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Citations sur l'est - Page 1440
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Le Cameroun est devenu Une méga-tombe pour les yos et yoyettes Ce bled tue les jeunes talents!
« Méga-Tombe » — d’après Valsero -
Ouais, il est wo !
Matthieu Bidan et Michela Cuccagna — Comment l’argot de Grigny a envahi la France -
Pierre Mauroy sait bien que, pour forcer la main des ministères et des administrations, il est parfois nécessaire de brûler ses vaisseaux en prenant des engagements publics avant de savoir comment les mettre en œuvre.
Franz-Olivier Giesbert — Le vieil homme et la mort -
Les plantes signalées comme nuisibles aux récoltes, sont en première ligne le chiendent qui est répandu partout, et le chardon (Cirsium arvense) dont la présence est l'indice d’un sol pierreux, ensuite la trainasse (Polygonum aviculare) , le coquelicot, le panais sauvage, le liseret (Convulvulus arvensis) , la nielle , le séné bâtard ou raveluche (sinapis) , très-communs dans les avoines des sols inférieurs.
(Louis Graves — Précis statistique sur le canton de Betz -
Donne-moi le temps de m’habiller, dit-il, et je suis tout à toi. C’est égal, tu as une manière de réveiller ton monde qui est bonne ; comme tu vous remues !
Hector Malot — Un mariage sous le Second Empire -
La fontaine qui succédera aux historiques modèles en fonte à tête de lion est peut-être née. Un prototype conçu avec un grand opérateur français de l’eau par l’entreprise de robinetterie et fontainerie de Meyzieu, Bayard, déjà fabricante de la tête de lion originelle, trône devant les locaux de la Métropole de Lyon depuis cet été 2023.
Tribune de Lyon — Bayard se lance dans une fontaine à eau plus écolo -
Lorsque le roi est en prise, il est en échec. Le joueur devra obligatoirement parer cet échec. S’il n’existe aucun coup pour soustraire le roi à l’échec, le roi est alors échec et mat et la partie est perdue.
F. Leysour de Rohello — Les règles du jeu d’échecs -
Le livre est enfin arrivé et je peux poster cette lettre. Porte-toi bien, cordialement, ton Cipion.
Sigmund Freud — Lettres de jeunesse -
Il a eu une postérité immédiate. Mais Huysmans est quand même en retrait : il est persuadé qu’on ne le comprend pas. On prend À rebours pour un roman imaginatif et baroque, alors que lui dit avoir écrit le parcours d’un aristocrate névrosé de l’époque. Il est dans le même état d’esprit d’incompréhension à la réception de ses romans catholiques qui se vendent bien.
André Guyaux — Libération -
Ici-bas, tout est décomposé, tout est mort, mais là-haut ! Ah, je l’avoue, l’effusion de l’Esprit Saint, la venue du Divin Paraclet se fait attendre ! Mais les textes qui l’annoncent sont inspirés : l’avenir est donc crédité, l’aube sera claire ! Et, les yeux baissés, les mains jointes, ardemment il pria.Des Hernies se leva et fit quelques pas dans la pièce.– Tout cela est fort bien, grogna-t-il, mais ce siècle se fiche absolument du Christ en gloire ; il contamine le surnaturel et vomit l’au-delà. Alors comment espérer en l’avenir, comment s’imaginer qu’ils seront propres, les gosses issus des fétides bourgeois de ce sale temps ? Élevés de la sorte, je me demande ce qu’ils feront dans la vie, ceux-là ?Ils feront comme leurs pères, comme leurs mères, répondit Durtal, ils s’emplieront les tripes et se vidangeront l’âme par le bas-ventre !
Joris-Karl Huysmans — Là-bas -
Nous sommes loin de cet art parfait de Flaubert qui s’effaçait derrière son œuvre et créait des personnages si magnifiquement divers. M. Huysmans est bien incapable d’un tel effort. Son visage sardonique et crispé apparaît embusqué au tournant de chaque page, et la constante intrusion d’une personnalité, si intéressante qu’elle soit, diminue, suivant moi, la grandeur d’une œuvre et lasse par son invariabilité à la longue.
