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Col de l'utérus
[kɔl dœ lytery]
Définitions de « col de l'utérus »
Col de l'utérus - Locution nominale
- Col de l'utérus — définition française (sens 1, locution nominale)
- Partie étroite entre le bas de l’utérus et le sommet du vagin.
Étymologie de « col de l'utérus »
Usage du mot « col de l'utérus »
Évolution historique de l’usage du mot « col de l'utérus » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « col de l'utérus » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « col de l'utérus »
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L'axe du col décrit avec l'axe du corps un angle d'antéflexion ouvert en avant (antéflexion de 100 à 120 degrés). La cavité du col de l'utérus est fusiforme et se nomme le canal cervical. L'orifice qui se situe entre le col et le corps est l'ostium interne de l'utérus.
Figaro Santé — Col de l'utérus - Qu’est-ce que c’est ? - Fiches santé et conseils médicaux -
Ces deux infections se transmettent trois fois plus souvent au cours d'un rapport génital que durant la pratique du sexe oral. Cependant, si elles ne sont pas traitées à temps, elles peuvent entraîner des complications. Quand ils sont présents dans le pharynx, les gonocoques sont plus difficiles à soigner car ils se montrent plus résistants aux antibiotiques. Quant aux chlamydia, l'infection génitale se traduit par une l'inflammation du col de l'utérus ou des trompes. Mais, si elle n'est pas traitée, elle peut causer une stérilité chez la femme. Ces deux infections se traitent facilement par des antibiotiques.
Sexe oral: un plaisir qui n'est pas sans conséquences - Planete sante — Sexe oral: un plaisir qui n'est pas sans conséquences - Planete sante -
Dans la majorité des cas, un examen colposcopique est déclenché parce que le frottis a suggéré la présence d'anomalies du col utérin nécessitant un examen complémentaire. Cet examen gynécologique plus précis que l'examen habituel, permet d'observer le col de l'utérus et le vagin grâce à une loupe qui grossit (appelée colposcope).
Topsante.com — Colposcopie : en quoi consiste cet examen gynéco ? - Top Santé -
• Le tampon imbibé de prostaglandine, comme par exemple le Cervidil, qui peut être sous forme de gel intra-vaginal ou introduit dans le col de l'utérus (endocervical) pour favoriser sa maturité en aidant son effacement et sa dilatation.
Quoi faire pour stimuler mon travail naturellement? - FAMILLE - Parents 101 - Estrieplus.com - Le journal Internet -
Cindy Osné âgée de 37 ans a été diagnostiquée d'un cancer du col de l'utérus en mai dernier. Après plusieurs opération, elle est suivie pour 5 ans même si ses résultats semblent encourageant pour le moment. Grâce à l'accompagnement de l'AMREC et le soutien des Amazones, elle a gardé un moral à toute épreuve. Elle attend de faire prochainement une hystérotomie qui est une opération qui consiste à inciser l'utérus. Cela devrait être la dernière étape de ce périple médical. Elle s'est confiée :
RCI — Lancement du 3ème programme national de dépistage du cancer du col de l'utérus | RCI -
Jusqu'à cette première fécondation in vitro (FIV), les techniques d'AMP se cantonnaient à des inséminations artificielles (IA), qui consistent à déposer les spermatozoïdes du conjoint (IAC) ou d'un donneur (IAD) au niveau du col de l'utérus ou dans la cavité utérine pour qu'ils aillent féconder naturellement un ovocyte dans le corps de la femme.
Slate.fr — En France, un enfant sur trente est conçu par PMA | Slate.fr -
Si des lésions précancéreuses du col de l'utérus sont détectées et confirmées après un frottis et un test HPV, il faut les ôter avant qu’elles ne dégénèrent. Cette intervention appelée conisation doit être pratiquée par un spécialiste. À un stade plus avancé de la maladie, il faut parfois retirer l’utérus.
Santé Magazine — Les traitements du cancer du col de l’utérus | Santé Magazine -
En 1951, Henrietta Lacks, 31 ans, est morte d'un cancer du col de l'utérus à l'hôpital Johns Hopkins à Baltimore. Lors des tentatives de la soigner, des cellules de sa tumeur avaient été prélevées et transmises à un chercheur sans qu'elle n'en sache rien.
Sciences et Avenir — La famille d'Henrietta Lacks, aux cellules extraordinaires, réclame justice - Sciences et Avenir