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Citations sur le tout - Page 17
Il y a 685 citations sur le tout.
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On dirait que tu as toujours quelqu’un, non ? Peut-être que c’est trop tard pour moi. Quand tout le monde trouvait chaussure à son pied et se fiançait, je ne sais pas ce que je faisais. Je ne sais pas où j’étais. J’ai raté le coche, en somme.
Erika Krouse — Passe me voir un de ces jours -
Tout le génie laudatif de la nation était dans cette seule phrase
Alexandre Dumas — Le Comte de Monte-Cristo -
Aux appels de cet étourneau,Grand branle-bas dans Landerneau :Tout le monde et son père accourtAussitôt lui porter secours.
Georges Brassens — À l’ombre du cœur de ma vie -
Il passa contre nous, ne s’interrompit pas de parler à sa voisine, et nous fit du coin de son œil bleu un petit signe en quelque sorte intérieur aux paupières et qui, n’intéressant pas les muscles de son visage, put passer parfaitement inaperçu de son interlocutrice ; mais, cherchant à compenser par l’intensité du sentiment le champ un peu étroit où il en circonscrivait l’expression, dans ce coin d’azur qui nous était affecté il fit pétiller tout l’entrain de la bonne grâce qui dépassa l’enjouement, frisa la malice ;
Marcel Proust — Du côté de chez Swann -
Tout sera parfaitement légal ; il n’y aura pas lieu à la plus petite plainte ; mais comme les initiés le disent déjà trivialement, en se frottant les mains, on aura manqué le coche (…)
Mélanges politiques — « Marche et effets de la censure » -
Il était tout en vif-argent. Il était pur. Et sensible comme un thermomètre. La sensibilité à fleur de peau. Et par là, il était moderne.
Cendrars — Bourlinguer -
Il écrivit quelques lignes « Je soussigné, affirme n'avoir jamais connu une personne habitant. » Il recommençait, s'embrouillait, les lignes dégringolaient sur la feuille. Il laissa enfin tout retomber, et eut plusieurs nausées, coup sur coup.
José Cabanis — Le Fils -
Tout de même, c’était sa nièce, cette fille qui faisait tant sa maligne.
Raymond Queneau — Les Enfants du limon -
Comment mon sort se joue là-haut, dans l'Olympe des bilans, transferts et holdings. Est-ce que je sais vraiment à qui j'appartiens, là, tout de suite ?
Philippe Sollers — Femmes -
"Il faut s’apercevoir qu’il y du plomb dans la ville, depuis longtemps. Tout le bâti haussmannien est bourré de plomb", relève cette élue. "On n’a peut-être pas été assez vigilent, y compris au niveau des normes de l’Etat."
Europe 1 — Après la dépollution de Notre-Dame -
Aussi, les localités que le cortège traverse à vive allure ne se livrent-elles, dans l’ensemble, à aucune manifestation. Seuls, des « gaullistes » vigilants applaudissent à tout hasard.
De Gaulle — Mémoires de guerre -
Tout ce que l'homme a inventé pour essayer de pallier aux [plutôt que « pallier les »] conséquences de ses fautes.
André Gide — Isabelle -
12 juillet. - Paris. J'avais donc perdu la tête les jours derniers ! J'ai dû être le jouet de mon imagination énervée, à moins que je ne sois vraiment somnambule, ou que j'aie subi une de ces influences constatées, mais inexplicables jusqu'ici, qu'on appelle suggestions. En tout cas, mon affolement touchait à la démence, et vingt-quatre heures de Paris ont suffi pour me remettre d'aplomb.
Maupassant — Le Horla -
Tout homme né avec une certaine fierté dans l'âme eût refusé de comparoître après une pareille sommation, mais Fantoni étoit un cadet fort pauvre il solicitoit un emploi, et pour l'obtenir il se fut soumis à passer sous les fourches caudines.
