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Mari

Variantes Singulier Pluriel
Masculin mari maris

Définitions de « mari »

Trésor de la Langue Française informatisé

MARI, subst. masc.

Homme uni à une femme par les liens du mariage (cf. femme II). Synon. époux (v. ce mot I A 1 a).Lucien (...) avait entendu par la croisée le colloque de la femme et du mari (Balzac,Illus. perdues,1843, p. 544).Nos fous rires l'étonnaient: ce jeune mari heureux, c'était pourtant son fils, si longtemps fermé, si dur (Mauriac,Noeud vip.,1932, p. 63).Ne regrettez pas le Silvio que vous avez connu. C'était un mauvais garçon qui eût fait un mauvais mari (Salacrou,Terre ronde,1938, ii, 3, p. 207).V. accepter ex. 6, complaisant ex. 1, copain ex. de Beauvoir, exiger ex. 7:
1. − J'avais pensé que nous pourrions dîner à la maison? − Oui, dînons à la maison, dis-je. Mon coeur se serra; il avait dit «à la maison» comme si nous avions été mari et femme: et il nous restait deux jours à vivre ensemble. Beauvoir,Mandarins,1954, p. 323.
SYNT. Mari affectueux, aimable, amoureux, débonnaire, empressé, fidèle, passionné; mari bafoué, cocu, commode, complaisant, encombrant, infidèle, ivrogne, jaloux, malheureux, querelleur, soumis, soupçonneux, trompé; bon, excellent mari; futur, vieux mari; mari modèle; tendresse d'un mari; complaisance(s), emportement(s), impatience(s), incompréhension, indifférence(s), jalousie, trahison d'un mari; devoirs, droits d'un mari; choisir, prendre un mari; trouver un mari (à/pour qqn); être en puissance de mari; accepter, refuser de prendre pour mari; vouloir qqn pour mari; changer de mari, avoir eu plusieurs maris.
En partic. [Le rapport d'appartenance créé par les liens du mariage entre les conjoints s'exprime par le recours à l'adj. poss.]
[Poss. + femme] Le mari buvait, battait sa femme, courait les chanteuses des cafés-concerts de Montsou (Zola,Germinal,1885, p. 1218).
[Poss. + mari] Elle me suivit jusqu'à la porte de son boudoir, appuyée au bras de son mari, droite, assurée sur ce ferme soutien (Fromentin,Dominique,1863, p. 210).Le penchant irrésistible qui entraîne la veuve de l'Inde à suivre son mari dans la mort (Durkheim,Division trav.,1893, p. 174).Henriette est la séduction même et je crois que son mari l'aimera passionnément (Bernstein,Secret,1913, i, 3, p. 6):
2. La femme peut, avec l'autorisation de son mari, (...) donner ses biens dotaux pour l'établissement des enfans qu'elle aurait d'un mariage antérieur... Code civil,1804, art. 1555, p. 287.
SYNT. Faire de qqn son mari; adorer, aimer, estimer, perdre, pleurer son mari; berner, quitter, tromper son mari; être attachée, fidèle, plaire à son mari; être heureuse avec son mari; être éprise de son mari; être abandonnée, séparée de son mari.
Prononc. et Orth.: [maʀi]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. Ca 1145 «celui qui est uni à une femme par le mariage» prendre mari «épouser» (Wace, Conception N. D., 1154 ds T.-L.). Du lat. class. maritus «id.» (lui-même dér. de mas, maris «mâle») qui a éliminé vir «homme», d'où «mari, époux». Fréq. abs. littér.: 12524. Fréq. rel. littér.: xixes.: a) 17945, b) 25331; xxes.: a) 21041, b) 11720.

Wiktionnaire

Nom commun 2 - français

mari \ma.ʁi\ masculin au singulier uniquement

  1. (Linguistique) Langue ouralienne parlée dans la République des Maris en Russie.

