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Étiquette : « commentaire de texte »

Le soleil, Baudelaire : commentaire de texte
Le long du vieux faubourg, où pendent aux masuresLes persiennes, abri des secrètes luxures,Quand le soleil cruel frappe à traits redoublé... Lire la suite >

Rimbaud, Première soirée : commentaire de texte
Elle était fort déshabilléeEt de grands arbres indiscretsAux vitres jetaient leur feuilléeMalinement, tout près, tout près. Assise sur ma... Lire la suite >

Lamartine, Le Lac : commentaire de texte
Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,Dans la nuit éternelle emporté sans retour,Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âgesJ... Lire la suite >

La Fontaine, Le Lion et le moucheron : commentaire de texte
Va-t’en, chétif insecte, excrément de la terre !C’est en ces mots que le lionParlait un jour au moucheron.L’autre lui déclara la guerre :... Lire la suite >

Mallarmé, Brise marine : commentaire de texte
La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres.Fuir ! là-bas fuir ! Je sens que des oiseaux sont ivresD’être parmi l’écume incon... Lire la suite >

Stendhal, Le Rouge et le Noir, chapitre 4 : commentaire de texte
En approchant de son usine, le père Sorel appela Julien de sa voix de stentor ; personne ne répondit. Il ne vit que ses fils aînés, espèc... Lire la suite >

Colette, Sido : commentaire de texte
Ô géraniums, ô digitales… Celles-ci fusant des bois-taillis, ceux-là en rampe allumés au long de la terrasse, c’est de votre reflet que m... Lire la suite >

Verlaine, Chanson d'automne : commentaire de texte
Les sanglots longsDes violonsDe l’automneBlessent mon coeurD’une langueurMonotone.Tout suffocantEt blême, quandSonne l’heure,Je me souvie... Lire la suite >

Ronsard, Quand vous serez bien vieille : commentaire de texte
Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle,Assise auprès du feu, dévidant et filant,Direz, chantant mes vers, en vous émervei... Lire la suite >

George Sand, Histoire de ma vie : commentaire de texte
Je connus donc pour la première fois le plaisir, étrange pour un enfant, mais vivement senti par moi, de me trouver seule, et, loin d’en ... Lire la suite >

Balzac, Le père Goriot, la pension Vauquer : commentaire de texte
Cette première pièce exhale une odeur sans nom dans la langue, et qu’il faudrait appeler l’odeur de pension. Elle sent le renfermé, le mo... Lire la suite >