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Citations sur l'est - Page 632

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• Le coryl est un mélange de chlorure de méthyle et de chlorure d'éthyle : il bout vers 0°.

• L'exécution des opérations d'un ensemble de transactions est sérialisable s'il existe un ordre (partiel) < entre les transactions tel que toutes les opérations d'une transaction T qui sont en conflit avec les opérations d'une autre transaction T' < T, sont exécutées après ces opérations (deux opérations, comme on l'a dit, sont en conflit si elles accèdent à la même donnée et si au moins une opération est une écriture).

• Dans le cadre de ces contrôles préventifs, 25 utilisateurs d’EDPM ont fait l’objet de rappels sur le bon comportement à adopter : respect du Code de la route, port du casque (recommandé), port de vêtements rétroréfléchissant la nuit ou lorsque la visibilité est réduite.

• "L'objectif est de montrer qu'un bon équipement permet d'améliorer considérablement la visibilité et donc la sécurité des usagers", commente Cécile Lechère. "Sans aucun équipement rétroréfléchissant, les piétons et les cyclistes ne sont visibles qu’à 30 mètres, or, pour un automobiliste, la distance d’arrêt est au minimum de 25 mètres pour une vitesse de 50 km/h." D'où l'importance de s'équiper de manière à être visible. D'après les chiffres de l'assureur, un équipement rétroréfléchissant permet d'être visible à plus de 150 mètres, soit une distance largement supérieure à la distance de freinage minimal d'une voiture à 50 km/h. 

• À vélo, le gilet de haute visibilité (jaune, orange, vert) est obligatoire hors agglomération de nuit ou lorsque la visibilité est insuffisante. À trottinette, le port du gilet rétroréfléchissant est obligatoire de nuit ou de jour par visibilité insuffisante.

• La signalisation arrière des véhicules, dont le poids total autorisé en charge est supérieur à 3,5 tonnes, peut être complétée par un dispositif rétroréfléchissant conforme aux dispositions du règlement no 104 annexé à l'accord de Genève du 20 mars 1958.

• Ressentant de très vives douleurs le soir même, la patiente se rend aux Urgences, où une rupture partielle de la face profonde du supra-épineux est diagnostiquée.

• Dans l’essaimement naturel, il est à remarquer que les abeilles émigrantes font provision et gorgent leur estomac de miel, pour suppléer aux premiers besoins d’un établissement à former ; dans l’essaimement artificiel, les abeilles sont prises au dépourvu ; et s’il arrive que quelques jours de pluie après leur installation les empêchent de sortir, elles sont exposées à mourir de faim.

• Un des grands problèmes de l’alimentation moderne est la multiplication de composants transformés (colorants, conservateurs, émulsifiants, gélatine, présure, protéines et graisses diverses…). La Cashrout n’interdit pas (à tort ?) ce genre de manipulations (elle n’est nullement une garantie contre la vache folle, les hormones, les manipulations génétiques et autres apprenti-sorcelleries de notre industrie alimentaire).

• Les poches sous les yeux ? Un méfait dont on aimerait bien se passer. Heureusement, cet enflement du contour de l'œil est temporaire, lorsqu'il ne s'agit pas d'un amas de dépôts graisseux dû au vieillissement cutané. Ce gonflement des paupières inférieures est, en effet, lié à une accumulation de liquide sous la peau : la lymphe.

• En Afrique et dans le Pacifique du Sud, la cochenille Aspidiella hardii est un insecte suceur qui infeste les rhizomes encore au champ.[…]. Les rhizomes infestés finissent par se dessécher. On parvient à lutter contre ce phénomène en plongeant les rhizomes de semence dans du phosalone, du monocrotophos ou du quinalphos.

• Le cycle de l'insecte est de trois semaines. La lutte peut se faire par voie chimique (oxydéméton-méthyl, malation, parathion) mais elle est coûteuse.