Nom commun 1 - français

mari \ma.ʁi\ masculin

  1. Homme uni à une autre personne par les liens du mariage, époux.
    • Néanmoins la foi conjugale est sans cesse violée dans les grandes sociétés policées. Il est peu de maris qui soient fidèles à leurs femmes ; il est peu de femmes qui soient fidelles à leurs maris. — (Jean-Claude de La Métherie, De l’homme considéré moralement: de ses mœurs, et de celles des animaux, vol.2, page 268, an XI)
    • Dans ce temps, tu étais jeune, belle, insouciante, sinon heureuse ; un mari te rendra, en peu de jours, ce que je suis déjà, laide, souffrante et vieille. — (Honoré de Balzac, La Femme de trente ans, Paris, 1832)
    • Une Liménienne déjeûne le matin, avec son mari en petit peignoir à la française, ses cheveux retroussés absolument comme nos dames de Paris ; […]. — (Flora Tristan; Les Femmes de Lima, dans Revue de Paris, tome 32, 1836)
    • […],j’ai bien cru que c’était une de ces femmes comme on en voit beaucoup, qui prennent un mari pour avoir une contenance, qui le choisissent riche pour se donner du bon temps, et bête pour le duper sans danger. — (Casimir Colomb, Mademoiselle Renée, dans La Revue des deux mondes, t.88, 1870, page 154)
    • L’abbaye, dit-on, doit son origine à une comtesse Cuniga, une sorte de Barbe-Bleue en jupons, qui avait empoisonné ses sept maris et terrifiait toute la contrée par ses crimes. — (Maurice Grandjean, À travers les Alpes autrichiennes, page 147, A. Mame, 1893)
    • Pourquoi aurait-il échappé à la règle ? Combien de jouvencelles avait-il culbutées jadis ; combien de maris avait-il mis dans la situation où il se trouvait à l’heure actuelle ? — (Louis Pergaud, La Vengeance du père Jourgeot, dans Les Rustiques, nouvelles villageoises, 1921)
    • J’ai appris plus tard qu’ils avaient même torturé Mme Touri (la femme d’un acteur bien connu de Radio-Alger) devant son mari, pour qu’il parle. — (Henri Alleg, La Question, 1957)
    • Ce Tactale était le mari de la femme-chef, la mère du Grand-Soleil; c'était à la fois un fier filou et un gars qui avait la langue sacrément bien pendue. — (Hubert Jules Deschamps, Manon l'Américaine: ou, La vie de René des Grieux : histoire sauvage des deux mondes, Éditions Opta, 1977, p. 194)
    • Gladys raconta que son mari, en reportage à Bucarest, « s’amusait sûrement là-bas avec de belles Roumaines » : aussi pourquoi ne « s'enjoyerait-elle » pas de son côté ? — (Daniel Gillès, Nés pour mourir, Éditions Labor, 1995, p. 50)
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Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

MARI. n. m.
Époux, celui qui est uni à une femme par le lien conjugal. Femme en puissance de mari. Le mari est le chef de la communauté. Mari complaisant, commode, Mari qui, par intérêt ou par quelque autre cause, ferme les yeux sur l'inconduite de sa femme.

Littré (1872-1877)

MARI (ma-ri) s. m.
  • Celui qui est joint à une femme par le mariage. Et pour suivre un mari l'on quitte ses parents, Corneille, Hor. III, 4. Et qu'on n'épouse point l'amant le plus chéri Qu'on ne se fasse un maître aussitôt qu'un mari, Corneille, Pulchér. V, 1. Certaine fille un peu trop fière Prétendait trouver un mari, Jeune, bien fait et beau, d'agréable manière, Point froid et point jaloux : notez ces deux points-ci, La Fontaine, Fabl. VII, 5. Tandis que sous le nom de mari de madame, Je serais comme un saint que pas un ne réclame, Molière, Éc. des f. I, 1. …Qui donne à sa fille un mari qu'elle hait Est responsable au ciel des fautes qu'elle fait, Molière, Tart. II, 2. Et ce n'est pas partout un bon moyen de plaire Que la figure d'un mari, Molière, Amph. Prologue. Quoi ! celle, dites-vous, dont vous tenez ce gage… - Est ma femme, et je suis son mari. - Son mari ? - Oui, son mari, vous dis-je, et mari très marri, Molière, Sgan. sc. 9. Le roi son mari lui a donné jusqu'à la mort ce bel éloge, qu'il n'y avait que le seul point de la religion où leurs cœurs fussent désunis, Bossuet, Reine d'Anglet. Cette femme que vous voyez, qui chérit si tendrement son mari, ordinairement elle ne le choisit pas ; mais plutôt il lui est échu en partage par des conjonctures imprévues, Bossuet, Serm. pour une profession, jour de l'exalt. de la croix, 2. Ce marquis indocile Qui, depuis quinze jours dans le piége arrêté, Entre les bons maris pour exemple cité…, Boileau, Sat. VIII. La revêche bizarre, Qui, sans cesse d'un ton par la colère aigri, Gronde, choque, dément, contredit un mari, Boileau, Sat. X. Exige d'un mari les respects d'un amant, Boileau, ib. Il y a telle femme qui anéantit ou enterre son mari au point qu'il n'en est fait dans le monde aucune mention, La Bruyère, III. Un mari n'a guère un rival qui ne soit de sa main, et comme un présent qu'il a autrefois fait à sa femme, La Bruyère, III. Et quand l'âge le lui eut ramené, il conserva près d'elle cette rudesse inflexible dont les maris infidèles ont accoutumé d'aggraver leurs torts, Rousseau, Hél. III, 7. Ce titre de mari d'une jolie femme, qui se cache en Asie avec tant de soin, se porte ici sans inquiétude, Montesquieu, Lett. pers. 55.

