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Citations sur le l'on - Page 12

Il y a 3919 citations sur le l'on.

• Un petit sanglot est juste ce que l'on doit entendre des hommes à la veille de l'éternité.

• Amitié, degré supérieur de l'amour, sanctuaire où l'on se retire pour méditer le bonheur de l'être aimé.

• Dans tous les pays, quand on emploie le terme "dans l'intérêt supérieur", c'est que l'on couvre une saloperie.

• Tout le monde s'amuserait, les riches surtout, si l'on pouvait préparer le plaisir, le salarier et lui assigner rendez-vous.

• La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété.

• L'amour se mesure à ce que l'on accepte de lui sacrifier.

• Une femme est un hiéroglyphe que l'on déchiffre couramment dans la rue.

• Le théâtre est une des ces ruches où l'on transforme le miel du visible pour en faire de l'invisible.

• On ne réalise vraiment que l'on a perdu à la roulette qu'une fois sorti de la salle de jeu, pas à l'intérieur.

• Il faut être tel que l'on n'ait pas à rougir devant soi-même.

• Le temps n'est qu'une machine qui broie dans ses rouages l'amour, jusqu'à ce qu'il ne forme plus qu'un tas de poussière, que l'on balaie sous les tapis de la mémoire.

• Ce n'est pas en ouvrant la gorge d'un rossignol que l'on découvrira le secret de son chant.

• Qu'on laisse un roi tout seul, sans aucune satisfaction des sens, sans aucun soin dans l'esprit, sans compagnie, penser à lui tout à loisir ; et l'on verra qu'un roi sans divertissement est un homme plein de misères.

• Oh ! que ce monde-ci serait une bonne comédie si l'on n'y faisait pas un rôle.

• L'histoire justifie ce que l'on veut. Elle n'enseigne rigoureusement rien, car elle contient tout et donne des exemples de tout.

• Les richesses sont un tort que l'on a à réparer, et l'on pourrait dire : Excusez-moi si je suis riche !

• L'absurdité est un plaisir fugace, comme une cigarette que l'on fume en riant, tout en sachant qu'elle est nocive.

• La plus perdue de toutes les journées est celle où l'on n'a pas ri.

• L'on croit se libérer (et de quoi ?) en écrivant et à écrire, on s'emprisonne. L'on crée des personnages qui nous enchaînent et l'on a peur de revivre leur destinée.

• Le plus beau sommeil ne vaut pas le moment où l'on se réveille.

• Rien n'est humiliant comme de voir les sots réussir dans les entreprises où l'on échoue.

• Si l'on veut retrouver sa jeunesse, il suffit d'en répéter les erreurs.

• Il est parfois utile de dire carrément ce qu'on pense surtout si l'on a la réputation d'être retors.

• L'erreur d'un jour devient une faute, si l'on y retombe.

• Curieux cette impossibilité de se détacher tout à fait des êtres que l'on a aimés, ce besoin de les retenir, de retarder désespérément le moment où ils ne seront plus rien pour nous.

• L'alcool nous fait ressembler à ce que l'on devient.

• Lorsque l'on tarde pour la cueillette, les fruits pourrissent. Mais quand on repousse les problèmes, ils ne cessent de croître.

• Quand on se replie sur soi-même, on risque fort de ne plus voir où l'on va.

• Le repentir est un jugement que l'on porte sur soi-même.

• Chaque repas que l'on fait est un repas de moins à faire.

• Le bonheur est un parfum que l'on ne peut répandre sur autrui sans en faire rejaillir quelques gouttes sur soi-même.

• Toutes les époques ont leurs lacunes et leurs erreurs. Si l'on me demandait quel est le défaut majeur de la nôtre, je répondrais que c'est la confusion et le renversement des valeurs.

• Il y a des moments où l'on en veut à mort à toutes les jeunes filles qu'on rencontre, parce qu'elles ne vous jettent pas leur coeur et 20.000 livres de rentes.

• Ce n'est pas en remettant au lendemain que l'on remplit sa grange.

• Quelquefois le remède du mal consiste à l'oublier, et l'on oublie le remède.

• Le premier signe de ce que l'on devient religieux est qu'on devient joyeux.

• On se trompe gravement sur la nature humaine si l'on suppose qu'une religion puisse s'établir par convention et se soutenir par imposture.

• Si l'on a baptisé Jules Renard l'œil, j'appellerai Picasso le regard.

• On appelle réflexe les mouvements que l'on fait sans réflexion.

• Ah ! la guerre !... En chaque foyer, on lui donne deux sens distincts : calamité ou rédemption dépendant du bord où l'on s'est placé pour la considérer.