• Le monocrotophos est un insecticide organophosphoré considéré comme particulièrement dangereux par la FAO et l'Organisation mondiale de la santé. L'expérience de nombreux pays en développement montre que la distribution et l'utilisation de telles substances hautement toxiques mettent souvent en péril la santé publique et l'environnement.

• Du monocrotophos a été retrouvé dans la nourriture des enfants décédés à Bihar, en Inde. Ce pesticide est interdit entre autres aux États-Unis et dans l'UE. Il est toutefois largement disponible en Inde.

• Les produits actuellement commercialisés sont à base de medidathion, d’azinphos éthyl et méthyl, de dialifor, de fénitrothion et de monocrotophos (insecticide systémique qui est aussi acaricide).

• La meilleure protection des documents est assurée par l’encartonnement, en cartons non acides.

• Le méthomyl est un insecticide utilisé dans la culture vivrière et fourragère contre les insectes ravageurs du feuillage et du sol. En dehors des formulations d’appâts, les pesticides à base de cet intrant sont classés à usage restreint, sous la supervision d’applicateurs formés à cet effet.

• Le méthomyl est un insecticide de la famille des carbamates, utilisé sur une variété de cultures vivrières et fourragères pour lutter contre les insectes ravageurs du feuillage et du sol.

• Une enquête est en cours pour déterminer le circuit de commercialisation de ce pesticide non autorisé. L'usage du méthomyl est censé être interdit dans toutes les cultures depuis septembre 2022.

• Lors d’un contrôle effectué par la société importatrice elle-même, une présence de l’insecticide méthiocarbe de 0,4 milligramme par kilo a été détectée, dépassant de 1,233 pour cent la nouvelle LMR, qui est de 0,03. Ce qui a conduit au retrait des poivrons marocains du commerce allemand.

• Ce pesticide est le méthiocarbe. Il s’agit d’un produit chimique phytosanitaire utilisé dans les produits de lutte contre les thrips sur les cultures telles que le poivron, la tomate, le concombre et la courgette, etc. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le méthiocarbe est très dangereux pour la santé humaine et présente des risques pour les oiseaux, les mammifères et les cultures.

• Le mercaptodiméthur, molluscicide de la société Bayer, est réputé avoir des effets in vitro sur les vers de terre. En fait, les expérimentations réalisées avec la formulation disponible en France (Mesurol RF) montrent que l'effet de la spécialité sur les vers de terre est non significatif tant au laboratoire qu'au champ.

• Le fenthion, un insecticide organophosphoré, est rapidement absorbé, métabolisé et excrété.

• Les produits actuellement commercialisés sont à base de medidathion, d’azinphos éthyl et méthyl, de dialifor, de fénitrothion et de monocrotophos (insecticide systémique qui est aussi acaricide).

• Un ingénieur du ministère canadien du Développement durable fait part de ses réactions suite à un article dans le journal “Témoignages” à propos du fénitrothion. Il explique l’ampleur des ravages de ce produit, et note que lorsqu’il passe dans le sol, le fénitrothion se transforme et son produit de dégradation ’présente une toxicité aiguë environ 10 fois supérieure à celle du fénitrothion’. Pour cette raison, et beaucoup d’autres expliquées ci-après, le produit utilisé pour la démoustication est le Bti au Canada. Les intertitres sont de ’Témoignages’.

• Le ministère de l’Agriculture a précisé que la campagne de traitement des dattes au diflubenzuron se termine le 30 août de chaque année, et que le traitement est effectué avant la période de maturation du produit.

• Quels dangers ? "Le diflubenzuron présent dans le saumon d’élevage est un pesticide potentiellement dangereux pour la santé, en particulier lorsque celui-ci est consommé en trop grande quantité", prévient l'experte.

