La langue française

Accueil > Dictionnaire > Définitions du mot « suif »

Suif

Variantes Singulier Pluriel
Masculin suif suifs

Définitions de « suif »

Trésor de la Langue Française informatisé

SUIF, subst. masc.

A. − Graisse d'animaux herbivores, composée principalement de stéarine et d'oléine, que l'on recueille par fusion; en partic., cette graisse fondue qui servait autrefois à la fabrication de chandelles, de bougies, d'onguents, de savons et de produits de graissage. Cierge, savon de suif; suif de mouton, de bœuf. Cette chandelle, on la faisait venir avec grand soin et en caisse des environs de Briançon; on voulait qu'elle fût faite avec du suif de chèvre (Stendhal, H. Brulard,t. 1, 1836, p. 55):
On utilise dans l'alimentation des graisses provenant exclusivement du traitement des suifs en branches des bovins (graisses de bœuf, dites premier jus et oléo-margarine) et parmi ces suifs, uniquement les suifs de rognons et les suifs d'abats. Brunerie, Industr. alim., 1949, p. 43.
P. méton., vx. Chandelle, bougie. Des gaillards à mine truculente, tendant leurs pots vides, frappaient sur les tables des coups de poing à tuer des bœufs et qui faisaient trembler les suifs emmanchés dans des martinets de fer (Gautier, Fracasse, 1863, p. 314).
VÉN. Graisse des bêtes de couleur fauve (d'apr. Duchartre 1973).
P. anal. Graisse végétale, analogue au suif animal pour son utilisation. Suif de Camara, d'Ochoco; arbre à suif. Suifs et huiles végétales et animales, qui, de plus en plus demandés, se font de plus en plus concurrence sur les principaux marchés, donneraient lieu à une très féconde étude de géographie humaine: suifs de l'hémisphère austral, suifs des États-Unis, suif végétal blanc de Chine (Brunhes, Géogr. hum., 1942, p. 169).
B. − P. anal., fam. ou péj. Graisse humaine. Ce pavé que l'Europe foule Est gras encor du suif des morts (Toulet, Contrerimes, 1920, p. 119).
Subst. (partie du corps) + de suif.Qui semble être en suif, gras, mou. Quand on lui serre la main, on a l'impression de toucher du suif. Ma parole! Et, quand il mange, il remue des joues de suif (G. Leroux, Roul. tsar, 1912, p. 87).M. Amédée, mal ficelé, mal embouché, lui ressemblait en plus gros, luisant de toute sa face de suif rouge (Pourrat, Gaspard, 1930, p. 37).
Boule de suif. Personne très grasse. La femme, une de celles appelées galantes, était célèbre par son embonpoint précoce qui lui avait valu le surnom de Boule de suif (Maupass., Contes et nouv., t. 2, Boule de suif, 1880, p. 122).
Au fig. Ce que l'on a en réserve, ce qui est un acquis. En fait de littérature, il y a longtemps que Planche ne se renouvelle pas et qu'on peut dire qu'il vit de son suif (Sainte-Beuve, Poisons, 1869, p. 31).
C. − Au fig.
1. Vieilli, fam. Réprimande violente. Synon. fam. savon2.Mongin, un matin, arriva chez Langibout furieux contre une actrice qui leur avait fait donner un « suif général » par Lemeubre pour avoir manqué de respect à sa femme de chambre (Goncourt, Man. Salomon, 1867, p. 48).Nous étions au repos. Le capitaine fut convoqué chez le colonel. Bourbaki lui fit subir un suif (Cendrars, Main coupée, 1946, p. 224).
