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Citations sur le des - Page 2730

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• Noa Nakaitaci retrouve peu à peu des sensations.

• Le chauffage des 49 logements de la nouvelle résidence Florestine, à Bordeaux, est assuré par les radiateurs-ordinateurs de la société innovante Qarnot Computing. Il lui a fallu faire bouger la réglementation et d'autres projets vont suivre en Ile-de-France.

• Au rez-de-chaussée : côté place Napoléon, la Ville, propriétaire de la partie historique, mais qui a consenti un bail à construction à Oréas pour 48 ans, prévoit d’y loger l’office de tourisme, la Maison des nations et Europe direct.

• Du côté des projections en plein air, également proposées par Ciné Plus en Limousin, Cédric Boschage n'a pas noté de report de la fréquentation. Tout en sachant que beaucoup de dates ont été annulées. _"La première vague étant arrivée en février-mars, au moment où habituellement, traditionnellement, les municipalités et les associations budgétisent leurs activités estivales, il y a beaucoup de choses qui ont été annulées dès le mois de mars, et jamais remises en place."  _Jusqu'au 9 septembre, l'association aura projeté une vingtaine de films au total. C'est presque quatre fois moins que les autres étés. 

• Carnet rose dans le sud des Landes. Quatre bébés "mangouste jaune" sont nés il y a trois semaines environ. Ce jeudi, ils ont décidé de mettre le nez dehors pour de bon. Trop mignons !

• Christian Diogo, jeune Ébroïcien originaire du Sénégal, proposera des cours de Kizomba dès la rentrée prochaine au Café du Kir Royal, dans le quartier de la Madeleine, à Évreux.

• Le prochain film de Thomas Lilti sera tourné en partie à Cherbourg. Dans cette optique, des jeunes de 16/17 ans possédant une planche de surf ou une combinaison sont recherchés.

• « Bienvenue dans notre monde ! » Lorsque Ludovic Gonnet et Audrey Gaiguant-Duverneuil discutent ensemble, on se demande parfois s’ils ne parlent pas chinois. Leur moyen d’expression vient pourtant d’Angola, dégage des sonorités portugaises et s’appelle la kizomba (1).

• Depuis l’occupation du Capitole par les partisans de Donald Trump, la question se pose : Donald Trump est-il un héritier du fascisme, le mouvement qui a porté Benito Mussolini au pouvoir en Italie à la faveur d’un coup de force en 1922 ? Si le mode d’organisation politique et idéologique n’est pas le même, on retrouve dans le trumpisme des idées qui ont irrigué la doctrine fasciste.  

• Arnaud Benedetti: «Le macronisme est le trumpisme des élites»

• Le résultat des élections est éloquent : un an plus tard, le trumpisme survit à l’éclipse partielle de son architecte. En fait, le trumpisme se porte même mieux sans Trump.

• L’adhésion au ferroviaire dépasse les clivages politiques. Cette leçon ressort de l’enquête publié par Transport développement intermodalité environnement (TDIE). Co-présidé par Philippe Duron, ancien président du conseil régional de Basse-Normandie et ancien député, ce think-tank spécialisé dans les transports a sondé les candidats de tous bords aux dernières élections régionales : un exercice qu’il pratique depuis 20 ans à l’occasion des principales consultations électorales.

• Le trumpisme, remarquons-le, n’a jamais été défini clairement ; il s’est pourtant construit peu à peu l’impression qu’il existait une idéologie à laquelle des millions d’Américains auraient adhéré, un peu comme s’il avait été question de socialisme, de communisme, de nazisme, ou tout autre « -isme ». Et dire que le trumpisme est fort signifie que celui qui l’incarne reviendra forcément au premier plan.

• Au programme, un bal gratuit animé par Jean-Michel Duron, des bières et un plateau repas fish and chips.

• Une nouvelle édition du Printemps Fleuriau, le festival des galeries d’art de la rue Fleuriau à La Rochelle, aura-t-elle lieu ? L’évolution de la pandémie de coronavirus le dira. Mais en l’état actuel des choses, les organisateurs de ce rendez-vous culturel programmé depuis 2019 à l’Ascension (mi-mai) ont bien l’intention, une fois encore, de provoquer de belles rencontres autour de l’art.

