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Citations sur le valse des étiquettes

Il y a 24 citations sur le valse des étiquettes.

• La valse des étiquettes inquiète tous les citoyens tunisiens, qui voient impuissants, les prix s’envoler, en des termes disproportionnés, par rapport à leur modeste budget.  Plus le dinar se déprécie, plus l’inflation grimpe, et plus le porte-monnaie s’amaigrit, personne ne sait où cette spirale va nous mener.

• Selon l’économiste Dalvarice Ngoudjou, la valse des étiquettes est d’abord la conséquence de la hausse des prix des matières premières – notamment les denrées alimentaires et les intrants agricoles – sur les marchés mondiaux, résultat d’une combinaison de facteurs liés à la pandémie.

• Le coup d'envoi des soldes d'hiver est donné ce mercredi 12 janvier en France. Gare à la valse des étiquettes prévient l'associaitoin de consommateurs UFC Que Choisir. Prix, garanties et échanges... on fait le point. 

• Les remises claquent comme autant de coups de fouet. -30, -40, -70. Qui dit mieux ? Chez Tiger, rue d’Angoulême en centre-ville, où on affiche un -80 %, mais pour cause de liquidation suite à un changement de propriétaire. Hier, la valse des étiquettes a débuté à...

• La valse des étiquettes à quelques jours de Noël donne parfois le tournis aux consommateurs. D’une enseigne à l’autre, d’une semaine à l’autre, les prix changent et souvent augmentent, sans surprise pour les consommateurs. "Sur un mois, j’ai remarqué une augmentation légère d’un euro", dit un père de famille. "C’est l’offre et la demande, comme il y a une grosse demande, ça ne me choque pas particulièrement", déclare un autre.

• ANALYSE - De l’Europe aux États-Unis, les consommateurs subissent la valse des étiquettes. Les banques centrales, BCE en tête, gardiennes de la stabilité des prix, sont prises de court.

• Attention! Valse des étiquettes en vue dans les rayons. Même Michel-Édouard Leclerc, le chantre des prix bas, le reconnaît, à l’unisson des patrons d’enseignes qui se relaient depuis des semaines sur les plateaux télé pour prévenir leurs clients. A priori, cette campagne médiatique aurait pu rassurer les industriels de l’agroalimentaire et des produits de grande consommation, alors que commencent les négociations tarifaires annuelles avec les centrales d’achat des enseignes. Frappés depuis des mois par des hausses de coût sans précédent, les producteurs des grandes marques vont enfin pouvoir faire accepter des hausses de tarif.

• Le taux d'inflation outre-Rhin a passé en novembre le cap symbolique des 5%, affolant littéralement les Allemands, ainsi que quelques économistes ultra-orthodoxes. Chef du parti libéral et faucon fiscal, Christian Lindner brigue le poste de ministre des Finances dans le prochain gouvernement Scholz. Son but: mettre les comptes au cordeau, réinstaller le frein à la dette, stopper la valse des étiquettes et ... rassurer nos voisins. 

• L'inflation est surveillée comme le lait sur le feu par les différents gouvernements. Le ministre de l'Économie, Bruno Le Maire, se dit particulièrement vigilant sur le sujet. Les acteurs politiques craignent une valse des étiquettes qui ferait grimper le ticket de caisse au supermarché, qui mettrait à mal le pouvoir d'achat des populations, qui réveillerait des mouvements type gilets jaunes, voire pousserait à demander des augmentations de salaire.  

• En vingt ans, l’euro a surmonté plusieurs crises. Il a fait l’objet de multiples fausses informations, la première étant son caractère inflationniste. Entre 2002 et 2004, il fut accusé d’avoir, en France, favorisé une valse des étiquettes. Malgré les démentis chiffrés apportés par l’Insee ou la Banque centrale européenne, rien n’y fit, preuve que le ressenti l’emporte sur la froideur des statistiques.

• Article original 22/10 — La valse des étiquettes continue sur les forfaits mobiles. Après des abonnements 30 Go à 10 €/mois la semaine dernière, les opérateurs se montrent plus généreux. SFR RED et B&You proposent l'un comme l'autre 80 Go pour 10 €/mois en ce moment. Les tarifs sont valables jusqu'au jour où les opérateurs décident une augmentation.

• Cette valse des étiquettes, qui menace le pouvoir d’achat à l’approche de la campagne présidentielle, doit beaucoup à l’énergie et à l’alimentation. En août, la hausse des prix du gaz depuis l’année dernière a atteint 27 %. Il faut aussi ajouter la progression des prix du pétrole. Une fois retirés ces deux postes...

• Dans ces conditions, il n'est donc pas étonnant de voir la livre s'enfoncer un peu plus face aux autres monnaies de référence. Quant aux entreprises, elles doivent composer avec une devise nationale qui dégringole plus rapidement que la valse des étiquettes. Pour Apple, cela tombe au plus mal : le constructeur a en effet ouvert une boutique à Istanbul fin octobre.

• La hausse des prix de détail aux États-Unis fait ressurgir le spectre de l’inflation. Pour l’heure, la banque centrale table sur un phénomène « temporaire ». Un comité de politique monétaire de la Réserve fédérale se déroule ces 15 et 16 juin. Alors comment expliquer cette valse des étiquettes ?

• C’est la valse des étiquettes en Algérie où l’inflation des prix des produits de première nécessité a atteint « un seuil jamais égalé », rapporte la presse locale. Une situation qui inquiète les consommateurs déjà privés depuis décembre dernier de l’huile de table qui a disparu des commerces.

• Le sujet de la hausse des prix fait beaucoup parler en Europe, même si on ne constate aucune "valse des étiquettes" pour l'instant. Les derniers chiffres américains pourraient changer la donne.

• Tout coûte plus cher en ce moment, et c'est pareil partout dans le monde. Avec la reprise, l'inflation est revenue en pleine forme. + 4,1 % dans la zone euro, + 4,2 % au Royaume-Uni, + 6,2 % aux États-Unis, ... Les chiffres rappellent la crise de 2008. Si l'on pensait qu'il ne s'agissait que d'un petit souci lié à la conjoncture, on commence à déchanter face à un phénomène qui pourrait bien perdurer. Désormais il s'agit de savoir comment gérer cette valse des étiquettes et là-dessus, tout le monde n'est pas d'accord.

• Top départ mercredi matin, les soldes ont débuté hier à Héricourt comme dans le reste de la France. La valse des étiquettes et des rabais réussira-t-elle à sauver une saison hivernale qui n’a pas pour l’instant mobilisé la clientèle ? C’est toute la question.

• Cette valse des étiquettes pèse sur les ménages et fournit un thème de campagne à l’opposition qui se plaît à dénoncer la « Bidenflation ». Sur la défensive, le président américain a reconnu qu’il « reste du travail à faire » face aux prix « toujours trop élevés pour les budgets familiaux serrés ». Ces mauvais chiffres compliquent sa présidence. Joe Biden espère toujours faire adopter par le Sénat un vaste plan de dépenses sociales et environnementales, mais aura du mal désormais à vaincre les réticents.

• Eau, gaz, électricité, c’est actuellement la valse des étiquettes, tout augmente. Ce ne sera pas en tout le cas pour les transports publics dans Vienne Condrieu Agglomération, les élus communautaires ayant décidé à l’unanimité et en accord avec le concessionnaire, la société Vienne Mobilités (Groupe RatpDev).de ne pas augmenter les tarifs des titres de transports du réseau de l’Agglo.