2. Mod., arg. Bagarre, dispute violente. Synon. grabuge.Il sentait monter en lui et brûler sa rage meurtrière (...). Il lui fallait du suif. Ça soulagerait ses nerfs (Le Breton, Rififi, 1953, p. 158).C'est baissant les yeux, que je suis entré (...) voulant dévisager aucune gonzesse, minimiser les risques de suif (Simonin, Cave se rebiffe, 1954, p. 117).
Etre en suif. Etre fâché, en froid avec quelqu'un. Car la pipelette renaudait. Et le Nantais ne tenait pas à être en suif avec elle (Le Breton, Razzia, 1954, p. 49).
Chercher du suif. Chercher querelle. Synon. chercher noise (v. ce mot B).Elle devait un rien trouver le temps long, la charmante, surtout si les poulets étaient venus lui chercher du suif, lui demander de mes nouvelles (Simonin, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 162).
Faire du suif. Faire un scandale. Synon. faire du foin (v. foin1C).Suzanne (...) a dû faire un drôle de suif auprès d'Angelo, que tu m'aies pas laissé étendre (Simonin, Touchez pas au grisbi, 1953, p. 64).
REM.
Suif(f)age,(Suifage, Suiffage) subst. masc.,industr. alim. ,,Défaut des produits gras (beurre en particulier) qui apparaît après conservation et qui est marqué par un goût de suif, une saveur huileuse et parfois par une coloration blanche du beurre. Il est dû à une oxydation de la matière grasse (surtout de l'acide oléique)`` (Luq.-Boud. Lait. 1981). Les qualités organoleptiques des produits sont profondément modifiées par le suifage (Clém.Alim.1978).
Prononc. et Orth.: [sɥif]. Att. ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. A. 1. Ca 1170 sieu « graisse fondue de certains animaux » (Quatre Livre des Rois, éd. E. R. Curtius, p. 30, 23); 1197 siu (Hélinant, Vers de la mort, XIII, 10 ds T.-L.); xiies. sui (Gloss. Tours, 329, ibid.); 2. 1721 « corps gras végétal analogue au suif » (Trév.); 3. 1832 « chandelle faite avec cette graisse » (Hugo, N.-D. Paris, p. 456); 4. 1866 « graisse humaine » (Delvau). B. 1. 1834 « forte réprimande » (Chevalier, in R. maritime, I, 210, ds Quem. DDL t. 38); 2. 1935 « bagarre, querelle » (voyous d'apr. Esn. 1966). Du lat. sebum « suif », d'abord sieu, puis sui par métathèse, le f final est apparu au xiiies. (v. T.-L.) p. anal. avec les mots de type nois/noif (v. neige). Fréq. abs. littér.: 175.
DÉR. 1.
Suiffard, -arde, subst. et adj.,pop. ou arg., vieilli. a) Subst. et adj. α) (Animal) gras, en bonne santé. [Ces chevaux] étaient superbes! Il y a longtemps que je n'en avais vu d'aussi suiffards (Richepin, Césarine, 1888, p. 218). β) (Celui, celle, ce) qui est riche, élégant, qui fait cossu. Un entresol suiffard. Puis, il retomba dans son admiration devant Mes-Bottes. Était-il assez suiffard, l'animal! Un vrai propriétaire; du linge blanc et des escarpins un peu chouettes! (Zola, Assommoir, 1877, p. 763).b) Subst. Tricheur professionnel. Le jeu reprit (...). L'argent [des naïfs] passa lentement aux mains des suiffards (Figaro,20 févr. 1877ds Hogier-Grison, Monde où l'on triche, 1resérie, 1886, p. 173). [sɥifa:ʀ], fém. [-aʀd]. 1resattest. a) 1848 « bien mis; riche » (Journalisme d'apr. Esn. 1966), b) 1888 « gras » (en parlant d'un animal) (Richepin, loc. cit.); de suif, suff. -ard*.
2.
