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Citations sur le des - Page 52

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• En toute chose, ne prenez pas pour le démolisseur celui qui pleure au milieu des ruines.

• La vie dangereuse est là, au milieu des miracles.

• Il y a des gens qui ont la tête en bas comme les plantes, et qui regardent avec leurs pieds.

• Ce ne serait pas la peine d'avoir des enfants si leurs petites têtes et leurs petites mains n'étaient pas toujours avec leurs sourires et leurs caresses au milieu de notre esprit et au milieu de notre coeur.

• Ne cesse pas, voix dansante, parole De toujours murmurée, âme des mots Qui colore et dissipe les choses Les soirs d’été où il n’est plus de nuit.

• Un geste, un événement dans le petit monde colorié des hommes n’est jamais absurde que relativement : par rapport aux circonstances qui l’accompagnent.

• Pour mieux voir les défauts des autres, on prend une loupe ; pour les siens, on se bande les yeux.

• Il y a des gens niais qui se connaissent et qui emploient habilement leur niaiserie.

• On ne connaît point les femmes, elles ne se connaissent pas elles-mêmes, et ce sont les occasions qui décident des sentiments de leur cœur.

• Que valent le silence, la contemplation ? Est-ce que ces valeurs peuvent encore être perçues ? Ou le silence et la contemplation sont-ils le fait de ceux qui se murent hors des souffrances d'autrui, de l'évolution du monde et de ses problèmes ?

• Sans l'appui de l'égoïsme, l'animal humain ne se serait jamais développé. L'égoïsme est la liane après laquelle les hommes se sont hissés hors des marais croupissants pour sortir de la jungle.

• Sans la pilule ça serait encore un gros péché de tringler hors des liens conjugaux.

• L'éclat de la poésie se révèle hors des moments qu'elle atteint dans un désordre de mort.

• La pensée n’est rien d’intérieur, elle n’existe pas hors du monde et hors des mots.

• Toute femme qui se mêle volontairement d'affaires au-dessus de ses connaissances et hors des bornes de son devoir est une intrigante.

• Ce qui est hors des gonds de la coutume, on le croit hors des gonds de la raison.

• Les institutions passent par trois périodes : celle des services, celle des privilèges, celle des abus.

• Entre 18 et 20 ans, la vie est comme un marché où l’on achète des valeurs non avec de l’argent, mais avec des actes. La plupart des hommes n’achètent rien.

• On ne pouvait même pas aller au cinéma. On était ignorants. Je me sentais plus proche de la nature. J'ai grandi sur des terrains vagues jusqu'à l'âge de 13 ans.

• L'enfance est le trou noir où l'on a été précipité par ses parents et d'où l'on doit sortir sans aucune aide. Mais la plupart des gens n'arrivent pas à sortir de ce trou qu'est l'enfance, toute leur vie ils y sont, n'en sortent pas et sont amers.

• Que suppose l’art culinaire ? La connaissance des herbes, des fruits, des baumes et des épices et de tout ce qui soigne et est doux dans les champs et dans les bois.

• Dans certains cimetières américains, certains défunts demandent que l'on plante un arbre sur leur tombe. Sans doute ces gens pensent-ils qu'ils ne mourront pas tout à fait si leur ADN passe dans l'arbre dont les racines vont s'enfoncer dans la tombe, proliférer, faire des rejetons... Le fantasme de l'immortalité revisité par la science !

• Le désespoir, c'est être sorti du monde, s'être détaché des choses et des hommes, s'être mis en congé d'humanité.

• Le pauvre est un être humain comme les autres qui, compte tenu des conditions de misère et de promiscuité dans lesquelles il est obligé de vivre, devient plus corrompu et plus méchant que les autres

• Il y a de ces hasards cachés de par le monde qui font des signes étoilés au bout de notre espoir. Et la plupart du temps, à l'heure où l'on s'y attend le moins.

• Les êtres humains, qui sont remarquables de par leur capacité à tirer des leçons de l’expérience des autres, sont également remarquables pour leur inclination à ne pas le faire.

• Un gouvernement, de par sa nature, a intérêt à élargir son champ d’action, restreignant par là même la liberté des individus.

• Nos enfants : c'est notre amour qui a pris des jambes et des bras... pour aller de par le monde.

• Une maladie, un deuil, on en parle... mais un chagrin d'amour scelle les mots au bord des lèvres comme si une incompréhensible pudeur devait les retenir nous empêchant de les communiquer aux autres.

• Les Français, je trouve qu'ils ont peur, peur des étrangers. Avant, il y avait un quant à- soi. Même dans la France de Marcel Aymé, où il y avait pourtant plein de collabos.

• Voulez-vous profiter vraiment de votre jardin ? Mettez des vêtements souples et lâches, un grand chapeau de paille, ayez dans une main un râteau et dans l'autre une boisson glacée. Indiquez ensuite au jardinier la plate-bande qu'il doit bêcher.

• Il est des paroles qui ne devraient servir qu'une fois.

• Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais, dans l'œil du vieillard, on voit de la lumière.

• J'en passe, et des meilleurs.

• Le fossé des générations existe, pas tellement parce que nous voulons qu'il en soit ainsi mais parce que nous savons rarement le combler.

• Vous n'êtes pas ici parce que vous êtes les meilleurs. Vous êtes ici parce que vous êtes les meilleurs des meilleurs.

• […] Les quoique sont toujours des parce que méconnus […].

• La majorité des Anglais "vont outre-mer" quand ils visitent le Canada, l'Australie et "vont à l'étranger" quand ils traversent la Manche.

• Il n'y a pas un outre-mer, mais des outre-mers.

• Comment définir le réel ? Ce que tu ressens, vois, goûtes ou respires, ne sont rien que des impulsions électriques interprétées par ton cerveau.