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Mime

Variantes Singulier Pluriel
Masculin mime mimes

Définitions de « mime »

Trésor de la Langue Française informatisé

MIME, subst. masc.

A. −
1. Dans le théâtre antique.Courte comédie qui présente, sur le mode burlesque, facétieux ou licencieux, une peinture des caractères ou des moeurs, une satire religieuse, littéraire ou politique et dans laquelle l'expression corporelle s'insère dans un ensemble complété par la parole et le chant. Mime antique; mime comique, satyrique, tragique. Dès l'an 46, le mime (...) remplaça l'atellane comme exode à la tragédie (H. Berthaut, Ch. Georgin, Hist. ill. de la Litt. lat., Paris, Hatier, 1923, p.138).La Sicile et l'Italie grecque pratiquaient (...) un genre de théâtre (...) aux scènes courtes (...) sans intrigue, violemment grossier et même ordurier (...), de ces farces (...) sortit ensuite un genre littéraire nouveau, le «mime» qui, d'abord écrit en prose, finit par l'être en vers (A. Aymard, J.Auboyer, Orient et la Grèce Antique, Paris, P.U.F., t.1, 1963, p.531).Une telle comédie [la comédie ancienne] a (...) subi l'influence du «mime», c'est-à-dire de représentations inspirées de la vie réelle, mais elle n'est pas, elle-même, un «mime» (P. Grimal, Le Théâtre antique, Paris, P.U.F., 1978, pp.38-39).
2. Mod. Genre théâtral, excluant tout recours à la parole, fondé sur l'expression corporelle non figurative et privilégiant la valeur connotative du geste tout en y associant des stéréotypes comportementaux fortement socialisés. Mime dansé, pur, statuaire. Dira-t-on que le mime est un art de mouvement dans lequel l'attitude n'est que ponctuation? (E.Decroux, Paroles sur le mime, Paris, Librairie Théâtrale, 1963, p.124).Il y a la même différence entre l'emploi du geste dans la vie sociale et dans le mime actuel qu'entre l'emploi du langage pour décrire un réfrigérateur d'une part, et pour écrire un poème d'autre part (Mounin, Introd. à la sémiologie, Paris, Éd. de Minuit, 1970, p.179):
1. L'opposition entre mime [it. ds le texte] et pantomime se fonde sur une question de stylisation et d'abstraction. Le mime tend vers la poésie, élargit ses moyens d'expression, propose des connotations gestuelles que chaque spectateur interprétera librement. La pantomime (...) dénote fidèlement le sens de l'histoire montrée. P. Pavis, Dict. du théâtre, Paris, Éd. Sociales, 1980, p.250.
Rem. Emploi au fém., rare. La danse et la mime s'élèvent au-dessus de leurs fonctions décorative et expressive pour devenir une opération magique (Levinson, Visages danse, 1933, p.168). Dimitri, (...) Pierre Byland, (...) Jean-Baptiste Thierrée (...) en compagnie de Victoria Chaplin, la fille de Charles Chaplin, essaient avec succès de maintenir la mime dans des traditions toujours peu faciles à retrouver (Encyclop. univ. t.10 1971, p.38).
B. −
1. Acteur qui jouait dans les mimes du théâtre antique. Ce que l'on conte des anciens mimes (...) fait voir qu'ils remuèrent les foules par le repos, non par le mouvement (Alain, Propos, 1923, p.466):
2. Des mimes ont dû exister déjà en Égypte, deux mille ans avant Jésus-Christ. Nous avons nommé le fameux mime Telestes, contemporain d'Eschyle. Mais ils semblent faire encore partie de cette expression totale du théâtre. Spécialisés dans l'art du geste, ils font corps avec l'ensemble de chants, de poésie et d'orchestration. J.-L. Barraultds Cah. de la Compagnie M.Renaud-J.L.Barrault,juin 1962, Le Théâtre de France en U.R.S.S., p.32.