• « Le 11 mars 2020, la veille de l’annonce du 1er confinement et de la fermeture des établissements scolaires, une trentaine d’élèves du lycée Amiral-Ronarc’h, alors répartis dans toutes les classes de première, ont concouru aux Olympiades des mathématiques. La situation sanitaire ayant entraîné un retard dans la correction et la publication des résultats, les lauréats n’ont pu recevoir leurs diplômes et prix que ce lundi 11 janvier, non pas dans une prestigieuse école rennaise comme à l’accoutumée, mais au sein même du lycée », souligne Mathias Loyard, son proviseur.

• Les effectifs sont stables au lycée Amiral-Ronarc’h de Brest, avec 1 160 élèves répartis dans 34 classes. « Nous proposons aux élèves de seconde de trois à quatre heures supplémentaires par semaine pour renforcer des matières comme le français, les mathématiques et les langues. Les onze choix de spécialités vont être complétés par deux autres, dont nous avons fait la demande. Les cours en espagnol vont aussi être expérimentés dans l’enseignement scientifique en section internationale », explique Mathias Loyard, le proviseur. Côté travaux, le premier coup de pioche devrait être donné en mars 2022 pour les six logements de fonction.

• Produire des plants de réglisse en France ! C'est le nouveau défi d'Antésite, le producteur emblématique de concentrés installé à Voiron. L'entreprise se prépare aussi à déménager d'ici 2023 pour continuer de se développer. Son directeur général Stéphane Lacourt fait le point.

• En 2017, une femme huissier audiencier au tribunal correctionnel avait eu le coup de foudre pour un truand en plein procès. Après l’audience, elle avait échangé des SMS et des appels téléphoniques avec le détenu. Une pratique illégale. Elle a été condamnée à 4 mois de prison avec sursis.

• C’est sous une pluie battante que les locaux ont maintenu les jaune et noir sous une pression constante dans leur moitié de terrain pendant une grande partie de la première mi-temps. Les Launaguétois ont résisté avec détermination aux assauts des Tarnais, ce qui n’a pas empêché ces derniers d’ouvrir le score par leur canonnier, Seguier, 3-0. Heureusement, les visiteurs ont su réagir avec Stéphane Brika qui a ramené les équipes à égalité 3-3 juste avant la mi-temps.

• Sous une pluie battante, des manifestants pas abattus. À l’appel d’une intersyndicale CGT-Solidaires-FSU, un cortège de 400 personnes a défilé ce jeudi matin à Pau pour réclamer l’augmentation des...

• Alexandra Vonderfel est donc conseillère en image. Une vraie. Qui a suivi des cours dans une école de relooking à Paris, la seule qui délivre un diplôme d’Etat. Car pour elle, c’est très sérieux, l’image qu’on renvoie. Et on ne s’impose pas conseillère. « On a affaire à des personnes fragilisées. On peut faire beaucoup de bien. Mais beaucoup de mal aussi si on ne s’y prend pas comme il faut. Il faut vraiment faire attention. »

• Depuis mardi, une dizaine de villes ont été touchées par la colère des « corps habillés » comme sont surnommés les militaires et policiers en Côte d’ivoire. A Bouaké, épicentre de la mutinerie du début du mois, la situation n’était pas loin de dégénérer en combats entre gendarmes et soldats qui avaient obtenu leur prime. Bruno Nabagné Koné a fait état de quatre morts pour cette seule journée de mardi, sans préciser à ce stade les responsabilités.

• Le vote par anticipation des ‘corps habillés’ est indispensable pour qu’ils puissent remplir leur mission le 22 février.

• Les troubles fêtes, ce sont les personnages. Leurs visages sont maculés de blanc et leurs corps habillés de noir. L’accoutrement leur confère un air inquiétant – va-t-on assister à une attaque de zombie  ? – démenti par les mots du chef de bande. Ils sont les personnages, les vrais, ceux que les acteurs sont en train d’essayer d’interpréter. D’ailleurs, ils jouent drôlement mal, ces personnages. Et cette mise en scène est bien médiocre par rapport à celle des personnages qui, eux, ont tout vécu, pour de vrai.

• Elle est diététicienne. Au fil des consultations, Lætitia Dupoirier s’est aperçue que l’apparence était essentielle dans l’acceptation de son corps. Elle est à présent conseillère en image et allie ses deux casquettes pour permettre aux femmes d’être mieux dans leur peau.

