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Il y a 36 citations sur la sous-munition.
L’invasion russe en Ukraine remet la question des armes à sous-munitions sur la table. Selon plusieurs ONG, elles ont été utilisées plusieurs fois depuis une semaine. D’après Human Rights Watch (HRW), «un missile balistique russe contenant une arme à sous-munitions a frappé une rue juste devant un hôpital à Vuhledar, une ville de la région de Donetsk contrôlée par le gouvernement ukrainien le 24 février». Une attaque qui a tué, toujours selon HRW, «quatre civils et en a blessé dix autres, dont six travailleurs de la santé». Libération — Bombes à sous-munitions: que sont ces armes utilisées en Ukraine? – Libération
La Russie est très fortement soupçonnée d'utiliser des bombes à sous-munitions dans le cadre son "opération militaire spéciale" en Ukraine. Ces armes destructrices sont pourtant interdites dans la plupart des pays au monde et régies par une convention internationale depuis près de 15 ans. midilibre.fr — Crime de guerre : que sont ces bombes à sous-munitions utilisées par la Russie en Ukraine ? - midilibre.fr
Non seulement, en Ukraine, les forces russes sont accusées de s'en prendre aux civils mais elles sont aussi soupçonnées d'utiliser des armes interdites par le droit international : les bombes à sous-munitions. Cette arme est composée d'un conteneur (un obus, une roquette ou un missile par exemple) rempli de projectiles (dites sous-munitions) qui explosent à leur tour une fois que la bombe a explosé. Ces bombes sont, d'une part, très sensibles et, d'autre part, en libérant leurs sous-munitions, elles couvrent une zone d'impact très large. France 24 — L’usage de bombes à sous-munitions, un crime de guerre qui peut mener la Russie devant la CPI ?
Human Rights Watch a mené des entretiens téléphoniques avec un médecin de l’Hôpital central de la Ville, et une responsable municipale. Ces deux personnes ont fourni les noms des civils blessés et tués, et ont partagé des photographies de deux personnes tuées. Human Rights Watch a également vérifié les photographies publiées sur les réseaux sociaux ou envoyées directement par le personnel de l'hôpital, montrant les corps de deux victimes ainsi que des dommages causés par l'attaque. Une photo montre l’ogive de l'arme apparemment utilisée, un missile balistique Tochka de la série 9M79, contenant des sous-munitions 9N123. Human Rights Watch — Ukraine : Frappe d’une arme à sous-munitions russe contre un hôpital | Human Rights Watch
Cette même source a affirmé que les victimes ont été tuées par les débris d’un missile ukrainien « Totchka », intercepté selon elle par les défenses antiaériennes des séparatistes. Le chef des séparatistes de Donetsk, Denis Pouchiline, a affirmé à la télévision russe qu’il s’agissait d’un missile contenant des sous-munitions, interdites par plus d’une centaine de pays dans le monde, mais pas par la Russie ni l’Ukraine. leparisien.fr — Une frappe ukrainienne fait au moins 26 civils tués à Donetsk, selon les séparatistes prorusses - Le Parisien
Selon la défense territoriale de Donetsk, les défenses antiaériennes des séparatistes ont intercepté un missile ukrainien « Totchka » dont les « débris » ont ensuite fauché les victimes. Le chef des séparatistes de Donetsk, Denis Pouchiline, a affirmé à la télévision russe qu'il s'agissait d'un missile contenant des sous-munitions, interdites par plus d'une centaine de pays dans le monde, mais pas par la Russie ni l'Ukraine. « Si [le missile] n'avait pas été abattu, il y aurait eu encore plus de victimes », a estimé Denis Pouchiline. Le Point — Guerre en Ukraine : un journaliste de Fox News blessé près de Kiev - Le Point
Les vidéos qui confirment l’usage d’armes à sous-munitions dans les zones civiles en Ukraine Le Monde.fr — Guerre en Ukraine : à Mykolaïv, la colère des habitants sous les bombes
À la une de la presse, ce jeudi 10 mars, le sommet réunissant les 27 dirigeants de l'UE aujourd’hui et demain à Versailles. Un sommet dominé par la guerre en Ukraine, où les troupes russes sont accusées de se livrer à de possibles "crimes de guerre", et d’utiliser des armes à sous-munition, pourtant interdites par des traités internationaux. Et l'élimination du PSG de la Ligue des champions après sa défaite en huitièmes de finale retour face au Real Madrid emmené par le "roi" Benzema. France 24 — Sommet de Versailles : "La guerre en Ukraine, défi existentiel pour l'UE" - Dans la presse
