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Citations sur le des - Page 12

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• - On ne connaît que les choses que l’on apprivoise, dit le renard. Les hommes n’ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n’existe point de marchands d’amis, les hommes n’ont plus d’amis. Si tu veux un ami, apprivoise moi.

• Pose des questions, mais surtout écoute les réponses.

• Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatiguant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications...

• Bonjour, dit le petit prince. - Bonjour"dit le marchand. C'était un marchand de pilules perfectionnées qui apaisent la soif. On en avale une par semaine et l'on n'éprouve plus le besoin de boire. "Pourquoi vends-tu ça ? dit le petit prince ? - C'est une grosse économie de temps, dit le marchand. Les experts ont fait des calculs. On épargne cinquante-trois minutes par semaine. Et que fait-on de cinquante-trois minute ? - On en fait ce que l'on veut..." "Moi, dit le petit prince,si j'avais cinquante-trois minutes à dépenser, je marcherais doucement vers une fontaine...

• -Je cherche des amis.Qu'est-ce que signifie" apprivoiser"? demanda le petit prince. - C'est une chose trop oubliée , dit le renard, ça signifie créer des liens.

• Si vous dites aux grandes personnes: "J'ai vu une belle maison en briques roses, avec des géraniums aux fenêtres et des colombes sur le toit...", elles ne parviennent pas à s'imaginer cette maison. Il faut leur dire: 'J'ai vu une maison de cent mille francs." Alors elles s'écrient: "Comme c'est joli!

• Mon étoile, ça sera pour toi une des étoiles

• Les hommes n'ont plus le temps de rien connaître. Ils achètent des choses toutes faites chez les marchands. Mais comme il n'existe point de marchands d'amis, les hommes n'ont plus d'amis. XXI.

• Les grandes personnes ne comprennent jamais rien toutes seules, et c'est fatiguant, pour les enfants, de toujours et toujours leur donner des explications.

• Quand tu regarderas le ciel, la nuit, puisque j’habiterai dans l’une d’elles, puisque je rirai dans l’une d’elles, alors ce sera pour toi comme si riaient toutes les étoiles. Tu auras, toi, des étoiles qui savent rire

• Toutes les grandes personnes ont d'abord été des enfants. (Mais peu d'entre elles s'en souviennent.)

• Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde" .... "Tu vois, là-bas, les champs de blé ? Je ne mange pas de pain. Le blé pour moi est inutile. Les champs de blé ne me rappellent rien. Et ça, c'est triste ! Mais tu as des cheveux couleur d'or. Alors ce sera merveilleux quand tu m'auras apprivoisé ! Le blé qui est doré, me fera souvenir de toi. Et j'aimerai le bruit du vent dans le blé..." ... "Ainsi le petit prince apprivoisa le renard. Et quand l'heure du départ fut proche : -Ah ! Dit le renard... je pleurerai. -C'est ta faute, dit le petit prince, je ne te souhaitais point de mal, mais tu as voulu que je t'apprivoise... -Bien sûr, dit le renard. -Mais tu vas pleurer ! dit le petit prince. -Bien sûr, dit le renard -Alors tu n'y gagnes rien ! -J'y gagne, dit le renard, à cause de la couleur du blé

• Ce n'est pas assez de faire des pas qui doivent un jour conduire au but, chaque pas doit être lui-même un but en même temps qu'il nous porte en avant.

• Or il n'est pas de grande pensée qui ne puisse se résoudre, pour la commodité de la circulation et pour le besoin des applications vulgaires, en une certaine quantité d'idées tout simplement utiles.

• Quand on veut plaire dans le monde, il faut se résoudre à se laisser apprendre beaucoup de choses qu'on sait par des gens qui les ignorent.

• Quand je dis que 95% des gens sont des imbéciles, 100% d’entre eux sont d’accord !

• Etre jugé sur son intelligence est aussi injuste que d’être jugé sur sa beauté. L’un et l’autre sont, à 65 %, des qualités innées. Ce sont donc des critères égaux en iniquité.

• Ceux qui croient que seules les grandes oeuvres du passé existent sont des pauvres imbéciles incapables de faire confiance à la vie.

• Si le temps voulait seulement attendre la fin de nos folies préférées, nous resterions des jeunes gens jusqu'au jugement dernier !

• Il est des gens qui crient très haut qu'ils n'ont jamais voulu se vendre ; c'est peut-être qu'on ne se serait jamais soucié de les acheter.

• Les rockers engagés sont nos derniers des justes Ils nous sauvent peut-être pendant qu'on s'amuse.

• Un acteur ou une actrice sait qu’il passera par des hauts et des bas. Personnellement, je ne m’attendais pas à avoir cette carrière.

• La réalisation d'un film est une aventure si épuisante et si débilisante que, si l'on n'est pas convaincu d'avoir rencontré un sujet qui touche à la fois l'esprit, l'âme et l'oeil, il vaut mieux rester chez soi lire des livres.

• Le type qui a dit qu'on avait toujours tort de donner des explications avait cent fois raison !

• Dans une révolution, on naît cent fois, et on meurt des milliers de fois.

• Aujourd'hui, on peut dire bite et enculé même au cours d'un dîner mondain, mais on ne peut plus dire prolétaire ou lutte des classes.

• Cimetière. Ultime étape de la lutte des classes.

• La lutte des classes est une construction pyramidale.

• Nos pensées sont comme des feuilles, au moindre coup de vent elles s'envolent.

• Quand il s'agit d'écrire des sottises, il serait vraiment trop facile un gros livre.

• Il faut mettre en question la valeur même des valeurs morales.

• C’est terrible, une guerre civile. Surtout quand c’est fait par des militaires.

• J'ai tout le temps envie de raconter des histoires. Réaliser des films est mon métier, je joins l'utile à l'agréable.

• C’est la liberté de l’écrivain de choisir dans quelle langue il veut exprimer ses idées et raconter des histoires.

• Je ne renoncerai jamais à trois choses : au cinéma, à témoigner, et à raconter des histoires.

• Les femmes sont plus habituées à s'intéresser au-dedans des gens. Les hommes s'intéressent aux choses. A la fin de la vie, les choses nous lâchent, ils nous reste les gens.

• Dès qu’on parle une langue étrangère, les expressions du visage, des mains, le langage du corps changent. On est déjà quelqu’un d’autre.

• L'humour est le premier des dons à périr dans une langue étrangère.

• L'exemple de la folie des pères ne sert point à corriger les enfants. Chacun veut faire le fou à son tour.

• La beauté cachée des laids Se voit sans délai.