• je donnerai tout pour avoir un enfant, émue d'entendre parler d'allaitement! j'étais en PMA depuis des années sans suite avec des FIV, et comme ultime solution selon le gygy la GPA hélas impossible ici vue notre loibioéthique farfelue! merci à la législation ukrainienne à travers le groupe A. Feskov à travers son bureau de Bruxelles qui nous a permis d'avoir uneGPA légale inespérée

• Après la mort d’Ahmed Sékou Touré en 1984, l’armée guinéenne, que le régime avait marginalisée pour mieux la contrôler, prend sa revanche. Commence le règne des « Corps habillés », les hommes en uniforme. Un monde à deux vitesses : certains accaparent les ressources du pays et cherchent à verrouiller le pouvoir. D’autres doivent survivre aux crochets de la population. Les chaînes hiérarchiques, déjà fragilisées sous Sékou Touré, se désorganisent et le maintien de l’ordre finit par souffrir d’un énorme manque de moyens. Témoignages.

• Le moins que l’on puisse dire, c’est que Cristina Cordula sait jouer des couleurs. L’un de ses looks nous permet d’ailleurs d’apprendre à porter le rose avec d’autres couleurs. Une association qui peut paraître assez difficile à réaliser si l’on n’est pas connaisseur. La conseillère en image a alors opté pour un sweat à capuche qui vous tiendra au chaud durant cette période où le climat peut encore être assez capricieux. Ses motifs graphiques seront d’ailleurs au top de la tendance.

• Coach en image, conseiller en image, consultant en image... Peu importe l’intitulé, les demandent explosent. Même constat en ce qui concerne le personnal shopper. Des métiers qui nécessitent une large palette de connaissances et donc une formation pointue. Certaines visent un niveau Bac+5.

• 2 millions de réfugiés ont déjà quitté l’Ukraine pour chercher refuge et sécurité dans les pays limitrophes. « Dans ce contexte de guerre qui sépare des familles et force les plus vulnérables à prendre la route, l’information et la communication sont des besoins vitaux », explique l’ONG paloise Télécoms sans frontières ce jeudi dans un communiqué. L’objectif de TSF est d’assister les populations réfugiées avec tous les moyens disponibles : réseaux 4G ou solutions satellitaires. Ainsi, TSF est en train de créer une base opérationnelle à Rzeszów afin de soutenir les personnes arrivant en Pologne, mais aussi répondre aux besoins en Ukraine.

• À noter la réparation d’un poste TSF à lampes des années 1950 qui refonctionne comme à l’origine.

• Deux salariés de Dynami ont extrait en minibus une partie des familles par la frontière roumano-ukrainienne.  L'autre partie est passée par la Modalvie.

• Des familles adhérentes du centre social d’Orel ont participé depuis des semaines à des ateliers céramiques. Ils étaient animés par Isabelle Lefaix et encadrés par Christine Pince et Marine Debourg. Grands et petits ont assisté à l’accrochage...

• Depuis plus de 15 ans l'association accueille tous les étés et les hivers des enfants orphelins ukrainiens dans des familles de la région. A Estourmel et à Neuville Saint-Rémi ceux qui se présentent comme les parents de coeur vivent dans l'angoisse depuis presque une semaine.

• Non loin de Reims, des bénévoles recueillent des félins en détresse, abandonnés ou maltraités. Leur association prône la stérilisation des chats pour éviter leur prolifération. "La maisonnée de Gloria" cherche des familles aimantes pour les accueillir.

• Mais la formation ne doit pas s’arrêter aux seuls personnels d’accueil. « Il faut l’élargir à toute la communauté éducative. Et ce, avec l’appui des familles concernées. La co-formation est indispensable. Elle implique toutes les parties prenantes : familles, enseignants, ATSEM, personnels périscolaires et d’accueil, traducteurs ».

• Deux habitants de Sartrouville (Yvelines) lancent un appel à l'aide pour héberger les chats errants de la commune. Ils recherchent d'urgence des familles d'accueil.

• La commune a décidé d’adhérer à un dispositif d’aide proposé par l’Etat. Depuis février, 80 % des familles ne payent plus qu’un euro par repas à la cantine scolaire.

• Il semble que ce soit le point de bascule duquel est né, au Québec, « autrice ». Divers arguments, dont voici un aperçu, sont invoqués pour justifier l’emploi de ce mot. D’abord, il s’agirait de réactiver l’usage de siècles passés, affirmation foncièrement erronée. « Autrice », féminin adopté par des individus et quelques groupes, vivait aux côtés d’« une auteur, une aut(h)oresse » et, très rarement, « une auteuse ». La forme « autrice » n’a jamais été généralisée, à quelque période que ce soit de l’histoire.