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Citations sur le l'on - Page 11

Il y a 3919 citations sur le l'on.

• La haine soutenant mieux que l'amitié, si l'on pouvait haïr ses amis on leur serait plus utile.

• Le temps n'est pas seulement le seul véritable ennemi de l'homme, c'est également et surtout son ennemi le plus sournois, le plus lâche. Et, bien sûr, le seul que l'on n'ait pas la moindre chance de vaincre.

• Ce n'est pas tant ce qu'on dit qui fait la valeur d'un livre, que tout ce que l'on n'y peut pas dire, tout ce que l'on voudrait y dire, qui l'alimente sourdement.

• Que chacun se persuade que ceux qui vivent dans l'obéissance doivent se laisser conduire aux ordres de la Providence divine par le moyen de leurs Supérieurs, comme s'ils étaient un corps mort qui se laisse porter de tous côtés et manier de la façon que l'on veut.

• Il n'y a que deux circonstances où l'on est soi-même : quand on dort et quand on est soûl. Tout le reste du temps, c'est du chiqué.

• Si l'on vous donne un soufflet, rendez-en quatre, n'importe la joue.

• Une sortie, c'est une entrée que l'on prend dans l'autre sens.

• Au sortir des procès, l'on est sage.

• Car que faire en un gîte, à moins que l'on ne songe ?

• Un romancier est souvent un somnambule, tant il est pénétré par ce qu'il doit écrire, et l'on peut craindre qu'il se fasse écraser quand il traverse une rue.

• Il faut parfois savoir balayer ce que l'on croyait solidement construit pour tout recommencer.

• Souffrances et joies se tiennent solidaires. L'on ne peut être heureux que dans la mesure où l'on souffre. L'égalité se fait dans l'ordre de l'intensité.

• Être supérieur aux autres n'a jamais représenté un grand effort si l'on n'y joint pas le beau désir d'être supérieur à soi-même.

• Il y a des familles où l'on semble entretenir soigneusement des parents malades pour refuser les invitations à dîner.

• Marcher en soi-même est comme un châtiment : l'on ne va pas loin.

• Au-delà d'une amante avec laquelle on jouit de la vie, il y a une sœur avec qui l'on pleure.

• Si l'on excepte le cas unique du cartésianisme, il n'y a pas de snobisme du bon sens.

• Nous employons des mots qui ne servent à rien, - et qui sont très gênants... et dangereux! On pose! - On dit: mon Coeur, ton Coeur, notre Coeur... On y tient! - Je te jure que l'on s'en passerait très bien, - et que cela simplifierait beaucoup les choses.

• Il suffirait que l'on vive simplement, pour que d'autres puissent tout simplement vivre.

• C'est en ayant confiance en soi que l'on devient sexy.

• Il est toujours amusant de voir que l'on ose convoquer des parlementaires en session extraordinaire alors qu'ils ne viennent déjà pas en session normale.

• Il est triste de jouer à cache-cache dans ce monde où l'on devrait se serrer les uns contre les autres.

• Il y a des temps où l'on ne peut plus soulever un brin d'herbe sans en faire sortir un serpent.

• Il est large et fréquenté, le chemin par où l'on sort du paradis, mais celui qui nous y ramène est un sentier étroit et parsemé d'épines.

• On a beau reconnaître que nos joies sont fabriquées de chimères, elles ont quand même cet avantage de nous réconforter comme des rayons de soleil. Et pourvu que l'on se sente rayonnant, on ne regarde plus de quel côté vient la lumière.

• En observant on se sent plus grave et se sentant plus grave on se sent plus âgé. De là se croire plus sage, il n'y a qu'un pas que l'on franchit sans cesse.

• Il n'existe pas une chose que l'on ne fasse avec la richesse : aussi l'homme sensé ne doit-il faire ses efforts que pour acquérir des richesses.

• Dire que l'on peut naître sénile !

• Il est permis de séduire la femme d'un autre, si l'on court le danger de mourir d'amour pour elle.

• L'amour, était-ce cette illusion sacrée que l'on désire voir périr avec soi, douce et belle, dans la sécheresse infinie de notre âme ?

• Il vaut mieux être cocu que ministre. Ca dure plus longtemps et l'on n'est pas obligé d'assister aux séances.

• Le moins que l'on puisse demander à une sculpture, c'est qu'elle ne bouge pas.

• On oublie vite les morts. On oublie très vite, aussi, les circonstances où l'on a été malheureux... Il ne faut pas s'en scandaliser : s'il en était autrement, la vie serait un cauchemar.

• Il existe un havre où l'on peut toujours savourer une relation authentique : le coin du feu chez un ami auprès duquel on peut se défaire de ses petites vanités et trouver chaleur et compréhension.

• L'enfance. Cette heureuse et brève période de l'existence où l'on a tout juste assez de conscience pour savourer la joie d'être et d'inconscience pour ignorer les difficultés de la vie.

• Le baiser qu'on cueille est moins savoureux que celui que l'on imagine, et le désir vaut mieux que la conquête.

• On ne va jamais plus loin que lorsqu'on ne sait pas où l'on va, a dit un homme politique célèbre.

• Où l'on est bien, là est la patrie.

• Partout où l'on est bien, là est la patrie.

• Enseigner la gestion de son corps, réinventer ce que l'on appelait l'éducation sanitaire, et ce dès l'école.