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Faune
Sommaire
- Définitions de « faune »
- Étymologie de « faune »
- Phonétique de « faune »
- Fréquence d'apparition du mot « faune » dans le journal Le Monde
- Évolution historique de l’usage du mot « faune »
- Citations contenant le mot « faune »
- Images d'illustration du mot « faune »
- Traductions du mot « faune »
- Synonymes de « faune »
- Combien de points fait le mot faune au Scrabble ?
Variantes | Singulier | Pluriel |
---|---|---|
Masculin | faune | faunes |
Définitions de « faune »
Trésor de la Langue Française informatisé
FAUNE1, subst. masc.
FAUNE2, subst. fém.
Wiktionnaire
Nom commun 3 - français
faune \fon\ masculin
-
(Entomologie) Insecte lépidoptère diurne de la famille des nymphalidés, de couleur marron terne pour le mâle, plus claire ocrée pour la femelle, avec en bordure une frange entrecoupée et deux ocelles noirs aux ailes antérieures et un très petit aux postérieures.
- La faune du bois de Boulogne a depuis lors bien changé ! GODART (1821) mentionnait comme très abondant, au même endroit, le Faune (Neohipparchia statilinus Hfn.), aujourd'hui confiné à deux ou trois stations relictuelles en forêt de Fontainebleau. — (Yves Doux & Christian Gibeaux, Les Papillons de jour d'Ile-de-France et de l'Oise, Mèze : éd. Biotopr & Paris : Publications scientifiques du Muséum, 2007, dans l'avant-propos)
- Le faune (Hipparchia stalilinus) vole de juillet à octobre sur les pelouses sèches de toute la zone. — (Luc Chazel & Muriel Chazel, Découverte naturaliste des garrigues, éd. Quae, 2012)
Nom commun 2 - français
faune \fon\ féminin
-
(Zoologie) Ensemble des animaux d’un pays, d’une région, etc.
- Les premiers temps de mon séjour à Chausey furent employés à prendre une idée générale de la faune du pays, et, parmi les espèces qui passèrent alors sous mes yeux, il s’en trouva bon nombre de nouvelles. — (Jean Louis Armand de Quatrefages de Bréau, L’Archipel de Chausey, souvenirs d’un Naturaliste, Revue des Deux Mondes, tome 30, 1842)
- Charles Darwin les a visitées et en a décrit la flore et la faune dans la Croisière du Beagle qui faisait partie de ma bibliothèque de bord. — (Alain Gerbault, À la poursuite du soleil ; tome 1 : De New-York à Tahiti, 1929)
-
(Par métonymie) Catalogue descriptif de ces animaux, pour une région du monde.
- Malgré l’intercalation de belles et nombreuses figures, elle couvre moins de papier que la faune incomplète de Boitard. — (Edmond Perrier, préface à la Faune de France - Coléoptères d’Alexandre Acloque, Baillière, 1896)
- Nous serons certainement utiles aux lecteurs de cette Faune en donnant la liste de ces laboratoires. — (Rémy Perrier, Faune de la France, tome IA, 1936, préface p. X)
-
(Par extension) Tout le règne animal.
- Ainsi le premier Congrès international sur la protection de la nature tenu en 1923 à Paris, œuvre des sociétés savantes de protection de la faune mondiale, émet l’idée d’une protection mondiale de la faune. — (Bonaventure Dossou-Yovo, L’Accès aux ressources biologiques dans les rapports Nord-Sud, L’Harmattan, 2008, page 120)
-
(Figuré) (Péjoratif) Groupement de personnes, souvent peu communs, qui fréquentent des lieux déterminés.
- La boîte de Nine, c’est une matière d’éventaire où s’étalent et resplendissent tous les échantillons de notre douce et vermineuse humanité : barbots […] tribades […] nymphes […] mondaines […] tapettes […] tendres et pitoyables canailles, toute une faune redoutable et correcte, au repos. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 191)
Nom commun 1 - français
faune \fon\ masculin (pour la femelle, on dit : faunesse) ou masculin et féminin identiques
-
(Antiquité) Divinité champêtre mi-homme, mi-bouc, chez les Romains.
