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Citations sur le des - Page 3148

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• Animartel vous invite à débuter cette année 2022 avec entrain et bonne humeur. Après une année 2021 qui nous a privés du traditionnel concert du jour de l’an durant lequel les musiciens de l’Etincelle Branceillaise communiquaient leur enthousiasme, cette année marquera le retour d’un après-midi dynamique et entraînant, grâce aux voix du chœur des 22 chanteurs de Chœur de loups.

• Le Mégevan, médaillé de bronze à Salt Lake City 20 ans plus tôt, est parvenu à dribbler les premiers vacanciers pour s’échapper de Ride, son magasin de location de ski situé sous le Novotel, point de ralliement de la station haut-savoyarde pour les amoureux des JO par procuration.

• Dans le cadre de l’appel aux dons de l’Association des maires de France (AMF) et de la protection civile, la municipalité de Saint-Martin-du-Frêne, organise une collecte de...

• Le Conseil départemental a inauguré la Maison d’enfants à caractère social (Mecs) du Sud-Gironde le 3 mars dernier. Une visite d’un des quatre pavillons d’internat a été organisée à cette occasion du côté de Saint-Martin-de-Sescas...

• Escapade du mercredi en attelage avec des percherons. Saint-Martin-du-Vieux-Bellême 2022-07-13 15:00:00 15:00:00 – 2022-07-13 18:00:00 18:00:00 Saint-Martin-du-Vieux-Bellême Orne Saint-Martin-du-Vieux-Bellême

• Les violences intrafamiliales ont grimpé en flèche ces dernières années à cause notamment des confinements imposés par la crise COVID. A Saint-Martin notamment où, l’an dernier, les gendarmes de l’île ont recueilli 291 plaintes. Un chiffre en hausse de près de 26%.

• L’équipe en place, qui se veut dans la continuité de ses prédécesseurs, et fidèle à sa campagne, commencera son action en priorité par la redynamisation du centre-bourg, et la communication/information auprès des Méessoises et des Méessois.

• Informations locales de l'Île de Saint-Martin, des îles de la caraibes et parfois même, de l'international

• Ce lieu est absolument magique et fait la fierté des Méessois. Il faut s’y rendre tôt par une belle matinée d’hiver, pour voir le soleil sortir du brouillard. On peut alors se dire que l’on a, sous les yeux, un bout de paysage millénaire, marqué par le déplacement du cordon dunaire et l’assèchement des marais qui recouvraient naguère la lande.

• Les Cailarens sont fiers de porter leur nom. Mais la capitale de la Petite Camargue a aussi des bêtes majestueuses et noires qui ont été baptisées de ce nom. On peut y retrouver les manades Abel, Rousseau, Grand, Blatière, Bari- Montaut Manse et peut-être d’autres.

• A Saint-Méen (Finistère), les rayons du soleil peineront à percer l'épaisseur de la masse nuageuse. Des nuages néanmoins dépourvus de pluie.

• Pour la première fois, l'association n'est pas présidée par un homme gay. Camille Spire se définit comme hétéroflexible. "C'est la reconnaissance de la mobilisation des femmes dans la lutte contre le VIH, qui ne date pas d'aujourd'hui", selon elle. Elle rappelle que 50% des personnes qui vivent avec le VIH dans le monde sont des femmes et qu'un tiers des contaminations en France sont des femmes. "Le virus n'est pas un virus de gay. Il touche des communautés stigmatisées et discriminées : les femmes migrantes, les usagers de drogue, les personnes qui vivent en prison...".

• À l'occasion de cette journée spéciale, Jean-Louis Joseph était ce vendredi l'invité du 6-9 de France Bleu Vaucluse. Cet ancien élu, ancien maire et conseiller régional, a décidé de se consacrer à 100 % à son exploitation agricole familiale, à La Bastidonne, où il produit de l'huile d'olive, des truffes et des pistaches.

• Hier la brigade de gendarmerie de Pertuis a procédé à des contrôles routiers à Pertuis et dans les communes environnantes, Mirabeau, La Bastidonne, La Tour-d’Aigues… 25 personnes ont été verbalisées, parmi lesquelles 18 pour vitesse excessive : trois ont écopé d’une rétention de permis car roulant au-delà de la vitesse autorisée en agglomération (50 km/h), deux ayant atteint la vitesse de 96 km/heure, une celle de 95 km/heure. Les autres verbalisations concernent des feux rouges non respectés, le téléphone au volant, ou encore les lignes blanches.

