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Citations sur le vilain

Il y a 17 citations sur le vilain.

• Le long d'un clair ruisseau buvait une colombe,Quand sur l'eau se penchant une fourmi y tombe.Et dans cet océan l'on eût vu la fourmiS'efforcer, mais en vain, de regagner la rive.La colombe aussitôt usa de charité :Un brin d'herbe dans l'eau par elle étant jeté,Ce fut un promontoire où la fourmi arrive.Elle se sauve ; et là-dessusPasse un certain croquant qui marchait les pieds nus.Ce croquant, par hasard, avait une arbalète.Dès qu'il voit l'oiseau de VénusIl le croit en son pot, et déjà lui fait fête.Tandis qu'à le tuer mon villageois s'apprête,La fourmi le pique au talon.Le vilain retourne la tête :La colombe l'entend, part, et tire de long.Le soupé du croquant avec elle s'envole :Point de pigeon pour une obole.

• La fille s'assoit devant l'âtre. Quant au vilain, il se met nu, ayant ôté jusqu'à ses braies, et vient s'allonger près du feu. Alors il se gratte, il s'étrille ; ses ongles sont longs, son cuir dur. Il n'est homme jusqu'à Saumur qui soit meilleur gratteur que lui.

• Jeu de main, jeu de vilain.

• Riche vilain vaut mieux que pauvre gentilhomme.

• On dit pas Ille-et-vilaine, mais il est vilain !

• Peine de vilain n'est comptée pour rien.

• Une mère ne voit jamais le vilain petit canard dans sa nichée de poussins.

• Graissez les bottes d’un vilain il dira qu’on les lui brûle.

• Un truc vilain, même à la mode, reste vilain.

• Soyez vilain ou soyez beau, Pour la santé, c’est kif-kif bourricot.

• La jalousie est un vilain défaut Accroché au revers de l'amour.

• C’est un vilain oiseau que celui celui qui salit son nid.

• Le couple, quel vilain mot.

• Mieux vaut un vilain cochon que pas de cochon du tout.

• A vilain, vilain et demi.

• Marvel doit trouver le prochain super-vilain capable d’affronter l’équipe d’Avengers. Les studios ont demandé aux fans des super-héros quelle pourrait bien être la prochaine menace pour succéder à Thanos.

• Les chapitres de la biographie en chantier qui entrelardent le livre permettent rapidement de mesurer l’épaisseur de la couche de maquillage qu’applique le scribe sur la réalité. « J’ai appris avec le temps et quelques claques derrière la tête à ne retenir les mauvais épisodes que s’ils éclairent les plus glorieux. À n’épingler les vilains défauts qu’à la condition que des qualités d’envergure comparable ne les transcendent. » Comment alors différencier le biographe du faiseur d’images, le gardien des faits de l’affabulateur ?