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Citations sur le sans - Page 129

Il y a 26045 citations sur le sans.

• Les individus ayant subi cette mutation ont ainsi pu propager discrètement le gène manchado dans la population équine du pays sans que celui-ci soit visible.

• Nous arriverons sans plus tarder à la chapelle mozarabe ou musarabe, les deux se disent, une des plus curieuses de la cathédrale.

• Dumas fils cravache ses secrétaires : Daudet se laisserait cravacher par eux ; son bon garçonnisme sans limites autorisa Hughes Le Roux à sertir dans Tartarin sur les Alpes cette montépinade chatoyante : « Muet, les bras croisés...

• […] leurs guêtres blanches bordées de bleu et sans pied en façon de knémis antique, […]

• J’ai pensé comme lui sans doute : que pour la première fois, son autostoppé c’était moi.

• Façon de déclowniser son visage sans tomber dans le chantage au clown triste, écorchure sous le nez rouge, Guignol mélancolique,Tchao Pantin.

• Un mirage dans le désert nous fait accélérer le pas pour nous rafraichir, des sables mouvants semblent pourtant offrir la possibilité de s’y déplacer, ou une baie vitrée sans reflet peut afforder à tort le passage. — (Nicolas Baltenneck, Se mouvoir sans voir. — Incidences de l’environnement urbain sur la perception, la représentation mentale et le stress lors du déplacement de la personne aveugle, 2010, Université Lumière Lyon 2)

• Et oui, dans d’autres cas on “détransitionne”, se rend compte qu’au final on est bien dans sa peau sans changer de sexe, que ça n’est pas fait pour nous.

• Notre cygne, en tout cas, a redoublé son empire de paix : un citoyen du Nouveau Monde, ému de tant de splendeur sans objet, a peuplé sa solitude d’une cygnesse (mon automédone briochine m’a dit de façon plus cursive “qu’il lui avait payé une copine”).

• Le Rakugo a été développé à l’ère Edo au début des années 1600 pour divertir la population. Au départ, beaucoup de comédiens ont commencé à s’adonner à toutes sortes de divertissements, puis des spécialistes ont émergé : on les a alors appelés les rakugo-ka. À Tôkyô, plusieurs théâtres proposent aujourd’hui ce type de représentations comme le Shinjuku Suehirotei, sans doute le plus connu ainsi que le Suzumoto Engeijō à Ueno, le Asakusa Engei Hall, ou l’Engeijō à Ikebukuro. Le Rakugo, qui repose essentiellement sur des traits d’humour et des jeux de mots, demande une bonne maîtrise de la langue japonaise et des connaissances culturelles pour en saisir la finesse. Contrairement au Nô ou au Kabuki, où la richesse des décors et la mise en scène très visuelle participe aussi au spectacle, le Rakugo mise sur la sobriété d’un homme seul agenouillé devant une table face à son audience et interprétant tous les personnages.

• Le contrejeu : comme Wilhem Steinitz l’a dit, un plan doit être conforme aux exigences de la position. Par projection sur la vie politique, ce plan doit prendre en compte les variations événementielles. Aux échecs, de nombreuses parties se perdent parce que les joueurs exécutent leur plan sans se soucier de celui de l’adversaire. Le principe même de la communication (le jeu est une communication entre deux intelligences) consiste à écouter l’autre dans le but d’identifier ses métaprogrammes sur lesquels il construit sa logique, pour mieux le comprendre. Par analogie, comprendre le plan de son adversaire facilite la victoire. De même, comprendre la réalité politique et les mouvements des autres partis permet d’attaquer à la racine de leurs problématiques.

• D'ailleurs, l’original est destiné à votre dossier « pour la direction générale en Europe » et le duplicata est à vous « pour mémoire » ; le triplicata, je le classe au fichier de chaque manœuvre que vous avez licencié « sans motif » ; et au classement général, je conserve le quadricata en cas de contrôle de monsieur l’inspecteur du travail. Et...

• Qu’ainsi une philosophie de l’expérience et de l’activité parvient à inclure le tragique sans en logifier la causalité profonde.