A. Meunier — « Joris Karl Huysmans » -
Sa femme est un peu cucul la praline, vous verrez, mais il en fait ce qu’il veut et elle ne mouftera pas.
Jacques d’Arribehaude — Cher Picaro : journal des années cinquante -
Non seulement [l’auteur et le lecteur] se méfient du personnage de roman, mais, à travers lui, ils se méfient l’un de l’autre. Il était le terrain d’entente, la base solide d’où ils pouvaient d’un commun effort s’élancer vers des recherches et des découvertes nouvelles […] Quand on examine sa situation actuelle, on est tenté de se dire qu’elle illustre à merveille le mot de Stendhal : « le génie du soupçon est entré dans le monde ». Nous sommes entrés dans l’ère du soupçon.
Nathalie Sarraute — L’ère du soupçon -
C’est lundi qu’il est mort. On devrait faire une loi obligeant à percer le cœur pour être tout à fait sûr ou bien à placer une sonnerie électrique ou un téléphone dans le cercueil et une espèce de conduit d’aération aussi. Signal de détresse. Trois jours. C’est un peu long pour les conserver en été. Autant s’en débarrasser dès qu’on est sûr qu’il n’y a plus. La terre tombait plus mollement. Commence à être oublié. Loin des yeux loin du cœur.
James Joyce — Ulysse -
Si l’adage loin des yeux, loin du cœur, est vrai pour la plupart des femmes, il est vrai surtout en fait de sentiments de famille et de protections ministérielles ou royales.
Honoré de Balzac — Le Cabinet des Antiques -
Car les uns mettent leur bonheur à vivre avec leurs amis et à leur faire du bien : d’autres sont disposés à agir ainsi, quoiqu’ils ne le fassent pas ; mais telle est leur inclination habituelle, même pendant leur sommeil, même quand ils sont séparés de leurs amis par l’éloignement des lieux ; car cet éloignement ne rompt pas absolument l’amitié, mais il en interrompt les effets et les actes. Cependant, une longue absence semble au moins la faire oublier ; d’où est venu le proverbe : « Souvent le défaut d’entretien rompt et détruit l’amitié. »
Aristote — Éthique à Nicomaque -
— Comme il est gentil ! il est déjà galant, il a un petit œil pour les femmes : il tient de son oncle. Ce sera un parfait gentleman, ajouta-t-elle en serrant les dents pour donner à la phrase un accent légèrement britannique. Est-ce qu’il ne pourrait pas venir une fois prendre a cup of tea, comme disent nos voisins les Anglais ; il n’aurait qu’à m’envoyer un « bleu » le matin.
Marcel Proust — Du côté de chez Swann -
Un des arguments des esclavagistes américains en faveur de l’esclavage, c’est que les Blancs du Sud étant tous déchargés des besognes serviles pouvaient entretenir entre eux les relations les plus démocratiques, les plus raffinées de même, l’existence d’une caste de « filles perdues » permet de traiter « l’honnête femme » avec le respect le plus chevaleresque. La prostituée est un bouc émissaire ; l’homme se délivre sur elle de sa turpitude et il la renie. Qu’un statut légal la mette sous une surveillance policière ou qu’elle travaille dans la clandestinité, elle est en tout cas traitée en paria.
Simone de Beauvoir — Le deuxième sexe -
L’indifférence du sage pour qui tout pays est patrie et toute religion un culte valable à sa manière exaspérait mêmement cette foule de prisonniers ; si ce philosophique renégat, qui ne reniait pourtant aucune de ses croyances véritables, était pour eux tous un bouc émissaire, c’est que chacun, un jour, secrètement ou parfois même à son insu, avait souhaité sortir du cercle où il mourrait enfermé.
