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Quand on pense
[kɑ̃ ɔ̃ pɑ̃s]
Définitions de « quand on pense »
Quand on pense - Locution conjonctive
- Quand on pense — définition française (sens 1, locution conjonctive)
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Se dit pour énoncer un fait qui nous étonne ou que l'on regrette. Note : La locution peut être suivie d'une subordonnée ou employée absolument; il n'y a pas nécessairement de principale.
Quand on pense qu'une personne sur cinq vit des symptômes dépressifs à un niveau tel qu'il devrait recevoir un suivi de santé psychologique, quand on pense que le taux d'idéation suicidaire est trois fois plus élevé que dans le reste de la population et pire encore, que les tentatives de suicide sont deux fois plus élevées que dans le reste de la situation, il y a un problème.
Usage du mot « quand on pense »
Évolution historique de l’usage du mot « quand on pense » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « quand on pense » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « quand on pense »
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Bilan : censé éviter le relâchement cutané et soulager le mal de dos, le soutien-gorge ferait le contraire. Quand on pense qu’on s’impose d’en porter pour ne pas blobloter du buste devant tout le monde, c’est ballot. En tout cas, dans une interview à France Info, qui agite grandement la Toile, le docteur Rouillon affirme que «le soutien-gorge est un faux besoin» et que «le sein s’étiole avec le soutien-gorge». Même, les seins des femmes qu’il a suivies et mesurées quatre fois par an «se sont adaptés et améliorés», les muscles peauciers s’améliorent et tout se redresse.
Libération.fr — Sans lingerie, la fête de tous les seins - Culture / Next -
Qui suis-je ? Que fais-je ? Où vais-je ? À cela s’ajoute une question fondamentale : quel souvenir souhaitez-vous laisser ? Les réponses sont au moins une affaire d’intelligence, de liberté, d’ambition, mais surtout d’état d’esprit. Que construit-on quand on pense que tout est impossible ? Où va-t-on quand on pense que tout est difficile ? Comment devenir quand l’inconnu est une tyrannie mentale qui justifie la catatonie du chronos qui alimente l’autre déviance, celle d’attendre et voir ?
Les Echos — Opinion | La révolution mentale | Les Echos -
Que faut-il vraiment retenir de ce recueil, sinon qu’un poète rapaille les nombreux clichés qui prévalent quand on pense aux pays subéquatoriaux, avec leurs lots de ravages naturels, de favelas montrées ici comme des peintures à numéros, ou grouillantes de misère torturée ou de figures extravagantes ? Godin n’est pas un mauvais poète, mais il est de ceux qui ne savent pas contrôler leur désir de chantourner la langue jusqu’à ce qu’elle devienne si malmenée qu’elle s’enfonce. Quand on est capable d’avouer que « les rapprochements inséminaient nos vertiges », on peut tout aussi bien déplorer « le mât de notre stérilité ».
Le Devoir — «Lignes d’effondrement»: François Godin, touriste | Le Devoir -
Peut-on y croire ? Pour l’instant, l’électrocorticographie - l’enregistrement graphique de l’activité cérébrale grâce à des électrodes en contact direct du cortex - permet de décoder des intentions motrices. « On peut détecter quel doigt bouge en fonction de la mesure des signaux », décrit Nathanaël Jarrassé, chercheur à l’Institut des systèmes intelligents et de robotique (Isir). Avec le « machine learning » [l’apprentissage automatique], on pourrait bientôt pouvoir reconnaître ce qu’il se passe dans le cerveau quand on pense à un chiffre.
«Vous avez été infecté»: Et si on pouvait hacker votre cerveau? -
Dans la vie, quand on pense le dernier acte arrivé, on s'aperçoit souvent que la pièce ne se comprend pas sans son épilogue.
Richard Joly — Le visage de l'attente -
Après tout, ce n'est pas si désagréable que ça de vieillir, quand on pense à l'autre éventualité.
Maurice Chevalier -
Il est beau le progrès ! Quand on pense que la police n’est même pas fichue de l’arrêter...
Pierre Dac — Arrières-pensées -
Mettre les pieds dans le plat quand on pense ; les retirer quand on écrit.
Jean Rostand