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Citations sur le pour - Page 5
Il y a 887 citations sur le pour.
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Tout produit du dégoût susceptible de devenir une négation de la famille, est dada ; proteste aux poings de tout son être en action destructive : DADA ; connaissance de tous les moyens rejetés jusqu’à présent par le sexe pudique du compromis commode et de la politesse : DADA ; abolition de la logique, danse des impuissants de la création : dada ; de toute hiérarchie et équation sociale installée pour les valeurs par nos valets : DADA ; chaque objet, tous les objets, les sentiments et les obscurités, les apparitions et le choc précis des lignes parallèles, sont des moyens pour le combat : DADA ; abolition de la mémoire : DADA, abolition de l’archéologie : DADA ; abolition des prophètes : DADA ; abolition du futur : DADA ; croyance absolue indiscutable dans chaque dieu produit immédiat de la spontanéité : DADA ; saut élégant et sans préjudice, d’une harmonie à l’autre sphère ; trajectoire d’une parole jetée comme un disque sonore crie ; respecter toutes les individualités dans leur folie du moment : sérieuse, craintive, timide, ardente, vigoureuse, décidée, enthousiaste ; peler son église de tout accessoire inutile et lourd ; cracher comme une cascade lumineuse la pensée désobligeante, ou amoureuse, ou la choyer — avec la vive satisfaction que c’est tout à fait égal — avec la même intensité dans le buisson, pur d’insectes pour le sang bien né, et doré de corps d’archanges, de son âme.
Tristan Tzara — Manifeste Dada -
Nous ne sommes pas assez naïfs pour croire dans le progrès. Nous ne nous occupons, avec amusement, que de l’aujourd’hui. Nous voulons être des mystiques du détail, des taraudeurs et des clairvoyants, des anti-conceptionnistes et des râleurs littéraires. Nous voulons supprimer le désir pour toute forme de beauté, de culture, de poésie, pour tout raffinement intellectuel, toute forme de goût, socialisme, altruisme et synonymisme.
Hugo Ball et Richard Huelsenbeck — Manifeste littéraire -
« Tu la payes en nature ? » dit-il. Ça me gêne de dire oui, mais je dis oui si ça peut le rassurer. Non, la chose m’intéresse en tant que spectacle d’art. Il me répond qu’il ne joue pas pour son plaisir, ni pour le plaisir des autres.
Jean Giono — Œuvres romanesques complètes -
Pour vous être agréable, je puis vous proposer l’arrangement suivant au lieu de vous payer, Dieu sait quand, en espèces, je vous paye en nature c’est-à-dire que je vous prends huit jours avec moi, et vous initie à mes procédés.
Jules Romain — Knock ou Le Triomphe de la Médecine -
Je dois m’attendre à tout – ayant été l’homme le plus haï et le plus adoré du XVIIIe siècle !… Avec de la gaieté – et même de la bonhomie, j’ai eu des ennemis sans nombre – et n’ai pourtant croisé la route de personne. Or, j’ai trouvé la cause de tant d’inimitiés. Dès ma folle jeunesse, j’ai joué de tous les instruments, mais je n’appartenais à aucun corps de musiciens – les musiciens m’ont détesté. J’ai inventé quelques bonnes machines, mais je n’étais pas du corps des mécaniciens – et l’on a dit du mal de moi. Je faisais des vers et des chansons, mais qui m’eût reconnu pour poète ? – j’étais le fils d’un horloger ! N’aimant pas le jeu de loto, j’ai fait des pièces de théâtre, mais on disait : “De quoi se mêle-t-il ? Ce n’est pas un auteur, car il fait d’immenses affaires”. Faute de rencontrer qui voulût me défendre, j’ai imprimé de grands mémoires pour gagner des procès qu’on m’avait intentés. Les avocats se sont écriés : “Peut-on souffrir qu’un pareil homme prouve sans nous qu’il a raison !” J’ai