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Il y a 122 citations sur le concile.
En 451, à la suite du rejet du monophysisme – doctrine affirmant que le Christ n’a qu’une seule nature divine – par le concile de Chalcédoine, les coptes se séparèrent de l’Eglise de Byzance et de celle de Rome. Si plusieurs tentatives d’union avec Rome ont eu lieu au cours des siècles, ce n’est qu’en 1895 que le pape Léon XIII créa le patriarcat d’Alexandrie des coptes catholiques, rejoint par une minorité de coptes. En 2016, l’Eglise copte catholique comptait huit éparchies (diocèses) pour près de 175’000 fidèles. En 2005, ceux-ci étaient plus de 250’000. cath.ch — Des évêques coptes catholiques reçus par le pape François – Portail catholique suisse
Néanmoins cette Eglise n’est plus tellement éloignée de Rome sur le plan théologique. Jusqu’à peu, l’Eglise apostolique arménienne était qualifiée de monophysite, c’est-à-dire ne reconnaissant qu’une seule et unique nature à Jésus Christ. Et ce, car n’ayant pas participé au concile de Chalcédoine en 451, elle n’avait pas souscrit aux documents finaux. Il faut attendre finalement 1996, pour que saint Jean Paul II et le catholicos Karekin II se rencontrent et signent une déclaration rappelant les origines communes. cath.ch — L’Eglise apostolique arménienne est désormais représentée à Rome – Portail catholique suisse
En 451, elle refuse le concile de Chalcédoine, qui affirme la nature à la fois divine et humaine du Christ. C’est depuis qu’elle est qualifiée de « monophysite ». La Croix — VIDEO - Qui sont les coptes ?
L’Église apostolique arménienne compte six millions de fidèles dans le monde. Elle s’est séparée de Byzance après le concile de Chalcédoine (451) qui a condamné le monophysisme (doctrine ne reconnaissant qu’une seule nature, divine, au Christ). La Croix — S.B. Nourhan Manougian, nouveau patriarche arménien de Jérusalem
Les chrétiens d’Orient sont très divisés par l’histoire, la géographie, les rites et les langues. L’Orient compte d’abord les trois Eglises orthodoxes dites «pré-chalcédoniennes»: les coptes (7 millions) , les arméniens (5 millions), les syriaques (800.000). Ces Eglises «monophysites» n’avaient pas approuvé les conclusions du concile de Chalcédoine de 451 sur la nature à la fois divine et humaine de Jésus-Christ. Slate.fr — La mosaïque des Chrétiens d'Orient | Slate.fr
L’Eglise en Egypte existe depuis les temps apostoliques, la tradition attestant la présence de l’évangéliste saint Marc dans la région. Après le concile de Chalcédoine (451), la plupart des fidèles sont tombés dans l’hérésie monophysite qui refuse la double nature - humaine et divine - du Christ. FSSPX.Actualités / FSSPX.News — La survie des coptes catholiques d’Egypte - FSSPX.Actualités / FSSPX.News
Le premier nom d’évêque que nous connaissons avec certitude est celui du Corse Benoît. Sa présence est signalée en 649 au Concile de Latran qui condamna le monothélisme. Par deux fois, il y prend la parole. Parmi les 105 évêques qui y assistaient, il est cité au septième rang, après le pape Martin Ier. Diocèse d'Ajaccio — Le diocèse - Diocèse d'Ajaccio
Contre le nestorianisme se développèrent, en sens inverse, les courants monophysites. La nature humaine du Christ aurait cessé d’exister au moment où elle était assumée par sa Personne divine. Le monophysisme fut condamné par le concile de Chalcédoine (451) : « un seul et même Fils, Notre Seigneur Jésus-Christ, le même parfait en divinité et parfait en humanité, le même vraiment Dieu et vraiment homme ». Certaines Églises orientales ont cependant été longtemps qualifiées de monophysites pour n’avoir pas reconnu ce concile (Églises dites préchalcédoniennes). La Croix — Les hérésies dans le christianisme
(3) Après que le concile d’Éphèse (431) puis le concile de Chalcédoine (451) avaient condamné Nestorius, patriarche de Constantinople, et ses positions christologiques, l’Église d’Orient n’en reconnaît pas les conclusions. De ce fait, on l’appela « nestorienne » mais elle-même continua de s’intituler Église d’Orient. La Croix — Les Églises orthodoxes orientales approfondissent leur dialogue avec Rome
Le texte a le souci de reprendre certains enseignements qui faisaient tragiquement défauts dans la version initiale, ou qui s’y trouvaient déformés : le sacerdoce ministériel, la transsubstantiation et la présence réelle, les quatre fins du sacrifice de la messe, la messe comme renouvellement sacramentel du sacrifice de la croix, la propitiation, le tout émaillé de nombreuses citations du concile de Trente et de l’affirmation à la fidélité à la Tradition des Pères, mieux observable aujourd’hui car mieux connue… FSSPX.Actualités / FSSPX.News — Les 50 ans de la nouvelle messe : l’Institutio generalis Missalis romani (3) - FSSPX.Actualités / FSSPX.News