• Le dichlorvos est hautement toxique et son exposition peut entraîner de graves symptômes d'intoxication. Les effets immédiats incluent des maux de tête, des vertiges, des nausées, des vomissements, et dans les cas les plus graves, des convulsions et une détresse respiratoire. L'exposition prolongée peut causer des dommages neurologiques sévères et irréversibles. Malgré ces risques bien documentés, des cas d'intoxication continuent de survenir, souvent en raison de la méconnaissance de la dangerosité du produit ou de la recherche désespérée de solutions contre les infestations de nuisibles.

• Mortel par inhalation, le dichlorvos est nocif par contact avec la peau et par ingestion. Il peut provoquer des allergies cutanées, des symptômes respiratoires, de l’asthme, des troubles oculaires et neurologiques graves. En matière d’environnement, il est très toxique pour les organismes aquatiques.

• Le nombre d'intoxications liés au dichlorvos augmente en France, alerte ce mardi l'Agence nationale de la sécurité sanitaire alimentaire nationale (Anses). Entre janvier 2018 et juin 2023, les Centres antipoison ont recensé 170 événéments en lien avec le produit, et 206 personnes y ont été exposées. Le nombre de cas recensés est même en augmentation ces derniers temps : 104 cas ont été déclarés entre janvier 2022 et juin 2023. Cet insecticide, toxique, est pourtant interdit en France depuis 2013.

• Le dichlorvos, mieux connu sous les noms de commerce DDVP et vapona, est beaucoup plus toxique pour les mammifères que la plupart des insecticides appliqués dans les stocks.

• Les produits actuellement commercialisés sont à base de medidathion, d’azinphos éthyl et méthyl, de dialifor, de fénitrothion et de monocrotophos (insecticide systémique qui est aussi acaricide).

• Au croisement d’influences venant de toutes parts, Taxi Kebab est la collision entre synthétiseurs, boîtes à rythmes, guitares modulées et buzuq amplifié.

• La même protection fongicide employée dans la lutte contre le mildiou est en général efficace contre l'alternariose. A l'heure actuelle, on emploie surtout des dithiocarbamates, du zinèbe, du manèbe, du captafol, du chlorothalonil et du triphenyl-tin-hydroxyde.

• Jérôme est un commercial d'un genre un peu particulier. Il vend du matériel d'hygiène aux travailleuses du sexe. Mais pas seulement. Au fil des décennies, il est devenu leur confident, leur ami, celui qui crée du lien. Dans son film "Le capotier de ces dames", la réalisatrice Véronique Lhorme l'a suivi dans ses tournées. Un road movie sur les routes de Lyon et alentours et des rencontres poignantes.

• Il est évident qu'un contour enlevé du premier coup ou redessiné à la pointe est plus net que le contour bavocheux d'une figure où l'émail a été déposé à l'intérieur d'un trait dessiné à l'avance au moyen d'un poncis.

• Seul TS disponible sur colza comme fongicide, le thirame n’a pas été réapprouvé au niveau européen. Le délai de commercialisation des semences utilisant cette protection est le 31 juillet 2019 et un délai d’utilisation a été fixé au 30 janvier 2020. Selon Terres Inovia, les quantités disponibles de semences traitées au thirame risquent d’être limitées. Des semences pourront être proposées avec Integral Pro ou avec un pelliculage à base de fertilisants.

• La gamme de produits dont on dispose en poudre pour poudrage est assez restreinte : cuivre, soufre, éthylène bis-dithiocarbamates, folpel et mélanges de ces divers produits.

• Le lindane et le quintozène sont deux pesticides dont l’usage est interdit en Europe depuis 2000. Ils sont pourtant présents là où on les attendrait le moins : dans des serviettes hygiéniques et des protège-slips commercialisés en France. Et ils ne sont pas les seules substances dangereuses à se cacher dans les protections intimes. On y retrouve même du glyphosate, le célèbre herbicide de Monsanto.

• Le pentachloronitrobenzène ou quintozène est utilisé sur les Sclerotinia, Rhizoctonia solani, Sclerotium rolfsii et Plasmodiophora brassicae, à raison de 10 à 30 g/m2.