traité avec les ministres de grands points de réformation dont nos finances avaient besoin, mais l’on disait encore : “De quoi se mêle-t-il, puisqu’il n’est point financier ?” Luttant contre tous les pouvoirs, j’ai relevé l’art de l’imprimerie française par les superbes éditions de Voltaire – mais je n’étais pas imprimeur et j’ai eu tous les marchands pour adversaires. J’ai fait le haut commerce dans les quatre parties du monde – mais je ne m’étais point déclaré négociant. J’ai eu quarante navires à la fois sur la mer – mais, n’étant pas un armateur, on m’a dénigré dans nos ports. Un vaisseau de guerre à moi de cinquante-deux canons a eu l’honneur de combattre en ligne avec ceux de Sa Majesté, mais regardé comme un intrus, j’y ai gagné de perdre ma flottille ! De tous les Français, quels qu’ils soient, je suis celui qui a fait le plus pour la liberté de l’Amérique – mais je n’étais point classé parmi les négociateurs…
Sacha Guitry — Beaumarchais -
[…] il sait que je tremble pour Bost et il éprouve ma sérénité en me parlant des tortures mentales d’Ehrenbourg; il est d’ailleurs marrant, il n’est pas mobilisé et ne le sera pas, il est paisible comme tout et il parle avec un air d’héroïsme de s’enfermer dans une tour d’ivoire, de se faire une vie agréable, de boire, manger, se divertir […]
Simone de Beauvoir — Lettres à Sartre -
Pour nous, les acteurs, vous êtes un vrai mystère. Souvent, j’ai demandé à Alain Séguret s’il était possible de vous rencontrer, mais il vous décrit comme des gens assez peu liants, enfermés dans leur tour d’ivoire.
Tonino Benacquista — Saga -
Et maintenant ? Où et quand trouverai-je le temps d’essayer de me voir. On veut me faire croire que pour penser un peu il n’est pas besoin d’une tour d’ivoire. Sans doute, mais elle est bien utile…
Raymond Dumay — Mon plus calme visage -
Mais comme chaque chose a sa raison, et que la fantaisie d’un individu me paraît tout aussi légitime que l’appétit d’un million d’hommes et qu’elle peut tenir autant de place dans le monde, il faut, abstraction faite des choses, et indépendamment de l’humanité qui nous renie, vivre pour sa vocation, monter dans sa tour d’ivoire et là, comme une bayadère dans ses parfums, rester, seul, dans nos rêves
Gustave Flaubert — Correspondance -
Femme nue, femme noireVêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté !J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux.Et voilà qu’au cœur de l’Été et de Midi, je te découvre Terre promise, du haut d’un haut col calcinéEt ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l’éclair d’un aigle.Femme nue, femme obscureFruit mûr à la chair ferme, sombres extases du vin noir, bouche qui fais lyrique ma boucheSavane aux horizons purs, savane qui frémis aux caresses ferventes du Vent d’EstTam-tam sculpté, tam-tam tendu qui grondes sous les doigts du VainqueurTa voix grave de contralto est le chant spirituel de l’Aimée.Femme nue, femme obscureHuile que ne ride nul souffle, huile calme aux flancs de l’athlète, aux flancs des princes du MaliGazelle aux attaches célestes, les perles sont étoiles sur la nuit de ta peauDélices des jeux de l’esprit, les reflets de l’or rouge sur ta peau qui se moireA l’ombre de ta chevelure, s’éclaire mon angoisse aux soleils prochains de tes yeux.Femme nue, femme noireJe chante ta beauté qui passe, forme que je fixe dans l’ÉternelAvant que le Destin jaloux ne te réduise en cendres pour nourrir les racines de la vie.
Léopold Sédar Senghor — Chants d’ombre -
Ainsi s’atteste le fondement éthique de nos opérations militaires : on se bat, une fois n’est pas coutume, pour des idéaux et non pour du pétrole, une colonie ou une base militaire de plus.
