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Citations sur le des - Page 218

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• Le travail des femmes n’est pas un cadeau pour les femmes, c’est un cadeau pour la société.

• Savais-tu qu'un cactus avait une fleur ? Au milieu des pics se cache un coeur.

• Les navires qui arrivaient amenaient des gens nouveaux, des hommes et des femmes qui débarquaient en quête de l'or facile qui naît sur l'arbre du cacao.

• Je hais la télévision. Je la hais autant que les cacahuètes. Mais je ne peux m’arrêter de manger des cacahuètes.

• Jeune, j'aimais courir, sauter, faire des bonds et cabrioles... On ne peut danser sans cet amour de l'espace...

• C’est la fierté des hommes des lettres d’arriver dans la considération des femmes tout de suite après les cabotins.

• On appelle les comédiens des cabots, parce qu'ils se sauvent quand on les siffle.

• Si le créateur n’avait pas placé, chez la femme, la salle de jeu si près des cabinets, on ne parlerait pas de Freud.

• La scène, les coulisses, c’est ma vie depuis que je suis enfant. À huit ans, je voyais passer des filles nues devant moi dans les cabarets, je trouvais ça normal.

• Les noeuds sacrés de la vraie amitié se forment bien plus facilement sous un humble toit et dans les cabanes des bergers que dans les palais des rois.

• Ils ne peuvent vivre les vers qui sont écrits par des buveurs d'eau.

• Les plus grands musées du monde ne contiennent que des butins.

• Le succès dans le show business dépend de ton aptitude à te faire des amis et à les garder.

• Lorsqu’un grand bureaucrate a un geste admirable, on s’étonne une fois de plus des voies mystérieuses et imprévisibles qu’emprunte le hasard.

• Comment les gens réagiraient-ils si les animaux passaient le bulldozer sur leurs maisons pour planter des arbres ?

• Les mots c'est comme des bulles d'air. C'est brillant, c'est doux quand ça passe et après, vous cherchez et y a rien.

• Seigneur, pourquoi la terre a-t-elle tant de prix Pour vous qui nourrissez le beau bûcher des âmes ?

• Bucoliques. Le feu de bois. Toute cette fête, toute cette vie ! Puis cette agonie, puis cette mort, cette déboulée des bûches.

• Il y a des brutes qu'on n'apprivoise pas. On les dompte.

• L'esprit seul c'est le Dieu des hommes... La chair seule, c'est la brute. La chair et l'esprit, c'est l'homme, un dieu qui a des instincts de brute.

• Les prostituées sont des femmes du monde à l’état brut.

• Si l’on va au fond des choses, on se rend compte que le monde n’a jamais été plus ou moins brutal qu’il ne l’est aujourd’hui ; tout cela dépend du regard que tu portes et de la vie que tu as choisi de vivre.

• La littérature ne s'apprend pas. On rencontre simplement, en ce domaine, des gens ou des livres qui, brusquement, vous disent, vous montrent ce que vous avez besoin d'entendre ou de voir.

• La plupart des hommes sont dans les brumes et ne le voient pas.

• Là où l'on brûle les livres, on finit par brûler des hommes.

• "France, mère des arts, des armes et des lois...", pourquoi veut-on toujours y brouiller les premiers avec les derniers?

• Dieu a donné aux femmes l’intuition et la féminité. Une combinaison appropriée des deux brouille facilement l’esprit des hommes que j’ai rencontrés.

• C’est la moindre des choses d’essayer de montrer à quelqu’un de perdu dans le brouillard la direction de la lumière.

• Mieux vaut s’accommoder des choses ou les briser que de pleurer à la lune.

• L'orgueil, l'éternel orgueil, le besoin de briller et d'étonner le monde par des mérites que l'on n'a pas !

• Lorsque les dieux vous proposent l'autre monde comme bonheur, il y a toujours gros à parier que la situation terrestre des hommes n'a rien de brillant.

• Ceux qui croient à l'immortalité de l'âme insistent sur la brièveté des choses.

• Si l'amour est une invention des femmes, ce sont les hommes qui exploitent le brevet.

• O baiser ! mystérieux breuvage que les lèvres se versent comme des coupes altérées !

• On prétend que le cheval est une animal de luxe. Il ne s'habille pourtant qu'avec des bretelles.

• Le courage des Turcs s’explique par ce fait qu’un homme qui a plusieurs femmes est mieux disposé à braver la mort que celui qui n’en a qu’une.

• Seuls le bonheur et le malheur extrêmes semblent donner quelque prix à l'existence, c'est de toute façon les seuls souvenirs qui restent à la surface après le brassage des ans.

• Les serments les plus forts ne sont que de la paille dans le brasier des sens.

• Ils voulaient des bras et ils eurent des hommes.

• La boxe a toujours été l'opéra du pauvre et des voyous.