Joseph Gorani — Mémoires secrets et critiques des cours -
Marie, vous avez la joue aussi vermeilleQu'une rose de mai, vous avez les cheveuxDe couleur de châtaigne, entrefrisés de noeuds,Gentement tortillés tout autour de l'oreille.
Pierre de Ronsard — Vous avez la joue aussi vermeille -
Il faut bien sûr imaginer Paul, tout en force, le regard baissé déjouant pour l’instant la description, le menton saillant, la mâchoire prognathe, sa stature excédant la mienne, l’impossibilité dans laquelle il est toujours de faire oublier son corps en dépit des mouvements qui lui traversent l’âme, fréquemment d’ailleurs car Paul est un sensible, un sentimental, même, doublant chez lui le musculaire toujours trahi quelle que soit l’ampleur de la chemise, la coupe du pantalon, la délicatesse de certains gestes, passons sur certains gestes, le visage suscitant chez l’observateur un irrépressible besoin de poncifs, nez épais, lèvres fortes, sourire enfantin, gourmand, la manière dont ses mains battent l’air quand il s’échauffe, le verbe non point tant facile que haut, expéditif et désaccordé souvent, mais sincère, toujours, mieux vaut en rire, maintenant, et d’ailleurs il se tait, il ne répond pas, je dois répéter ma question, il lève enfin les yeux, de beaux yeux, surtout un beau garçon, non pas un beau regard, donc, c’est du reste dommage, avec un beau regard j’aurais compris que Sandra, je n’aurais sans doute rien eu à dire, je n’ai d’ailleurs rien dit, à quoi bon, que dire à une femme qui vous quitte pour un homme dont les yeux sont seulement beaux, on se prend à rêver au contraire d’un amant au charme secret, plus proche de celui qu’on croyait exercer, ou qu’on n’exerce plus, qu’importe, un homme qui puisse prétendre à quelque vraie relève, dont on puisse tirer sinon profit du moins fierté, mais non, c’est cet homme-là que Sandra avait choisi, contre tout attente, ou en réponse à son attente, comment savoir, un homme dont le poids s’aggravait maintenant de celui de son mensonge, peut-être plus pervers au fond que ce qu’on avait pensé, duplique derrière le muscle, noyant des trésors de rouerie dans l’eau bleutée de son regard.
Christian Oster — Paul au téléphone – Éditions de Minuit 1996 -
Cendrillon alla aussitôt cueillir la plus belle qu'elle put trouver, et la porta à sa marraine, ne pouvant deviner comment cette citrouille la pourrait faire aller au bal. Sa marraine la creusa et, n'ayant laissé que l'écorce, la frappa de sa baguette, et la citrouille fut aussitôt changée en un beau carrosse tout doré.
Charles Perrault — Cendrillon -
Bah commander des gosses comme des soldats, les faire marcher au pas, les punir à tour de bras, c'était à tout prendre un métier comme un autre. Faire ça ou peigner la girafe.