Annoncée pour la Pentecôte 2016 après plus d’un demi-siècle de préparation, la tenue d’un concile panorthodoxe à Istanbul n’est pas pour autant acquise. La Croix — 4 clés pour comprendre le grand concile panorthodoxe
Le « saint et grand » concile panorthodoxe, qui ne s’était plus tenu depuis le schisme de 1054, a lieu en Crète, du 19 au 27 juin. Voulu dès 1961 par son prédécesseur Athénagoras, le patriarche œcuménique Bartholomeos Ier de Constantinople y travaille d’arrache-pied depuis son élection en 1991. La Croix — Le premier concile panorthodoxe depuis 1 000 ans
C’est « niet ». Après s’être réuni lundi 13 juin, le saint synode (assemblée des évêques) de l’Église orthodoxe russe a fait savoir dans un long communiqué qu’il appuyait les Églises d’Antioche, de Bulgarie, de Serbie et de Géorgie dans leur demande de report du concile panorthodoxe convoqué en Crète ces jours prochains, faute de quoi elle n’y participerait pas. La Croix — La Russie ne participera pas au concile panorthodoxe
Le Saint-Synode de l’Eglise orthodoxe russe a lui aussi réagi fortement ces derniers jours, demandant au patriarche Bartholomée de convoquer une réunion préconcilaire panorthodoxe extraordinaire avant le 10 juin pour examiner la faisabilité du Concile dans les délais prévus, rapporte Apic. Après la demande de report exprimée par l’Eglise de Bulgarie, le patriarcat de Moscou rappellait que la non-participation au Concile d’une seule d’entre les Eglises orthodoxes « constitu[ait] un obstacle insurmontable à l’accomplissement du saint et grand Concile ». L’Eglise russe évoque plusieurs autres problèmes non réglés. La Vie.fr — Le concile panorthodoxe aura-t-il lieu ?
Le grand concile panorthodoxe se déroulera à l'Académie orthodoxe de Crète, du 16 au 27 juin. La synaxe des primats des Eglises orthodoxes, réunis à Chambésy près de Genève, a confirmé, le 28 janvier, la tenue de la rencontre historique, rapporte l’agence Apic. La Vie.fr — Le concile panorthodoxe confirmé en Crète
À longueur de mois, le service commerce de Nevers et les élus, Pierrette Concile (depuis 2014) et Laurent Pommier, dernièrement élu, s’acharnent à redynamiser le centre-ville. Depuis quelque temps, la municipalité dispose d’un nouvel outil : la pépinière de commerce et d’artisanat. www.lejdc.fr — Une pépinière de commerce et d'artisanat pour lutter contre la vacance commerciale à Nevers - Nevers (58000)
Je ne suis ni sociologue, ni politologue, ni polémologue. Cette conférence participe néanmoins totalement de ma mission d'évêque. Un évêque ne parle pas que de Dieu et de l'Église mais aussi du monde. Le concile Vatican II l'explique très clairement et donne la méthode pour comprendre le monde: «Pour mener à bien cette tâche, l'Église a le devoir, à tout moment, de scruter les signes des temps et de les interpréter à la lumière de l'Évangile, de telle sorte qu'elle puisse répondre, d'une manière adaptée à chaque génération, aux questions éternelles des hommes sur le sens de la vie présente et future et sur leurs relations réciproques.» (Gaudium et Spes, 4) Le Figaro.fr — Daech, Boko Haram : une nouvelle guerre de religion?
Quelques années plus tard, la tension est de nouveau à son comble. Cette fois, c’est un moine du nom d’Eutychès qui met le feu aux poudres. En réagissant contre les thèses de Nestorius, il déforme la christologie. Il insiste à tel point sur l’union des natures humaine et divine du Christ que selon lui, après l’union, il n’y a plus qu’une seule nature, la divine. Un nouveau courant naît: le monophysisme. Ses thèses sont rejetées en 451 par le concile de Chalcédoine, mais elles ont survécu jusqu’à aujourd’hui dans les Eglises dites préchalcédoniennes, qui ont refusé les conclusions de ce concile. Le Temps — Noël, histoire d’une querelle théologique - Le Temps
Les textes du concile Vatican II décrivent le presbyterium de deux manières. D’abord comme l’ensemble de « tous les prêtres, en union avec les évêques » et qui « participent à l’unique sacerdoce et à l’unique ministère du Christ », ainsi que l’explique le décret Presbyterorum ordinis (n° 7). Mais ce texte du Concile sur les prêtres définit aussi le presbyterium comme l’unité des prêtres d’un même diocèse autour de leur évêque. La Croix — Le presbyterium
Ainsi la dimension propitiatoire – le fait que la messe soit une offrande de réparation pour le péché – devient gênante. Rejetée par les protestants, elle est affirmée avec force par toute la tradition de l’Eglise, à commencer par les textes du Nouveau Testament. Elle fut particulièrement mise en évidence par le concile de Trente qui avait précisément à lutter contre l’hérésie luthérienne. Dans le nouveau rite elle est pratiquement gommée. FSSPX.Actualités / FSSPX.News — Les 50 ans de la nouvelle messe : la fabrication du nouveau missel - FSSPX.Actualités / FSSPX.News