Santé -
De la main à la bouche Se perd souvent la soupe.
Proverbe français -
L'indécis laisse geler sa soupe de l'assiette à la bouche.
Miguel de Cervantès — Don Quichotte -
Le chagrin est une soupe au sel. Elle laisse l'estomac bien creux.
Christian Bobin — Geai -
Dans un vieux pot, on fait de bonne soupe.
Antoine Oudin — Curiosités françaises -
En revanche, les incontournables soupe aux choux et feu d’artifice, qui font la renommée des Vastres chaque été depuis plus de trente ans, ne pourront être maintenus.
Les Vastres : le vide-greniers maintenu, pas la soupe aux choux et le feu d'artifice - La Commère 43
Images d'illustration du mot « soupe »
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Traductions du mot « soupe »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | soup |
Espagnol | sopa |
Italien | la minestra |
Allemand | suppe |
Chinois | 汤 |
Arabe | حساء |
Portugais | sopa |
Russe | суп |
Japonais | スープ |
Basque | zopa |
Corse | zuppa |
Synonymes de « soupe »
Source : synonymes de soupe sur lebonsynonyme.frCombien de points fait le mot soupe au Scrabble ?
Nombre de points du mot soupe au scrabble : 7 points