Jean-Marie Dunoyer — les Principes d'Archimède -
Les heures passèrent. Dehors, il pleuvait une complainte d’adieux. Elle se farda, utilisa des étoffes, se déguisa. Durant toute la nuit, une ingéniosité diabolique peupla la chambre de femmes venues de toutes contrées, insinuantes, expertes ou naïves, tourmentées, buveuses de saccades. Vers le matin, les femmes disparurent et deux hommes s’effrénaient devant le grand miroir au flamboiement des bûches.L’épuisement passé, il se leva, toucha distraitement les seins d’Adrienne.– Ils te plaisent ? Lui demanda-t-elle avec une maternité étrange. Tu vois, ils commencent à tomber. Je suis devenue une vieille femme. (Songeant à la jeune rivale, elle écrasa, abaissa les seins.) Encore mieux ainsi. (Elle rit.) Je suis vieille. Il faut aller de plus en plus souvent chez le dentiste. Et tout le reste ! Les articulations qui craquent, les cheveux qui se dessèchent, la peau si glorieuse à quatre heures du matin, l’haleine. Je suis fâchée de te faire de la peine. Mon pauvre chéri qui boude.Elle rit. Mais Solal n’écoutait pas et songeait à Aude. Pourquoi, lorsqu’elle était entrée avec son père, avait-il accentué le balancement maudit et avait-il feint de ne pas la reconnaître ? Il n’était même pas fou, il était lucide à ce moment-là. Quel démon plus fort que lui l’avait possédé à ce moment ? Et il ne la verrait plus. Ô son regard, le soir des grandes fiançailles, le geste gauche et le sourire timide avec lesquels elle s’était dévoilée. Quel démon l’avait poussé à hausser les épaules, à faire ce sourire peureux ? Et maintenant, elle gardait l’image dégoûtante de ces deux balanceurs d’Orient qui crevaient de peur devant la fille d’Europe.Il effaça cette pensée, ne voulu pas savoir ce qu’il allait faire et ouvrit le tiroir. Mais elle fut plus prompte que lui, s’élança, saisit sa main, et le revolver qu’il tenait. La balle effleura le front qui saigna. Il s’abattit.La femme nue prit sur ses genoux l’homme nu. Elle baisa les deux plaies, le calma, le berça tout en songeant que la nuit, depuis si longtemps prévue par elle, était arrivée, nuit pareille aux nuits des hivers passés et des hivers qui viendraient lorsqu’elle ne serait plus.Elle regardait le beau corps blessé et il lui semblait tenir sur ses genoux un grand fils évanoui, irresponsable, frappé par les hommes, condamné, trop vivant, irrémédiablement vaincu. Elle pensait à sa propre vie manquée. Elle n’avait pas su se faire aimer. Elle n’avait jamais rien su. Peut-être la faute de son père et l’effroi qu’elle avait de lui dans son enfance ? Cette paralysie, cette passivité. Les autres, celles qui savaient se faire aimer, étaient superficielles. Elle aurait pu aussi, mais elle avait préféré la servitude. Servante, depuis le soir où l’adolescent était entré dans sa chambre jusqu’à cette dernière nuit. Et maintenant impossible de recommencer. C’était l’autre, Aude, qui l’aurait. Si l’autre ne l’empêchait pas de vaincre, tout était bien. Il deviendrait Solal et un grand homme. Mais personne ne viendrait confier à sa tombe les victoires de l’aimé. Tout de même, elle aurait su avant les autres. Avant les autres, elle avait deviné l’attente et l’espoir de cet homme si simple, si bon en réalité, si pur et qui cachait sa naïveté sous des rires et des étrangetés. Et si elle se trompait, s’il devait n’être qu’un homme comme les autres hommes, du moins elle garderait son illusion jusqu’à la fin et personne non plus ne viendrait la détromper
Albert Cohen — Solal – Éditions Gallimard 1930 -
Ces messieurs ne connaissaient rien à mon mal ; donc je n’étais pas malade : comment supposer que ces docteurs ne sussent pas tout ?
Jean-Jacques Rousseau — Les confessions -
L'univers renaît chaque matin, tout comme nous autres, et cela éveille en moi un enthousiasme tel que certains matins, je me réveille avant le point du jour, et je me dis que le soleil va bientôt se lever, et que tout sera tout neuf, et que je vais me renouveler moi aussi, avec tout ce qui se renouvelle, et que je pourrai voir, lire, apprendre des choses que j'ignore…
Orhan Pamuk — La maison du silence -
Pourtant, il avait cru d'abord distinguer, sous un déroulement d'épais cheveux, un fin profil pâle. Mais tout se confondait, s'évaporait, comme en un rêve. Un instant, le profil, évoqué, reparut ; puis, il s'effaça définitivement.
Émile Zola — La Bête humaine -
Vanité des vanités, dit l'inconnu de l'Ecclésiaste, tout n'est que vanité. Il a peut-être commencé à le dire en sumérien. Peut-être bien avant Babel le disait-il déjà. Puis en araméen, en hébreu, en grec et, en latin Vanitas.
