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Citations sur le des - Page 3151

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• Belle participation des Mudaisonnais, samedi 29 septembre, à l’opération “Nettoyons la nature”. Une bonne trentaine de volontaires, jeunes et moins jeunes, dont les chasseurs mudaisonnais, se sont armés d’un équipement fourni par un grand supermarché de Saint-Aunès, aux fins de nettoyer les berges du canal Philippe-Lamour qui longe la commune.

• Devant une très nombreuse assistance, Michel Roux a ouvert la cérémonie des vœux en remerciant de leur présence les élus communautaires et en souhaitant la bienvenue aux nouveaux Mudaisonnais.

• Mais les Mudaisonnais présents ce dimanche, à l’heure du dépouillement du second tour, préfèrent attendre l’annonce officielle des résultats pour faire entendre leur satisfaction ou leur déception.

• Les résidents des Ehpad Jean-Rostand et Louis-Pasteur, labellisés Bleuet de France, et les élèves des classes primaires de l’école Simon-Boussiron se sont rencontrés pour évoquer la réalisation d’une fresque collective qui verra le jour en 2022. Au cours de l’année scolaire, Aline Filipp artiste plasticienne, viendra apporter son soutien et son expertise.

• Ce jeudi 26 novembre, à l'arrivée des élèves de l'école maternelle Simon Boussiron à Perpignan, certains parents d'élèves étaient présents pour faire part de leur mécontentement. L'absence de personnel enseignant, non remplacé, dans l'établissement, devient un véritable problème aux yeux de ces derniers.

• Les responsables du SNUipp comptent pour leur part se rendre au comité technique de jeudi avec une liste d'écoles où ils estiment une ouverture nécessaire afin que les effectifs moyens n'y dépassent pas les 26,5 élèves par classe à la rentrée prochaine. En clair : des écoles où aucune ouverture ne serait pour l'heure prévue, alors que le besoin leur paraît bien présent. Parmi celles-ci : l'école primaire de Bouleternère, les maternelles de Claira, Saillagouse, Pollestres et Perpignan Boussiron, ainsi que les élémentaires de Saleilles, Toulouges, Trouillas et Perpignan Zay-Curie.

• Située face au collège, la boulangerie revient donc dans le quotidien des Oisemontais, pour le plus grand plaisir de Sandrine Delaunay. « C’est un soulagement, on avait hâte, c’est un plaisir de revenir ici. »

• Le maire estime également que « l’engagement des élus est par ailleurs indispensable pour accompagner cet élan. Tout le monde peut donner son avis, autant les Oisemontais que nos voisins proches ou lointains ».

• Le club d’orientation de Lorient, comptant un bon tiers de licenciés en pays de Quimperlé, a retrouvé la forêt de Toulfoën, samedi matin, pour la première fois depuis la sortie du confinement. Un entraînement ouvert à tous a permis à 34 personnes de se lancer à la recherche de 24 balises disséminées dans la partie occidentale de la forêt. « Il y avait deux tiers de non-licenciés, venus découvrir l’activité, parmi lesquels des enfants. Tout le monde est content de pouvoir profiter à nouveau de la nature », a commenté Françoise Anglade, la Moëlanaise présidente du CO Lorient.

• Il y a des vocations qui prennent racine tôt. C’est le cas d’Hélène Le Pocher, bien que cela n’ait pas été évident tout de suite. La Moëlanaise, aujourd’hui âgée de 74 ans, a habité en face du Tourbillon, une salle de bal créée en 1956 par Yvette et Joseph Guillou. Jeune fille, elle était une chasseuse d’autographes. « Au Tourbillon, il y a eu Georges Jouvin, Yvette Horner, André Brocoletti », énumère cette dernière.

• À Moëlan, la cérémonie commémorative du centenaire de l’Armistice a rassemblé beaucoup de monde autour du monument aux morts, ce dimanche. Elle a commencé par la lecture des noms des Moëlanais morts pour la France durant la Première Guerre mondiale. Originellement composée de 177 noms, cette liste s’est vu augmentée de 34 noms grâce aux travaux de l’association Mémoires et Photos de Moëlan, lors de la préparation de sa dernière exposition qui traitait de Moëlan et des Moëlanais pendant la Grande Guerre. Cette nouvelle liste de 211 noms a été lue par des enfants des quatre écoles primaires de la commune.

• Cela fait longtemps que Caroline Gruffaz photographie les gens, et ce qui intéresse cette Moëlanaise de 47 ans « est le rapport à la nature et au corps. Mon alliée est la nature : je trouve que quelque chose se dépose en nous à son contact, comme une tranquillité. Moi; je suis là avec un appareil et, une fois que la personne a oublié ma présence, je fais des photos. On ne fait pas vite, on prend le temps, on se balade », explique la photographe.

• La Moëlanaise Mallaurie Charles est de retour aux Penn Sardines cet été, au port de Brigneau de Moëlan, pour proposer « des ateliers artistiques inclusifs dans le même esprit que l’année dernière ». C’est-à-dire que la jeune artiste accueille aussi bien des enfants de 5-6 ans que des personnes âgées pour démontrer que l’acte de création « est accessible à tous ».

