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Deuxième vague
[dœksjɛm vag]
Définitions de « deuxième vague »
Deuxième vague - Locution nominale
- Deuxième vague — définition française (sens 1, locution nominale)
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(Médecine) Résurgence importante de cas cliniques après une période de récession, lors d’une épidémie.
Les médias ont retenu que le virologue berlinois, écouté par le gouvernement allemand, alerte sur une deuxième vague encore plus dangereuse qui pourrait avoir lieu cet hiver.
Étymologie de « deuxième vague »
Usage du mot « deuxième vague »
Évolution historique de l’usage du mot « deuxième vague » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « deuxième vague » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « deuxième vague »
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Le directeur national de santé publique, Horacio Arruda, met de côté l’idée d’imposer un « confinement total » advenant une deuxième vague de la COVID-19 au Québec.
Le Devoir — Pas de «confinement total» en cas de deuxième vague de COVID-19, dit Arruda | Le Devoir -
Sylvain Gaudreault demande au nouveau ministre de la Santé, Christian Dubé, d'avoir un plan pour venir en aide aux personnes handicapées et leurs proches advenant une deuxième vague de coronavirus.
Radio-Canada.ca — Cri du coeur pour les personnes handicapées | Radio-Canada.ca -
"Compte tenu des inquiétudes suscitées par une deuxième vague d'infection au Japon et à l'étranger, nous sommes arrivés à la conclusion douloureuse que nous devions annuler", ont expliqué les organisateurs du tournoi ATP programmé entre le 5 et le 11 octobre.
Challenges — Tennis: l'Open du Japon annulé par crainte du coronavirus - Challenges -
Alors que le spectre d’une deuxième vague épidémique semble s’éloigner, se profile une crise sociale et scolaire qui se soldera, pour des dizaines de milliers d’enfants, par plus de cinq mois de déscolarisation, plus ou moins compensée par les familles. Au vu de la situation parfaitement anomique qui règne aujourd’hui dans bon nombre d’établissements où l’on ne sait plus très bien qui décide de quoi en matière d’accueil (Etat, collectivités territoriales, enseignants, parents), il est à craindre que la rentrée de septembre soit elle-même perturbée.
Libération.fr — La deuxième vague est là, et elle concerne l’effondrement de notre système scolaire public - Libération -
La suite des choses est difficile à prévoir dans un contexte où l’hypothèse d’une deuxième vague est évoquée à l’automne. La très grande majorité des entreprises vit les effets de la pandémie. Certaines ont fermé leurs portes alors que d’autres ont fait d’importantes mises à pied en plus de chambarder leur modèle d’affaires. Pensons à ces restaurants qui, à défaut de devoir fermer leur salle à manger, ont développé le concept des menus à emporter.
Le Nouvelliste — Le meilleur des deux mondes | Éditorial | Opinions | Le Nouvelliste - Trois-Rivières -
Avec la deuxième vague dite du Renouveau charismatique, le charismatisme s’est propagé aux Églises protestantes historiques puis à l’Église catholiques. Au sein du monde évangélique, cependant, il reste essentiellement circonscrit aux Églises pentecôtistes. Cela ne devait pas durer.
Reforme.net — Les trois vagues du christianisme charismatique (3) : le néocharismatisme -
Pour éviter cette «crisette», et faire tourner le moteur rondement, M. Trudeau doit renoncer à imposer des conditions aux 14 milliards $ que son gouvernement entend distribuer aux provinces. Cette somme doit les aider à poursuivre la relance des activités tout en prémunissant mieux les citoyens contre les conséquences d’une deuxième vague de la COVID-19.
Le Soleil — Pas besoin de «crisette» | Jean-Marc Salvet | Chroniques | Le Soleil - Québec -
Même s’il estime avoir été «très bien soutenu» par GastroSuisse, GastroNeuchâtel et la Ville de Neuchâtel notamment, Bertrand de Coulon admet que cette reprise est un soulagement. «Il faut rattraper la dèche de ces deux derniers mois, une période habituellement forte et importante pour nous», commente «Bebet», en assurant toutefois que le 21 «n’est pas en danger». Pour l’instant du moins. «Si une deuxième vague se confirme et qu’elle nous touche de la même manière, mon discours sera probablement différent...»
Un biergarten au cœur du Jardin anglais à Neuchâtel