2. Acteur dont le mode d'expression théâtral est le mime; acteur de pantomime. Compagnie, école de mimes. On verra aisément, si l'on rencontre par hasard quelque mime qui sache son métier, que ces mouvements sont tous de gymnastique et sans contracture, comme ceux de la danse (Alain, Beaux-arts, 1920, p.138).Grâce à son imagination, le mime transpose réalisme et sentiments et invente une réalité poétique. À partir de là, il construit un art poétique qui (...) se fera musique, c'est-à-dire à la fois langage, danse et chant (J.-L. Barraultds Cah. de la Compagnie M.Renaud-J.L.Barrault,juin 1962, p.47):
3. Pendant vingt ans, Deburau, pierrot en titre des Funambules, sera (...) le plus connu des mimes des théâtricules du boulevard du Temple (...) excellant dans la parodie du mitron, du pâtissier, du maçon et des personnages qu'il observe au cours de ses flâneries de quartier. Encyclop. univ.t.101971, pp.37-38.
Rem. Rare au fém. Il pleurait! Florentine aperçut cette pose de la douleur qui possède un caractère sincère et qui devait frapper une mime (Balzac, Début vie, 1842, p.463).
Emploi en appos., en compos. ou en fonction d'attribut. Les femmes aussi sont mimes. Aux jeux donnés en l'honneur de la déesse Flore, elles apparaissent nues dans des attitudes lascives, se livrent à des gestes indécents (...). On compte néanmoins parmi les femmes-mimes des femmes de haute naissance (J.-L. Barraultds Cah. de la Compagnie M.Renaud-J.L.Barrault,juin 1962, p.35).Il y a pour le mime trois types de masque: le neutre, (...) l'expressif, qui supprime la mimique de l'acteur-mime... (Mounin, Introd. à la sémiologie, Paris, Éd. de Minuit, 1970, p.178).
3. P. ext. Personne qui imite avec talent la voix, les attitudes, les expressions d'une autre personne, ou certains sentiments, certains états. Excellent mime, il sait prendre tour à tour le sourire de l'affection, du contentement, de l'obligeance (Balzac, Gaudissart, 1834, p.4):
4. ... le seul moyen d'imiter quelqu'un parfaitement (de représenter sa voix et ses gestes) ne s'obtient qu'avec une grande concentration du souvenir. Pour être un bon mime, il faut avoir une mémoire d'une netteté hallucinante, − voir enfin les personnes, en être pénétré. Reste il est vrai la faculté instrumentiste: les muscles de la face et du larynx. Flaub., Corresp., 1866, p.95.
REM.
Mimoplastique, adj.Tableau mimoplastique. Tableau formé par des personnes vivantes immobiles. (Dict. xixeet xxes.). Emploi subst. fém. ,,Art de grouper des tableaux vivants`` (Quillet 1965). P.plaisant. Nous irons voir quel rapport comparatif peut exister entre les Nuées d'Aristophane et les trognons de pommes de Bobino. C'est de la haute mimoplastique (Reybaud, J. Paturot, 1842, p.123).
Prononc. et Orth.: [mim]. Att. ds Ac. dep. 1762. Étymol. et Hist. 1. 1520 «sorte de petite comédie familière et bouffonne, pratiquée dans l'Antiquité» (Michel de Tours, trad. de Suétone, I, 17 vods Hug.); 2. a) 1560 «acteur bouffon, histrion» (Poldo d'Albenas, Antiq. de Nimes, p.93 ds Gdf. Compl.); b) 1752 «auteur de comédies bouffonnes dans l'Antiquité» (Trév.); c) 1783 «celui qui possède le talent d'imiter» (Mercier, Tableau de Paris, VI, pp.327-328 cité ds St. neophilol. t.36, p.325). Empr. au lat. mimus «acteur de bas étage» et «farce de théâtre» (gr. μ ι ̃ μ ο ς «acteur bouffon» et «sorte de comédie»); 2 c p. ext. de sens. Fréq. abs. littér.: 76.
DÉR.
Mimologie, subst. fém.Imitation de la voix, des gestes d'une personne, du cri d'un animal; action d'imiter. (Dict. xixeet xxes.). [mimɔlɔ ʒi]. 1reattest. 1721 (Trév.); formé de mimo-, élém. tiré de mime, et de -logie*.