Régis Debray — L’Emprise -
Pour une fois, Seigneur, une fois n’est pas coutume, moi qui déteste réclamer, je te supplie fais que les princes ne meurent pas jeunes.
Marilène Clément — La Nuit de l’Alléluia -
Cette année-là, Jacquou le pêcheur d’anguilles, décida de manger pour son dîner les quatre plus grosses des anguilles qu’il avait attrapées. Une fois n’est pas coutume et ma foi on se lasse des pommes de terre et du lait frais tiré.
Lise Deharme — Cette année-là… -
Et tout ça, c’est des statistiques (me dit mon père) pas une de ces histoires à la mords-moi le nœud qu’il invente rien que pour le plaisir.
Philip Roth — Portnoy et son complexe -
Nos cœurs étaient muets à force d’être pleins ;Nous effeuillions sur l’eau des tiges dans nos mains ;Je ne sais quel attrait des yeux pour l’eau limpideNous faisait regarder et suivre chaque ride,Réfléchir, soupirer, rêver sans dire un mot,Et perdre et retrouver notre âme à chaque flot.Nul n’osait le premier rompre un si doux silence,Quand, levant par hasard un regard sur Laurence,Je vis son front rougir et ses lèvres trembler,Et deux gouttes de pleurs entre ses cils rouler,Comme ces pleurs des nuits qui ne sont pas la pluie,Qu’un pur rayon colore, et qu’un vent tiède essuie.— Que se passe-t-il donc, Laurence, aussi dans toi ?Est-ce qu’un poids secret t’oppresse ainsi que moi ?— Oh ! je sens, me dit-il, mon cœur prêt de se fendre ;Mon âme cherche en vain des mots pour se répandre :Elle voudrait créer une langue de feu,Pour crier de bonheur vers la nature et Dieu.— Dis-moi, repris-je, ami, par quelles influencesMon âme au même instant pensait ce que tu penses ?Je sentais dans mon cœur, au rayon de ce jour,Des élans de désirs, des étreintes d’amourCapables d’embrasser Dieu, le temps et l’espace ;Et pour les exprimer ma langue était de glace.Cependant la nature est un hymne incomplet,Et Dieu n’y reçoit pas l’hommage qui lui plaît,Quand l’homme, qu’il créa pour y voir son image,N’élève pas à lui la voix de son ouvrage :La nature est la scène, et notre âme est la voix.Essayons donc, ami, comme l’oiseau des bois,Comme le vent dans l’arbre ou le flot sur le sable,De verser à ses pieds le poids qui nous accable,De gazouiller notre hymne à la nature, à Dieu :Créons-nous par l’amour prêtres de ce beau lieu !Sur ces sommets brûlants son soleil le proclame,Proclamons-l’y nous-même et chantons-lui notre âme !La solitude seule entendra nos accents : Écoute ton cœur battre, et dis ce que tu sens.
Alphonse de Lamartine — Jocelyn -
Je n’imitais plus personne, je m’exprimais moi-même pour moi-même. Ce n’était pas un art, c’était un soulagement de mon propre cœur qui se berçait de ses propres sanglots. Je ne pensais à personne en écrivant çà et là ces vers, si ce n’est à une ombre et à Dieu. Ces vers étaient un gémissement ou un cri de l’âme. Je cadençais ce cri ou ce gémissement dans la solitude, dans les bois, sur la mer ; voilà tout. Je n’étais pas devenu plus poète, j’étais devenu plus sensible, plus sérieux et plus vrai. C’est là le véritable art : être touché ; oublier tout art pour atteindre le souverain art, la nature.
Alphonse de Lamartine — Des Méditations -
À moi, si peu brillante, si inculte, si rabougrie, il disait que ma conversation était un plaisir. Et si vous croyez que c’était manière de se payer ma tête, vous vous fourrez le doigt dans l’œil jusqu’au coude. Il était brut de décoffrage, Lulu, ça ne vous aura pas échappé, incapable de mentir même pour servir ses intérêts.