Suif(f)er,(Suifer, Suiffer) verbe trans.a) Enduire, graisser quelque chose avec du suif. Suiffer un bateau. As-tu suifé les gonds de la porte pour qu'ils ne fassent pas de bruit? (Hugo, Misér., t. 1, 1862, p. 924).P. métaph. Cette indigence de moyens m'étonne de la part du bon Dieu. Il faut qu'à tout moment il se remette à suifer la rainure des événements. Ça accroche, ça ne marche pas. Vite une révolution (Hugo, Misér., t. 2, 1862, p. 319).Part. passé en empl. adj. Bottes suiffées. Il s'agissait de faire glisser jusqu'à la mer ou jusqu'au plan d'eau une coque d'acier pesant déjà plusieurs milliers de tonnes, sur un chemin de glissement suifé, large de 15 ou 20 cm (Perpillou, Industr. constr. nav., 1967, p. 11).b) Pop., part. passé en empl. adj. Bien mis, endimanché. Maintenant, déclara le petit, je me vas déguiser (...). Me v'là en complet, bon sang, et bien suiffé! (La Varende, Trois. jour, 1947, p. 68). [sɥife], (il) suiffe [sɥif]. Ac. 1835, 1878: suiffer, suiver; 1935: suiffer. Rob. 1985: ,,On écrit parfois suifer``, mais Pt Rob. 1980: ,,suiffer ou (vx) suifer``. 1resattest. 1393-94 siever (Compt. de l'Hôtel-Dieu d'Orleans, exp. comm. dom. ds Gdf. Compl.), 1537 sieuver (Actes des Apost., vol. II, fo156b ds Gdf., s.v. fienner, corr. sieuver, vol. 10, s.v. suiffer), 1636 suiver (Cleirac, Exp., 3 cité par Arveiller ds Fr. mod. t. 26, p. 58), 1643 suifver (Fournier, Hydrogr., p. 29 ds Gdf. Compl.); de suif, dés. -er.
3.
Suif(f)eux, -euse,(Suifeux, Suiffeux) adj.a) Qui est de la nature du suif. Des concombres vert poli et des tomates luisantes séparaient dans la vitrine les tranches suiffeuses de selle de mouton et les coupes de bœuf rouges sur une dentelle de persil (Hamp, Champagne, 1909, p. 213).b) P. anal., fam., péj. α) [En parlant d'une pers., d'une partie du corps] Qui est très gras. Il (...) finit par se renseigner à un Frère des Écoles chrétiennes qu'il croisa dans un escalier et dont lui inspira confiance la large figure suiffeuse (Courteline, Ronds-de-cuir, 1893, p. 187).Mais il survient juste alors toute une armée de cramoisis, une masse compacte, râlante, suifeuse, dégoulinante des quatorze quartiers d'alentour (Céline, Mort à crédit, 1936, p. 379).Empl. subst. Personne très grasse, obèse. Chaque fois qu'elle voyait une partie commencée, elle s'élançait avec fureur, culbutait la planche, saisissait le jeu, le rapportait dans le café et déclarait que c'était assez de nourrir ce gros suiffeux à ne rien faire (Maupass., Contes et nouv., t. 1, Toine, 1885, p. 181). β) [En parlant d'une chose] Graisseux, taché de graisse. Nous avons trouvé notre matelas plus sordide que jamais (...). « Il est suiffeux, ai-je commencé. − Nauséeux », a continué Porchon (Genevoix, Boue, 1921, p. 46). [sɥifø], fém. [-ø:z]. 1resattest. a) adj. α) 1842 « de la nature du suif » (Mozin-Peschier), β) 1893 « très gras » (Courteline, loc. cit.), b) subst. 1885 « homme gras » (Maupass., loc. cit.); de suif, suff. -eux*.
BBG.Glaser (K.). Le Sens péj. du suff. -ard en fr. Rom. Forsch. 1910, t. 27, p. 944 (s.v. suiffard). − McMillan (D.). Le Suif de cheminée. Trav. Ling. Litt. Strasbourg. 1973, t. 11, no1, pp. 199-206. − Quem. DDL t. 38.

