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Citations sur le sur - Page 21

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• Quand la racine est sauve, le feuillage revient étendre sur la maison son ombre.

• Le roman est devenu une enquête générale sur l'homme et sur le monde.

• Misogyne : un homme qui, lorsqu'il embrasse une femme sur les lèvres, serre les dents.

• Enseigner vous remet les pieds sur terre et vous éloigne de l’ego.

• Le travail sur l'ego va être une des premières épreuves capitales de la traversée...

• L'univers n'est qu'un vaste océan, sur la surface duquel nous apercevons quelques îles plus ou moins grandes, dont la liaison avec le continent nous est cachée.

• Colloque - Débat entre penseurs distingués sur un sujet controversé, à propos duquel tous sont unanimes pour ne pas s'accorder.

• Par terre on se dispute, mais au lit on s'explique. Et sur l'oreiller, on se comprend !

• Ne dispute pas avec un beau parleur, ne mets pas de bois sur le feu.

• Diplomatie : milieu où l’on trouve énormément de planqués, sur leur diplôme assis.

• L'imagination connaît la force des mots elle crépite comme de l'électricité sur un câble.

• Les sages portent leurs cornes dans leur coeur, et les sots sur leur front.

• Le marxisme est l’ensemble des contresens qui ont été faits sur Marx.

• Pour créer la femme, Dieu s'est inspiré de la contrebasse : une petite tête sur un long cou, un encombrement maximal, elle ne vibre que lorsque vous lui frottez le ventre, et émet un son qui couvre tout.

• L'important c'est que la photo possède une force constatative et que le constatatif de la photo porte, non sur l'objet, mais sur le temps.

• Le comble du racisme ? Pisser sur Jacob sans pisser sur Delafon !

• Un cheval tombe, le cocher aussi. Voilà ce que c'est que de vouloir monter sur le siège !

• Le gendarme ? C'est toute l'humanité ! Au fond, on cire toujours les pompes de ses supérieurs hiérarchiques et on s'essuie sur le derrière de son sous-fifre !

• Le beurre ne peut venir au secours de la cire quand ils sont tous deux sur le feu.

• Le temps est un chirurgien paresseux qui laisse de profondes cicatrices sur les plaies qu’il referme.

• Le calomniateur est semblable à la chenille qui en se promenant sur les fleurs, y laisse sa bave et les salit.

• Le talent éclôt sur la cendre d'une longue patience.

• Toute tentative invraisemblable, à condition d’être entreprise avec un minimum de sens commun et sur une échelle modeste, possède une sorte de droit divin à un hasard heureux répété à une cadence régulière.

• Il est statistiquement prouvé que sur dix personnes atteintes de bronchite, une seule va chez son médecin et les neuf autres dans une salle de spectacle.

• Nous sommes six milliards de bipèdes à tenir miraculeusement debout sur de fragiles petits pieds, en équilibre sur une boule de magma en fusion. Un véritable numéro de cirque !

• Le golf consiste à mettre une balle de 4 cm de diamètre sur une boule de 40.000 km de tour et à frapper la petite, non la grande.

• Le corps : une paire de pincettes fixée à un soufflet et à une bouilloire, le tout monté sur des échasses.

• Ecrire un feuilleton consiste à faire des boucles sur une calvitie.

• Le manga travaille sur la vitesse de lecture, la bande-dessinée demande au lecteur de s’arrêter sur les détails de chaque case.

• Notre démocratie est parfaitement bancale. Elle n'avance que sur une seule jambe. Elle écarte de sa représentation plus de la moitié des citoyens.

• L'hypothèse la mieux élaborée ne saurait prévaloir sur la réalité la plus bancale.

• Les ballerines sont toujours sur la pointe des pieds ! Pourquoi n’en engagent-ils pas des plus grandes ?

• Jamais Noé ne put si bien voir le monde que de l'arche malgré qu'elle fut close et qu'il fit nuit sur la terre.

• Le droit suppose, pour son élaboration, la connaissance des techniques sur lesquelles il s’applique.

• Le crime se reflète toujours sur les esprits des témoins et des proches. Il faut les considérer comme des miroirs ; le meurtrier se cache dans un des angles morts.

• Qui se casse les dents sur le noyau mange rarement l'amande.

• Si nous nous trouvons tellement à l'aise dans la pleine nature, c'est qu'elle n'a pas d'opinion sur nous.

• Ainsi va le monde ici-bas. Le temps emporte sur son aile Et le printemps et l'hirondelle, Et la vie et les jours perdus

• Puisqu'on dit que le bonheur N'existe pas sur la terre Que l'aile de mes chimères Puisse nous conduire ailleurs.

• S'il y a un plat universel, ce n'est pas le hamburger mais bien la pizza, parce qu'elle se limite à une base commune - la pâte - sur laquelle chacun peut disposer, agencer et exprimer sa différence.