Cécile Philippe — Salut Lulu ! -
Qu’est-ce qu’il en savait, lui, du manque de bol ? Il était né le cul bordé de nouilles, il avait de belles fringues, du blé pour son déjeuner et une super voiture qui l’attendait au bord du trottoir pour le ramener tous les après-midi, à la sortie des cours.
Larry Brown — Père et fils -
Camarades de classe ? Ça oui, j’en ai. Beaucoup. Ils voient en moi une espèce de rempart ultime à la mauvaise note, voire un challenger hors pair à Questions pour un champion.
Tonino Benacquista — Tout à l’ego -
Oui, monsieur, je vois l’art et non la fortune! Avant tout, ne dois-je pas faire parler de moi pour arriver ? Selon moi, le meilleur moyen est de ne pas tripoter avec les fournisseurs, de réaliser de beaux effets à bon marché
Honoré de Balzac — César Birotteau -
Dès lors que l’état des forces politiques rend plus ou moins inéluctable un gouvernement de la droite ou du centre, il n’y a pas lieu de s’étonner que les communistes finissent par considérer le combat politique comme un baroud d’honneur, livré pour des programmes d’autant plus chimériques qu’ils n’ont aucune chance d’être mis à l’épreuve des réalités.
Gaston Deffere — Un nouvel horizon -
Si j’en croyais mes oreilles, aucun coup de feu n’avait été tiré de près, les armes à feu sont dangereuses. Quelques horions avaient dû être échangés à titre symbolique. Les pirates venaient simplement chercher leur redevance. Après un « baroud d’honneur » pour « sauver la face » de leur contribuable ! Il fallait se montrer.
Jean Bommart — Bulles dans le ciel -
Deux kilomètres plus loin, la poursuite s’achève. On arrive au moment où tout est fini. Le zèbre est étendu à côté de sa bagnole. Il s’est vu perdu, il a fait son baroud d’honneur. Il s’est arrêté, il a tiré, les gendarmes ont riposté. On est en train de lui tâter le cou pour savoir s’il vit encore. Un gendarme secoue la tête. Niet. Exit le deuxième faux journaliste.
Marie & Joseph — Venez voir les cadavres -
Je ne trouve jamais la bonne clé du premier coup. Et, même quand je suis sûr que c’est la bonne, la serrure, immanquablement, refuse de fonctionner, au moins pendant un certain temps, comme pour un baroud d’honneur.
Oreste del Bueno — Rien que la vie -
Quoi qu’il en ait pu être de cette interprétation, on se décida pour un petit baroud d’honneur. Nous étions envahis assez amicalement et une large zone inoccupée, par mesure de sécurité, s’étendait entre nos troupes en retraite et les avant-gardes de notre futur général. Il fallait se hâter pour un baroud, et on ne pouvait le confier qu’à des volontaires.
Octave Mannoni — Lettres personnelles -
Mais comment aurait-il appris le détail secret de l’affaire, que personne n’avait eu intérêt à ébruiter ? Elle en aurait le cœur net, et beaucoup plus vite que pour l’armoire qu’elle n’avait finalement obtenue qu’à l’issue de laborieuses et fratricides tractations.
Camille Laurens — Index -
Chacun classe les trois auteurs qui ont concouru par ordre de préférence à l’issue des trois jours de représentation et l’archonte tire au hasard cinq des dix tablettes (les « bulletins de vote » des juges) pour désigner le vainqueur qui est alors couronné de lierre en public.
Sophocle — Antigone -
Nos enfants souffrent, ils rêvent de bien, d’amour et de jeux, ils les entraînent dans le mal, la haine et l’oisiveté. Ils n’ont que ce moyen pour vivre, se faire harraga, brûler la route, comme jadis on brûlait ses vaisseaux pour n’avoir pas à revenir.