- Rude et impétueux comme un sanglier pour les dangers terrestres, il avait toutes les terreurs caractéristiques de l’esprit saxon relativement aux faunes, aux démons des forêts, aux dames blanches et à toutes les superstitions que ses ancêtres avaient importées des déserts de l’Allemagne. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
- Puis, sur ce rideau, s’installa l’écran où l’on vit gambader, se poursuivre, grimaçants et toutes dents dehors, des troupeaux de nymphes et de faunes redoutables, entraînés dans des luttes sans merci. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette, Éditions de l’Épi, Paris, 1930, page 82)
-
Soupçonnant qu’une faune en ce bois s’est plongée,
Il a saisi son arc; la flèche est dirigée.
Que fais-tu, malheureux? ah! rejette ces traits;
Reconnais ton épouse : inutiles regrets! — (Ovide, L’Art d’aimer, chap. III, an 1, traduction en vers de François Amand de Gournay, F. Poisson, Caen, 1817, page 261)
-
Homme dont l’apparence ou le comportement érotique évoque cette divinité.
- À côté de l’écu se tenait son écuyer, singulièrement travesti, en faune ou en quelque autre être fantastique, selon le goût de son maître et le rôle qu’il lui plaisait de prendre pendant la joute. — (Walter Scott, Ivanhoé, traduit de l’anglais par Alexandre Dumas, 1820)
Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)
T. d'Antiquité romaine. Dieu champêtre, que l'on représente avec des cornes et des pieds de chèvre. Les faunes et les satyres.
FAUNESSE a été employé par les poètes pour désigner une Sorte de nymphe lascive dont l'aspect rappelle celui du faune.
Littré (1872-1877)
-
1Divinité champêtre chez les Romains ; les faunes sont figurés avec des oreilles de chèvre ou du moins des oreilles plus grandes qu'à l'ordinaire ; à l'endroit où finit l'épine du dos on voit une petite queue.
Au fém. Nymphe qui, dans les compositions des arts du dessin, s'allie aux faunes, et qui en a les traits. Ce buste est celui d'une faune.
- 2 Terme de zoologie. Faune des bois, le singe mabrouk.
-
3 S. f. L'ensemble des animaux d'un pays, ainsi dit à cause que les faunes tiennent de l'animalité, et fait du féminin par analogie avec la flore. La faune et la flore de la Nouvelle-Hollande.
Ouvrage contenant la description des animaux d'un pays.
Encyclopédie, 1re édition (1751)
FAUNE, s. m. Les faunes étoient, dans l’ancienne Mythologie, des divinités des forêts, qui, suivant l’opinion générale, ne different point des satyres. Voyez Satyres.
On a prétendu que les faunes étoient des demi-dieux, connus seulement des Romains ; mais ils sont évidemment les Panes des Grecs, comme Saumaise l’a prouvé après Turnebe : ainsi l’on peut dire que leur culte est un des plus anciens & des plus répandus, & il paroît certain qu’il faut en chercher l’origine dans l’Egypte. L’incertitude attachée à cette recherche, ne doit pas en détourner un philosophe homme de Lettres. Si les diverses opinions des critiques le réduisent à dire avec Cotta dans Cicéron, l. III. c. vj. de naturâ deorum : Faunus omnino quid sit, nescio, il trouvera du moins un vaste champ de réflexions dans les terreurs paniques, les incubes, les hommes sauvages, &c.
