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Citations sur le wagon-restaurant

Il y a 23 citations sur le wagon-restaurant.

• On va aménager dans le style d'un wagon-restaurant du milieu du XXe siècle. Les peintures vont être revues et les moquettes seront changées, pour donner un teint un peu plus ancien sur cette rame et retrouver un peu le prestige des voyages dans ces voitures-restaurants dans le temps.

• Mais le plus beau et le plus émouvant des « monuments » se trouve à l’intérieur du musée de l’Armistice 14-18. Dans le hall d’entrée du bâtiment trône en bonne place la réplique à l’identique du wagon-restaurant le plus célèbre du monde. Ancienne propriété de la compagnie internationale des wagons-lits, il est réquisitionné par l’Armée française en septembre 1918, avant de servir de décor aux armistices de 1918 et 1940.

• Toutes les chambres donnent sur la rivière, bien sûr, et elles sont décorées par des artistes locaux. Un wagon-restaurant sera à disposition des clients et il y aura même une piscine. Seuls les voyageurs de plus de 12 ans seront admis. En 2022, une annexe sera ajoutée pour les familles, des maisons près du pont mais sur la terre ferme.

• Quand Harrison Keely évoque ses voyages avec l’Amtrak [la compagnie ferroviaire publique américaine], ses souvenirs les plus chers sont inséparables du wagon-restaurant. Les couverts en argent étincelants, les serviettes blanches. Savourer des tranches de pain perdu couvertes de sucre en poudre et gorgées de sirop, tout en regardant défiler le paysage. Se faire des amis autour d’une tranche de cheesecake.

• Le temps d’une nuit, les visiteurs peuvent s’endormir dans la cabine qu’occupait James Bond dans « Bons Baisers de Russie », s’installer sur la banquette où s’est langoureusement reposée Mata Hari ou boire un thé dans le wagon-restaurant où Hercule Poirot interrogeait les personnages imaginés par Agatha Christie.

• Ce train de luxe permet d’effectuer un voyage au Pérou durant trois jours et deux nuits. À l’intérieur, un wagon-restaurant où officie le chef Diego Muñoz, véritable ambassadeur de la cuisine péruvienne. Les cabines sont aussi confortables que les chambres d’un hôtel cinq étoiles avec des salles de bain privatives dignes des grands palaces. À l’arrière du train, une voiture d’observation avec sa terrasse extérieure permet de voir des paysages parmi les plus beaux du continent sud-américain

• De l’ancienne ligne franco-suisse Pontarlier-Vallorbe (27 km), il ne reste plus qu’un tronçon de 8 km encore en activité. C’est la distance que parcourt le Coni’Fer entre les Hôpitaux-Neufs (unique départ à 15h) et Fontaine-Ronde (Doubs), dans le Massif du Jura. Le trajet est assuré en train à vapeur l’été et en train diesel l’hiver. L’association dispose d’un authentique wagon-restaurant de l’Orient-Express-Simplon dans lequel il est possible de dîner tout au long de l’année.

• En se rendant de comptoir en comptoir, on passe ainsi d’un style manoir cosy avec des fauteuils confortables, à une ambiance jardin d’hiver sous la verrière, en passant par un wagon-restaurant ; voire encore un cabinet de curiosité ou une herboristerie !

• Faudra-t-il garder son masque pour manger dans le wagon-restaurant ? et dans les restaurants des bateaux ?

• La cuisinière du wagon-restaurant m’offre un thé à l’artichaut. À la fenêtre défilent des images d’Épinal moyenâgeuses. On mesure à l’aune de la campagne birmane l’ouverture très récente du pays. Dans les champs, nombre de paysans retournent encore la terre avec un soc tiré par des bœufs.

• Insolite Dans un Interregio entre Kloten et Wil, un passager des CFF a reçu un bon de six francs pour prendre un café dans un wagon-restaurant. Il a été récompensé après avoir dit bonjour à une contrôleuse.

• Rendu célèbres notamment par le roman d'Agatha Christie, qui y situe un crime et une enquête d'Hercule Poirot, ces voitures empruntées par Léon Tolstoï, Ernest Hemingway, Coco Chanel, Lawrence d'Arabie ou l'espionne Mata Hari, ce train a accueilli aussi la signature dans son wagon-restaurant de l'armistice le 11 novembre 1918. Le tout en a fait un « objet culturel universel », comme l'explique Arthur Mettetal, historien et responsable patrimoine de l'Orient Express.