René Barjavel — La faim du tigre -
En entrant dans toute réunion mondaine, quand on est jeune, on meurt à soi-même, on devient un homme différent, tout salon étant un nouvel univers.
Proust — Jeunes filles en fleurs -
C'était en janvier, ou en février peut-être, la veille d'une fête de l'Eglise. Tout le monde s'y était rendu, y compris les trois personnes venues de France l'air semblait bouillir.
Marguerite Yourcenar — Quoi ? L'Éternité -
J'espère que tout ira bien pour toi dans la zone de sécurité. Garde bien ta caboche des apaches. Prends soin de toi et écris-moi.
Mario Vargas Llosa — Lituma dans les Andes -
Si encore Renée avait pu reprocher à son mari des torts graves! mais tout le différend se réduisait à ce que les journaux appellent une incompatibilité d’humeur.
Arland — L’Ordre -
Pourquoi ne pas juger selon les apparences ? Après tout, c'est notre premier contact et si l'habit ne fait pas le moine c'est tout de même le plumage qui lui convient le mieux. Un moine en civil, c'est un moine qui triche, presque toujours assez facile à démasquer.
François Baron — Les Frontières du Bonheur -
Bon Dieu, il doit rencontrer ce genre de problèmes tout le temps. Et un voleur astucieux, c’est exactement ce qu’il nous faut, qui puisse entrer dans le bureau de Madison et en sortir les doigts dans le nez.
Tony Kenrick — Trois petits soldats -
Continuant notre route nous passions devant un vieux château en pierre. Il dressait sa masse carrée sur une sorte de plateforme à flanc de montagne, avec des vignobles en terrasses, chaque cep attaché à un tuteur, les vignes sèches et brunes, et la terre prête pour la neige, et le lac tout en bas, plat et gris comme de l'acier.
Ernest Hemingway — L'adieu aux armes -
Cette fumée estompait sans la voiler la Tourgue dont la haute plate-forme dominait tout l’horizon. Entre cette plate-forme et la guillotine il n’y avait que l’intervalle du ravin. De l’une à l’autre on pouvait se parler.
Victor Hugo — Quatrevingt-treize -
Je continuais à interroger Andrée tandis qu'Albertine, par discrétion et pour me laisser (devinait-elle cela ?) tout le loisir de la questionner, prolongeait son déshabillage dans sa chambre.
Marcel Proust — À la recherche du temps perdu -
Tout le monde vit en effet sur le sable de l'allée la trace d'un corps étendu. Les empreintes qui vont vers le bois sont celles de pieds chaussés de semelles en tricot. dit le curé. C'est des pieds de femme, dit la comtesse. Et, là-bas, à l'endroit de la cruche cassée, les empreintes sont celles des pieds d'un homme, ajouta Michaud.
Honoré de Balzac — Les Paysans -
Pour ce que tu disais tout à l'heure. Quoi ? Que tout le monde ne peut pas être américain ? Hé bien ? Je ne suis pas d'accord.
Romain Gary — Le Grand vestiaire -
Et tout le monde se préoccupe, ne serait-ce que dans ses rêves, de la possibilité de devenir l'objet d'une pareille gloire (non pas celle du roi Vaclav qui fréquentait des bistros, mais celle du prince Charles caché dans sa baignoire au dix-septième sous-sol).
Milan Kundera — La lenteur -
Mais il en habitait, le plus souvent, une quatrième [maison] où tout le monde dormait avec tout le monde, car celle-ci, la seule où il disposât d'une clef, généralement pendue au tableau, était un hôtel sur le quai Voltaire...