Wiktionnaire

Nom commun 2 - français

mime \mim\ masculin et féminin identiques

  1. Acteur dont les principaux moyens d’expressions sont l’attitude, le geste et la mimique.
  2. Acteur qui représentait les pièces antiques de même nom.
  3. (En particulier) Acteur qui joue dans les pantomimes.
    • Deburau, Barrault, Marceau, Chaplin, Kazuo Ohno sont les noms de mimes célèbres.
  4. (Par extension) Quelqu’un qui possède un talent d’imitation.

Nom commun 1 - français

mime \mim\ masculin

  1. (Théâtre) Genre théâtral dont les expressions principales sont l’attitude, le geste et la mimique.
    • La danse et le mime sont eux aussi des arts de la scène. Mais c’est du théâtre sans paroles. — (Bernard Reymond, Théâtre et christianisme, Labor et Fides, 2002, page 37)
  1. (Antiquité) Comédie, farce souvent libre jusqu’à l’obscénité.
    • Il ne nous reste que des fragments des anciens mimes joués à Rome.
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

MIME. n. m.
T. d'Antiquité. Sorte de petite comédie, souvent libre jusqu'à l'obscénité. Il ne nous reste que des fragments des anciens mimes joués à Rome. Il se dit également des Acteurs qui représentaient ces sortes de pièces. Il désigne surtout aujourd'hui un Acteur qui joue dans les pantomimes. Deburau est le nom de deux mimes célèbres. Par extension, il se dit de Quelqu'un qui possède un talent d'imitation.

Littré (1872-1877)

MIME (mi-m') s. m.
  • 1Dans l'antiquité grecque et latine, acteur qui représentait de petites pièces familières et bouffonnes (mime veut dire imitateur). Le mime n'avait ni brodequin ni cothurne ; il se barbouillait le visage, Voltaire, Lett. de la Voute, 1er mars 1766. Vous dirai-je l'oubli de soins plus importants, Les devoirs immolés à de vains passe-temps ?… L'homme fait place au mime, et le sage au bouffon, Delille, Homme des champs, I. Tour à tour gladiateur, cocher, chanteur, danseur, il [Caligula] caressait publiquement des mimes, essayait de les imiter, mangeait et couchait avec des cochers dans leur écurie, s'escrimait dans l'arène ou courait dans le cirque, Pastoret, Instit. Mém. inscr. et belles-lettres, t. VII, p. 141.

    Par extension. C'est un bon mime, se dit d'un homme qui a le talent d'imiter, d'une manière plaisante, l'air, l'action, le langage d'autres personnes.

    Adjectivement. Il est mime.

  • 2Chez les Grecs, mimes de Sophron, petits drames du genre le plus familier écrits en dialecte syracusain.

    Chez les Romains, espèce de comédie bouffonne et libre. Labérius, chevalier romain, réussit admirablement à faire des mimes, Rollin, Hist. anc. liv. XXV, ch. I, art. 2, § 2. Les mimes étaient la quatrième et la dernière espèce de comédies romaines, Duclos, Œuv. t. I, p. 341. Malgré les plaisanteries grossières et quelquefois obscènes dont les mimes étaient remplis, on y trouvait quelquefois des maximes de morale que Sénèque jugeait dignes du cothurne, Bernardi, Instit. Mém. inscript. et belles-lettres, t. VIII, p. 274.

HISTORIQUE

XVIe s. Mime, Cotgrave

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Encyclopédie, 1re édition (1751)

MIME, s. m. (Gramm. Littér.) acteur qui jouoit dans les pieces dramatiques de ce nom. Voyez l’article suivant.

Mimes, s. m. pl. (Poésie.) en grec μιμοί, en latin mimi ; c’est un nom commun à une certaine espece de poésie dramatique, aux auteurs qui la composoient, & aux acteurs qui la jouoient. Ce nom vient du grec μιμείσθαι, imiter ; ce n’est pas à dire que les mimes soient les seules pieces qui représentent les actions des hommes, mais parce qu’elles les imitent d’une maniere plus détaillée & plus expresse. Plutarque, Sympos. liv. VII. probl. 8. distingue deux sortes de pieces mimiques ; les unes étoient appellées ὑποθέσεις : le sujet en étoit honnête, aussi-bien que la maniere, & elles approchoient assez de la comédie. On nommoit les autres πώγυια ; les bouffonneries & les obscénités en faisoient le caractere.