• « Ce loto est organisé dans le cadre des après-midi ludiques », précise Karine Gouil, du CCAS. Il y aura aussi des petits lots pour marquer le coup auprès de la centaine de Moëlanais et Moëlanaises concernés par cette animation « en direction des personnes isolées et seniors », ajoute Christine Cipollina, adjointe aux affaires sociales. « On veut proposer à toutes ces personnes un moment festif et de partage ».

• L’écrasante majorité des parents sondés (98%) considère par ailleurs que l’école ne suffit pas au développement de la personnalité de leurs progénitures. « L’enfant a un rôle assigné à l’école. Il enfile le costume de l’apprenant et du copain. Ailleurs, il peut jouer d’autres rôles, comme celui du frère », commente Christine Barois. « Les deux univers sont donc complémentaires », ajoute-t-elle.

• Cette fois-ci, David Alloun n’a insulté personne. Il était à la fois canalisé par son avocate rennaise et par Cyril Bousseron, le président du tribunal. Lors de la première audience (le procès avait été renvoyé à cause de la grève des avocats), il avait agoni d’injures les magistrats avant de regagner sa cellule.

• Il a vécu la pire des périodes au TGI d’Angoulême, devenu tribunal judiciaire par la réforme. Gilets jaunes, grève des avocats, crise sanitaire, réformes de la justice. Cyril Bousseron, le président du tribunal que les couloirs du palais disent fin diplomate, s’est offert quatre années mouvementées à la tête de la juridiction qu’il quittera à la fin du mois pour prendre un nouveau poste de président du tribunal judiciaire...

• À quelques centimètres, les Riomois, moins bruyants, sont sereins. " Ils ont tout à gagner, nous avons tout à perdre ! C’est aussi la magie de la Coupe de France ", glisse Jean-Claude, drapeau jaune et bleu en main. Mais en deuxième mi-temps, ils étaient moins tranquilles : " Je ne sais pas ce qui se passe dans la tête des Riomois. Le public porte les Mozacois. Je ne suis pas surpris, on s’attendait à cette ambiance ".

• En attendant de faire parler davantage de lui dans le coaching, Steven Lecherpy dépanne également en tant que joueur, quand son physique fragile le lui permet. Il avait participé à deux des quatre matches des Barnevillais la saison dernière avant l’arrêt, et figure régulièrement dans les compositions, en défense centrale, cette année.

• La Moyeuvrienne Rachel Dauphin, installée à Hambourg pour des raisons professionnelles, et son amie Yasmina Chemao, de Nantes, ont décidé de participer au Rallye Aïcha des Gazelles, qui se déroulera du 13 au 18 mars 2020. L’équipe est pré-inscrite. Il lui reste à faire la preuve de sa capacité à répondre, dans les délais impartis, à certaines obligations avant d’être définitivement inscrite.

• Le nouvel élu Nordine Naït-Chabane chargé de la sécurité-sûreté, s’est mis au chevet des Moyeuvriens pour assurer en priorité la sécurité des riverains. Des projets ont été concrétisés ou sont en cours de réalisation. Le point avec l’élu.

• En ce début d’année, le commissariat de Hagondange a vu arriver un drôle de gaillard qui a passé une nuit pour le moins tourmentée. En garde à vue pour des faits de violences conjugales, le Moyeuvrien a vomi, uriné et déféqué dans sa cellule. Il a été condamné à quatre mois de prison ferme.

• Trois Audunois ont comparu devant le tribunal correctionnel de Thionville pour avoir séquestré à son domicile et volé un Moyeuvrien, en 2019. Une expédition punitive qui coûte à deux des mis en cause vingt-quatre mois de prison. La victime « se la pétait », il fallait la mettre « à l’amende »…

• « En Bretagne, le nombre de vaches laitières (VL) est en baisse surtout depuis mi-2019 », constate Maud Marguet, de la Chambre d’agriculture de Bretagne (source Infocentre des EDE du Grand Ouest). « Avec 748 300 vaches comptabilisées fin décembre 2020, nous sommes quasiment revenus au niveau de 2010, alors que le nombre était de 778 200 fin 2017. »

• Actuellement, les outils d’aide à la décision sont disponibles par le biais de portails privés et sont, à ce jour, uniquement disponibles aux intervenants du réseau de la santé et des services sociaux accessible par le RTSS. Pour toute question relative au portail, veuillez joindre l’Infocentre à l’adresse suivante : [email protected]

• La notion de datalake est de plus en plus à la mode et commence à arriver dans nos systèmes d’information (SI). Nous sommes forcés de constater que ce nouveau concept ressemble à des choses que l’on a déjà connues (datawarehouse, infocentre, datamart…).

• La subvention municipale, la dotation de l’Agence régional du sport, l’apport des sponsors et le repas à emporter ont permis au Futsal Club Barnabéen de continuer son développement. En septembre, le club souhaite ouvrir une section Bébé Sport, pour les petits de 3 à 6 ans. Le club a soumis le projet aux présidents de différentes associations sportives, qui semblent intéressées.