M. Pluche, dans son histoire du ciel, tome I. rapporte avec beaucoup de vraissemblance le nom des Faunes & des Satyres à deux mots hébreux qui désignent les masques dont on se servoit dans les fêtes de Bacchus. Un Faune qui se joue avec un masque, & qu’on voit dans Beger, thes. Brandeburg. tom. I. p. 13. & tom. III. p. 252. paroît confirmer cette étymologie : peut-être aussi fait-il allusion aux comédies satyriques. Avenarius avoit tiré de même le nom des Satyres de l’hébreu satar. Le mot satar en arabe, veut dire un bouc, suivant la remarque de Bochart, Hierozoicon, p. l. p. m. 643. On sait que les Satyres ressembloient aux boucs par la moitié inférieure du corps. Il semble qu’on ne peut contester cette étymologie ; mais celle que donne des Pans ou Faunes le même Bochart, Geog. sac. p. m. 444. n’est pas aussi heureuse : il dérive leur nom, comme avoit fait Plantavitius, qu’il ne cite pas, de la racine hébraïque pun, il a hésité, il a été abattu, ce qu’il explique des frayeurs paniques. C’est au culte des boucs qu’on adoroit en Egypte, que celui des Faunes & des Satyres semble avoir dû sa naissance. Maimonide, dans le More Nevochim, p. III. c. xlvj. observe que le culte honteux des démons étoit, sous la forme des boucs, fort étendu du tems de Moyse ; & que Dieu le défendit par une loi expresse (Levitic. XVII. 7.) aux Israélites, qui s’en étoient souillés jusqu’alors. Maimonide explique fort bien au même endroit, pourquoi le bouc du sacrifice ordonné au commencement de chaque mois (Numer. XXVIII. 15.), est dit offert pour le péché à Jehova, Chattath ladonai ; ce qui n’est pas spécifié des boucs qu’on immoloit dans les autres principales fêtes. C’est, dit-il, pour empêcher les Israélites de penser au bouc de la Néoménie, que les Egyptiens sacrifioient à la lune. Cette explication naturelle est bien différente de la fable aussi impie que ridicule imaginée par les rabbins ; ils disent que Dieu demande un sacrifice d’expiation pour le péché qu’il a commis lui-même, en diminuant la grandeur de la lune, primitivement égale à celle du soleil. Voyez la synagogue judaïque de Jean Buxtorf, p. m. 376. 377. 388. & le philologus hebræomixtus de Lensden, p. 91.
R. Kimchi a écrit que les démons se faisoient voir à leurs adorateurs sous la figure d’un bouc, & c’est-là le φάσματραγου dont parle Jamblique. Ces apparitions étoient d’autant plus effrayantes, que tous les Orientaux étoient persuadés qu’on ne pouvoit voir impunément la face des dieux. Voyez les notes de Grotius sur les vers. 20 & 23 du trente-troisieme chapitre de l’Exode. On peut conjecturer que les terreurs paniques sont ainsi dites de panim (φυὴ dans Homere), forme, figure, parce que des fantômes subtils affectoient vivement l’imagination échauffée qui les avoit produits. On lit dans Servius, sur le commencement du premier livre des Géorgiques de Virgile, que ce fut au tems de Faunus, roi d’Italie, que les dieux se déroberent à la vûe des mortels. Cette époque est très-incertaine, s’il y a eu deux Faunes, rois des Aborigenes, qui ayent regné dans des tems très-éloignés l’un de l’autre, comme l’assûrent Manéthon, Denys d’Halicarnasse, &c.
Servius confond ailleurs Faunus avec Pan, Ephialtes, incubus. S. Augustin, de civitate Dei, l. XV. c. xxiij. croit qu’il faut s’armer d’impudence pour nier que les Sylvains & les Pans ne soient des incubes ; qu’ils n’ayent de l’amour pour les femmes, ou qu’ils ne le satisfassent avec violence. Il nous fait connoître des démons que les Gaulois appelloient Dusii, & qui étoient aussi libertins. Voyez l’article Incube.
Bochart, Géog. sac. pag. m. 584. prétend que le regne de Faune en Italie est forgé par ceux qui n’ont pas connu que Faune & Pan ne faisoient qu’un. Il cite, pour prouver que Pan étoit un des capitaines de Bacchus, plusieurs auteurs, & Nonnus entr’autres ; il n’a pas pris garde que Nonnus, Dionysiac. lib. XIII. p. m. 370. dit aussi que Faune abandonna l’Italie pour venir joindre le conquérant des Indes.
