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Citations sur le des - Page 200

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• On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d'hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu.

• Les dieux s'en vont ; plus que des hures ; Ah ! ça devient tous les jours pis.

• La fêlure est la nature des dieux.

• Le bonheur des méchants est un crime des dieux.

• Dans la matière, il n'y a pas de dieux. Dans l'équilibre, il n'y a pas de dieux. Les dieux sont nés de la séparation des forces et ils mourront de leur réunion.

• La moitié du dictionnaire, c'est des mots pour les vieux.

• Le peuple n'a pas besoin de liberté, car la liberté est une des formes de la dictature bourgeoise...

• Les dictatures sont un grand effort manqué des peuples pour échapper au dégoût, à ce désœuvrement de l'âme.

• Le langage des yeux. Quel doux dialogue, quelle merveilleuse cascade d'idées, dites dans le silence.

• Les dialectes sont les grands trésors régionaux à l'égal des cathédrales.

• La dialectique est pour ainsi dire le faîte et le couronnement des sciences.

• Il faut un diagnostic juste si l’on veut des remèdes appropriés.

• L'éducation à elle seule ne suffit pas à protéger des dérapages les plus diaboliques.

• […] Le diable s'est toujours mis du côté des savants.

• Un film dure éternellement, alors j'aime travailler avec des réalisateurs qui imposent une vision inédite de notre monde.

• La plupart des amis dégoûtent de l'amitié, et la plupart des dévots dégoûtent de la dévotion.

• La plupart des amis dégoûtent de l'amitié et la plupart des dévots dégoûtent de la dévotion.

• Une des choses que nous devons apprendre est que la souffrance est partie intégrante de la vie.

• Nos vertus, nous les devons à l'impuissance où nous sommes d'avoir des vices.

• Avec certaines femmes, c'est le devoir des Danaïdes.

• Il est si rare qu’il n’y ait pas une partie apparente d’un désir ! Ce que vivent les coeurs des amants, leurs palpitations, leurs émois et leurs dévoiements, la chair en est aussi bavarde que retournée.

• Plutôt souffrir que mourir, C'est la devise des hommes.

• L'amitié fait deviner des choses dont on ne parle pas.

• On voit des avares devenir prodigues, mais on ne voit pas des prodigues devenir avares.

• Le cosmos des Grecs anciens était l'image d'un Univers qui ne devient pas, mais qui est. En conséquence, le Grec lui-même était un homme qui jamais ne devint, mais qui toujours fut.

• Le destin ne surprend jamais ceux de la race des biens nés. Sur leur chemin, ce ne sont pas sur les cailloux de la déveine qu'ils buttent, mais sur ceux de l'avantageuse chance.

• En France, le deuil des convictions se porte en rouge et à la boutonnière.

• Si l'homme est créé libre, il doit se gouverner ; Si l'homme a des tyrans, il les doit détrôner.

• La liberté ne se conquiert jamais au détriment de celle des autres. Etre libre, c'est dominer. Dans le dernier cas, la liberté n'est acquise qu'au détriment de soi.

• La vie deviendrait vite odieuse s'il fallait se charger de la détresse des autres.

• La détresse humaine nous consacre dans cette communauté humaine. Il est impossible de nous isoler des hommes.

• La force des vrais détours n'est pas d'éloigner mais d'atteindre au but avec plus d'exactitude.

• Le propre des imbéciles est de détester tout ce qu'ils ignorent.

• Les hommes se trompent en ce qu'ils pensent être libres et cette opinion consiste en cela seul qu'ils sont conscients de leurs actions, et ignorants des causes par lesquelles ils sont déterminés.

• Nous devrions garder la couleur de la vie, mais ne jamais nous souvenir des détails. Les détails sont toujours vulgaires.

• Le détachement de tout n'est jamais si complet que quelque rêve encore ne survive à la mort des rêves.

• Il faut encourager les efforts contre la désuétude des mots dignes d'être conservés.

• Les hommes bâtissent leurs plus grands espoirs sur des moyens de destruction.

• Toute destruction brouillonne affaiblit les faibles, enrichit les riches, accroît la puissance des puissants.

• Sais-tu quel est mon plus grand souci ? C’est de tuer l’ennui. Celui qui rendrait ce service à l’humanité serait le vrai destructeur des monstres.