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Citations sur le tout entier

Il y a 18 citations sur le tout entier.

• Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier.

• L'enfer est tout entier dans ce mot : solitude.

• Que l'on gagne le coeur des femmes et le peuple tout entier suivra.

• Il n'est rien comme la jalousie pour absorber un être humain tout entier.

• Le génie se donne tout entier, mais ses contemporains prennent de lui seulement ce qu’ils sont capables de prendre.

• L'homme propose et dispose. Il ne tient qu'à lui de s'appartenir tout entier.

• Que souhaite celui dont la maison a brûlé ? Que brûle à son tour le monde tout entier.

• On n’aime que ce qu’on ne possède pas tout entier.

• Une seule pensée de l’homme vaut plus que l’univers tout entier.

• Si ton ami est de miel, ne le mange pas tout entier.

• La nature, miroir de soi où l'on se retrouve tout entier.

• Le destin de l'individu est lié à celui du pays tout entier.

• Chaque âme représente exactement l'univers tout entier...

• Un livre tout entier d’argot est plus ennuyeux qu’un rapport de la Cour des comptes.

• L'art érotique convie l'homme tout entier à la fête de la vie.

• « Moi, j’aime Antoine, tout québécois qu’il est, insiste la réalisatrice. J’aime l’homme qu’il est, j’aime l’accent, bref, je le voulais tout entier, tel qu’en lui-même. Dans Le petit locataire, il n’avait pas vraiment de raison d’être là en tant que Québécois, et je n’en ai fait aucun cas. Je crois que le fait de ne pas être le Québécois de service dans mes histoires plaît bien à Antoine aussi. Évidemment, je trouve toujours une petite justification à l’écriture pour que tout ça reste crédible, mais je fais jouer Antoine parce qu’il est Antoine et parce qu’il est un grand acteur, pas parce qu’il y a un personnage québécois dans l’histoire. »

• Le pays tout entier sera derrière son jeune espoir âgé de 26 ans, Joan Verdu, actuellement sixième au classement général après ses deux victoires en Autriche et en Norvège. Il a aussi représenté l’Andorre aux derniers Jeux olympiques en Chine.

• C’est une vraie interrogation. La littérature est une maîtresse très possessive, très jalouse. Parfois, elle vous dévore tout entier. C’est comme si la vie était constituée de plusieurs fleuves qui se jettent tous vers le même océan. Un certain nombre de choses que je vis dans la “vie normale”, ne prennent d’épaisseur qu’intégrées dans un questionnement littéraire. Après, je m’autorise de plus en plus à vivre les choses plus concrètement. Parce que je commence à comprendre que c’est peut-être en s’engageant pleinement dans la vie qu’on arrive à des transfigurations littéraires beaucoup plus fortes.