Il est parlé des Fauni ficarii dans la version faite par S. Jérome d’un passage de Jéremie, ch. l. v. 39. passage susceptible dans l’hébreu d’un sens fort différent. Bochart explique ce ficarii, des fics ou tubercules qu’on voit au visage des Satyres. Quelques-uns lisent sicarii, & l’on peut entendre alors des Faunes incubes ou suffoquans.
Dans le traité attribué à Héraclite, περὶ άπίστων, c. xxv. on voit que les Pans & les Satyres étoient des hommes sauvages qui habitoient les montagnes : ils vivoient sans femmes ; mais dès qu’ils en voyoient quelqu’une, elle devenoit commune entr’eux. On leur attribua le poil & les piés de bouc, à cause qu’ils négligeoient de se laver, ce qui les faisoit sentir mauvais ; & on les regardoit comme compagnons de Bacchus, parce qu’ils cultivoient les vignes. Le passage grec est corrompu, il semble qu’on ne s’en est point apperçû. Le docteur Edoüard Tyson, dans l’essai philologique sur les Pygmées, les Cynocéphales, les Satyres & les Sphinx des anciens, qu’il a mis à la suite de son anatomie de l’Orang-outang, veut que les Satyres ne soient point des hommes sauvages, mais une espece de singes qu’on trouve en Afrique (aigopithecoi). Il combat Tulpius & Bontius par des raisons qui paroissent assez foibles, & il s’appuie beaucoup pour ranger les Satyres dans la classe des singes, de l’autorité de Philostorge ; mais c’est un auteur fabuleux, puisqu’il confirme l’histoire du phénix, p. m. 494. de l’édit. de Cambridge, des historiens ecclésiastiques. Ce qui est plus singulier encore, c’est que Philostorge distingue évidemment le Pan ou Faune du Satyre, contre le sentiment de Tyson ; & que Tyson reproche à Albert le Grand de faire une chimere du Satyre, qu’il appelle pilosus, par la description qu’il en donne ; description néanmoins entierement conforme à celle de Philostorge.
Les premiers conducteurs des chevres ont peut-être donné lieu à la fable des chevrepiés, de même que les plus anciens cavaliers qu’on ait connus, ont passé pour des centaures ; car je ne pense pas qu’on veuille recourir aux pygmées, que Pline nous dit avoir été montés sur des chevres pour combattre les gruës.
Munster, dans ses notes sur la Genese, II. 3. & sur le Lévitique, XVII. 7. a recueilli sur les démons, τραγομόρφοι, Faunes, Satyres, Incubes, des choses curieuses tirées des rabbins. Cette compilation a déplû à Fagius, qui dit sur ce dernier passage, qu’il ne rapporte des rabbins que ce qui est utile pour l’intelligence du texte ; ce qu’il avoit annoncé dès la préface de son livre. Il peut avoir raison en cela ; mais je doute qu’il eût le droit d’attaquer, même indirectement, Munster, qu’il copie mot à mot en un très grand nombre d’endroits.
Quelques docteurs juifs ayant à leur tête Abraham Seba, dans son tseror hammor, ou fasciculus myrrhæ, enseignent que Dieu avoit déjà créé les ames des Faunes, Satyres, &c. mais que prévenu par le jour du sabbat, il ne put les unir à des corps, & qu’ils resterent ainsi de purs esprits & des créatures imparfaites. Ils craignent le jour du sabbat, & se cachent dans les ténebres jusqu’à ce qu’il soit passé ; ils prennent quelquefois des corps pour effrayer les hommes ; ils sont sujets à la mort ; ils approchent de si près par leur vol des intelligences qui meuvent les orbes célestes, qu’ils leur dérobent quelques connoissances des évenemens futurs, quand ils ne sont pas trop éloignés ; ils changent les influences des astres, &c. &c. &c. (g)
Étymologie de « faune »
Voy. FAUNUS.