Amnistie internationale a dénoncé le recours à ces bombes dites à sous-munition utilisées dès le début du conflit, le 24 février. Le Journal de Québec — Enquête sur des crimes contre l’humanité: Poutine renie sa parole après s’être engagé à protéger les civils | JDQ
Elle vise les attaques délibérées des Russes contre les civils, notamment l'utilisation de bombes à sous-munition dans les aires urbaines, pratique qui a déjà été considérée comme crime de guerre dans le cadre de poursuite d'anciens officiers en Syrie. Franceinfo — Guerre en Ukraine : les procédures contre Vladimir Poutine devant les tribunaux internationaux
Jusqu’à présent, les investisseurs responsables avaient tendance à exclure les armes controversées, en se reposant sur des textes internationaux comme la convention d’Oslo de 2008, signée par 115 pays dont la France, qui interdit l’utilisation, la production, le stockage et le transport des armes à sous-munition, et le traité d’Ottawa de 1997, qui fait de même pour les mines antipersonnel. D’autres types d’armes sont également souvent concernées par les politiques d’exclusion, comme les armes nucléaires, chimiques ou biologiques.■ Novethic Essentiel — Guerre en Ukraine : l’exclusion de l’armement par les acteurs financiers fait débat | Novethic Essentiel
Le chef des séparatistes de Donetsk, Denis Pouchiline, a affirmé à la télévision russe qu’il s’agissait d’un missile contenant des sous-munitions, interdites par plus d’une centaine de pays dans le monde, mais pas par la Russie ni l’Ukraine. sudinfo.be — Guerre en Ukraine: retrouvez toutes les informations de ce lundi
L'armée russe a utilisé à Kharkiv, dans l'est de l'Ukraine, des armes à sous-munitions, qui sont indistinctement létales à l'égard des populations civiles, et dont l'emploi pourrait constituer un crime de guerre, affirme l'organisation Human Rights Watch (HRW). LEFIGARO — Direct - Guerre en Ukraine : Emmanuel Macron «extrêmement préoccupé des risques» pour la sécurité nucléaire
Outre le Haut-Karabakh, des accusations d'utilisation de sous-munitions l'année dernière au Tigré, en Ethiopie ont été lancées. "Nous avons besoin de davantage d'indications" à ce sujet, a dit à la presse une des responsables du rapport, en charge de ces questions à Human Rights Watch (HRW), Mary Wareham. rts.ch — Les armes à sous-munitions ont fait davantage de victimes en 2020 - rts.ch - Monde
Haut-Karabakh : les civils sous le feu de bombes à sous-munitions Amnesty France — Haut-Karabakh : les civils sous le feu de bombes à sous-munitions - Amnesty International France
L’Arménie utilise bien des bombes à sous-munitions Amnesty France — L’Arménie utilise bien des bombes à sous-munitions - Amnesty International France
Au deux tiers enfouie dans la terre, reconnaissable à ses ailettes en plastique noir qui émergent, la sous-munition cylindrique intacte d'une vingtaine de cm de long a été découverte par les propriétaires du jardin au poulailler, attenant à leur maison, après l'un des nombreux bombardements azerbaïdjanais qui a frappé la cité et ses environs la semaine passée. LExpress.fr — A Stepanakert, le danger à retardement des sous-munitions non explosées - L'Express
Sur ces 149 nouvelles victimes, 65 ont subi des attaques directes utilisant ces armes, toutes en Syrie, alors que 84 ont fait les frais de restes d'armes à sous-munitions, dont 15 en Syrie, précise l'observatoire dans son rapport rendu public jeudi. rts.ch — Les armes à sous-munition font toujours des victimes dans le monde - rts.ch - Suisse
Près de 1000 personnes dans le monde ont été tuées ou blessées en 2016 par des bombes à sous-munitions, plus de deux fois plus qu'en 2015, selon le rapport annuel de l'Observatoire des armes à sous-munitions, dont font partie plusieurs ONG comme Handicap International ou Human Rights Watch. LEFIGARO — Les bombes à sous-munitions, un fléau toujours plus meurtrier pour les civils
Human Rights Watch a examiné des débris de roquettes, des zones d’impact et des fragments de sous-munitions retrouvés à plusieurs endroits à Stepanakert (dont le nom est Khankendi en Azerbaïdjan), le centre administratif du Haut-Karabakh,. Human Rights Watch a également examiné des photographies d’une roquette et de sous-munitions prises dans la ville de Hadrut, et a mené des entretiens avec six personnes qui ont été témoins des attaques. Human Rights Watch — Azerbaïdjan : Recours à des armes à sous-munitions au Haut-Karabakh | Human Rights Watch