Boualem Sansal — Harraga -
Pierre Mauroy sait bien que, pour forcer la main des ministères et des administrations, il est parfois nécessaire de brûler ses vaisseaux en prenant des engagements publics avant de savoir comment les mettre en œuvre.
Franz-Olivier Giesbert — Le vieil homme et la mort -
Ils sont pour toujours hors d’état de nuire. Mais tu dois absolument savoir te défendre. Il faut apprendre à les reconnaître, il faut les suivre à la trace.
Nathalie Sarraute — « Disent les imbéciles » -
Il a eu une postérité immédiate. Mais Huysmans est quand même en retrait : il est persuadé qu’on ne le comprend pas. On prend À rebours pour un roman imaginatif et baroque, alors que lui dit avoir écrit le parcours d’un aristocrate névrosé de l’époque. Il est dans le même état d’esprit d’incompréhension à la réception de ses romans catholiques qui se vendent bien.
André Guyaux — Libération -
On le nomme le capitaine d’Herbigny, un vieux de la vieille qui n’a pour toute fortune que sa croix d’honneur et sa pension.
Gustave Flaubert — L’éducation sentimentale -
Il ne faut promettre et donnerLa vie que pour la perpétuerComme on perpétue une roseEn l’encerclant de mains heureuses.
Paul Éluard — Poésie ininterrompue -
« C’est très mal, ce que tu as fait là, ma fille, très mal et le bon Dieu ne te pardonnera pas de sitôt. Pense à l’enfer qui t’attend si tu ne gardes pas désormais une bonne conduite. Maintenant que tu as un enfant, il faut que tu te ranges. Madame la Baronne fera sans doute quelque chose pour toi, et nous te trouverons un mari. »
Guy de Maupassant — Une vie -
Chez grand-mère, sa mémoire fut pérennisée par un objet/souvenir, hérité de la chère dame, qui trôna longtemps sur une étagère et qu’avec mes frères, nous nous accordions pour juger « cucul la praline » : un angelot de biscuit, couché sur le ventre, fesses rebondies et sourire béat.
Paul Malet — Les Voiles de la misère -
Pour l’administration, c’était loin des yeux loin du cœur ce qu’on appelle la justice aveugle et on ne pouvait pas être plus invisible que ce pâté de maisons dans les numéros 1000 de Terrace View, un cul-de-sac qui venait finir sur un mur antibruit d’autoroute.
Elizabeth Stromme — L’écrivain public -
C’est lundi qu’il est mort. On devrait faire une loi obligeant à percer le cœur pour être tout à fait sûr ou bien à placer une sonnerie électrique ou un téléphone dans le cercueil et une espèce de conduit d’aération aussi. Signal de détresse. Trois jours. C’est un peu long pour les conserver en été. Autant s’en débarrasser dès qu’on est sûr qu’il n’y a plus. La terre tombait plus mollement. Commence à être oublié. Loin des yeux loin du cœur.
James Joyce — Ulysse -
Personne ici à part moi ne songe à ramasser les miettes. Je montais en courant vers leurs chambres, Nore encore dans mon ventre, Anne ici, Jeanne là, pas étonnant qu’elles aient fui. Pourtant personne n’est moins garde-chiourme que moi. Cacahuètes écrasées. On me prend pour la bonne ici. Ne pas perdre le fil. Loin des yeux, loin du cœur.
Marie Darrieussecq — Bref séjour chez les vivants -
Si l’adage loin des yeux, loin du cœur, est vrai pour la plupart des femmes, il est vrai surtout en fait de sentiments de famille et de protections ministérielles ou royales.
Honoré de Balzac — Le Cabinet des Antiques -
Sans un remords, sans un regret, je partiraiLoin devant moi, sans espoir de retourLoin des yeux, loin du cœurJ’oublierai pour toujoursEt ton corps, et tes bras, et ta voixMon amour.
Charles Aznavour — Et pourtant