    Fig. Je suis un peu fâchée que vous n'aimiez point les madrigaux ; ne sont-ils pas les maris des épigrammes ? ce sont de si jolis ménages quand ils sont bons, Sévigné, 18 août 1680.

    Mari commode, ou mari patient, mari qui, par intérêt ou par quelque autre cause, laisse vivre sa femme peu régulièrement. Est-il au monde une autre ville aussi Où l'on ait des maris si patients qu'ici ? Molière, Éc. des f. I, 1.

SYNONYME

MARI, ÉPOUX. Époux a un féminin et mari n'en a pas ; il est le latin sponsus et signifie proprement le promis, le fiancé, de là l'emploi qu'il a conservé dans le langage de la pratique et que mari n'a pas. Hors de là, époux appartient au style élevé, tandis que mari est de tous les styles.

HISTORIQUE

XIIe s. Toz mariz ploroit, Machab. I, 5. Et tante dame veuve de lor maris, Roncis. 72. Qu'il me prendroit, et je lui à mari, ib. 170. Sa mere entra, si s'assiet devant li [elle], Bel li pria : fille, prenez mari, Romanc. 73. Et volent esteindre la stencele ki remise m'est [qui m'est restée], que remembrance ne seit de mun marid, ne qu'il n'ait heir, Rois, 168.

XIIIe s. Que por tele aventure [ils] me donassent marit, Berte, LIII. Tel tere qui fu à tel home qui fu mes maris, Beaumanoir, VI, 7.

XIVe s. Vous devez plus en mari penser à la condition qu'à l'avoir, Ménagier, I, 6.

XVIe s. Femme bonne qui a mauvais mari a bien souvent le cœur marri, Cotgrave

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Étymologie de « mari »

Bourguig. mairi ; provenç. marit, marrit ; espagn. marido ; ital. marito ; du lat. maritus, que les étymologistes tirent de mas, maris, mâle. Les Parisiens prononçaient mazi, dit Palsgrave, p. 34, au XVIe siècle. Le pays de Caux en Normandie dit encore mazi.

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Du latin maritus, lui-même dérivé de mas, maris (« mâle ») qui a éliminé vir (« homme »), d’où (« mari, époux »).
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Phonétique du mot « mari »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
mari mari

Fréquence d'apparition du mot « mari » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « mari »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « mari »