Marguerite Yourcenar — L’Œuvre au Noir -
Aux lecteurs :Amis lecteurs, qui ce livre lisez,Despouillez vous de toute affection ;Et, le lisant, ne vous scandalisez :Il ne contient mal ne infection ;Vray est qu’icy peu de perfectionVous apprendrez, si non en cas de rire ;Aultre argument ne peut mon cueur elire, Voyant le dueil qui vous mine et consommeMieulx est de risque de larmes escripre, Pour ce que rire est le propre de l’homme.
Rabelais — Gargantua -
Voilà, je t’ai débarrassé de ces petites misères, de ces petites saletés. Ton manteau est plus beau maintenant, tu es plus propre. Ça te va mieux.
Eugène Ionesco — Le Roi se meurt -
Le lendemain de Noël, une petite tigresse de Sumatra a pointé le bout de son museau au PAL : Sankha. Après une centaine de jours de gestation, sa maman, Kinabalu, lui a donné naissance sans accro, et « très rapidement ». Elle est très attentionnée avec son tigreau de maintenant 3.48 kilogrammes, d’après le parc animalier et d’attraction bourbonnais. La petite féline, qui pesait seulement 1 kilo le 26 décembre, était aveugle et c’est seulement après 13 jours qu’elle a ouvert les yeux.
www.lamontagne.fr — Naissance d’une tigresse de Sumatra, espèce classée en danger critique d’extinction, au PAL dans l'Allier - Saint-Pourçain-sur-Besbre (03290) -
Qui est cet autre individu d’Esanji? Il ne peut pas répondre à Math, qui a très démontré que l’auteur est un autre faux jeton qui s’est retrouvé dans le journalisme.
Actu Cameroun — Lions Indomptables : Voici la condition que pose André Onana pour son retour dans la tanière -
Mardi prochain, lorsque vous trouverez Henriette en train de coudre à vous attendre, vous lui direz avant même qu’elle vous ait demandé quoi que ce soit : “Je t’ai menti, comme tu t’en es bien doutée ; ce n’est pas pour la maison Scabelli que je suis allé à Rome cette fois-ci, et c’est en effet pour cette raison que j’ai pris le train de huit heures dix et non l’autre, le plus rapide, le plus commode, qui n’a pas de troisième classe ; c’est uniquement pour Cécile que je suis allé à Rome cette fois-ci, pour lui prouver que je l’ai choisie définitivement contre toi, pour lui annoncer que j’ai enfin réussi à lui trouver une place à Paris, pour lui demander de venir afin qu’elle soit toujours avec moi, afin qu’elle me donne cette vie extraordinaire que tu n’as pas été capable de m’apporter et que moi non plus je n’ai pas su t’offrir ; je le reconnais, je suis coupable à ton égard, c’est entendu, je suis prêt à accepter, à approuver tous tes reproches, à me charger de toutes les fautes que tu voudras si cela peut t’aider le moins du monde à te consoler, à atténuer le choc, mais il est trop tard maintenant, les jeux sont faits, je n’y puis rien changer, ce voyage a eu lieu, Cécile va venir • tu sais bien que je ne suis pas une si grande perte, ce n’est pas la peine de fondre en larmes ainsi…”Mais vous savez bien qu’elle ne pleurera nullement, qu’elle se contentera de vous regarder sans proférer une parole, qu’elle vous laissera discourir sans vous interrompre, que c’est vous, tout seul, par lassitude, qui vous arrêterez, et qu’à ce moment-là vous vous apercevrez que vous êtes dans votre chambre, qu’elle est déjà couchée, qu’elle est en train de coudre, qu’il est tard, que vous êtes fatigué de ce voyage, qu’il pleut sur la place.