Sophron de Syracuse, qui vivoit du tems de Xerxès, passe pour l’inventeur des mimes décentes & semées de leçons de morale. Platon prenoit beaucoup de plaisir à lire les mimes de cet auteur ; mais à peine le théâtre grec fut formé, que l’on ne songea plus qu’à divertir le peuple par des farces, & par des acteurs qui en les jouant représentoient, pour ainsi dire, le vice à découvert. C’est par ce moyen qu’on rendit les intermedes des pieces de théâtre agréables au peuple grec.

Les mimes plurent également aux Romains, & formoient la quatrieme espece de leurs comédies : les acteurs s’y distinguoient par une imitation licentieuse des mœurs du tems, comme on le voit par ce vers d’Ovide.

Scribere si fas est imitantes turpia mimos.

Ils y jouoient sans chaussure, ce qui faisoit quelquefois nommer cette comédie déchaussée, au lieu que dans les trois autres les acteurs portoient pour chaussure le brodequin, comme le tragique se servoit du cothurne. Ils avoient la tête rasée, ainsi que nos bouffons l’ont dans les pieces comiques ; leur habit étoit de morceaux de différentes couleurs, comme celui de nos arlequins. On appelloit cet habit panniculus centumculus. Ils paroissoient aussi quelquefois sous des habits magnifiques & des robes de pourpre, mais c’étoit pour mieux faire rire le peuple, par le contraste d’une robe de sénateur, avec la tête rasée & les souliers plats. C’est ainsi qu’arlequin sur notre théâtre revêt quelquefois l’habit d’un gentilhomme. Ils joignoient à cet ajustement la licence des paroles & toutes sortes de postures ridicules. Enfin, on ne peut leur reprocher aucune négligence sur tout ce qui pouvoit tendre à amuser la populace.

Leur jeu passa jusque dans les funérailles, & celui qui s’en acquittoit fut appellé archimime. Il devançoit le cercueil, & peignoit par ses gestes les actions & les mœurs du défunt : les vices & les vertus, tout étoit donné en spectacle. Le penchant que les mimes avoient à la raillerie, leur faisoit même plûtôt révéler dans cette cérémonie funebre ce qui n’étoit pas honorable aux morts, qu’il ne les portoit à peindre ce qui pouvoit être à leur gloire.

Les applaudissemens qu’on donnoit aux pieces de Plaute & de Térence, n’empêchoient point les honnêtes gens de voir avec plaisir les farces mimiques, quand elles étoient semées de traits d’esprit & représentées avec décence. Les poëtes mimographes des Latins qui se distinguerent en ce genre, sont Cneus Mattius, Decimus Laberius, Publius Syrus sous Jules-César ; Philistion sous Auguste ; Silon sous Tibere ; Virgilius Romanus sous Trajan ; & Marcus Marcellus sous Antonin. Mais les deux plus célebres entre ceux que nous venons de nommer, furent Decimus Laberius, & Publius Syrus. Le premier plut tellement à Jules-César, qu’il en obtint le rang de chevalier romain, & le droit de porter des anneaux d’or. Il avoit l’art de saisir à merveille tous les ridicules, & se faisoit redouter par ce talent. C’est pourquoi Ciceron écrivant à Trébatius qui étoit en Angleterre avec César, lui dit : Si vous étes plus long-tems absent sans rien faire, je crains pour vous les mimes de Laberius. Cependant Publius Syrus lui enleva les applaudissemens de la scène, & le fit retirer à Pouzol, où il se consola de sa disgrace par l’inconstance des choses humaines, dont il fit une leçon à son compétiteur dans ce beau vers :

Cecidi ego : cadet qui sequitur ; laus est publica.

Il nous reste de Publius Syrus des sentences si graves & si judicieuses, qu’on auroit peine à croire qu’elles ont été extraites des mimes qu’il donna sur la scène : on les prendroit pour des maximes moulées sur le soc & même sur le cothurne. (D. J.)

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Étymologie de « mime »

Lat. mimus.

