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Citations sur l'universel

Il y a 57 citations sur l'universel.

• C’est dans Trois essais sur la théorie de la sexualité que Freud (1915) introduit la notion de pulsion dans sa dimension psychanalytique. La façon dont la sexualité et ses troubles sont envisagés par la médecine à la fin du XIXe siècle est fondée sur l'idée d'une indépendance entre psychisme et sexualité et sur l'idée que les comportements sexuels sont innés et gouvernés par l'instinct ; de ce fait les « aberrations sexuelles » sont des déviations de l'instinct liées à la « dégénérescence », explication universelle de l'époque à toute pathologie psychiatrique. La façon dont Freud relie le sexuel à l'ensemble du fonctionnement du psychisme, à travers la notion de pulsion précisément, inverse complètement la perspective. A la base des perversions il y a quelque chose que tous les hommes ont en partage, « les racines innées de la pulsion sexuelle » (Freud, 1915) que « les influences de l'existence » feront varier dans leur forme et dans leur intensité.

• Il faut mettre du sucre partout, arrêtez la sucrette, vive le sucrage universel.

• Plus tu es proche de tes racines, plus tu peux être universel.

• Chaque homme est une humanité, une histoire universelle […].

• L'univers de chacun est universel.

• La vérité que cherche l'œuvre d'art, c'est la vérité universelle de ce qui est singulier.

• Il n'y a d'universel que ce qui est suffisamment grossier pour l'être.

• Consensus universel : l'accord des "on".

• Plus c'est local plus c'est universel.

• Le peintre doit s’efforcer d’être universel.

• Le public, c'est le suffrage universel en art.

• La misère a un caractère universel qui transcende les cultures.

• La nature est un professeur universel et sûr pour celui qui l'observe.

• La nature ne vise pas un but particulier mais un but universel.

• Le suffrage universel est le gouvernement d'une maison par sa nursery.

• C'est par le malentendu universel que tout le monde s'accorde.

• Dieu n'est pas compatible avec les machines, la médecine scientifique et le bonheur universel.

• L’universel n’existe pas, il n’existe que du particulier.

• L’universel ne s’inscrit dans le monde qu’à travers la multitude des cultures.

• On peut donc tenir que l’événement, tout événement, convertissant une contingence miraculeuse en nécessité répétitive, fait que quand bien même il est « contingent », transcendantalement, que l’appropriation vitale se soit soldée par la souffrance et la mort, cette contingence est bel et bien devenue une universelle nécessité, que seule, semble-t-il, la technique prométhéenne se sent en mesure de défier, du côté de la Silicone Valley.