Michel Butor — La Modification -
Fort de ses trois ans d’expérience, Franck pense qu’il existe des conducteurs sérieux, même parmi les noirs. A… est aussi de cet avis, bien entendu. Elle s’est abstenue de parler pendant la discussion sur la résistance comparée des machines, mais la question des chauffeurs motive de sa part une intervention assez longue et catégorique. Il se peut d’ailleurs qu’elle ait raison. Dans ce cas, Franck devrait avoir raison aussi. Tous les deux parlent maintenant du roman que A… est en train de lire, dont l’action se déroule en Afrique. L’héroïne ne supporte pas le climat tropical (comme Christiane). La chaleur semble même produire chez elle de véritables crises :“C’est mental, surtout, ces choses-là”, dit Franck. Il fait ensuite une allusion, peu claire pour celui qui n’a pas feuilleté le livre, à la conduite du mari. Sa phrase se termine par “savoir la prendre” ou “savoir l’apprendre”, sans qu’il soit possible de déterminer avec certitude de qui il s’agit, ou de quoi. Franck regarde A…, qui regarde Franck. Elle lui adresse un sourire rapide, vite absorbé par la pénombre. Elle a compris, puisqu’elle connaît l’histoire. Non, ses traits n’ont pas bougé. Leur immobilité n’est pas si récente : les lèvres sont restées figées depuis ses dernières paroles. Le sourire fugitif ne devait être qu’un reflet de la lampe, ou l’ombre d’un papillon. Du reste, elle n’était déjà plus tournée vers Franck, à ce moment-là. Elle venait de ramener la tête dans l’axe de la table et regardait droit devant soi, en direction du mur nu, où une tache noirâtre marque l’emplacement du mille-pattes écrasé la semaine dernière, au début du mois, le mois précédent peut-être, ou plus tard. Le visage de Franck, presque à contre-jour, ne livre pas la moindre expression. Le boy fait son entrée pour ôter les assiettes. A… lui demande, comme d’habitude, de servir le café sur la terrasse. Là, l’obscurité est totale. Personne ne parle plus. Le bruit des criquets a cessé.
Alain Robbe-Grillet — La Jalousie -
[…] [ces] mouvements indéfinissables qui glissent très rapidement aux limites de la conscience ; ils sont à l’origine de nos gestes, de nos paroles, des sentiments que nous manifestons, que nous croyons éprouver et qu’il est possible de définir. Ils me paraissaient et me paraissent encore définir la source secrète de notre existence. […] A ces mouvements qui existent chez tout le monde et peuvent à tout moment se déployer chez n’importe qui, des personnages anonymes, à peine visibles, devaient servir de simple support.
Nathalie Sarraute — Le Langage dans l’art du roman -
Sarkozy vire sa cuti. Vraiment, me direz-vous plein de doute et de circonspection ? « Virer sa cuti », c’est peut-être un peu fort de café, je vous l’accorde. Alors, disons plutôt qu’il est versatile
Têtu — Nicolas Sarkozy vire sa cuti -
Michel Mourre, esprit philosophique qui, deux ans plus tôt, en froc de moine, avait fait scandale à Notre-Dame en s’écriant de la chaire usurpée « Dieu est mort » et depuis avait viré sa cuti, retrouvant le maurrassisme et la spiritualité…
Michel Déon — Mes arches de Noé -
J’entasse des vêtements dans une grande mallette bleue ; elle est trop petite parce que « là-bas » il fait très froid et je dois emporter beaucoup de choses.
Simone de Beauvoir — Tout compte fait -
Le 4 octobre dernier [1926], à la fin d’un de ces après-midi tout à fait désœuvrés et très mornes, comme j’ai le secret d’en passer, je me trouvais rue Lafayette : après m’être arrêté quelques minutes devant la vitrine de la librairie de L’Humanité et avoir fait l’acquisition du dernier ouvrage de Trotski, sans but je poursuivais ma route dans la direction de l’Opéra. Les bureaux, les ateliers commençaient à se vider, du haut en bas des maisons des portes se fermaient, des gens sur le trottoir se serraient la main, il commençait tout de même à y avoir plus de monde. J’observais sans le vouloir des visages, des accoutrements, des allures. Allons, ce n’étaient pas encore ceux-là qu’on trouverait prêts à faire la Révolution. Je venais de traverser ce carrefour dont j’oublie ou ignore le nom, là, devant une église. Tout à coup, alors qu’elle est peut-être encore à dix pas de moi, venant en sens inverse, je vois une jeune femme, très pauvrement vêtue, qui, elle-aussi, me voit ou m’a vu. Elle va la tête haute, contrairement à tous les autres passants. Si frêle qu’elle se pose à peine en marchant.
