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Citations sur le sur - Page 20

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• Les femmes sont comme les chats qui retombent toujours sur leurs pattes.

• Si vous dormez sur les roses pendant votre jeunesse, vous dormirez sur les orties quand vous serez vieux.

• L’argent a toujours été chez moi une source de culpabilité. Je paye mes impôts rubis sur l’ongle, et je préfère regarder ce qu’on me laisse plutôt que ce qu’on me prend.

• L'amour est un petit bateau Qui s'en va, tout joyeux, sur l'onde, Voguant vers des pays nouveaux Au hasard de sa course vagabonde.

• Ci-gît un homme dont le nom fut écrit sur l'onde.

• Chaque cheveu fait son ombre sur la terre.

• Nous, nés d'hier, nous ne savons rien, notre vie sur terre passe comme une ombre.

• Un frais parfum sortait des touffes d'asphodèle ; Les souffles de la nuit flottaient sur Galgala L'ombre était nuptiale, auguste et solennelle.

• Quand la pierre tombe sur l'oeuf, pauvre oeuf. Quand l'oeuf tombe sur la pierre, pauvre oeuf.

• Le mot liberté ne peut pas être chanté sur la même note par tout le monde.

• Elle* me dit : Je suis l'impassible théâtre Que ne peut remuer le pied de ses acteurs […] Je sens passer sur moi la comédie humaine Qui cherche en vain au ciel ses muets spectateurs.

• Méfie-toi des femmes, mon vieux, qu'elles ne prennent jamais le pas sur toi. Elles ne sont que des médailles accrochées à la poitrine des héros.

• En temps de guerre, le soldat a droit à une médaille quand il sait tirer et à un médaillon sur sa tombe quand il ne s'en tire pas.

• La culture est basée sur l'individu, les médias mènent vers l'uniformité ; la culture éclaire la complexité des choses, les médias les simplifient.

• L'homme se tient debout sur ses pattes de derrière pour recevoir moins de pluie et pouvoir accrocher des médailles sur sa poitrine.

• Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement.

• Lorsque vous portez une paire de bottes, vous ne vous heurtez jamais à un meuble. Mais si vous vous promenez nu-pieds, tout le mobilier se jette sur vous et vous frappe.

• Toute vertu est fondée sur la mesure.

• Un visage est-il un masque de comédie posé sur la tragédie de l’âme ?

• Les anciens disaient Les paroles s’envolent, les écrits restent, c’était d’autant plus vrai qu’ils écrivaient sur du marbre.

• Je ne sais si la soumission est en marche, mais la peur est là et, malgré les crayons brandis, malgré les professions de foi martiales, il y aura de moins en moins de « Charlie » sur notre sol.

• Il est bien tard d'épargner sur le tonneau quand le vin est à la lie.

• Les femmes sont un sujet sur lequel les hommes aiment à s’étendre.

• La femme est un sujet sur lequel on s'est beaucoup étendu.

• Le peuple est le seul sur lequel nous puissions compter pour préserver notre liberté.

• Le dictionnaire regorge de sentiers qui se croisent et s'entrecoupent. Un labyrinthe où il est agréable de se perdre, un dédale où l'on bute à chaque pas sur des pierres précieuses.

• La chanson est une caresse sur la joue.

• Eh bien ! moi, je vous dis de ne pas tenir tête au méchant : au contraire, quelqu'un te donne-t-il un soufflet sur la joue droite, tends-lui encore l'autre.

• Tout mon travail repose sur l'approche intime d'un environnement.

• Un enterrement est une cérémonie au cours de laquelle chacun des invités juge indûment occupée par le mort une attention qu'il voudrait fixée sur lui.

• Il ne faut pas jeter de l’huile sur le feu.

• L'hermine, c'est tout blanc avec le bout de la queue noir alors que le ramoneur, c'est tout noir avec une grande échelle sur le dos.

• La télévision c’est le monde qui s’effondre sur le monde, une brute geignarde et avinée, incapable de donner une seule nouvelle claire et compréhensible.

• L'honneur fleurit sur la fosse.

• […] beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d'une machine à coudre et d'un parapluie.

• L’espoir est un lubrifiant qui protège de l’usure que produit le flottement de la conscience sur le temps.

• Le temps est un fleuve où l'homme va à contre-courant. Il croit avancer tant qu'il peine sur la rame, Car ce qui flotte à l'entour le dépasse vers l'arrière.

• Je peux regarder des civilisations disparaître, des villes flamber ou des planètes exploser sans réagir. Mais montrez-moi une larme sur la joue d’une femme et vous ferez de moi ce que vous voudrez.

• Un acteur sur la scène, c'est une buche dans le feu. Quand la flamme du dialogue le quitte, il doit lui rester la braise de la situation. Mauvais bois qui s'éteint dès qu'il ne flambe plus. Faut-il donc que le poëte souffle toujours dessus ?

• Le coeur d’une femme est aussi fuyant qu’une goutte d’eau sur une feuille de lotus.