  • A jeune femme et vieux mari, des enfants ; à vieille femme et jeune mari, des querelles.
    Proverbe tchèque
  • La femme porte son mari sur son visage, le mari reflète sa femme sur sa chemise.
    Proverbe serbe
  • Voilà. Ces personnages vont vous jouer l’histoire d’Antigone. Antigone, c’est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. Elle pense qu’elle va être Antigone tout à l’heure, qu’elle va surgir soudain de la maigre jeune fille noiraude et renfermée que personne ne prenait au sérieux dans la famille et se dresser seule en face du monde, seule en face de Créon, son oncle, qui est le roi. Elle pense qu’elle va mourir, qu’elle est jeune et qu’elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n’y a rien à faire. Elle s’appelle Antigone et il va falloir qu’elle joue son rôle jusqu’au bout… Et, depuis que ce rideau s’est levé, elle sent qu’elle s’éloigne à une vitesse vertigineuse de sa sœur Ismène, qui bavarde et rit avec un jeune homme, de nous tous, qui sommes là bien tranquilles à la regarder, de nous qui n’avons pas à mourir ce soir.Le jeune homme avec qui parle la blonde, la belle, l’heureuse Ismène, c’est Hémon, le fils de Créon. Il est le fiancé d’Antigone. Tout le portait vers Ismène : son goût de la danse et des jeux, son goût du bonheur et de la réussite, sa sensualité aussi, car Ismène est bien plus belle qu’Antigone ; et puis un soir, un soir de bal où il n’avait dansé qu’avec Ismène, un soir où Ismène avait été éblouissante dans sa nouvelle robe, il a été trouver Antigone qui rêvait dans un coin, comme en ce moment, ses bras entourant ses genoux, et il lui a demandé d’être sa femme. Personne n’a jamais compris pourquoi. Antigone a levé sans étonnement ses yeux graves sur lui et elle lui a dit « oui » avec un petit sourire triste… L’orchestre attaquait une nouvelle danse, Ismène riait aux éclats, là-bas, au milieu des autres garçons, et voilà, maintenant, lui, il allait être le mari d’Antigone. Il ne savait pas qu’il ne devait jamais exister de mari d’Antigone sur cette terre et que ce titre princier lui donnait seulement le droit de mourir.Cet homme robuste, aux cheveux blancs, qui médite là, près de son page, c’est Créon. C’est le roi. Il a des rides, il est fatigué. Il joue au jeu difficile de conduire les hommes. Avant, du temps d’Œdipe, quand il n’était que le premier personnage de la cour, il aimait la musique, les belles reliures, les longues flâneries chez les petits antiquaires de Thèbes. Mais Œdipe et ses fils sont morts. Il a laissé ses livres, ses objets, il a retroussé ses manches, et il a pris leur place.Quelquefois, le soir, il est fatigué, et il se demande s’il n’est pas vain de conduire les hommes. Si cela n’est pas un office sordide qu’on doit laisser à d’autres, plus frustes… Et puis, au matin, des problèmes précis se posent, qu’il faut résoudre, et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée.La vieille dame qui tricote, à côté de la nourrice qui a élevé les deux petites, c’est Eurydice, la femme de Créon. Elle tricotera pendant toute la tragédie jusqu’à ce que son tour vienne de se lever et de mourir. Elle est bonne, digne, aimante. Elle ne lui est d’aucun secours. Créon est seul. Seul avec son petit page qui est trop petit et qui ne peut rien non plus pour lui.Ce garçon pâle, là-bas, au fond, qui rêve adossé au mur, solitaire, c’est le Messager. C’est lui qui viendra annoncer la mort d’Hémon tout à l’heure. C’est pour cela qu’il n’a pas envie de bavarder ni de se mêler aux autres. Il sait déjà…Enfin les trois hommes rougeauds qui jouent aux cartes, leurs chapeaux sur la nuque, ce sont les gardes. Ce ne sont pas de mauvais bougres, ils ont des femmes, des enfants, et des petits ennuis comme tout le monde, mais ils vous empoigneront les accusés le plus tranquillement du monde tout à l’heure. Ils sentent l’ail, le cuir et le vin rouge et ils sont dépourvus de toute imagination. Ce sont les auxiliaires toujours innocents et toujours satisfaits d’eux-mêmes, de la justice. Pour le moment, jusqu’à ce qu’un nouveau chef de Thèbes dûment mandaté leur ordonne de l’arrêter à son tour, ce sont les auxiliaires de la justice de Créon.Et maintenant que vous les connaissez tous, ils vont pouvoir vous jouer leur histoire. Elle commence au moment où les deux fils d’Œdipe, Étéocle et Polynice, qui devaient régner sur Thèbes un an chacun à tour de rôle, se sont battus et entre-tués sous les murs de la ville, Étéocle l’aîné, au terme de la première année de pouvoir, ayant refusé de céder la place à son frère. Sept grands princes étrangers que Polynice avait gagnés à sa cause ont été défaits devant les sept portes de Thèbes. Maintenant la ville est sauvée, les deux frères ennemis sont morts et Créon, le roi, a ordonné qu’à Étéocle, le bon frère, il serait fait d’imposantes funérailles, mais que Polynice, le vaurien, le révolté, le voyou, serait laissé sans pleurs et sans sépulture, la proie des corbeaux et des chacals… Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort.Pendant que le Prologue parlait, les personnages sont sortis un à un. Le Prologue disparaît aussi. L’éclairage s’est modifié sur la scène. C’est maintenant une aube grise et livide dans une maison qui dort. Antigone entr’ouvre la porte et rentre de l’extérieur sur la pointe de ses pieds nus, ses souliers à la main. Elle reste un instant immobile à écouter. La nourrice surgit.
    Jean Anouilh —  Antigone
  • Une femme vertueuse commande à son mari en lui obéissant.
    Publius Syrus
  • On commence par être un mari facile ; on finit par être un mari aisé.
    Aurélien Scholl
  • La femme est pour son mari ce que son mari l'a faite.
    Honoré de Balzac — Physiologie du mariage
  • Qui prend mari prend pays.
    Proverbe québécois
  • Qui prend mari prend souci.
    Proverbe québécois
  • Le jour du mariage, un mari est toujours un vrai mari...
    Roger Fournier — Moi, mon corps, mon âme, Montréal etc...
  • Oh ! le mari, le précieux mari ! personnage indispensable à la solidité des liaisons adultères !
    Georges Courteline — La Philosophie de Georges Courteline
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Traductions du mot « mari »

Langue Traduction
Anglais husband
Espagnol marido
Italien marito
Allemand mann
Chinois 丈夫
Arabe الزوج
Portugais marido
Russe муж
Japonais
Basque senarra
Corse maritu
Source : Google Translate API

Synonymes de « mari »

Source : synonymes de mari sur lebonsynonyme.fr

Antonymes de « mari »

Combien de points fait le mot mari au Scrabble ?

Nombre de points du mot mari au scrabble : 6 points

Mari

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