André Breton — Nadja -
Parce qu’en russe, cela est le commencement du mot espérance, et parce que ce n’en est que le commencement.
André Breton — Nadja -
L’attitude réaliste, inspirée du positivisme, de Saint Thomas à Anatole France, m’a bien l’air hostile à tout essor intellectuel et moral. Je l’ai en horreur, car elle est faite de médiocrité, de haine et de plate suffisance. C’est elle qui engendre aujourd’hui des livres ridicules, des pièces insultantes. Elle se fortifie sans cesse dans les journaux et fait échec à la science, à l’art, en s’appliquant à flatter l’opinion dans ses goûts les plus bas ; la clarté confinant à la sottise, la vie des chiens. […]
André Breton — Manifeste du surréalisme -
De l’unité du corps, on s’est beaucoup trop pressé à conclure l’unité d’âme, alors que nous abritons peut-être plusieurs consciences et que le vote de celles-ci est fort capable de nous mettre des idées opposées en ballottage.
André Breton — Manifeste du surréalisme -
Elle fixe à chacun sa place et son rôle ; elle réglemente assez strictement les rapports de l’individu à sa famille propre, et de cette famille à tout le clan. Aucune charte, cela va de soi, ne préside à cette structure. Le principe fort en est la seule amitié.
Henri Bosco — Les Balesta -
Il est essentiel que le gouvernement donne l’impression qu’il n’est pas aux mains des factions de gauche et qu’il n’a pas à se rendre pieds et poings liés aux sommations de je ne sais quelle armée prétorienne qui, croyez-moi, n’est pas l’armée. Il va de soi que si un fait nouveau se produisait, une procédure de révision serait entamée. La conséquence saute aux yeux.
Marcel Proust — Le Côté de Guermantes -
Accidents du mystère et fautes de calculs Célestes, j’ai profité d’eux, je l’avoue. Toute ma poésie est là : je décalque L’invisible (invisible à vous). J’ai dit : « inutile de crier, haut les mains ! » Au crime déguisé en costume inhumain ; J’ai donné le contour à des charmes informes ; Des ruses de la mort la trahison m’informe ; J’ai fait voir, en versant mon encre bleue en eux, Des fantômes soudain devenus arbres bleus.
Jean Cocteau — Opéra -
Nous avons tous un épiderme sensible aux tziganes et aux marches militaires. […]Il y a des œuvres longues qui sont courtes. L’œuvre de Wagner est une œuvre longue qui est longue, une œuvre en étendue, parce que l’ennui semble à ce vieux dieu une drogue utile pour obtenir l’hébétement des fidèles.Il en est ainsi des magnétiseurs qui hypnotisent en public. La bonne passe qui endort est généralement très courte et très simple, mais ils l’accompagnent de vingt passes postiches qui frappent la foule.La foule est séduite par le mensonge ; elle est déçue par la vérité trop simple, trop nue, trop peu inconvenante. […]Socrate disait : « Quel est cet homme qui mange du pain comme si c’était de la bonne chère, et la bonne chère comme si c’était du pain ? »Réponse : le mélomane allemand.
Jean Cocteau — Le Coq et l’Arlequin -
Mais plus proche encore, si on essaie de pencher la tête, il y a le mur, les feuilles déchiquetées, les persiennes vertes, les pigments de la chaux qui s’enflent presque au soleil de quatre heures, le mimosa, la poussière, le croisement, les feux de signalisation, une ou deux voitures qui passent, de nouveau une vespa, et ce sable rouge partout, chante, petite, chante encore, tant que le monde est immobile.
Colette Fellous — Le Petit Casino -
Ma parolle, Diex, est veraie, Com est li argent c’on essaie
Psaumes en vers — Liber Psalmorum -
Les inclinaisons naissantes après tout, ont des charmes inexplicables, et tout le plaisir de l’amour est dans le changement.
Molière — Don Juan