• Sans accord entre Maurecourt et Jouy-le-Moutier, la déviation est promise au cul-de-sac. Une voie sans issue. Mais comment concilier les intérêts des deux communes voisines membres de l’agglo cergypontaine ? Car s’il est encensé par les Jocassiens, le projet s’attire les foudres des Maurecourtois dont les habitations seraient les plus proches de la déviation… Pas simple.

• Le traditionnel repas de Noël des aînés a bien eu lieu et a été ouvert cette année aux Bastidois qui souhaitaient partager un bon moment au restaurant Le Baroudeur. Au menu, de la cuisine locale avec des produits frais issus des environs : foie gras, escalope de veau du Ségala ou truite citronnée, fondant aux marrons, le tout accompagné des vins du domaine d’Al Couderc.

• Des projections qui ne valent qu’à condition de redevenir maître à domicile face aux Orchésiens. Et avant ça, de jouer le match, tout simplement : « Jouer la rencontre face à des cas contacts, ce n’est pas évident. Mais avant de penser à partir en vacances, si on nous oblige à jouer, il faudra tout faire pour gagner », prévient Mounir Bernaoui, l’ailier du CCBM, aussi impliqué que préoccupé. À l’heure qu’il est, la balle orange est donc dans le camp orchésien : si quatre joueurs supplémentaires sont déclarés positifs d’ici ce vendredi soir, le match sera reporté.

• Plus qu’un objectif, les Jeux Olympiques auraient pu être la destinée de l’Arena puisqu’elle a initialement été construite et pensée de manière à pouvoir accueillir les sportifs des Jeux de Londres en 2012. Quelle fut la déception, donc, de l’ancien élu et de beaucoup d’Orchésiens à l’annonce de la liste officielle des équipements sélectionnés pour les JO 2024 tandis que la salle d’escrime douaisienne est retenue comme centre de préparation.

• Après quelques semaines de fermeture, le bar Le Bastidien a rouvert ses portes pour la plus grande joie des Bastidiens et des populations de passage et des environs.

• Samedi 4 décembre 2021, les adhérents se sont réunis pour partager des idées. La priorité est de préparer les échanges avec Neuvy-en-Mauges dans le Maine-et-Loire où de nombreux Cahagnais ont été en exode pendant la Seconde Guerre mondiale. La volonté de l’ACHC est de participer à l’attractivité de la commune aujourd’hui et demain.

• Les 19 nouvelles familles se sont présentées à leur tour. Les néo-Cagnottais viennent plutôt en voisins (de communes du secteur ou des départements des Landes et des Pyrénées-Atlantiques). Un artisan plombier est cependant originaire de la région parisienne. La moitié des arrivants sont locataires. Deux foyers de retraités ont acheté des maisons existantes. Cinq foyers ont fait bâtir et on note un retour au village.

• Il y a Lise Sanguedolce, la Bragarde, Sophie Inacio, d’Annecy, et Anne-Laure Snanoudj, des Landes, qui ont en commun d’être ambassadrices pour une marque de nutri-cosmétiques. “On ne se connaît que par écrans interposés mais nous avons remarqué nos affinités. Anne-Laure travaille pour une boutique, qui équipe en prothèses ou en perruques les femmes malades d’un cancer. Elle m’avait proposé de faire le trek et puis, il y a eu le Covid”, raconte la Bragarde. Le défi reste de mise et Sophie les rejoint, car trois personnes doivent constituer chaque équipe du Rose trip.

• Et l’édition 2020 (qui aura donc lieu du 25 au 29 mai 2022, rappelons-le) s’annonce à la hauteur de la précédente. « A l’heure actuelle, nous avons déjà 1 580 voitures inscrites », se réjouissent les organisateurs. La Bragardeuche battra-t-elle le record établi en 2015, à La Rochelle, avec 3 359 Deudeuches réunies ? « Je ne cherche pas à battre des records », affirme Gérald Dumain. « Mais on pense que le Covid, s’il ne vient pas nous perturber, est un atout supplémentaire, car beaucoup de gens vont vouloir sortir avec leur 2CV, car ils n’ont pas pu le faire depuis longtemps. »

• Du 7 au 11 février, dix jeunes Méaugonnais ont suivi le stage dédié à la bande dessinée, proposé par la commune lors des vacances d’hiver à la salle des Roches-Plates. En se référant aux commentaires glanés près des tables de dessin, vendredi, ils ont pris un immense plaisir à découvrir cet univers d’expression culturelle, via le crayonné. D’autant plus qu’ils étaient encadrés par Jean-Christophe Balan, bédéiste ploufraganais, artiste doté d’un sens aigu de la pédagogie.

• La réception de Peyrehorade dimanche à Marius Rodrigo est une échéance importante pour des Mauléonnais qui aimeraient tant retrouver le goût de la victoire après...