Wiktionnaire

Nom commun - français

suif \sɥif\ masculin

  1. Graisse de certains animaux, dont on se sert principalement pour faire des chandelles et des bougies.
    • Le suif de mouton mêlé à celui du bœuf, sert à faire des chandelles : on s'en sert pour les pommades & pour les onguents. — (L'agronome ou dictionnaire portatif du cultivateur, Rouen, 1787)
    • A travers les plantes et la fournaise des bougies, elle verra parfaitement le défilé. Mais, en attendant, toutes ces flammes répandent une odeur désagréable de suif et de fumée. — (Germaine Acremant, Ces dames aux chapeaux verts, Plon, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 235)
    • Ils frappèrent à la porte du 7. Le garçon restait tapi au fond du couloir, et la bougie tremblait si fort dans sa main qu’elle aspergeait le plancher de gouttes de suif. — (Jules Romains, Les Copains, 1922, réédition Le Livre de Poche, page 117)
    • Donner du suif à un bâtiment. (Marine) Enduire sa carène d’un mélange de suif, de brai et de soufre fondus ensemble.
    • Arbre à suif, (Botanique) Arbre de Chine dont les graines sont recouvertes d’une huile qui sert à faire des chandelles.
  2. (Argot) (Paris) Argent.
  3. (Argot) Grabuge.
    • « Monsieur, c’était quinze jours, un mois après le suif à Ferdinand.
      – Ah ! oui, la perte du liquide pleurétique… sacré diable d’animal ! »
      — (Léon Daudet, Souvenirs littéraires – Devant la douleur, Grasset, 1915, réédition Le Livre de Poche, page 132)
    • En cas de suif imprévu, Tony et Dick pouvaient se permettre, avant que le pet soit donné, une prise de champ d’au moins vingt bornes... — (Albert Simonin, Une balle dans le canon, Série noire, Gallimard, 1958, page 223)
    • Alors, qui nous contraint à ce carême forcé ? Qui est responsable de tout ce suif ? Bref, qui escamote le beurre ? — (Benoît Hopquin, « Qui escamote le beurre ? A en croire de plus doctes, ce serait à cause du marché » sur LeMonde.fr, Le Monde. Mis en ligne le 4 novembre 2017, consulté le 6 novembre 2017)
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Dictionnaire de l’Académie française, huitième édition (1932-1935)

SUIF. n. m.
Graisse de certains animaux, dont on se sert principalement pour faire des chandelles et des bougies. Suif de mouton. Suif de bœuf. Fondre du suif. Chandelle de suif. Enduire de suif. Arbre à suif, Espèce d'arbre de Chine dont les graines sont recouvertes d'une huile qui sert à faire des chandelles. En termes de Marine, Donner du suif à un bâtiment, Enduire sa carène d'un mélange de suif, de brai et de soufre fondus ensemble.

Littré (1872-1877)

SUIF (suif) s. m.
  • 1Corps gras consistant fourni par les ruminants, bœuf, mouton, chèvre, et qui sert à faire la chandelle. La graisse diffère du suif en ce qu'elle reste toujours molle, au lieu que le suif durcit en se refroidissant, Buffon, Quadrup. t. I, p. 248. Ils [les Hottentots de Natal] portent des bonnets faits de suif de bœuf ; et ces bonnets ont huit à dix pouces de hauteur… ils n'appliquent le suif que peu à peu, et le mêlent si bien dans leurs cheveux, qu'il ne se défait jamais, Buffon, Hist. nat. hom. Œuvr. t. v, p. 158. Le meilleur suif est toujours le plus nouveau, le plus ferme et le plus sec, le mieux sonnant et le plus pur, Genlis, Maison rust. t. I, p. 270, dans POUGENS.

    Suif en branche, le suif tel qu'on le tire du corps de la bête et avant d'être fondu ; ainsi dit, parce que, arraché de l'animal, il présente un aspect ramifié.

    La mèche de cette chandelle n'a pas encore pris le suif, le suif, n'étant pas encore liquéfié par la flamme, n'a pas monté dans la mèche.

    Pain de suif, pain de cretons.

