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Citations sur l'est - Page 24

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• La société est comme l'eau qui bout : ce qui, hier, était au bas monte aujourd'hui en surface.

• La vie d'un ami, c'est la nôtre, comme la vraie vie de chacun est celle de tous.

• Tout est mensonge. Seule est la vraie vie.

• N'accuse pas le puits d'être trop profond. C'est ta corde qui est trop courte.

• La justice de l'intelligence est la sagesse. Le sage n'est pas celui qui sait beaucoup de choses, mais celui qui voit leur juste mesure.

• Un bébé est une façon pour Dieu de dire que le monde doit continuer.

• Notre raison nous rend quelquefois aussi malheureux que nos passions ; et on peut dire de l'homme, quand il est dans ce cas, que c'est un malade empoisonné par son médecin.

• La science des occasions et des temps est la principale partie des affaires.

• La poésie est le souvenir des meilleurs et des plus heureux moments, des meilleurs et des plus heureux souvenirs.

• Il y a toutes sortes de suicides. Se laisser mourir est sans doute le plus commun de tous. Se laisser vivre revient peut-être au même. Ça dépend du tempérament. Les gens actifs se tuent, les autres sont trop paresseux.

• Il est évident que le poète écrit sous le coup de l'inspiration, mais il y a des gens à qui les coups ne font rien.

• Si une pratique sociale est contraire aux droits humains, elle ne peut pas être éthique.

• Le prix pour faire que les autres respectent vos droits humains est la mort.

• La confiance en soi est le premier secret du succès.

• La confiance en soi est une chose presque sexuelle.

• Les mariages, pendant quelque temps, sont soutenus par le désir ; une journée de scènes ou de silence est équilibrée par vingt minutes de nuit.

• Les hommes sont surtout fascinés par ce qui est le plus éloigné d'eux.

• Tout homme encore en vie après trente ans est un con.

• Il est un temps où le coeur exulte, il est un temps où il se referme sur lui-même, et c'est alors que la difficulté d'être commence !

• Le jour n’est que la somme nulle d’une double négation, la lumière est la nuit de la nuit, et la musique, le silence du silence.

• Le travail est si bien divisé que l'un travaille et que l'autre récolte.

• Le bon sens est contraint de faire son chemin sans que personne ne s’en enthousiasme.

• Il vaut mieux un grand n’importe quoi plutôt qu’une seule parole unique qui tombe du ciel et qui est LA bonne parole.

• On est plus le fils de son époque que le fils de son père.

• Une petite ville est l’endroit où, si vous voyez, au restaurant, une jeune fille dîner avec un homme assez vieux pour être son père, il est son père.

• Lorsque leur vanité ou leur désir est en jeu, les hommes sont toujours plus sots que leur femme l'imagine.

• L’inconvénient de vivre longtemps est que la dernière image de soi que le monde ait vue est celle d’un vieillard.

• Quand tout le monde est du même avis, c'est que personne ne réfléchit beaucoup.

• Un nom, c'est bien souvent tout ce qui reste pour nous d'un être non pas même quand il est mort, mais de son vivant.

• L'espoir de l'avenir, il est dans la nature et dans les hommes qui restent fidèles à la nature.

• La guerre est dans la nature humaine.

• Le coeur de l'égoïste est semblable à un panier percé, il ne retient rien de l'intérêt qu'il se donne.

• Il est grand, il est beau et c'est mon père.

• Ah ! mon fils ! que la tendresse d’un père est aisément rappelée, et que les offenses d’un fils s’évanouissent vite au moindre mot de repentir !

• Le mariage est un mal, mais c'est un mal nécessaire.

• Le héros d'aujourd'hui, est celui qui est capable de donner raison à la police.

• L'amour est la véritable religion de l'hypercomplexité.

• S'il est librement choisi, tout métier devient source de joies particulières, en tant qu'il permet de tirer profit de penchants affectifs et d'énergies instinctives.

• La honte n'a pas pour fondement une faute que nous aurions commise, mais l'humiliation que nous éprouvons à être ce que nous sommes sans l'avoir choisi, et la sensation insupportable que cette humiliation est visible de partout.

• L'historien est bien obligé d'avoir recours à l'écrit, aux archives, mais l'écrit est trompeur. Il ne reflète pas la réalité.