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Soupeur en anglais : soup maker

Traductions de « soupeur » en anglais

Traduction la plus commune : soup maker Ecouter

Nom

soupeur m (pluriel soupeurs, feminine soupeuse)

  1. diner (person who dines)

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Exemples d'usage du mot « soupeur » en français / anglais

  • Aura-t-on le fin mot de l’histoire quant Ă  l’authenticitĂ© ou pas de la pratique des «soupeurs» qui, du temps des pissotiĂšres, prisaient (et prisent sans doute encore dans les toilettes publiques ou ailleurs) le pain trempĂ© dans l’urine ?
    Will we have the last word on the authenticity or otherwise of the practice of the "soupeurs" who, in the days of the pissoir, took (and no doubt still take in public toilets or elsewhere) bread soaked in urine? Libération.fr, Vespasiennes : petit coin, gros tabous - Libération
  • ÉvoquĂ©s briĂšvement dans certains livres de Jean Genet, Albert Simonin ou Auguste Le Breton, les soupeurs ont souvent pris les allures d'une lĂ©gende urbaine autant que d'un mythe relayĂ© par la littĂ©rature et son goĂ»t pour les marges.
    Mentioned briefly in certain books by Jean Genet, Albert Simonin or Auguste Le Breton, the soup men have often taken on the appearance of an urban legend as much as a myth relayed by literature and its taste for the margins. Les Inrockuptibles, Qui sont les croûtenards, ces marginaux qui trempent leur pain dans les urinoirs ?
  • J’explore tout, de Marcel Proust aux soupeurs, de l’hygiĂ©nisme aux glory holes, de la poĂ©sie de Verlaine aux archives de la police.
    I explore everything from Marcel Proust to soup makers, from hygienism to glory holes, from Verlaine's poetry to police records. Les Inrockuptibles, Un livre et une expo dévoilent les secrets des pissotiÚres
  • D'abatteuse Ă  vierge folle, en passant par bordelier, greluchon, soupeuse ou encore trimard, nous voilĂ  plongĂ©s dans ce monde interlope. Chaque mot ou locution y est soigneusement dĂ©fini, accompagnĂ© de son Ă©tymologie, rehaussĂ© par quelques synonymes et des extraits explicites d'Ɠuvres (Maupassant, Zola, CĂ©line, l'Ă©rotomane Pierre LouĂżs, Pierre Mac Orlan, Blaise Cendrars, Marcel AymĂ©, l'audacieux Raymond Queneau, le sulfureux Jean Genet, et dans un autre genre, LĂ©o Malet, Auguste Le Breton, Georges Simenon et les indĂ©modables San-Antonio
). Quelques femmes ont su se glisser dans ce choral majoritairement masculin, notamment Colette, Simone de Beauvoir, la regrettĂ©e GrisĂ©lidis RĂ©al et, plus prĂšs de nous, Virginie Despentes, qui siĂšge dĂ©sormais Ă  l'acadĂ©mie Goncourt.
    From abatteuse to vierge folle, via bordelier, greluchon, soupeuse or trimard, we are plunged into this underworld. Each word or expression is carefully defined, accompanied by its etymology, enhanced by a few synonyms and explicit extracts from works (Maupassant, Zola, Céline, the erotomaniac Pierre Louÿs, Pierre Mac Orlan, Blaise Cendrars, Marcel Aymé, the audacious Raymond Queneau, the sulphurous Jean Genet, and in another genre, Léo Malet, Auguste Le Breton, Georges Simenon and the timeless San-Antonio...). A few women have managed to slip into this predominantly male choir, notably Colette, Simone de Beauvoir, the late Grisélidis Réal and, closer to home, Virginie Despentes, who now sits on the Goncourt Academy. Le Figaro.fr, Nanas, hétaïres et gourgandines
  • Que comprendre? La «soupeuse» est-elle cuisiniĂšre? Raffole-t-elle des bouillons de lĂ©gumes ou de viandes? Rien de tout cela. Le terme existe dĂšs 1815 et est trĂšs en vogue sous la monarchie de Juillet. «Soupeuse» s’emploie pour parler d’une «femme qui se fait offrir Ă  souper aprĂšs le théùtre dans les grands restaurants autour du Palais-Royal, dont les cabinets particuliers sont alors de hauts lieux de prostitution». Sous le Second Empire et jusqu’à la IIIe RĂ©publique, le terme est appliquĂ© Ă  «la demi-mondaine assidue des temples de la gastronomie des Grands Boulevards».
    What does it mean? Is the "soup maker" a cook? Does she make vegetable or meat broths? Nothing of the sort. The term existed as early as 1815 and was very much in vogue under the July Monarchy. "Soupeuse" is used to refer to "a woman who is offered supper after the theatre in the large restaurants around the Palais-Royal, whose private rooms were then high places of prostitution". During the Second Empire and up to the Third Republic, the term was applied to "the assiduous demi-mondaine of the gastronomic temples of the Grands Boulevards". Le Figaro.fr, Dix mots libertins qui n’en ont pas l’air

Soupeur

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