Antoine Blondin — Monsieur Jadis ou L'école du soir -
Mais au fur et à mesure que les « camarades » avaient pris plus de place dans la vie de Mme Verdurin, les ennuyeux, les réprouvés, ce fut tout ce qui retenait les amis loin d’elle, ce qui les empêchait quelquefois d’être libres, ce fut la mère de l’un, la profession de l’autre, la maison de campagne ou la mauvaise santé d’un troisième.
Marcel Proust — Un amour de Swann -
Gertrude parle à tout le monde (c'était là sa grande joie) un langage tellement de tout le monde que tout le monde en sera surpris.
Gertrude Stein — Trois vies -
La Descoings, qui voulait faire un jour de fête du retour de l'enfant qu'elle nommait prodigue, mais tout bas, avait préparé le meilleur dîner possible.
Balzac — La Rabouilleuse -
Père UbuMerdre.Mère UbuOh ! voilà du joli, Père Ubu, vous estes un fort grand voyou.Père UbuQue ne vous assom’je, Mère Ubu !Mère UbuCe n’est pas moi, Père Ubu, c’est un autre qu’il faudrait assassiner.Père UbuDe par ma chandelle verte, je ne comprends pas.Mère UbuComment, Père Ubu, vous estes content de votre sort ?Père UbuDe par ma chandelle verte, merdre, madame, certes oui, je suis content. On le serait à moins : capitaine de dragons, officier de confiance du roi Venceslas, décoré de l’ordre de l’Aigle Rouge de Pologne et ancien roi d’Aragon, que voulez-vous de mieux ?Mère UbuComment ! après avoir été roi d’Aragon vous vous contentez de mener aux revues une cinquantaine d’estafiers armés de coupe-choux, quand vous pourriez faire succéder sur votre fiole la couronne de Pologne à celle d’Aragon ?Père UbuAh ! Mère Ubu, je ne comprends rien de ce que tu dis.Mère UbuTu es si bête !Père UbuDe par ma chandelle verte, le roi Venceslas est encore bien vivant ; et même en admettant qu’il meure, n’a-t-il pas des légions d’enfants ?Mère UbuQui t’empêche de massacrer toute la famille et de te mettre à leur place ?Père UbuAh ! Mère Ubu, vous me faites injure et vous allez passer tout à l’heure par la casserole.Mère UbuEh ! pauvre malheureux, si je passais par la casserole, qui te raccommoderait tes fonds de culotte ?Père UbuEh vraiment ! et puis après ? N’ai-je pas un cul comme les autres ?Mère UbuÀ ta place, ce cul, je voudrais l’installer sur un trône. Tu pourrais augmenter indéfiniment tes richesses, manger fort souvent de l’andouille et rouler carrosse par les rues.Père UbuSi j’étais roi, je me ferais construire une grande capeline comme celle que j’avais en Aragon et que ces gredins d’Espagnols m’ont impudemment volée.Mère UbuTu pourrais aussi te procurer un parapluie et un grand caban qui te tomberait sur les talons.Père UbuAh ! je cède à la tentation. Bougre de merdre, merdre de bougre, si jamais je le rencontre au coin d’un bois, il passera un mauvais quart d’heure.Mère UbuAh ! bien, Père Ubu, te voilà devenu un véritable homme.Père UbuOh non ! moi, capitaine de dragons, massacrer le roi de Pologne ! plutôt mourir !Mère Ubu (à part).Oh ! merdre ! (Haut.) Ainsi tu vas rester gueux comme un rat, Père Ubu.Père UbuVentrebleu, de par ma chandelle verte, j’aime mieux être gueux comme un maigre et brave rat que riche comme un méchant et gras chat.Mère UbuEt la capeline ? et le parapluie ? et le grand caban ?Père UbuEh bien, après, Mère Ubu ? (Il s’en va en claquant la porte.)Mère Ubu (seule).Vrout, merdre, il a été dur à la détente, mais vrout, merdre, je crois pourtant l’avoir ébranlé. Grâce à Dieu et à moi-même, peut-être dans huit jours serai-je reine de Pologne.
Alfred Jarry — Ubu Roi