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Du latin mimus (« mime »).
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Phonétique du mot « mime »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
mime mim

Fréquence d'apparition du mot « mime » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « mime »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « mime »

  • Les enfants sont des mimes nés. Ils imitent leurs parents malgré tous les efforts qu’on peut faire pour leur enseigner le savoir-vivre.
    Anonyme
  • La femme est une surface qui mime la profondeur.
    Friedrich Nietzsche
  • À de nombreuses reprises, le trentenaire s’emporte lors de l’audience. Il toise du regard deux policiers assis sur le banc des parties civiles et mime le geste d’un couteau placé sous la gorge. « Faites le moi sortir et demain il sera de nouveau placé en garde à vue », tempête le procureur de la République Julien Wattebled.
    La Rochelle : deux SDF interdits de séjour en Charente-Maritime | Actu La Rochelle
  • Jusqu’à ce que débarquent 123 enfants qu’une organisation caritative a réussi à extirper d’Allemagne. Marcel arrive à les faire rire grâce à ses talents de mime et à leur faire oublier (un peu) les traumatismes causés par l’assassinat de leurs parents. Le jeune homme devient très populaire auprès d’eux et le regard d’Emma change...
    Le Soleil — Résistance: le mime Marceau, ce héros *** | Cinéma | Arts | Le Soleil - Québec
  • Déjà passablement éméché, il les a effrayées. Mardi après-midi, deux femmes ont été accostées par un individu dans le quartier du Fer-à-Cheval, à Toulouse. Il souhaitait passer un coup de fil depuis l’un de leurs téléphones portables. Pas rassurées notamment en raison de son état d’ébriété, elles ont refusé. Ce qui l’a mis en rage. Il a alors brandi un couteau en les menaçant ouvertement. Il a d’ailleurs eu la délicatesse de mimer un geste d’égorgement avec sa lame sous sa propre gorge. Et a pris la fuite, se faufilant entre les portes d’une rame de tramway, tout proche.
    ladepeche.fr — Toulouse : elles refusent de lui prêter un téléphone, il sort un couteau et mime un geste d'égorgement - ladepeche.fr
  • La 37e édition du festival du mime de Périgueux, Mimos, se tiendra du 23 au 27 juillet 2019. 19 compagnies seront au rendez-vous avec le public pour 19 spectacles en plus du "Off". Un thème, "les corps engagés", avec des spectacles sur des thématiques comme les migrants ou le féminisme.
    France Bleu — VIDÉO - La programmation de Mimos 2019, le festival du mime de Périgueux, sur le thème des "corps engagés"
  • Ivan Bacciocchi fut élève puis assistant d’Étienne Decroux (1898-1991), père fondateur du mime moderne. Bien que méconnu du grand public, c’est ce dernier qui a hissé le mime au rang d’art, en opposition à la pantomime du XIXe siècle – divertissement populaire.
    La Croix — Quand le mime prend corps
  • C’est juste une petite anecdote privée Fidèle à ses bonnes habitudes, Kylian Mbappé a donc encore fait très mal à l’OM. Et pour certains, la façon dont le champion du monde tricolore a célébré ses deux buts ajoutait forcément à l’affront. Car dimanche, il ne s’est pas contenter de stopper sa course pour croiser les bras sur son torse. Le Français a également choisi, face caméra, de mimer avec les deux mains un enfant qui pleure. Une façon de se moquer des Marseillais pour certains ou de répondre aux critiques nées de sa petite phrase après son récital face à Bruges pour d’autres. 
    Football.fr — Pourquoi Mbappé a mimé un enfant qui pleure après ses buts
  • Engagé dans la Résistance française pendant la Seconde Guerre mondiale, Marcel Mangel, mieux connu comme le mime Marceau, contribue à sauver des centaines d’orphelins dont les parents ont été tués par les nazis, tout en apprenant les rudiments de son art.
    La Presse — Resistance : Marceau méritait mieux... ★★½
  • Samedi 4 mai, à 16 heures, à l'aéroport de Roissy-Charles-de-Gaulle, il mime avec ses bras le mouvement saccadé d'un fusil d'assaut, balayant l'arme imaginaire de droite à gauche en accompagnant son geste d'un « tatata ». Pour les militaires, il s'agit bien d'un acte agressif.
    leparisien.fr — Bobigny : relaxé après avoir mimé un tir contre des soldats de Sentinelle - Le Parisien
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Traductions du mot « mime »

Langue Traduction
Anglais mime
Espagnol mímica
Italien mimo
Allemand mime
Chinois 哑剧
Arabe التمثيل الصامت
Portugais mímica
Russe мим
Japonais mime
Basque mime
Corse mimiu
Source : Google Translate API

Synonymes de « mime »

Source : synonymes de mime sur lebonsynonyme.fr

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Nombre de points du mot mime au scrabble : 8 points

Mime

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