  • 2 Terme de harnachement. Cuir en plein suif ou en suif, se dit d'un cuir préparé d'une manière spéciale ; ce cuir est nourri au suif et employé dans son suif.

    Cuir en suif à chair propre, cuir qui, après avoir été préparé comme le précédent, est dégraissé et paré du côté de la chair.

  • 3 Terme de vénerie. Graisse des bêtes fauves.
  • 4 Terme de marine. Préparation où entrent du suif, du soufre, du brai chaud, du savon sec et qu'on étend sur la carène d'un navire. Donner un suif à un vaisseau.

    Fig. et populairement. Un suif, une réprimande. Donner un suif à quelqu'un.

  • 5Arbre à suif, le stillingia sebifera, euphorbiacées, qui est le croton sébifère de certains auteurs.

    Suif végétal, huile concrète qui recouvre les semences de ce végétal, et dont on fait de la chandelle.

  • 6Suif minéral, variété de talc.

HISTORIQUE

XIIe s. Mielz volt à Deu obeir que le seu del multun offrir, Rois, p. 56.

XIIIe s. Nus chandeliers de suif ne puet avoir que un aprentis, se il ne sont si enfant, Liv. des mét. 161. Autant couste li suis que la meche, Leroux de Lincy, Prov. t. II, p. 181.

Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

Étymologie de « suif »

Norm. sieu (Valogne) ; Berry, souif ; wallon, sew ; patois des Fourgs, su ; prov. ceu, sef, seu ; esp. sebo ; ital. sevo ; du lat. sebum ou sevum. À sebum on compare sapium, résine, sapo, savon, et l'allem. Saft, suc.

Version électronique créée par François Gannaz - http://www.littre.org - licence Creative Commons Attribution

De l’ancien français seu issu du latin sebum qui donne aussi le roumain seu, l’italien sego et l’espagnol sebo. La formation du mot français, depuis le latin, aurait dû donner sief, seif ou soif et l’on peut imaginer une désambiguïsation sémantique ancienne pour éviter l’homonymie[1].
Wiktionnaire - licence Creative Commons attribution partage à l’identique 3.0

Phonétique du mot « suif »

Mot Phonétique (Alphabet Phonétique International) Prononciation
suif sµif

Fréquence d'apparition du mot « suif » dans le journal Le Monde

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Évolution historique de l’usage du mot « suif »

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.

Citations contenant le mot « suif »

  • Notre esprit, une pauvre petite flamme retenue par un corps de suif.
    Jules Renard — Journal 1893 - 1898
  • S’il ne restait que deux hommes au monde, le plus fort n’hésiterait pas une minute, à défaut de suif pour frotter ses bottes, à tuer son unique compagnon afin d’en prendre la graisse.
    Arthur Schopenhauer
  • La cire d’abeille avait de nombreux usages. Avant l’invention de l’électricité, elle servait notamment à fabriquer des bougies pour s’éclairer le soir. Il exitait aussi des chandelles faites de suif de bœuf.
    Unidivers — Atelier « Cierge » Eglise du Christ Ressuscité de Wimereux Wimereux samedi 19 septembre 2020
  • Boule de suif se remit à rire en chatouillant sa femme et répétant « Si tu savais Oh si tu savais » Mais elle lui prit les mains « Voyons, reste tranquille, mon chéri, si tu ris tant que ça, tu vas te faire du mal. » Et elle l’embrassa, doucement, sur les yeux.
    Guy de Maupassant — Boule de suif

Traductions du mot « suif »

Langue Traduction
Anglais tallow
Espagnol sebo
Italien sego
Allemand talg
Chinois
Arabe الشحم
Portugais sebo
Russe твердый жир
Japonais 獣脂
Basque tallow
Corse seacă
Source : Google Translate API

Combien de points fait le mot suif au Scrabble ?

Nombre de points du mot suif au scrabble : 7 points

Suif

Retour au sommaire ➦