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Citations sur le l'on - Page 2

Il y a 3919 citations sur le l'on.

• Une vie est belle, où l'on commence par se croire quelque chose, et finit par ne se croire rien.

• Ce sont les filles des familles qui se nourrissent de bouillie qui font tout pour épouser des fils de famille où l'on mange du riz.

• L'important, c'est d'être capable de sacrifier ce que l'on est, au profit de ce que l'on peut devenir.

• J'ai toujours pensé que les salaires devaient s'établir en raison inverse de l'intérêt que l'on prend à son travail.

• - A quelle heure faut-il dîner ? - Si l'on est riche, répondit-il, quand on veut ; si l'on est pauvre, quand on peut.

• La défaite est tellement plus intelligente. On pourrait passer sa vie à la méditer. C'est auprès d'elle que l'on puise ses vraies ressources, que l'on sublime ses revanches. Que faire de cette défaite ?

• Même si l'on ne croit pas en Dieu, on doit tout de même croire en quelque chose qui donne du sens à la vie, et façonne notre vision du monde. Et une telle croyance est éminemment religieuse.

• On fait ce qu'on peut avec l'alcool que l'on a dans le sang.

• Le jour où l'on comprendra qu'une pensée sans langage existe chez les animaux, nous mourrons de honte de les avoir enfermés dans des zoos et de les avoir humiliés par nos rires.

• Si l'on connaît le point faible de quelqu'un on peut le mener où l'on veut.

• Il ne faut pas se regarder trop en face, entre époux, si l'on veut éviter des découvertes.

• Aujourd'hui, personne ne se distingue de rien, à commencer par les hommes politiques. Journalistes, acteurs, pareil. On ne vit pas dans un monde où l'on peut se distinguer.

• La valeur de la vie ne peut se mesurer que par le nombre de fois où l'on a éprouvé une passion ou une émotion profonde.

• C'est une générosité très française que celle que l'on fait sur le dos des autres.

• On peut sur les vérités de fait, se passer de la démonstration si l'on sait se servir de l'expérience.

• Les nouvelles technologies offrent de nouvelles voies pour l'expression de cette démocratie.Toutefois, deux menaces guettent : d'une part, l'inégalité des citoyens face au numérique, ce que l'on appelle la fracture numérique; et, d'autre part, le risque lié à l'utilisation de données publiques, ce que l'on appelle l'open data.

• Tout effort que l'on fait dessert la pratique, car il fait des vagues dans notre esprit. D'autre part, il est impossible d'atteindre le calme absolu de l'esprit. Il faut donc faire un effort, mais il faut s'oublier dans cet effort.

• Le Brésil était un pays jeune et l'on n'était guère regardant sur les origines des fortunes qui s'y amassaient ou s'y évaporaient, du jour au lendemain.

• En France, on se fait pointer du doigt quand on a du succès et que l'on gagne de l'argent.

• New York est la ville où l'on se sent chez soi quand on est de nulle part.

• Peut-être qu'en dormant on s'entraîne à mourir ? A moins que l'on ne dorme en mémoire des morts ?

• Il faut savoir se perdre pour un temps si l'on veut apprendre quelque chose des êtres que nous ne sommes pas nous-mêmes.

• Pourquoi les invités que l'on attend trop longtemps font-ils des débouchés triomphants, quand les voleurs de sieste ont des pudeurs de cloître au seuil de votre grille ?

• La nécessité, telle est la raison que l'on invoque pour toute atteinte à la liberté humaine. C'est l'argument des tyrans ; c'est le credo des esclaves.

• Pour obtenir quelque chose d'un gouvernement, il suffit de le mettre dos au mur, de le prendre à la gorge, et on a tout ce que l'on veut.

• Réalité. Le songe d'un philosophe fou. Ce qui resterait dans la coupe si l'on devenait pur esprit. Le noyau d'un vide.

• Le corps humain n'est pas fait pour toutes les années que l'on pourrait vivre.

• Il semble que l'on soit moins jaloux par amour que par haine.

• Il ne faut pas tant regarder ce que l'on mange que celui avec lequel on mange.

• Nul au monde n'a puissance sur le jugement intérieur ; si l'on peut te forcer à dire en plein jour qu'il fait nuit , nulle puissance ne peut te forcer à le penser.

• On est, dans une certaine mesure, ce que l'on veut devenir.

• Bidet : petit cheval qui n'a pas de tête mais autant de derrières que l'on veut.

• C'est cela l'amour, une élection : lorsque l'on se choisit l'un l'autre, sans autre raison que l'amour.

• Une idée nouvelle est un coin que l'on ne peut faire entrer que par le gros bout.

• Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens, Mais, dans l'oeil du vieillard, on voit de la lumière.

• Combien de fois, en voulant paraître sage aux yeux des autres, l'on ne fait que montrer sa folie et son ignorance.

• Le bel âge après tout, c'est celui où l'on sait à quels rêves on tient le plus ; celui où l'on peut encore en réaliser quelques-uns.

• C'est là une des contradictions de la littérature, qu'il y a un temps pour vivre, et un temps pour écrire, et que, dans le temps où l'on écrit, on n'a guère celui de vivre.

• Un mot vaut une idée dans un pays où l'on est plus séduit par l'étiquette du sac que par le contenu.

• Rarement ce que l'on entend pas sans peine vaut-il la peine d'être entendu.