• Le pari est osé mais pourrait rapporter gros. Suite à la demande de nombreux visiteurs, le petit train des Cévennes - qui relie Anduze à St-Jean-du-Gard à travers le relief gardois - a décidé de se lancer dans la construction d'un wagon-restaurant. Objectif : diversifier l'offre pour relancer la fréquentation, en baisse depuis quelques années. "Les touristes cherchent de la nouveauté. C'est notre rôle de répondre à leurs envies", souligne François Zielinger, président de la Compagnie Internationale des trains express à vapeur.

• En fait, de manière générale, il est mauvais de manger la nuit, mais si vous en ressentez réellement le besoin, dirigez-vous vers le wagon-restaurant. Même l'odeur des chaussettes de trois jours ne peut pas battre celle des nouilles instantanées (plat typiquement consommé dans les trains en Russie) fraîchement bouillies. À ceux qui mangent des nouilles et de la purée instantanées dans un wagon étouffant la nuit : sachez que l’enfer serait un lieu idéal pour les cuire.

• Voici 75 ans, la Bataille des Ardennes tournait en faveur des alliés. Quelques mois plus tard, la région en ruines commençait sa reconstruction. La success story du wagon-restaurant Léo est emblématique de cette époque.

• Mes compagnons du train pour Berlin se souvenaient de la loi martiale en Pologne (promulguée par le Général Jaruzelski le 13 décembre 1981). Et quand soudain notre train s’est arrêté en pleine campagne, nous nous sommes tous retrouvés au wagon-restaurant, terrifiés de ne plus pouvoir quitter la Pologne avant minuit, de ne plus jamais partir. Et comme dans le temps, nous avons tous été soulagés lorsque nous avons franchi la frontière. Comme si c’était la frontière de la vie normale.

• Le 18 janvier, Zhong Nanshan, 84 ans, membre de l'Académie chinoise d'ingénierie, a reçu un avis d'urgence lui demandant de se rendre de toutes affaires cessantes à Wuhan. Il a eu beaucoup de mal à monter dans le train à grande vitesse de Guangzhou Sud à Wuhan qui partait à 17 heures. Sans place dans le train, il a été installé dans un coin du wagon-restaurant.

• L’atmosphère est aussi tranquille à l’intérieur qu’à l’extérieur du train. En cette toute fin d’après-midi, une odeur épicée se répand dans la rame. Elle vient du plateau fumant d’une employée de la compagnie nationale des chemins de fer tchèques, Czech Railways, chargé de soupe et de pain. Dans le wagon-restaurant, derrière le bar, des dizaines de cadavres de bouteilles de bière jonchent le sol, témoignant du succès jamais démenti de la boisson nationale. Nappes blanches, rideaux aux fenêtres et lampes individuelles, chaque table donne envie de s’y installer et de replonger dans Les Aventures du brave soldat Chvéïk, de Jaroslav Hasek. Ce chef-d’œuvre de la littérature tchèque paru en 1921 est une satire burlesque de l’autorité, un voyage dans toutes les couches de la société praguoise à la fin de l’Empire austro-hongrois. Hasek nous fait entrer dans l’esprit tchèque et dans chacune des trois plus grandes villes du pays.

• Depuis la mise en lumière télévisée du site, tout s’est précipité. Proposition de prêt d’un second wagon-restaurant de l’Orient-Express, projet de mise en scène d’un quai de gare à la Belle Époque, arrivée annoncée d’une locomotive, don de wagons : la rotonde de Montabon, qui fleure toujours bon le « vintage », la vieille graisse et notre histoire ferroviaire, sort de sa léthargie pour raconter le rail et le patrimoine industriel. Les bénévoles ont terminé la semaine dernière de reconstruire dix portes en bois.

• Concerts, ateliers, lectures, jeux il y en aura pour tous les goûts et tous les âges. Toute la journée, un « espace dînette », accueillera les tout-petits dans la cuisine d’un wagon-restaurant. De nombreuses projections et animations attendent les jeunes.