• Ensuite, quitte à parler du RGSS 3, c’est encore mieux de ne pas faire l’amalgame entre bibliothèque et langage mais aussi de s’en servir en respectant sa sémantique, donc éviter d’utiliser une globale (usage des variables préfixée de $) pour délogifier l’architecture interne du RGSS en greffant des choses étranges comme des comportements sans scopes...

• A travers le clergé du MEDEF, c’est, en effet, la religion dominante qu’il s’agit de remettre à sa place, celle qui prône l’adoration du BENEF absolu, divinité terrible qui juge sans merci, mettant les cupides à sa droite, glorieux et choyés, et tous les pauvres « déchoyés » dans l’enfer de l’austérité et de l’exploitation.

• Ce prélat dont les options politiques étaient connues depuis longtemps et qui, à la suite de Léon XIII, souhaitait la formation en France d’un parti républicain modéré groupant tous les « honnêtes gens », catholiques ou non, fut accueilli avec une réserve polie par la coterie légitimiste, très influente dans le diocèse, qui le soupçonnait non sans raison d’avoir été nommé pour « déchouanniser » la Mayenne, et ses premières directives à son clergé, où il l’exhortait à se limiter à une action strictement pastorale, renforcèrent encore ces préventions : en s’affirmant avec insistance « l’homme de tous », il entendait bien marquer les distances à l’égard du ghetto « bien pensant » et monarchiste.

• […] ; à quoi Sa Sérénissime Éminence voulant pourvoir, fait défense sérieuse à tous un chacun de sartager les voies herdales et aisances communes, comme aussi de faire fendre ni labourer en aucune manière le gazon commun, sans enseignement et permission expresse compétente, à peine d’une amende de dix florins d'or pour chaque fois, […].

• Rose alors le regarde longuement, fixement, sans un mot, appelant toute sa fémininité à ses yeux : cela dure une minute, puis elle élève sa main admirable lentement, de sorte qu’il la voie bien, et puis la lui tend à baiser.

• Naufrageurs, point, mais épaveurs ? Oui et c'est connu : il n’y a pas si longtemps que les anciens servaient, aux noces paludières de leurs enfants, un excellent vin d’Espagne dont les tonneaux avaient été vendangés, après tempête, dans les sables de la Govelle. […]. L’épaveur est celui qui s’empare des débris, réputés sans maître, des navires détruits par la tempête.

• À Tournai, le jour du Mardi gras, on allait « sans décholer » jusqu’au haut du mont Saint-Aubert et le but final était le portail de l'église (Ravez).

• Seul, sans les plombs qui garnissent un de ses bords, ce filet coûte aux pêcheurs 32 francs, et exige une trentaine de jours de travail assidu pour la filetière.

• Je crois que je ne pourrai plus toucher un bolduc sans penser à la séance du jour; au fait je n'ai pas commencé les petits paquets à bolduquer.

• Mais comme j’ai pas eu la Fesse sensiblement batifolante elle a fini par m’engueuler vu que j’étais « son patient le plus douillet » : je crois qu’elle voulait dire ‘le plus couillon’ et, avec ma Sensibilité de la Fesse, j’ai changé de kiné. Le nouveau – elle par hasard, était super sympa, une vraie pro attentive et adorable de 29 ans, ancienne championne de Trial de niveau mondial, un sport que j’ai fait un peu sur piste avec une Honda 80ch-80 kg que ça décoiffe sous le casque comme ça frotte aux genoux dans les virandiaux sans parler des freins serrés rapidement avant un virage pour ralentir bien cambré en aéro frein tout en décascadant les vitesses sans débrayage durant quelques secondes de 250 à 80 à la fin d’une ligne droite : alors chapeau ma kiné vu que hors piste c’est plus duraille.

• Celle-ci est peu essaimeuse dans le nord de son aire. Elle renouvelle sa reine de préférence par supercédure, c’est-à-dire en élevant une nouvelle reine qui prendra la place de l’ancienne sans division de la colonie en deux.

• Il se torche avec un demi rouleau de PQ. S’offre une petite branlette vite faite bien faite en pensant à ses voisines. Se recaleçonne et se reculotte sans séchage de gland. Sort sans actionner la chasse d’eau.

