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30

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Définitions de « 30 »

30 - Nom commun

30 — définition française (sens 1, nom commun)
(Tennis, France) Classement attribué à un joueur licencié par la Fédération Française de Tennis.

Usage du mot « 30 »

Évolution historique de l’usage du mot « 30 » depuis 1800

Fréquence d'apparition du mot « 30 » dans le journal Le Monde depuis 1945

Source : Gallicagram. Créé par Benjamin Azoulay et Benoît de Courson, Gallicagram représente graphiquement l’évolution au cours du temps de la fréquence d’apparition d’un ou plusieurs syntagmes dans les corpus numérisés de Gallica et de beaucoup d’autres bibliothèques.

Citations contenant le mot « 30 »

  • La carrière d’un écrivain A 30 ans, on dit que tu es brillant. A 40 ans, on dit que tu as du talent. A 50 ans, on dit que tu as du génie. A 60 ans, on dit que tu es un has-been. A 70 ans, on dit que tu n’es pas encore mort ?
    Frédéric Beigbeder — L’égoïste romantique
  • Un film peut coûter 30 millions de dollars... Avec autant d’argent j’aurais de quoi envahir un pays !
    Clint Eastwood
  • Certains déchets nucléaires produits dans les années 60 resteront dangereux pendant un demi million d'années. Pour ceux qui sont produits maintenant, il faudra compter 30 ans de plus.
    Philippe Geluck — L'avenir du chat
  • Grève des enseignants : 30 % des profs absents selon le ministère, 60 % selon les syndicats et 100 % selon ce que les élèves ont dit aux parents !
    Laurent Ruquier — Il faut savoir changer de certitudes
  • A 15 ans, on veut plaire ; à 20 ans, on doit plaire ; à 40 ans, on peut plaire ; mais ce n'est qu'à 30 ans qu'on sait plaire.
    Jean-Gabriel Domergue
  • A 20 ans, la femme est instable, c’est l’Asie. A 30 ans, elle est ardente, c’est l’Afrique. A 40, elle est technique, c’est l’Amérique. A 50, elle est hors circuit, c’est l’Australie. A 60, elle regrette de n’avoir pas joui plus de la vie, c’est l’Europe.
    Clément Vautel
  • Cergy, le 30 mars 2020 Monsieur le Président, « Je vous fais une lettre/ Que vous lirez peut-être/ Si vous avez le temps ». À vous qui êtes féru de littérature, cette entrée en matière évoque sans doute quelque chose. C’est le début de la chanson de Boris Vian Le déserteur, écrite en 1954, entre la guerre d’Indochine et celle d’Algérie. Aujourd’hui, quoique vous le proclamiez, nous ne sommes pas en guerre, l’ennemi ici n’est pas humain, pas notre semblable, il n’a ni pensée ni volonté de nuire, ignore les frontières et les différences sociales, se reproduit à l’aveugle en sautant d’un individu à un autre. Les armes, puisque vous tenez à ce lexique guerrier, ce sont les lits d’hôpital, les respirateurs, les masques et les tests, c’est le nombre de médecins, de scientifiques, de soignants. Or, depuis que vous dirigez la France, vous êtes resté sourd aux cris d’alarme du monde de la santé et ce qu’on pouvait lire sur la banderole d’une manif en novembre dernier -L’état compte ses sous, on comptera les morts - résonne tragiquement aujourd’hui. Mais vous avez préféré écouter ceux qui prônent le désengagement de l’Etat, préconisant l’optimisation des ressources, la régulation des flux, tout ce jargon technocratique dépourvu de chair qui noie le poisson de la réalité. Mais regardez, ce sont les services publics qui, en ce moment, assurent majoritairement le fonctionnement du pays : les hôpitaux, l’Education nationale et ses milliers de professeurs, d’instituteurs si mal payés, EDF, la Poste, le métro et la SNCF. Et ceux dont, naguère, vous avez dit qu’ils n’étaient rien, sont maintenant tout, eux qui continuent de vider les poubelles, de taper les produits aux caisses, de livrer des pizzas, de garantir cette vie aussi indispensable que l’intellectuelle, la vie matérielle. Choix étrange que le mot « résilience », signifiant reconstruction après un traumatisme. Nous n’en sommes pas là. Prenez garde, Monsieur le Président, aux effets de ce temps de confinement, de bouleversement du cours des choses. C’est un temps propice aux remises en cause. Un temps pour désirer un nouveau monde. Pas le vôtre ! Pas celui où les décideurs et financiers reprennent déjà sans pudeur l’antienne du « travailler plus », jusqu’à 60 heures par semaine. Nous sommes nombreux à ne plus vouloir d’un monde dont l’épidémie révèle les inégalités criantes, Nombreux à vouloir au contraire un monde où les besoins essentiels, se nourrir sainement, se soigner, se loger, s’éduquer, se cultiver, soient garantis à tous, un monde dont les solidarités actuelles montrent, justement, la possibilité. Sachez, Monsieur le Président, que nous ne laisserons plus nous voler notre vie, nous n’avons qu’elle, et « rien ne vaut la vie » - chanson, encore, d’Alain Souchon. Ni bâillonner durablement nos libertés démocratiques, aujourd’hui restreintes, liberté qui permet à ma lettre – contrairement à celle de Boris Vian, interdite de radio – d’être lue ce matin sur les ondes d’une radio nationale. Annie Ernaux
    Annie Ernaux
  • [...] vous avez 1107 pages pour un volume qui va être vendu 30 euros. Soyons stricts sur le marketing : vous disposez-là de dix livres (ou 12), en un, ce qui fait donc livres à trois euros. Par conséquent, le rapport qualité-prix est imbattable. Je m'avance déraisonnablement sur le marché avec cette proposition d'acheter dix livres à trois euros chacun. C'est la meilleure définition que l'on puisse donner de la formulation comme passion dominante, c'est-à-dire qu'il s'agit immédiatement de l'évaluer en argent, tant il est vrai qu'il n'y a qu'une seule passion dominante de nos jours, c'est celle-là -et il n'y en a pas d'autre. -Transfuge n°61-
    Philippe Sollers

Traductions du mot « 30 »

Langue Traduction
Anglais 30
Espagnol 30
Italien 30
Allemand 30
Chinois 30
Arabe 30
Portugais 30
Russe 30
Japonais 30
Basque 30
Corse 30
Source : Google Translate API


Sources et ressources complémentaires

SOMMAIRE

Source : Google Books Ngram Viewer, application linguistique permettant d’observer l’évolution au fil du temps du nombre d'occurrences d’un ou de plusieurs mots dans les textes publiés.