• Cette offre signifie que le Futsal Club Barnabéen ne cesse d’évoluer. « Il y a quatre ans, nous n’étions que dix licenciés. Aujourd’hui, nous sommes 60 », indique Samuel Fraval. Un chiffre déterminé par la présence des jeunes.

• Jusqu’au mercredi 3 mars, le printemps est annoncé à Mably grâce à la cinquantaine de toiles de la talentueuse artiste peintre Éliane Boivin. La salle capitulaire est éblouissante de couleurs. Le visiteur peut voyager dans une quinzaine de villages, cueillir des centaines de fleurs, errer sous les arbres, balayer les paysages du regard.

• C’est une initiative originale et insolite qui s’est tenue au lycée Jean-Marc-Boivin de Chevigny-Saint-Sauveur, lundi. Des comédiens, tout droit venus de Marseille, ont coaché des élèves pour leur préparation au grand oral du bac.

• Savez-vous ce que vous souhaitez être quand vous serez grand ? Bonbec, lui, le sait : son titre « Quand J’serai Grand (J’serai Un Daft Punk) » révélé le 30 juillet 2021 est extrait de son premier album à venir. Originaire des alentours de Lannion, l’artiste a profité des multiples confinements pour préparer un album mêlant sonorités rock et électro. Tourné chez son frère avec seulement un téléphone, le clip du premier extrait met en scène un enfant affublé d’un casque customisé, en référence au look du duo électro français.

• « Je pense être un bon exemple de Malouin qui a envie de faire vivre sa ville », estime Hugo, le serveur. Depuis la maternelle, un cordon ombilical le retient intra-muros. Il semble pourtant un peu las. « On est un quartier qui meurt. Quand j’avais 18 ans, il y avait des concerts à tous les bouts de rue. Aujourd’hui, beaucoup d’habitants, arrivés depuis pas longtemps, ont fait des pétitions à tour de bras… ». L’une d’elles a visé son établissement. « Cent quatre-vingts signatures d’un collectif de proprios qui essaient de nous couper la chique », résume-t-il.

• Auriol : une soirée pour les droits des femmes

• En 2018, le sujet semble préoccuper Alvaro Ramirez Telon, alors responsable environnement de l’entreprise. “Chère Nadiezdha”, écrit-il dans un mail destiné à la cheffe du laboratoire central de l’usine, “Il est nécessaire de mesurer les traces de chrome hexavalent dans le ferronickel produit. Envoyez les échantillons afin d'avoir les résultats le plus rapidement possible.” Mais cette recommandation est balayée par Nadiezdha Astrahanseva. Avec le procédé employé par la mine, “la formation de chrome hexavalent n'est pas possible” assure-t-elle. "Je ne considère pas qu'il soit raisonnable d'envoyer des échantillons”. 

• 1954, une bombe littéraire vient déstabiliser la société française prude et bien-pensante. Une femme du nom de Pauline Réage, un pseudonyme, ose publier un roman érotique mettant en scène des pratiques sadomasochistes, « Histoire d’O ». C’est la soumission d’une jeune photographe que son amant prostitue aux membres d’une société secrète, puis livre à son demi-frère après lui avoir fait subir, avec son consentement, tous les sévices.

• Vous connaissez le célèbre roman érotique publié en 1954 par une certaine Pauline Réage? Vous êtes-vous déjà demandé ce que signifie la lettre O dans "Histoire d’O" ? Voici un "O" qui pourrait désigner bien des choses en somme : O comme "objet sexuel", "orifice" ou encore Olisbos, mot qui, à l'origine, désigne en grec un "phallus de cuir" mais qui, avec le temps, a fini par désigner tout phallus artificiel quelle que soit sa matière... Alors, ce O, que signifie-t-il vraiment ?

• Elle avait trois noms dont le dernier était Pauline Réage, le plus célèbre, celui sous lequel elle publia Histoire d'O, en 1954. Le récit d'une jeune femme livrée par son amant aux fantasmes des membres d'une société secrète. O est enfermée, fouettée, enchaînée, prêtée à tous et toutes, toujours avec son consentement que l'on ne manque pas de lui demander.

• En cette période de Covid, difficile d’organiser un pot de départ digne de ce nom, mais la Mouzillonnaise a tout de même reçu des salutations chaleureuses de la part de ses collègues de l’agence de Clisson, puis un panneau photos illustrant sa carrière.

• Coach professionnelle depuis trois ans, Sandra Bertin s’est d’abord intéressée aux adultes en voie de reconversion. Depuis le début de l’année, la Mouzillonnaise s’est ouverte aux adolescents qui peinent à trouver du sens dans leur cursus scolaire. À la veille de cette rentrée, elle livre ses conseils pour connaître des semaines sereines.

• Le Mouzillonnais Joël Bonnemaison vient de sortir L'Homme rouge de Luçon. Un deuxième roman historique qui a reçu dans la foulée le Grand prix des écrivains de Vendée 2017.