• Parce que, aussi, l’industrie du vêtement a le plus grand intérêt, aujourd’hui, à se « déchauviniser », à penser européen et que, sans conteste, le bouillon de culture de la mode est toujours Paris.

• J’aurais mis 10 sans hésiter s’il n’y avait pas ce cher monsieur Kevin, qui, je trouve, a un don pour décharismatiser ses personnages (sauf peut-être dans un film que j’adore).

• Il va sans dire que dans bien des cas on assiste au cumul de différents greenwashings, plus c’est gros mieux ça marche !

• Rappelons que cette expérience visait, selon les expressions de Racamier lui-même, à effectuer une révolution sans violence permettant de décarcéraliser l’institution psychiatrique, avec des mesures très diversifiées telles que : équipes mobiles d’intervention auprès de différents groupes sociaux, dont les écoles, ateliers protégés, clubs de malades, hôpitaux de jour ou de nuit, foyers de postcure… ; cet ensemble permettant de desservir l’ensemble de la population locale.

• Mais, en général, les solutions proposées ont tendance à concevoir la colonisation, la matérialisation et l’ineffectivité comme des limites externes, à l’intérieur desquelles de nouvelles frontières plus strictes et restreintes de la régulation juridique doivent être définies, de sorte que le droit puisse fonctionner de façon effective et autonome, sans se décaractériser ni décaractériser les sphères sociales dont il assure la régulation.

• Le terme de "mentrification" ne vous dit sans doute rien, il a fleuri sur internet il y a quelques mois.

• pour l'heure actuelle, pour le moment, ce sont dans les pays du tiers monde et sans protection particulière que des enfants, des jeunes adultes, des femmes déboulotent les pc pour récolter qqs pièces par ci par là, c'st lamentable.

• La fondation, conclut notre confrère, était jugée comme un moyen excellent pour engraisser les maigres sans les bouffir et débouffir les gras sans les émacier.

• Il s’avère qu’il s’agissait sans doute du coronavirus. En effet, l’élue municipale EELV a posté un message sur Facebook sans équivoque : « J 21 confinée et J 10 "covidée" : après une semaine un peu difficile, enfin les symptômes du virus commencent à disparaître », écrit-elle sur le réseau social.

• Ceci ne sera pas sans susciter - conclut l’une d’elles - des réclamations et risque d’entraver les opérations de désobusage car on peut craindre que les particuliers ne refusent de laisser désobuser ou débomber leur propriété s’ils ne sont pas sûrs d’être indemnisés rapidement et par priorité.

• Mais bon, s'il est indispensable de "débombarder" le Coeur de Ville je ne suis pas sûr que de faire venir de nouveaux habitants sans travail soit la meilleure politique, il est vrai que l'appellation "socialiste" nécessite d'être justifiée, alors de construire des logements sociaux permet de cacher la merde au chat et puis il ne reste que trois ans avant les prochaines élections municipales qui seront perdues par la droite qui fait la même politique que la gauche.

• Originaire de Syrie, le booza a une texture élastique, au croisement du chewing-gum et de la glace, et une recette qui lui permet de fondre dans la bouche, mais pas (trop) dans le cornet. Surprenant, rafraîchissant et sans oeufs ni crème, le booza est notre nouveau coup de coeur sucré.

• Conjointement, le ban garantit l'enlèvement des récoltes, (« la déblave »), sans risque de déprédation ou de destruction pour les cultures des pièces de terre voisines.

• Une autre cause vient de ce système même : ce qui permet au grand propriétaire d’innover, c’est qu’il est « tout seul dans son finage et qu’il a de grandes pièces », au lieu de la dispersion et de l’enchevêtrement des parcelles du petit propriétaire, qui ne peut innover que si les voisins consentent tous à l’imiter : sans quoi, impossible de déblaver ou d’emblaver sa parcelle.

• Dans ses carnets, il semble y songer quand il écrit familièrement : « Il faut déblaguer la science; car la science est souvent l’occasion de dire les plus fortes bêtises sans que le public s’en aperçoive. »!