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Anticriminalité
[ɑ̃tikrɛ̃ɛ̃alite]
Définitions de « anticriminalité »
Anticriminalité - Adjectif
- Anticriminalité — définition française (sens 1, adjectif)
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Qui vise à lutter contre la criminalité et les actes criminels.
Quant aux trois voleurs, ils sont interpellés par la brigade de surveillance de quartier de Livry-Gargan (Seine-Saint-Denis) et la brigade anticriminalité de Seine-Seint-Denis peu après avoir tenté de prendre la fuite.
Étymologie de « anticriminalité »
Composé de anti- et criminalité.Usage du mot « anticriminalité »
Évolution historique de l’usage du mot « anticriminalité » depuis 1800
Fréquence d'apparition du mot « anticriminalité » dans le journal Le Monde depuis 1945
Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.
Citations contenant le mot « anticriminalité »
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Dans la nuit de jeudi à vendredi, peu après minuit, une patrouille de la brigade anticriminalité (BAC) souhaite contrôler l’automobiliste qui démarrait alors du fast-food avec les feux antibrouillard allumés. Le conducteur refuse d’obtempérer et prend la fuite, pied au plancher, en direction de l’avenue de Brigachtal avec la BAC à ses trousses. Le fuyard prend tous les risques : feux grillés, contresens, haute vitesse…
Faits-divers - Justice | Au volant à 16 ans, il refuse d’obtempérer et prend tous les risques -
Il a pu être interpellé le lendemain, mardi, par les policiers de la brigade anticriminalité de Grenoble, venus le chercher chez lui, alors qu’il tentait de s’enfuir par une fenêtre. Placé en garde à vue, il a reconnu les faits en expliquant avoir pris la fuite en abandonnant le véhicule et son beau-fils car il n’avait pas de permis mais a nié les violences volontaires contre le policier. Il devra s’en expliquer devant le tribunal correctionnel de Grenoble le 16 décembre, après avoir vu le juge d’application des peines le 4 juin.
Faits-divers - Justice | Échirolles : il abandonne la voiture avec son beau-fils de 10 ans dedans -
Les enquêteurs de Melun travaillent alors en concertation avec la brigade anticriminalité d'Evry. L'opération d'interpellation est programmée dimanche soir dans la ville-préfecture de l'Essonne. Trois jeunes sont arrêtés entre 22 heures et minuit, un quatrième un peu après.
leparisien.fr — Le Mée-sur-Seine : un père et son fils agressés en vendant une moto sur Le Bon Coin - Le Parisien -
La Brigade anticriminalité [BAC] a procédé ce week-end à cinq interpellations suite au "parachutage" de quatre colis à la maison d'arrêt de Rouen (Seine-Maritime).
France 3 Normandie — "Parachutage" à la maison d'arrêt de Rouen, cinq jeunes interpellés -
En visite surprise auprès de policiers de la brigade anticriminalité de nuit à Paris, le président Emmanuel Macron a annoncé lundi 27 juillet le versement d’une indemnité pour les policiers travaillant la nuit. La mesure, qui coûtera 10 millions d’euros, était une revendication des syndicats.
La Croix — Les policiers travaillant de nuit recevront une indemnité -
Deux hommes âgés d’une trentaine d’années ont été interpellés par la brigade anticriminalité dans la nuit de mercredi à jeudi après avoir « roulotté » dix voitures garées dans le quartier de l’Épeule. Au total, l’enquête a permis de leur imputer 22 vols.
La Voix du Nord — Roubaix: deux hommes suspectés de 22 vols à la roulotte ont été interpellés -
Dans la nuit de vendredi à samedi, des policiers de la brigade anticriminalité d’Arras ont surpris deux individus en train de tenter de dérober un scooter, à Saint-Laurent-Blangy, près d’Arras. L’un d’eux a pu être immédiatement arrêté alors qu’il était en possession d’une pince coupante. Le second suspect, frère du premier, a quant à lui pris la fuite avant d’être appréhendé le lendemain samedi.
La Voix du Nord — Saint-Laurent-Blangy : deux frères arrêtés pour tentative de vol de scooter -
Le soir des attentats du 13 novembre 2015 à Paris, huit soldats de l’opération « Sentinelle » sont arrivés peu après 22 heures aux abords du Bataclan, où se déroulait la prise d’otages. Ils se sont positionnés près des policiers de la brigade anticriminalité (BAC) du Val-de-Marne, arrivés les premiers mais sous-équipés, et qui se faisaient tirer dessus par les terroristes. Les militaires ne sont pas intervenus. Les policiers leur ont alors demandé de leur prêter leur fusil d’assaut Famas ; ce que les soldats ont refusé de faire, conformément au règlement militaire.
Le Monde.fr — 13 novembre 2015 : pourquoi les militaires de « Sentinelle » ne sont pas intervenus au Bataclan