• Annette Azambre a reçu le 4e  prix du Challenge foie gras 2020 des jeunes créateurs culinaires. Une récompense pour cette jeune Méaudraise qui fait honneur au département de l’Isère, à son lycée grenoblois et à l’ensemble du plateau du Vercors.

• La Bracquemontaise a donc suivi des études au sein de l’APSJ 76 (Association Profession Sport et Loisirs 76), basée à Petit-Quevilly.

• Nicolas Lafon, président départemental de l’Union landaise des associations syndicales DFCI (Défense de la forêt contre l’incendie) a réuni à Saint-Justin les présidents des ASA (associations syndicales autorisées...

• De leur côté, les deux clubs de Régional 2 disputeront samedi un match en retard. Pour le CS Vespière-Orbec, le déplacement à Caen Nord à 19 h est déjà très important. Après un début de saison très difficile, les Orbecquois ont bien fini l’année avec deux victoires contre des adversaires directs pour le maintien. Ils pointent à la dixième place et, en cas de victoire, ils pourraient dépasser leur adversaire du jour, qui présente un bilan identique (trois victoires et six défaites).

• Lors des quatre premières journées, les Orbecquois ont perdu contre quatre des cinq premiers : « On a joué de belles équipes ». La priorité du technicien est de « laisser deux ou trois équipes derrière » et donc de prendre les points qu’il faut contre les adversaires directs pour le maintien, dont Lisieux fait partie :

• « J’attendais qu’on vienne près de chez moi », acquiesce Simone, une Mauloise de 88 ans, qui affirme ne pas avoir peur des effets secondaires. « Nous ne sommes pas des mauviettes », ajoute Michelle, heureuse de ce nouveau départ à l’aube de ses 100 ans. « Pour que cette crise s’arrête, il faut que tout le monde se fasse vacciner. »

• Le 17 mars prochain, les jeunes participeront au salon départemental des mini-entreprises à Marly-le-Roi avec l’objectif de gagner un prix et de se qualifier pour le salon régional. Une performance que les Maulois ont réalisée à plusieurs reprises au cours des années précédentes.

• Les visages et les portes se ferment à la seule vue d'un micro. Les Cagnacois en ont marre de cette affaire Jubillar qui met leur village sous le feu des projecteurs. Pourtant, le long de la départementale, Séverine, Hélène et Émie s'activent. Elles installent des affiches qui annoncent la marche. "C'est une marche pour la vérité, pour montrer que l'on est solidaire, qu'on ne lâche rien et qu'on veut la vérité", explique l'une d'elles.

• Lors d’une cérémonie, en présence d’élus, des amis et de la famille des récipiendaires, le maire Anicet Jacquemin a honoré deux Cafrancs, en leur remettant la médaille d’honneur de la ville.

• Même si elle s'est classée seconde derrière « Saint-Ferdinand », c'est la Boïenne, la pinasse à voile de Biganos, qui a remporté le trophée Jean-Vidal, samedi dernier, lors de la régate organisée à l'occasion des fêtes de L'Herbe.

• Un Myennois de 33 ans avait été arrêté par les gendarmes, jeudi 23 décembre au matin, après avoir semé la panique dans le quartier. La veille au soir, il avait tiré des coups de fusil en l'air avant de s'enfermer chez sa mère.

• Les Bassois sont très attachés à leur Toinou, la statuette, dérobée dans la nuit du 9 au 10 mai 2015. Nous annoncions que les auteurs de ce méfait, surnommé le gang des Belges, originaire de la Haute-Marne, pourraient être jugés en 2 021.

• L’Orangeois Jérôme Cioni, 42 ans, originaire de Carpentras, sera sous les feux des projecteurs de TF1, dans l’émission The Voice, et donnera le meilleur de lui-même pour que les coachs se retournent.

• Pourtant, les deux Muzillacais sont loin d’être des spécialistes de la discipline. Timothée (33 ans) est en effet un ancien judoka de haut niveau, passé notamment par le Dojo des Abers (il est originaire de Brest) et le CPB Rennes. « J’ai fait du sport-études quand j’étais jeune. J’étais en Equipe de France jeune. J’ai fait cinquième à un championnat d’Europe et deuxième aux « France ». Mais le judo, c’est fini. J’ai eu des soucis de dos. Il fallait que je fasse attention. Donc, la course à pied me fait du bien », raconte celui qui va préparer l’an prochain son premier marathon (Transléonarde en juin).

• Cette opération proposée à tous les Muzillacais à partir de 6 ans vise à recueillir des images qui permettront, sous forme de panneaux décoratifs, de jalonner des itinéraires de promenade.