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Ges
[ʒ]
Définitions de « GES »
Ges - Nom commun
- Ges — définition française (sens 1, nom commun)
-
Gaz à effet de serre.
"La lutte aux changements climatiques requiert une action collective à l’échelle nationale et internationale, et ce, en raison du fait que, de par leur nature même, les GES ne connaissent pas de frontières ", écrit-il [juge en chef de la Cour Suprême du Canada].
Étymologie de « GES »
- (Sigle) initiales de « gaz à effet de serre ».
Usage du mot « GES »
Évolution historique de l’usage du mot « GES » depuis 1800
Citations contenant le mot « GES »
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Les caractéristiques du parcellaire sont ensuite un atout pour compenser 63 % des GES émis par l’élevage. Les deux volets clé permettant d’avoir une empreinte carbone limitée (5,7 kg éq CO2/kg PBVV) comparée à des systèmes de production similaires sont : la forte proportion de prairies permanentes, lesquelles composent plus de 80 % de la SAU et le très fort maillage bocager.
Réussir bovins viande — Au Gaec Gateau, prairies permanentes et haies confortent le bilan carbone | Réussir bovins viande -
Dans le secteur du logement, responsable d’environ le quart des émissions des GES en France, certaines évidences paraissent s’imposer. Il semble en effet naturel d’isoler suffisamment les logements de sorte que leurs besoins thermiques soient réduits au minimum et de compenser ceux-ci, par un apport thermique très peu émetteur de gaz à effet de serre. Ce moyen existe avec le chauffage électrique de nouvelle génération.
Le Monde de l'Energie — Le coefficient d’énergie primaire : un contresens écologique -
Pour finir, comme précisé dans mon post précédant, une forte réduction des GES s’obtient en couplant les PAC avec une autre source décarbonée justement pour éviter les pointes engendrées par les pics froid car la PAC a tendance à aggraver ce problème si l'appoint est de type effet joule.
Connaissance des Énergies — Il faut abandonner le coefficient de conversion de l’électricité en énergie primaire… | Connaissances des énergies -
Les villes couvrent environ 3 % de la surface de la terre mais elles produisent plus de 70 % des émissions de gaz à effet de serre (GES). En Europe, on estime qu’en 2050 près de 85 % des Européens vivront dans des zones urbaines. Parce qu’elles concentrent les enjeux de mobilités, de logistique, d’approvisionnement, de consommation, les villes joueront un rôle clé dans la baisse des émissions de gaz à effets de serre (GES) et, par conséquent, dans la réduction des atteintes portées au climat par les activités humaines.
Lyon 2030 : ville climatiquement neutre | Ville de Lyon -
Un VUS émet autour de 4 tonnes de GES par année lorsqu’il parcourt 20 000 km.
La Presse — Bilan des firmes de gestion | Vos placements polluent autant qu’un VUS | La Presse -
Le combustible de synthèse provenant des déchets ou du gaz de synthèse dérivé de la biomasse pourrait offrir une gamme de carburant plus diversifiée au Canada, ce qui entraînerait d'importantes réductions des émissions de GES à court terme et une diversification économique. Ce projet permettra de démontrer les voies les plus viables pour obtenir le combustible de synthèse le plus durable.
Le projet d'Enerkem recommandé pour un financement dans le cadre du concours technologique sur les carburants et les produits à faibles émissions du RIRP -
Malgré cela, les fuites de ces appareils totalisent 0,9 mégatonne d’équivalent en dioxyde de carbone (Mt eq. CO2) par année, au Québec, soit un peu plus de 1 % des émissions totales de GES de la province, calcule le rapport.
La Presse — Gaz réfrigérants | Québec « augmente les émissions » en voulant les réduire | La Presse -
L’Iddri n’élude pas cette troisième option, tout en émettant des réserves. « Cette production d’hydrogène bleu occasionne, tout de même, inévitablement, des émissions de GES à différentes étapes », pointe ainsi Ines Bouacida. Pas de quoi donc rendre cette technique aussi vertueuse que l’électrolyse, aux yeux du think-tank. Pour autant, l’Iddri estime que l’hydrogène bleu « pourrait jouer un rôle dans une période de transition », « mais que s’il remplit des conditions climatiques et de viabilité économique non atteintes aujourd’hui ».
Des milliards d’euros sur l’hydrogène… Mais pour quoi faire exactement ?