- (Nom 1, Nom 3) (XIVe siècle) Du latin Faunus, dieu champêtre.
- (Nom 2) (XVIIIe siècle) Du latin Fauna.
Phonétique du mot « faune »
Mot | Phonétique (Alphabet Phonétique International) | Prononciation |
---|---|---|
faune | fon |
Fréquence d'apparition du mot « faune » dans le journal Le Monde
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Évolution historique de l’usage du mot « faune »
Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.
Citations contenant le mot « faune »
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Les dieux ont définitivement fermé les portes de l’Olympe, et ils s’amusent sans nous. Ils se sont désintéressés de ces créatures qui se sont inventé un dieu unique à leur image, eux qui vivent parmi les faunes, les centaures, les sphinx et les hippogriffes… Nous avons cessé de les intéresser. Nous allons rester seuls avec cette autre image de nous-mêmes, ce Christ qui voulait tant d’amour, et qui mourut crucifié. Peut-être qu’Isis pleure en silence.
Bernard Domeyne — Arsinoé d’Afrique (2013) -
La quenelle est le poisson le plus mal connu de la faune maritime.
Francis Blanche — Signé Francis Blanche -
La date est désormais actée. Lundi 20 juillet, le centre de soins de la faune sauvage situé à Tonneins, non loin du parc Ferron, rouvre ses portes.
SudOuest.fr — Lot-et-Garonne : le centre de soins de la faune sauvage bientôt en action -
Sourire, c'est laisser s'éveiller le faune endormi au fond de nos cellules, se laisser guider par la saine intelligence des sens.
Patrick Drevet — Le Sourire -
Il y a plus de 30 ans, deux jeunes Pyrénéistes, Jean-Michel Pouyfourcat et Christian Rebelle, se croisaient lors de réunions naturalistes. L’occasion d’évoquer leurs passions communes : les sommets Pyrénéens, la photographie et la faune de montagne. La photographie animalière, encore appelée "chasse photographique", leur a permis de concilier ces trois passions. C’est le début de leur longue et amicale complicité.
ladepeche.fr — Saint-Gaudens. "Faune des Pyrénées" de Jean-Louis Pouyfourcat - ladepeche.fr -
La faune sauvage ?? Il en reste ? Sapiens a tout exterminé, ou presque.Il est seul sur terre ! Entouré de son bétail et de sa volaille, du toutou à sa mémère, et des cafards et des rats qui vivent avec lui.
Le Figaro.fr — Une étude inédite pour mesurer l’impact du confinement sur la faune sauvage -
La récolte du foin est un moment charnière pour la faune sauvage.
Terres et Territoires — Avertir de son passage pour protéger la faune sauvage -
Laissez-vous surprendre par la faune nocturne locale : chauves-souris, papillons de nuit, rapaces nocturnes...
HERAULT direct — Vias - Laissez-vous surprendre par la faune nocturne locale ! 15 juillet à Vias : HERAULT direct -
Ils se sont désintéressés de ces créatures qui se sont inventé un dieu unique à leur image, eux qui vivent parmi les faunes, les centaures, les sphinx et les hippogriffes…
Bernard Domeyne — Arsinoé d’Afrique (2013) -
La quenelle est le poisson le plus mal connu de la faune maritime.
Francis Blanche — Signé Francis Blanche
Images d'illustration du mot « faune »
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Traductions du mot « faune »
Langue | Traduction |
---|---|
Anglais | wildlife |
Espagnol | fauna silvestre |
Italien | natura |
Allemand | tierwelt |
Chinois | 野生动物 |
Arabe | الحيوانات البرية |
Portugais | animais selvagens |
Russe | живая природа |
Japonais | 野生動物 |
Basque | fauna |
Corse | animali salvatichi |
Synonymes de « faune »
Source : synonymes de faune sur lebonsynonyme.frCombien de points fait le mot faune au Scrabble ?
Nombre de points du mot faune au scrabble : 8 points